..elles se tranforment en poussière de rêve(suitede Les fées
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Fanfictions Stargate Atlantis :: Fanfictions Stargate Atlantis :: Sur les Ship :: Sur John/Elizabeth
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..elles se tranforment en poussière de rêve(suitede Les fées
Voici la suite de "Les fées ne meurent jamais..." ! Beaucoup moins triste je vous rassure !
John se releva et marcha d’un pas mécanique vers la porte.
- John ! Attendez-moi ! fit Mc Kay en marchant rapidement vers lui. John se retourna alors et lui dit :
- Je ne peux pas vivre sans elle.
Mc Kay s’apprêtait à répondre quand John tourna les talons et se dirigea vers le bord de la plate-forme. Rodney était trop loin pour l’empêcher de faire quoi que se soit. Il cria :
- John !! Ne faîtes pas ça !!
Mais le colonel continuait d’avancer. Lorsqu’il fut arrivé au bord, il s’arrêta et regarda l’océan. Mc Kay vit avec effroi John se pencher en avant. Il allait tomber ! « Non, pas lui, pas après Elisabeth s’il vous plait... » supplia Rodney pour lui-même. Soudain un violent courant d’air rejeta John en arrière et le fit tomber sur le sol. Le scientifique se précipita vers lui.
- Est-ce que ça va ?
- C’était quoi ça ? demanda le colonel.
- Je ne sais pas... mais promettez-moi que vous ne referais plus jamais ça !
John ne répondit pas. Il continuait à observer les alentours, intrigué par se souffle venu de nulle part qui l’avait empêcher de mettre fin à ses jours.
- Allez venez, on rentre ! fit Rodney.
Les 2 hommes se relevèrent et marchèrent côte à côte jusqu’à la porte blindée. Ils savaient que s’ils la franchissaient, ils leurs reviendraient le devoir d’annoncer et d’apporter toutes les explications nécessaire à la terrible nouvelle qui frappait la cité. Mais ils n’avaient pas le choix. Devant cette porte, ils échangèrent un regard, puis sans se concerter, ils entrèrent.
Les premiers jours qui suivirent cette annonce furent noyés par la tristesse et la douleur. Le chagrin de chacun se ressentait, et même Kavana avait prononcés quelques mots lors de la cérémonie d’adieu. Une gerbe de fleurs fut lancée dans l’océan par le colonel. S’en suivit un silence troublé seulement par les quelques vaguelettes qui venaient mourir en rythme régulier contre les murs de la cité. Ensuite ceux qui le souhaiter sont venu prononcé au micro quelques paroles en mémoires de la défunte. Pendant la cérémonie, aucune larme ne fut versée. Tout le monde avait conscience qu’Elisabeth n’aurait pas voulu les voir tristes.
Après ce jour, John se replia sur lui-même. La souffrance l’emporta sur sa volonté de vivre pour combattre les Wraiths qui se faisaient de plus en plus menaçants. En mission, John ne parlait que pour donner les principaux ordres, et sur la cité, les briefings et débriefings étaient les seules occasions où l’ont pouvait l’entendre.
Entre les missions, John s’enfermait dans ses quartiers, et personne ne savait ce qu’il faisait. Lorsque Linda avait essayé de le prendre dans ses bras juste après la cérémonie, il l’avait repoussé avec une telle force qu’elle avait été déséquilibrée et serait tombée si Teyla ne l’avait pas rattrapée à temps. Depuis, Linda avait essayé de lui parlé plusieurs fois, mais en vain. Il l’ignorait totalement.
John se releva et marcha d’un pas mécanique vers la porte.
- John ! Attendez-moi ! fit Mc Kay en marchant rapidement vers lui. John se retourna alors et lui dit :
- Je ne peux pas vivre sans elle.
Mc Kay s’apprêtait à répondre quand John tourna les talons et se dirigea vers le bord de la plate-forme. Rodney était trop loin pour l’empêcher de faire quoi que se soit. Il cria :
- John !! Ne faîtes pas ça !!
Mais le colonel continuait d’avancer. Lorsqu’il fut arrivé au bord, il s’arrêta et regarda l’océan. Mc Kay vit avec effroi John se pencher en avant. Il allait tomber ! « Non, pas lui, pas après Elisabeth s’il vous plait... » supplia Rodney pour lui-même. Soudain un violent courant d’air rejeta John en arrière et le fit tomber sur le sol. Le scientifique se précipita vers lui.
