Un passé qui ressurgit
4 participants
Fanfictions Stargate Atlantis :: Fanfictions Stargate Atlantis :: Sur les Ship :: Sur John/Elizabeth
Page 1 sur 1
Un passé qui ressurgit
Auteur: Gwenlan
Email: heillan@hotmail.com
Genre: romance John/Elizabeth (fanfiction centré sur Elizabeth)
Résumé: Elizabeth n'a pas le passé que tout le monde croit...
Aujourd’hui toute la cité était calme. Ce qui était très rare sur Atlantis. En effet les scientifiques travaillaient sur de nouvelles technologies que les équipes d’explorations interplanétaires avaient ramenées de leur visite sur diverses planètes de la galaxie de Pégase. Alors que les militaires eux, exploraient prudemment les parties de la cité qui leur était inconnu. Aucun incident depuis plusieurs jours n’était venu interrompre le calme qui régnait sur Atlantis.
Le docteur Weir travaillait dans son bureau. Elle avait beaucoup de paperasses à mettre à jour et elle ne pouvait pas se permettre d’être en retard maintenant qu’elle devait rendre des comptes sur Terre. En effet, le deadalus devait arriver sur Atlantis le lendemain et Elizabeth devait remettre à l’équipe à bord du vaisseau les derniers rapports sur la cité et sur les planètes visitaient par eux même. Mais aujourd’hui elle avait grand mal à se concentrer comme tous les ans depuis 17 ans maintenant à cette période. Elle tentait une nouvelle fois de boucler un rapport quand le major entra dans son bureau et lui dit :
-Bonjour Dr Weir
Elizabeth qui ne s’attendait pas à sa visite et qui le croyait encore entrain d’explorer des endroits de la citée inconnues lui répondit :
-Bonjour major ! Que puis je pour vous ?
Le major lui fit un grand sourire. Elizabeth se doutait qu’il était venu pour lui demander quelque chose. John lui demanda en ne sachant pas comment lui demander :
-Et bien voilà…
-Je vous écoute major.
-Nous avons découvert une nouvelle zone dans la cité qui pourrait servir de quartiers privés et ce n’est pas très loin du centre de la cité alors je voulais savoir.
Le major se comportait comme un enfant qui voulait qu’on lui accorde quelque chose et cela faisait sourire elizabeth. Elle lui répondit :
-La zone est elle sûre ?
-Oui Elizabeth, j’ai vérifié moi-même avec mon équipe…
-Vous pouvez donc vous y installer si vous le voulez ! C’est que vous voulez me demander ?
-Oui c’est exactement cela que je voulais vous demander ! Mais comment le saviez vous ?
Elizabeth souria, ce qu’elle ne faisait très rarement ces temps ci. Elle répondit à John :
-C’est mon petit doigt qui me l’a dit…
John lui répondit en souriant :
-Merci Elizabeth
-Mais de rien John.
John quitta le bureau du docteur Weir avec un grand sourire alors que Elizabeth se remettait à travailler sur ses rapports pour que ceux-ci soient terminés pour l’arrivée du Deadalus. Au bout de deux heures, elle avait enfin finit de boucler ses rapports mais avec beaucoup de mal. Elle décida de quitter son bureau pour se rendre dans ses quartiers privés. Mais elle ne voulait pas que cela paraisse suspect et que tout le monde lui pose des questions. En effet, elle n’avait pas l’habitude de quitter son bureau en pleine matinée pour se retrouver seule et dans ses quartiers qu’elle fréquentait très rarement en ce moment à cause de tout le travail que son poste engendrait.
Quand elle arriva en salle d’embarquement qu’elle devait traverser pour se rendre dans ses quartiers. Elle croisa le docteur Mckay. Une des seules personnes qu’elle ne voulait pas rencontrer aujourd’hui. Rodney lui demanda :
-Où vous allez Elizabeth ?
Le docteur Weir lui répondit avec assurance :
-J’ai oublié quelque chose dans mes quartiers…
Le docteur Mckay n’insista pas et il continua les expériences qu’il faisait en salle d’embarquement ce qui rassura Elizabeth qui continua son chemin jusque ses quartiers.
Quand elle arriva à ses quartiers, elle prit soin de fermer la porte de ceux-ci puis elle se rendit sur son balcon après avoir pris dans un boite sous son lit une petite enveloppe marron qui n’était plus vraiment en bon état.