- Est-ce que ça va ?
- C’était quoi ça ? demanda le colonel.
- Je ne sais pas... mais promettez-moi que vous ne referais plus jamais ça !
John ne répondit pas. Il continuait à observer les alentours, intrigué par se souffle venu de nulle part qui l’avait empêcher de mettre fin à ses jours.
- Allez venez, on rentre ! fit Rodney.
Les 2 hommes se relevèrent et marchèrent côte à côte jusqu’à la porte blindée. Ils savaient que s’ils la franchissaient, ils leurs reviendraient le devoir d’annoncer et d’apporter toutes les explications nécessaire à la terrible nouvelle qui frappait la cité. Mais ils n’avaient pas le choix. Devant cette porte, ils échangèrent un regard, puis sans se concerter, ils entrèrent.
Les premiers jours qui suivirent cette annonce furent noyés par la tristesse et la douleur. Le chagrin de chacun se ressentait, et même Kavana avait prononcés quelques mots lors de la cérémonie d’adieu. Une gerbe de fleurs fut lancée dans l’océan par le colonel. S’en suivit un silence troublé seulement par les quelques vaguelettes qui venaient mourir en rythme régulier contre les murs de la cité. Ensuite ceux qui le souhaiter sont venu prononcé au micro quelques paroles en mémoires de la défunte. Pendant la cérémonie, aucune larme ne fut versée. Tout le monde avait conscience qu’Elisabeth n’aurait pas voulu les voir tristes.
Après ce jour, John se replia sur lui-même. La souffrance l’emporta sur sa volonté de vivre pour combattre les Wraiths qui se faisaient de plus en plus menaçants. En mission, John ne parlait que pour donner les principaux ordres, et sur la cité, les briefings et débriefings étaient les seules occasions où l’ont pouvait l’entendre.
Entre les missions, John s’enfermait dans ses quartiers, et personne ne savait ce qu’il faisait. Lorsque Linda avait essayé de le prendre dans ses bras juste après la cérémonie, il l’avait repoussé avec une telle force qu’elle avait été déséquilibrée et serait tombée si Teyla ne l’avait pas rattrapée à temps. Depuis, Linda avait essayé de lui parlé plusieurs fois, mais en vain. Il l’ignorait totalement.
Re: ..elles se tranforment en poussière de rêve(suitede Les fées
En faite, John ignorait pas mal de monde sur Atlantis. A vrai dire, la seule personne à qui il acceptait vraiment de parler, c’était Rodney. C’était lui qui l’avait prévenu pour Elisabeth, et même s’il n’avait rien pu faire, John lui en était reconnaissant.
Tous les jours, Mc Kay allait le voir pour lui parler un peu, de tout et de rien. « Il ne faut pas qu’il s’enferme dans son mutisme ! » avait-il expliqué un jour à Teyla. Cette dernière allait aussi le voir et lui proposer de temps en temps un combat pour se remettre en jambes, mais John refusait toujours. Il n’avait pas le cœur à ça.
Rodney aussi souffrait du vide qu’avait laissé Elisabeth. Un peu plus que les autres mais pas autant que John. Il était parfaitement conscient que le colonel avait perdu bien plus qu’une amie très chère et que le vide qu’elle avait laisser dans son cœur ne se remplierai jamais.
John pouvait rester des heures sur le balcon de ses quartiers, à contempler l’océan. Au fond de lui, quelque chose espérait encore et toujours qu’Elisabeth soit en vie. Et quelques fois, alors qu’il était perdu dans ses pensées, un léger souffle de vent venait lui caresser le visage. Le même qui l’avait empêcher de sauter, mais en plus doux. Et à chaque fois, ce souffle le faisait frissonné.
Un jour qu’il était entrain de se diriger vers le mess, il sentit soudain ce souffle balayé son visage. Par réflexe, il s’arrêta et regarda autour de lui. Aucune fenêtre n’était ouverte. A partir de ce jour, il commença à se demander si Elisabeth n’y était pas pour quelque chose.
Il avait lu les rapports de SG-1. Lorsque Daniel s’était élevé, il s’est d’abord manifesté à O’neil par un courant d’air. Elisabeth aurait-elle effectuée l’ascension elle aussi ?
Après quelques jours passer à s’interroger sur la question, il décida d’en parler à Mc Kay. Il se dirigea vers son labo avec une certaine appréhension. Et si Rodney se moquait de lui ? Mais les craintes de John se révélèrent infondées.