Quand elle arriva sur son balcon. Elle s’asseya dos contre le mur et elle prit grand soin de sortir un petit morceau de papier de cette petite enveloppe marron qu’elle avait pris sous son lit.
Elle resta plusieurs minutes, plusieurs heures à regarder ce petit morceau de papier.
Au bout de deux heures, quelqu’un frappa à sa porte. Elle s’empressa de remettre le petit morceau de papier dans son enveloppe et de mettre celle-ci dans la poche de son pantalon avant de répondre à la personne qui venait de frapper qu’elle pouvait entrer.
La personne qui venait de frapper était le major Sheppard. Elizabeth essaya de reprendre ses esprits mais ses yeux rougit par les larmes la trahissait. Le major inquiet lui demanda :
-Elizabeth, ça va ?
Elizabeth lui répondit :
-oui, oui ça va très bien
-Vous en êtes certaine? Demanda John
-Oui je vais bien major
John répondit :
-J’étais venu vous chercher pour déjeuner et quand je suis allé dans votre bureau, je ne vous ai pas trouvé mais j’ai croisé le docteur Mckay qui m’a dit qui vous avait vu il y a deux heures et que vous vous rendiez dans vos quartiers. Alors j’ai décidé de me rendre ici pour voir si vous y étiez. Alors vous venez déjeuner ?
Elizabeth acquiesça puis elle répondit au major ;
-Je vous suis !
Le major souria puis comme tout homme galant, il répondit à Elizabeth en se mettant à gauche de la porte :
-Mais après vous
Ce geste de galanterie fit esquiver un petit sourire au docteur Weir. Quand ils arrivèrent au réfectoire, ils s’installèrent à une table après avoir était remplir leur plateau de nourriture où était déjà présent le lieutenant Ford, Teyla et le docteur Mckay. Le déjeuner se passa comme à l’habitude, de nombreuses querelles entre le major sheppard et le docteur Mckay éclataient comme à chaque repas mais cela n’était pas méchant. C’était plutôt de la taquinerie. Ce jour là, cela concernait le sport :
-Mckay je vous dis que le hockey n’est pas un sport !
-Mais vous croyez major que le football est un sport intelligent ? par rapport au hockey ce n’est rien…
Elizabeth qui ne suivait pas cet échange de parole fut interrompue dans sa rêverie par Teyla qui lui demanda :
-Qu’est ce que vous en pensez docteur Weir ?
Email: heillan@hotmail.com
Genre: romance John/Elizabeth (fanfiction centré sur Elizabeth)
Résumé: Elizabeth n'a pas le passé que tout le monde croit...
Aujourd’hui toute la cité était calme. Ce qui était très rare sur Atlantis. En effet les scientifiques travaillaient sur de nouvelles technologies que les équipes d’explorations interplanétaires avaient ramenées de leur visite sur diverses planètes de la galaxie de Pégase. Alors que les militaires eux, exploraient prudemment les parties de la cité qui leur était inconnu. Aucun incident depuis plusieurs jours n’était venu interrompre le calme qui régnait sur Atlantis.
Le docteur Weir travaillait dans son bureau. Elle avait beaucoup de paperasses à mettre à jour et elle ne pouvait pas se permettre d’être en retard maintenant qu’elle devait rendre des comptes sur Terre. En effet, le deadalus devait arriver sur Atlantis le lendemain et Elizabeth devait remettre à l’équipe à bord du vaisseau les derniers rapports sur la cité et sur les planètes visitaient par eux même. Mais aujourd’hui elle avait grand mal à se concentrer comme tous les ans depuis 17 ans maintenant à cette période. Elle tentait une nouvelle fois de boucler un rapport quand le major entra dans son bureau et lui dit :
-Bonjour Dr Weir
Elizabeth qui ne s’attendait pas à sa visite et qui le croyait encore entrain d’explorer des endroits de la citée inconnues lui répondit :
-Bonjour major ! Que puis je pour vous ?
Le major lui fit un grand sourire. Elizabeth se doutait qu’il était venu pour lui demander quelque chose. John lui demanda en ne sachant pas comment lui demander :
-Et bien voilà…
-Je vous écoute major.
-Nous avons découvert une nouvelle zone dans la cité qui pourrait servir de quartiers privés et ce n’est pas très loin du centre de la cité alors je voulais savoir.
Le major se comportait comme un enfant qui voulait qu’on lui accorde quelque chose et cela faisait sourire elizabeth. Elle lui répondit :
-La zone est elle sûre ?
-Oui Elizabeth, j’ai vérifié moi-même avec mon équipe…
-Vous pouvez donc vous y installer si vous le voulez ! C’est que vous voulez me demander ?
-Oui c’est exactement cela que je voulais vous demander ! Mais comment le saviez vous ?
Elizabeth souria, ce qu’elle ne faisait très rarement ces temps ci. Elle répondit à John :
-C’est mon petit doigt qui me l’a dit…
John lui répondit en souriant :
-Merci Elizabeth
-Mais de rien John.
John quitta le bureau du docteur Weir avec un grand sourire alors que Elizabeth se remettait à travailler sur ses rapports pour que ceux-ci soient terminés pour l’arrivée du Deadalus. Au bout de deux heures, elle avait enfin finit de boucler ses rapports mais avec beaucoup de mal. Elle décida de quitter son bureau pour se rendre dans ses quartiers privés. Mais elle ne voulait pas que cela paraisse suspect et que tout le monde lui pose des questions. En effet, elle n’avait pas l’habitude de quitter son bureau en pleine matinée pour se retrouver seule et dans ses quartiers qu’elle fréquentait très rarement en ce moment à cause de tout le travail que son poste engendrait.
Quand elle arriva en salle d’embarquement qu’elle devait traverser pour se rendre dans ses quartiers. Elle croisa le docteur Mckay. Une des seules personnes qu’elle ne voulait pas rencontrer aujourd’hui. Rodney lui demanda :
-Où vous allez Elizabeth ?
Le docteur Weir lui répondit avec assurance :
-J’ai oublié quelque chose dans mes quartiers…
Le docteur Mckay n’insista pas et il continua les expériences qu’il faisait en salle d’embarquement ce qui rassura Elizabeth qui continua son chemin jusque ses quartiers.
Quand elle arriva à ses quartiers, elle prit soin de fermer la porte de ceux-ci puis elle se rendit sur son balcon après avoir pris dans un boite sous son lit une petite enveloppe marron qui n’était plus vraiment en bon état.
Quand elle arriva sur son balcon. Elle s’asseya dos contre le mur et elle prit grand soin de sortir un petit morceau de papier de cette petite enveloppe marron qu’elle avait pris sous son lit.
Elle resta plusieurs minutes, plusieurs heures à regarder ce petit morceau de papier.
Au bout de deux heures, quelqu’un frappa à sa porte. Elle s’empressa de remettre le petit morceau de papier dans son enveloppe et de mettre celle-ci dans la poche de son pantalon avant de répondre à la personne qui venait de frapper qu’elle pouvait entrer.
La personne qui venait de frapper était le major Sheppard. Elizabeth essaya de reprendre ses esprits mais ses yeux rougit par les larmes la trahissait. Le major inquiet lui demanda :
-Elizabeth, ça va ?
Elizabeth lui répondit :
-oui, oui ça va très bien
-Vous en êtes certaine? Demanda John
-Oui je vais bien major
John répondit :
-J’étais venu vous chercher pour déjeuner et quand je suis allé dans votre bureau, je ne vous ai pas trouvé mais j’ai croisé le docteur Mckay qui m’a dit qui vous avait vu il y a deux heures et que vous vous rendiez dans vos quartiers. Alors j’ai décidé de me rendre ici pour voir si vous y étiez. Alors vous venez déjeuner ?
Elizabeth acquiesça puis elle répondit au major ;
-Je vous suis !
Le major souria puis comme tout homme galant, il répondit à Elizabeth en se mettant à gauche de la porte :
-Mais après vous
Ce geste de galanterie fit esquiver un petit sourire au docteur Weir. Quand ils arrivèrent au réfectoire, ils s’installèrent à une table après avoir était remplir leur plateau de nourriture où était déjà présent le lieutenant Ford, Teyla et le docteur Mckay. Le déjeuner se passa comme à l’habitude, de nombreuses querelles entre le major sheppard et le docteur Mckay éclataient comme à chaque repas mais cela n’était pas méchant. C’était plutôt de la taquinerie. Ce jour là, cela concernait le sport :
-Mckay je vous dis que le hockey n’est pas un sport !