- C’est possible, dit Rodney après avoir entendu les explications du colonel.
- Vous croyez ? demanda John, surpris.
- Enfin théoriquement.
- Comment ça théoriquement ?
- Eh bien, il est fort possible que le Dr Weir est effectué l’ascension ; au quel cas, les souffles que vous ressentez peuvent effectivement être du à la volonté d’Elisabeth de vous faire ressentir sa présence, mais...
- Mais ?
Rodney pris une grande inspiration.
- Mais il faut que vous envisagiez la possibilité que se ne soit juste que des coïncidences ou encore... un effet de votre imagination.
Il avait dit ces derniers mots rapidement, craignant la réaction du colonel. Mais John ne dit rien. Tout se bousculait dans sa tête. Et si Elisabeth avait vraiment fait l’ascension ? Alors c’était bien elle qui lui faisait signe à travers ces souffles ! A cette pensée, il se sentit revivre.
- Mais vous avez dit qu’Elisabeth avait effectué l’ascension ! Donc il est possible qu’elle me fasse signe non ?
- Non, j’ai dit qu’il y avait de fortes chances pour qu’elle se soit effectivement élevée... Mais il est également possible que... enfin qu’elle...
Tous les jours, Mc Kay allait le voir pour lui parler un peu, de tout et de rien. « Il ne faut pas qu’il s’enferme dans son mutisme ! » avait-il expliqué un jour à Teyla. Cette dernière allait aussi le voir et lui proposer de temps en temps un combat pour se remettre en jambes, mais John refusait toujours. Il n’avait pas le cœur à ça.
Rodney aussi souffrait du vide qu’avait laissé Elisabeth. Un peu plus que les autres mais pas autant que John. Il était parfaitement conscient que le colonel avait perdu bien plus qu’une amie très chère et que le vide qu’elle avait laisser dans son cœur ne se remplierai jamais.
John pouvait rester des heures sur le balcon de ses quartiers, à contempler l’océan. Au fond de lui, quelque chose espérait encore et toujours qu’Elisabeth soit en vie. Et quelques fois, alors qu’il était perdu dans ses pensées, un léger souffle de vent venait lui caresser le visage. Le même qui l’avait empêcher de sauter, mais en plus doux. Et à chaque fois, ce souffle le faisait frissonné.
Un jour qu’il était entrain de se diriger vers le mess, il sentit soudain ce souffle balayé son visage. Par réflexe, il s’arrêta et regarda autour de lui. Aucune fenêtre n’était ouverte. A partir de ce jour, il commença à se demander si Elisabeth n’y était pas pour quelque chose.
Il avait lu les rapports de SG-1. Lorsque Daniel s’était élevé, il s’est d’abord manifesté à O’neil par un courant d’air. Elisabeth aurait-elle effectuée l’ascension elle aussi ?
Après quelques jours passer à s’interroger sur la question, il décida d’en parler à Mc Kay. Il se dirigea vers son labo avec une certaine appréhension. Et si Rodney se moquait de lui ? Mais les craintes de John se révélèrent infondées.
- C’est possible, dit Rodney après avoir entendu les explications du colonel.
- Vous croyez ? demanda John, surpris.
- Enfin théoriquement.
- Comment ça théoriquement ?
- Eh bien, il est fort possible que le Dr Weir est effectué l’ascension ; au quel cas, les souffles que vous ressentez peuvent effectivement être du à la volonté d’Elisabeth de vous faire ressentir sa présence, mais...
- Mais ?
Rodney pris une grande inspiration.
- Mais il faut que vous envisagiez la possibilité que se ne soit juste que des coïncidences ou encore... un effet de votre imagination.
Il avait dit ces derniers mots rapidement, craignant la réaction du colonel. Mais John ne dit rien. Tout se bousculait dans sa tête. Et si Elisabeth avait vraiment fait l’ascension ? Alors c’était bien elle qui lui faisait signe à travers ces souffles ! A cette pensée, il se sentit revivre.
- Mais vous avez dit qu’Elisabeth avait effectué l’ascension ! Donc il est possible qu’elle me fasse signe non ?
- Non, j’ai dit qu’il y avait de fortes chances pour qu’elle se soit effectivement élevée... Mais il est également possible que... enfin qu’elle...