-Mais vous croyez major que le football est un sport intelligent ? par rapport au hockey ce n’est rien…
Elizabeth qui ne suivait pas cet échange de parole fut interrompue dans sa rêverie par Teyla qui lui demanda :
-Qu’est ce que vous en pensez docteur Weir ?
gwenlan- Nombre de messages : 60
Date d'inscription : 28/12/2005
Re: Un passé qui ressurgit
Elizabeth surprise et qui ne savait même pas de quoi Teyla lui parlait lui demanda :
-Quoi ?
Teyla lui répondit ;
-Pensez vous que le football est un sport intelligent ?
Elizabeth répondit à Teyla :
-Vous savez le sport c’est pas trop mon truc…
John qui avait entendu la réponse d’Elizabeth lui dit :
-Vous devez quand même avoir un avis dessus Elizabeth
Elizabeth lui répondit :
-Je ne me suis jamais intéressée au football major… désolé…
Le docteur Mckay heureux de la réponse du Docteur Weir répondit au major :
-Vous voyez que le football est un sport n…
John lui répondit :
-Je vous interdis de qualifier le football de nul ! C’est un sport d’équipe et qui permet de développer de nombreuses capacités…
Dans les minutes qui suivit, le débat devint de plus en plus sérieux pour savoir lequel de ses sports : le football et le hockey était le meilleur….
Puis Ford lui aussi rentra dans ce débat. Mais celui-ci n’était pas pour le football ni le hockey mais pour le basket.
Teyla et Elizabeth voyant que cette dispute ne finirait jamais se levèrent et quittèrent le mess sous le regard des 3 hommes étonnés.
Ce fut John qui prit la parole en premier et il leur demanda :
-Mais où vous allez ?
Teyla lui répondit en souriant :
-Très loin de vous trois et de toute forme de sport...
Rodney agacé dit à John :
- Vous les avez fait fuir…
Puis il quitta la cantine pour retourner étudier la technologie des Anciens alors que John et Aiden allèrent au gymnase pour s’entraîner.
Quant à Teyla et Elizabeth, elles passèrent l’après midi à discuter de tout et de rien sur un des nombreux balcons de la cité d’Atlantis après avoir abandonner les trois au mess.
Le lendemain matin, le Deadalus arriva comme prévu très tôt dans la matinée avec à son bord une équipe venant de la Terre.
L’équipe ne devait restait qu’une journée sur la cité avant de retourner sur la Terre. Elizabeth avait prit soin de boucler tous ses rapports avant de les remettre au major Hailey qui était venus les chercher pour les emmener sur Terre.
A la fin de la journée quand l’équipe s’apprêtait à repartir en destination de la Terre le major Hailey demanda à voir Elizabeth seule dans son bureau pour une affaire d’ordre privée. Elizabeth laissa seule John, Rodney et Teyla pour suivre Hailey jusque dans son bureau.
Quand Elizabeth arriva dans son bureau, elle ferma la porte derrière elle puis elle demanda au major de quoi il voulait lui parler. Le major lui dit alors en lui tendant une grande enveloppe :
-Le général o’neill m’a demandé de vous remettre cela en main propre et il m’a dit que c’était très important et que je devais le faire quand nous serions seul. Chose qui est faite maintenant.
Elizabeth répondit intriguée par cette enveloppe :
-Je vous remercie Major
Puis Hailey dit à Elizabeth :
-Je pense qu’il est maintenant temps que je rejoigne mon équipe au bord du Deadalus et que nous retournions sur Terre.
Elizabeth accompagna le Major jusqu’au Deadalus où elle retrouva John et les autres.
Quelques minutes plus tard, le Deadalus quitta Atlantis. Quand le vaisseau ne fut plus visible, le major Sheppard demanda à Elizabeth :
-Que voulez le major Hailey ?
Elizabeth lui répondit que ce n’était rien, qu’une petite affaire et elle se rendit dans son bureau pour ouvrir cette mystérieuse enveloppe. Elle n’avait aucune idée de ce que celle-ci pouvait contenir.
Quand elle arriva dans son bureau, elle se dit qu’il était mieux qu’elle ouvre cette enveloppe dans ses quartiers. En effet, elle se rappelait des paroles du major Hailey qui lui disait que cela était une affaire privée et qui la concernait.
Quand elle arriva dans ses quartiers, elle s’asseya sur son lit et elle regarda pendant plusieurs minutes l’enveloppe avant de se décider à l’ouvrir.
De l’enveloppe, elle en sortit des feuilles et quelques photos et dans cette enveloppe il y avait aussi un petit mot du général qui disait :
« Docteur Weir
Les recherches que vous menez depuis plusieurs années maintenant, on portés leurs fruits. Je vous donne toutes les informations que nous avons récoltés et ne vous inquiétez pas tout cela reste entre nous et je comprendrais si vous voudriez rentrer quelques temps sur Terre.
JackO’neill »
Elizabeth prit soin de lire toutes les informations que lui avait donné le général puis elle se rendit en salle de réunion où elle demanda que l’équipe du major Sheppard et lui-même la rejoigne au plus vite dans la salle de réunion.
Au bout de quinze minutes, tout le monde était présent dans la salle alors Elizabeth prit la parole :
-Je vous ai fait venir ici pour vous prévenir de mon départ. Je repars sur Terre pour quelques temps. Je ne sais pas quand je reviendrais exactement mais quelqu’un viendra me remplacer durant mon absence.
Toute l’équipe était étonnée par la révélation que venait de leur faire le docteur Weir. Teyla demanda la premiére :
-Quand partez vous ?
Elizabeth lui répondit :
-Je retourne sur Terre dans une heure.
John encore abasourdi par la nouvelle du départ d’Elizabeth lui demanda :
-Et on peut savoir pourquoi vous partez…Pourquoi partez vous si précipitamment…
Elizabeth contrariée lui répondit :
-Je suis désolé c’est une affaire privée. Je dois vous laisser, je dois aller préparer mes affaires pour mon départ. Ma remplaçante arrivera demain matin. J’espére que vous lui ferez un bon accueil.
Le docteur Weir quitta la salle. Personne ne comprenait ce départ si rapide d’Elizabeth. Le major Sheppard suivit le docteur Weir jusqu’à ses quartiers car il voulait en savoir plus sur les raisons de son départ mais Elizabeth resta muette comme une tombe.
L’heure du départ du docteur Weir arriva très vite. Elizabeth devait dire au revoir à sa vie sur Atlantis pour un certain temps ou peut être pour toujours. En effet, elle n’en avait parlé à personne mais il y avait un risque qu’elle ne revienne jamais ici. Les aurevoirs fut très émouvant. Elle demanda à ses équipes de faire très attention à eux et elle dit à john :
-Faites attention à vous…
Le major lui répondit :
-Revenez nous vite ! Je ne sais pas si la cité va survire longtemps sans vous…
Elizabeth traversa la porte les larmes aux yeux pour se rendre sur Terre ou elle allait peut être retrouver un morceau de son passé.
-Quoi ?
Teyla lui répondit ;
-Pensez vous que le football est un sport intelligent ?
Elizabeth répondit à Teyla :
-Vous savez le sport c’est pas trop mon truc…
John qui avait entendu la réponse d’Elizabeth lui dit :
-Vous devez quand même avoir un avis dessus Elizabeth
Elizabeth lui répondit :
-Je ne me suis jamais intéressée au football major… désolé…
Le docteur Mckay heureux de la réponse du Docteur Weir répondit au major :
-Vous voyez que le football est un sport n…
John lui répondit :
-Je vous interdis de qualifier le football de nul ! C’est un sport d’équipe et qui permet de développer de nombreuses capacités…
Dans les minutes qui suivit, le débat devint de plus en plus sérieux pour savoir lequel de ses sports : le football et le hockey était le meilleur….
Puis Ford lui aussi rentra dans ce débat. Mais celui-ci n’était pas pour le football ni le hockey mais pour le basket.
Teyla et Elizabeth voyant que cette dispute ne finirait jamais se levèrent et quittèrent le mess sous le regard des 3 hommes étonnés.
Ce fut John qui prit la parole en premier et il leur demanda :
-Mais où vous allez ?
Teyla lui répondit en souriant :
-Très loin de vous trois et de toute forme de sport...
Rodney agacé dit à John :
- Vous les avez fait fuir…
Puis il quitta la cantine pour retourner étudier la technologie des Anciens alors que John et Aiden allèrent au gymnase pour s’entraîner.
Quant à Teyla et Elizabeth, elles passèrent l’après midi à discuter de tout et de rien sur un des nombreux balcons de la cité d’Atlantis après avoir abandonner les trois au mess.
Le lendemain matin, le Deadalus arriva comme prévu très tôt dans la matinée avec à son bord une équipe venant de la Terre.