Re: ..elles se tranforment en poussière de rêve(suitede Les fées
Rodney n’eut pas à finir sa phrase. Un violent coup de vent fit voler toute les feuilles à proximité.
- Zelenka ! cria Mc Kay. Refermez cette fenêtre !
- Mais aucune fenêtre n’est ouverte Rodney, répondit le scientifique, toujours plongé dans ses recherches.
Mc Kay se tourna lentement vers John et qu’il souriait.
- Je pencherai pour la 1ère solution... déclara le colonel.
- Laquelle ?
Un léger souffle de vent vînt balayer le visage des 2 hommes.
- Celle là ! fit John, un sourire éclairant son visage.
Et il sortit du labo, laissant un Rodney plus heureux que surpris.
2 semaines plus tard, quartiers du colonel.
John était allongé sur son lit. Il était 23h00. Il pensait. A Elisabeth, aux Wraiths, à la cité.... Qu’allait-ils devenir ? Le nouveau responsable qu’il avait nommé à la tête du projet Atlantis se débrouiller très mal. Et Kavanagh était devenu son conseiller principal. Les Wraiths les avaient découverts. Ils n’avaient pas encore tenté d’attaquer la cité. « Mais ça ne saurait tardé » pensa John avec amertume.
L’absence d’Elisabeth se faisait à nouveau ressentir de plus en plus souvent; et malgré le souffle qui venait parfois caresser doucement son visage, les idées noires de John revenaient.
23h30, quartiers d’Elisabeth.
Sans l’insistance du colonel pour qu’on ne les touche pas, le nouveau dirigeant se serait sans doute approprier les quartiers d’Elisabeth depuis bien longtemps. Mais il faut dire que John impressionnait assez le nouveau venu, et ce dernier n’oser pas le contrarier, surtout quand il voyait briller au fond de ses yeux une lueur sauvage dés qu’il parlait de déménager dans les quartiers de la défunte. Tout était donc rester intact. Les meubles prenaient la poussière. Le lit n’avait pas était touché, les draps étaient défaits et un oreiller gisait sur le sol. Le réveil fonctionnait toujours.
Il indiquait 23h et 34 minutes quand soudain, une aveuglante lumière blanche illumina la pièce. Lorsque la lumière disparut, on pu distingué, malgré l’obscurité, une masse sombre sur les draps froissés. Cela semblait être un corps nu... Un corps de femme...
John se réveilla en sursaut, les mains moites, le souffle court. Il avait encore rêvé. Toujours le même rêve. Mais celui-ci lui avait parut étrangement réel cette fois-ci. Son réveil indiquait 23h45. Il se redressa et observa le plafond. Il ne pourrait donc jamais dormir plus de 3h par nuit ! Il était épuisé par les missions et pourtant, il n’arrivait pas à trouver le sommeil. Elisabeth hantait ses pensées même la nuit. Soudain, il entendit un léger bruit dans le couloir. Sans prendre la peine d’enfiler un t-shirt, il se leva et alla ouvrir la porte de ses quartiers. Il observa les alentours, mais il ne vit personne. Il aller faire demi-tour quand il aperçut une ombre à l’autre bout du couloir.
- Qui est là ?
Mais John n’obtenu aucune réponse.
- Zelenka ! cria Mc Kay. Refermez cette fenêtre !
- Mais aucune fenêtre n’est ouverte Rodney, répondit le scientifique, toujours plongé dans ses recherches.
Mc Kay se tourna lentement vers John et qu’il souriait.
- Je pencherai pour la 1ère solution... déclara le colonel.
- Laquelle ?
Un léger souffle de vent vînt balayer le visage des 2 hommes.
- Celle là ! fit John, un sourire éclairant son visage.
Et il sortit du labo, laissant un Rodney plus heureux que surpris.
2 semaines plus tard, quartiers du colonel.
John était allongé sur son lit. Il était 23h00. Il pensait. A Elisabeth, aux Wraiths, à la cité.... Qu’allait-ils devenir ? Le nouveau responsable qu’il avait nommé à la tête du projet Atlantis se débrouiller très mal. Et Kavanagh était devenu son conseiller principal. Les Wraiths les avaient découverts. Ils n’avaient pas encore tenté d’attaquer la cité. « Mais ça ne saurait tardé » pensa John avec amertume.
L’absence d’Elisabeth se faisait à nouveau ressentir de plus en plus souvent; et malgré le souffle qui venait parfois caresser doucement son visage, les idées noires de John revenaient.
23h30, quartiers d’Elisabeth.
Sans l’insistance du colonel pour qu’on ne les touche pas, le nouveau dirigeant se serait sans doute approprier les quartiers d’Elisabeth depuis bien longtemps. Mais il faut dire que John impressionnait assez le nouveau venu, et ce dernier n’oser pas le contrarier, surtout quand il voyait briller au fond de ses yeux une lueur sauvage dés qu’il parlait de déménager dans les quartiers de la défunte. Tout était donc rester intact. Les meubles prenaient la poussière. Le lit n’avait pas était touché, les draps étaient défaits et un oreiller gisait sur le sol. Le réveil fonctionnait toujours.
Il indiquait 23h et 34 minutes quand soudain, une aveuglante lumière blanche illumina la pièce. Lorsque la lumière disparut, on pu distingué, malgré l’obscurité, une masse sombre sur les draps froissés. Cela semblait être un corps nu... Un corps de femme...
John se réveilla en sursaut, les mains moites, le souffle court. Il avait encore rêvé. Toujours le même rêve. Mais celui-ci lui avait parut étrangement réel cette fois-ci. Son réveil indiquait 23h45. Il se redressa et observa le plafond. Il ne pourrait donc jamais dormir plus de 3h par nuit ! Il était épuisé par les missions et pourtant, il n’arrivait pas à trouver le sommeil. Elisabeth hantait ses pensées même la nuit. Soudain, il entendit un léger bruit dans le couloir. Sans prendre la peine d’enfiler un t-shirt, il se leva et alla ouvrir la porte de ses quartiers. Il observa les alentours, mais il ne vit personne. Il aller faire demi-tour quand il aperçut une ombre à l’autre bout du couloir.
- Qui est là ?
Mais John n’obtenu aucune réponse.
Re: ..elles se tranforment en poussière de rêve(suitede Les fées
L’ombre continuait d’avançer, il n’arrivait pas à distinguer qui cela pouvait bien être. Il se rendit compte alors qu’il n’était pas armé. Il fit rapidement marche arrière, prit son berreta puis retourna dans le couloir.
- Qui est là ? répéta John.
Il lui semblait apercevoir une femme.
- Teyla ? C’est vous ?
Toujours aucune réponse. John s’avança doucement. Soudain, ce qu’il vit lui coupa le souffle. C’était bien une femme qui s’avançait vers lui. Mais cette femme avait les mêmes cheveux qu’Elisabeth... Et les mêmes vêtements qu’Elisabeth... Le colonel n’osait plus bouger. Lorsque la jeune femme arriva à devant lui, un rayon de lune éclaira son visage. Le cœur de John manqua un battement. Elle ressemblait trait pour trait à Elisabeth... C’était Elisabeth...
- Ce n’est pas possible... murmura John.
Il l’observa. Ces yeux... Il les reconnaîtrait entre mille... C’était bien celle qu’il aimait, celle qu’il attendait désespérément...
Elisabeth se souvenait de tout. Elle se souvenait surtout du regard de John lorsqu’elle lui avait demandé de l’oublier. Elle s’était reculée, elle ne voulait pas l’embrasser. Mais son pied n’avait rencontré que le vide et elle avait basculé vers sa mort, laissant John, seul sur le rebord de la plate-forme... Elle n’avait pas crié, elle ne voulait pas...
Maintenant elle était revenue, par la volonté d’Oma ; et il était là, devant elle... Elle l’aimait... mon Dieu qu’elle l’aimait ce colonel... Elle ne pouvait pas vivre sans lui, même là-haut...
Le regard d’Elisabeth reflétait un mélange de joie intense et d’inquiétude.
- John... chuchota t-elle. Je... je suis revenue...
Le colonel la regardait avec incrédulité et surprise. Il avait du mal à croire se qu’il voyait. « Suis-je encore dans un de mes rêves ? » pensa t-il.
Il tendit la main vers elle. Ses doigts frôlèrent sa joue.
A ce contact, l’incrédulité dans les yeux de John fut remplacée par la même joie intense que ressentait Elisabeth. Elle était revenue... ! Il ne savait pas par quel moyen, ni pourquoi, mais il s’en fichait ! Elle était là. Elle était là devant lui et il ne la quitterai plus jamais. Plus jamais...