L’équipe ne devait restait qu’une journée sur la cité avant de retourner sur la Terre. Elizabeth avait prit soin de boucler tous ses rapports avant de les remettre au major Hailey qui était venus les chercher pour les emmener sur Terre.
A la fin de la journée quand l’équipe s’apprêtait à repartir en destination de la Terre le major Hailey demanda à voir Elizabeth seule dans son bureau pour une affaire d’ordre privée. Elizabeth laissa seule John, Rodney et Teyla pour suivre Hailey jusque dans son bureau.
Quand Elizabeth arriva dans son bureau, elle ferma la porte derrière elle puis elle demanda au major de quoi il voulait lui parler. Le major lui dit alors en lui tendant une grande enveloppe :
-Le général o’neill m’a demandé de vous remettre cela en main propre et il m’a dit que c’était très important et que je devais le faire quand nous serions seul. Chose qui est faite maintenant.
Elizabeth répondit intriguée par cette enveloppe :
-Je vous remercie Major
Puis Hailey dit à Elizabeth :
-Je pense qu’il est maintenant temps que je rejoigne mon équipe au bord du Deadalus et que nous retournions sur Terre.
Elizabeth accompagna le Major jusqu’au Deadalus où elle retrouva John et les autres.
Quelques minutes plus tard, le Deadalus quitta Atlantis. Quand le vaisseau ne fut plus visible, le major Sheppard demanda à Elizabeth :
-Que voulez le major Hailey ?
Elizabeth lui répondit que ce n’était rien, qu’une petite affaire et elle se rendit dans son bureau pour ouvrir cette mystérieuse enveloppe. Elle n’avait aucune idée de ce que celle-ci pouvait contenir.
Quand elle arriva dans son bureau, elle se dit qu’il était mieux qu’elle ouvre cette enveloppe dans ses quartiers. En effet, elle se rappelait des paroles du major Hailey qui lui disait que cela était une affaire privée et qui la concernait.
Quand elle arriva dans ses quartiers, elle s’asseya sur son lit et elle regarda pendant plusieurs minutes l’enveloppe avant de se décider à l’ouvrir.
De l’enveloppe, elle en sortit des feuilles et quelques photos et dans cette enveloppe il y avait aussi un petit mot du général qui disait :
« Docteur Weir
Les recherches que vous menez depuis plusieurs années maintenant, on portés leurs fruits. Je vous donne toutes les informations que nous avons récoltés et ne vous inquiétez pas tout cela reste entre nous et je comprendrais si vous voudriez rentrer quelques temps sur Terre.
JackO’neill »
Elizabeth prit soin de lire toutes les informations que lui avait donné le général puis elle se rendit en salle de réunion où elle demanda que l’équipe du major Sheppard et lui-même la rejoigne au plus vite dans la salle de réunion.
Au bout de quinze minutes, tout le monde était présent dans la salle alors Elizabeth prit la parole :
-Je vous ai fait venir ici pour vous prévenir de mon départ. Je repars sur Terre pour quelques temps. Je ne sais pas quand je reviendrais exactement mais quelqu’un viendra me remplacer durant mon absence.
Toute l’équipe était étonnée par la révélation que venait de leur faire le docteur Weir. Teyla demanda la premiére :
-Quand partez vous ?
Elizabeth lui répondit :
-Je retourne sur Terre dans une heure.
John encore abasourdi par la nouvelle du départ d’Elizabeth lui demanda :
-Et on peut savoir pourquoi vous partez…Pourquoi partez vous si précipitamment…
Elizabeth contrariée lui répondit :
-Je suis désolé c’est une affaire privée. Je dois vous laisser, je dois aller préparer mes affaires pour mon départ. Ma remplaçante arrivera demain matin. J’espére que vous lui ferez un bon accueil.
Le docteur Weir quitta la salle. Personne ne comprenait ce départ si rapide d’Elizabeth. Le major Sheppard suivit le docteur Weir jusqu’à ses quartiers car il voulait en savoir plus sur les raisons de son départ mais Elizabeth resta muette comme une tombe.
L’heure du départ du docteur Weir arriva très vite. Elizabeth devait dire au revoir à sa vie sur Atlantis pour un certain temps ou peut être pour toujours. En effet, elle n’en avait parlé à personne mais il y avait un risque qu’elle ne revienne jamais ici. Les aurevoirs fut très émouvant. Elle demanda à ses équipes de faire très attention à eux et elle dit à john :
-Faites attention à vous…
Le major lui répondit :
-Revenez nous vite ! Je ne sais pas si la cité va survire longtemps sans vous…
Elizabeth traversa la porte les larmes aux yeux pour se rendre sur Terre ou elle allait peut être retrouver un morceau de son passé.
gwenlan- Nombre de messages : 60
Date d'inscription : 28/12/2005
Re: Un passé qui ressurgit
Quelques secondes après sa traversée de la porte, elle arriva dans la base de Cheyenne Montain aux Etats-Unis. Elle fut accueillie là bas par le général O’neill qui lui souhaita la bienvenue sur la Terre. Après quelques heures dans la base du Colorado et un débriefing avec le général sur la vie dans la cité d’Atlantis, Elizabeth se rendit chez elle pour prendre quelques affaires. Sa maison aujourd’hui lui semblait bien vide. En effet, Simon était parti depuis plusieurs fois maintenant. Il avait décidé de terminer son histoire avec Elizabeth. Celle-ci eu un choc quand elle appris cette nouvelle mais d’un autre côté, elle ne souffrait pas. A vrai dire, elle était plutôt soulagée. Elle savait au fond d’elle que cette histoire ne pourrait pas durer même si elle ne voulait pas se l’avouer avant.
Après avoir prit quelques affaires et son passeport, le docteur Weir se rendit dans l’aéroport le plus proche pour prendre un billet en destination de Paris. Quand elle arriva elle se rendit compte qu’aucun avion pour Paris ne décollait avant la fin de l’après midi alors elle acheta son billet puis elle s’asseya à la cafétéria de l’aéroport puis elle ressortit les papiers que le général O’neill lui avait fait passer via le major Hailey.
En relisant ceux-ci pour une énième fois, elle repensa à son passé, a cet événement qui avait bouleversé toute sa vie et qui la boulevsera encore peut être mais cela elle ne voulait pas y penser. Elle avait tant attendu ce moment. Elle avait rendez vous avez l’homme qui s’occupait de son affaire depuis maintenant 10 ans. En effet dés le début de ses études à l’université, elle avait commencé les recherches, recherches qu’elle payait avec des petits boulots qu’elle faisait les cours puis elle avait décidé de continuer ses recherches après la fin de ses études. Celle-ci avançait très peu mais Elizabeth gardait toujours espoir que ses recherches pour retrouver cette personne aboutiraient.
Et aujourd’hui, l’homme qu’elle avait engagé pour continuer ses recherches avait trouvé une piste très sérieuse et il avait voulu faire prévenir le docteur Weir et c’est pour cela qu’il avait prévenu O’neill. Depuis son départ sur Atlantis, Elizabeth avait perdu espoir mais maintenant elle en retrouvait un peu depuis qu’elle avait reçu cette enveloppe. Elle s’en voulait pourtant d’avoir abandonner Atlantis aux mains d’une inconnue. De plus elle se demandait si celle-ci arriverait à se faire respecter des Atlantes. Elle-même avait eu beaucoup de mal à se faire respecter des scientifiques mais surtout des militaires de la cité. De nombreuses altercations, elle avait eu avec les militaires et surtout le major Sheppard au début de l’expédition mais maintenant tout cela était fini. Le major respectait les décisions que Elizabeth prenait et souvent ils les prenaient ensemble.
L’heure du départ arriva assez vite pour Elizabeth qui entendit une annonce au haut parleur qui disait que les voyageurs en destination de Paris étaient invités à embarquer dans l’avion.
Elle se rendit en salle d’embarcation et quelques minutes plus tard elle était dans l’avion et attendait que celui-ci décolle.
Pendant ce temps sur Atlantis, tout le monde essayait de se remettre du départ précipité du docteur Weir et ils redoutaient tous l’arrivée de la remplaçante de celle-ci. En effet, ils savaient tous que personne ne pourrait remplacer Elizabeth sur Atlantis. Le major était l’un des plus affectés par son départ. Il n’avait pas eu le temps de lui dire tout ce qu’il aurait voulut lui dire mais il en aurait peut être pas eu non plus le courage devant elle. En effet depuis quelques semaines, maintenant il ressentait quelque chose qui était plus que de l’amitié pour le docteur Weir mais il avait tout gardé pour lui de peur que cela ne soit pas réciproque et de plus il avait peur que cela interfère avec leur travail dans la cité. Il se disait qu’il faudrait qu’il lui parle dés qu’elle reviendrait. Il espérait que ce retour se ferait très bientôt.