Elisabeth fit un pas, hésitante. John s’avança alors et la pris doucement dans ses bras. Elle posa sa tête contre le torse de John. Pour la première fois depuis 10 minutes, le colonel pu respirer normalement. Et pour la première fois depuis 10 minutes, Elisabeth prit conscience qu’elle était vraiment revenue. Il était là, elle était dans ses bras ; dans les bras de celui qui la faisait vivre... Plus jamais elle ne le quitterai...
Une larme de bonheur coula sur sa joue.
- Oh John...murmura t-elle en le serrant un peu plus contre elle.
Le colonel se mordit la lèvre inférieure pour s’empêcher de pleurer. Il déposa un baiser dans les cheveux d’Elisabeth. Ils étaient enfin réunis. La lune brillait dans le ciel décoré par des milliers d’étoiles. La même légère brise entra par la fenêtre ouverte et entoura le couple enlacé ; mais cette fois-ci pour les réunir à jamais.
- Qui est là ? répéta John.
Il lui semblait apercevoir une femme.
- Teyla ? C’est vous ?
Toujours aucune réponse. John s’avança doucement. Soudain, ce qu’il vit lui coupa le souffle. C’était bien une femme qui s’avançait vers lui. Mais cette femme avait les mêmes cheveux qu’Elisabeth... Et les mêmes vêtements qu’Elisabeth... Le colonel n’osait plus bouger. Lorsque la jeune femme arriva à devant lui, un rayon de lune éclaira son visage. Le cœur de John manqua un battement. Elle ressemblait trait pour trait à Elisabeth... C’était Elisabeth...
- Ce n’est pas possible... murmura John.
Il l’observa. Ces yeux... Il les reconnaîtrait entre mille... C’était bien celle qu’il aimait, celle qu’il attendait désespérément...
Elisabeth se souvenait de tout. Elle se souvenait surtout du regard de John lorsqu’elle lui avait demandé de l’oublier. Elle s’était reculée, elle ne voulait pas l’embrasser. Mais son pied n’avait rencontré que le vide et elle avait basculé vers sa mort, laissant John, seul sur le rebord de la plate-forme... Elle n’avait pas crié, elle ne voulait pas...
Maintenant elle était revenue, par la volonté d’Oma ; et il était là, devant elle... Elle l’aimait... mon Dieu qu’elle l’aimait ce colonel... Elle ne pouvait pas vivre sans lui, même là-haut...
Le regard d’Elisabeth reflétait un mélange de joie intense et d’inquiétude.
- John... chuchota t-elle. Je... je suis revenue...
Le colonel la regardait avec incrédulité et surprise. Il avait du mal à croire se qu’il voyait. « Suis-je encore dans un de mes rêves ? » pensa t-il.
Il tendit la main vers elle. Ses doigts frôlèrent sa joue.
A ce contact, l’incrédulité dans les yeux de John fut remplacée par la même joie intense que ressentait Elisabeth. Elle était revenue... ! Il ne savait pas par quel moyen, ni pourquoi, mais il s’en fichait ! Elle était là. Elle était là devant lui et il ne la quitterai plus jamais. Plus jamais...
Elisabeth fit un pas, hésitante. John s’avança alors et la pris doucement dans ses bras. Elle posa sa tête contre le torse de John. Pour la première fois depuis 10 minutes, le colonel pu respirer normalement. Et pour la première fois depuis 10 minutes, Elisabeth prit conscience qu’elle était vraiment revenue. Il était là, elle était dans ses bras ; dans les bras de celui qui la faisait vivre... Plus jamais elle ne le quitterai...
Une larme de bonheur coula sur sa joue.
- Oh John...murmura t-elle en le serrant un peu plus contre elle.
Le colonel se mordit la lèvre inférieure pour s’empêcher de pleurer. Il déposa un baiser dans les cheveux d’Elisabeth. Ils étaient enfin réunis. La lune brillait dans le ciel décoré par des milliers d’étoiles. La même légère brise entra par la fenêtre ouverte et entoura le couple enlacé ; mais cette fois-ci pour les réunir à jamais.
Re: ..elles se tranforment en poussière de rêve(suitede Les fées
J'ai oublié de mettre le mot FIN ! Voilà c'est fait !
Re: ..elles se tranforment en poussière de rêve(suitede Les fées
C'est encore magnifique !! Rhaa !! c'est trop bien elle est revenue !!!
Superbe suite !!!
BRAVO !!!
Superbe suite !!!
BRAVO !!!
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