L’avion d’Elizabeth avait décollé depuis un peu plus d’une heure maintenant. Celle-ci regardait les nuages par le hublot de l’avion. Elle avait hâte que le voyage se termine. Elle n’avait jamais trop aimé les voyages en avion depuis son enfance. Très vite, Elizabeth s’endormit sur son siége.
Quand Elizabeth se réveilla, elle se rendit compte que le voyage allait prendre fin très bientôt. En effet elle avait été réveillée par une nouvelle annonce qui annonçait l’atterrissage de l’avion. Elizabeth attacha sa ceinture et l’avion se posa tranquillement sur une des nombreuses pistes de l’aéroport de Charles de Gaulle. Une heure plus tard, Elizabeth avait récupéré ses valises et elle était dans un taxi en destination d’un petit hôtel en France.
Durant ce temps tout le monde sur Atlantis était rassemblé dans la salle d’embarquement pour accueillir la nouvelle dirigeante d’Atlantis. Personne n’était très heureux de l’arrivée de celle ci à part Kavanagh qui n’avait jamais aimé le docteur Weir et qui ne faisait que la critiqué. A ce moment là, ce devait être la seule personne sur Atlantis qui devait avoir le sourire.
Le moment tant attendu arriva, la porte s’activa et quelques minutes après une jeune femme en sortit. Elle était assez grande, blonde, plutôt jolie. La jeune femme se présenta dés son arrivée :
-Bonjour, je suis le docteur Erika Caine. Je suis la remplaçante du docteur Weir.
Rodney souria en voyant la jeune femme. Elle était plutôt à son goût mais il perdit très vite son sourire en repensant à Elizabeth qui avait quitté la cité si vite et sans leur donner de raison précise. Le major joua son rôle de militaire le plus gradé, il s’avança et dit au docteur Caine d’une voix assez froide :
-Je suis le major Sheppard !
Erika lui répondit avec un grand sourire :
-Ravie de vous rencontrer major !
Le major ne répondit pas toute suite, il n’aimait pas cette femme qui allait maintenant remplacer le docteur Weir même s’il ne la connaissait pas depuis quelques temps. En fait, il ne la connaissait que depuis quelques minutes, mais il ne l’aimait pas, il ne savait pas pourquoi mais il ne l’aimait pas. Quelques minutes plus tard, le major dit à Erika :
-Je suis désolé, j’ai du travail
Puis celui-ci quitta la salle d’embarquement précipitamment pour se rendre en salle d’entraînement. Là bas il y retrouva Teyla qui était venue juste après s’être présentée par politesse à la nouvelle dirigeante d’Atlantis.
Teyla avait remarqué que John n’était pas bien depuis le départ d’Elizabeth comme tout le monde dans la cité mais celui-ci semblait plus particulièrement affecté par ce départ.
Durant ce temps Elizabeth était arrivée à l’hôtel et elle attendait un coup de téléphone de l’homme qui faisait ses recherches. Quelques heures plus tard, le téléphone sonna :
-Bonjour docteur Weir
-Bonjour Peter ! Alors avez-vous des nouvelles ?
-Oui depuis quelques temps je suis sur une piste très importante. Cela fait quelques temps que j’essayais de vous joindre mais cela a été très difficile pour moi ! A croire que vous ne viviez plus sur cette planète…
-J’ai juste beaucoup de travail en ce moment mais bon vous avez arrivez à me joindre alors ?
-Je pense qu’il serait préférable que l’on se rencontre.
-Ok ! Que diriez vous de demain matin ?
-Oui pas de problèmes !
-D’accord alors 9 heures au restaurant de l’hôtel
-D’accord j’y serais !
Elizabeth raccrocha le téléphone. Elle ne savait pas si elle pourrait attendre le lendemain pour avoir des nouvelles sur ses recherches. Elle ouvrit son sac pour retrouver le morceau de papier qu’elle avait prit la dernière fois sous son lit mais après plusieurs minutes de recherches, elle se rendit compte qu’elle ne l’avait pas sur elle. Elizabeth avait du sûrement l’oublier dans ses quartiers privés dans son départ précipité.
Elle espérait que personne ne retrouverait ce petit papier qui représentait son passé. De plus si quelqu’un le retrouvait, il pourrait savoir quel était le plus grand secret d’Elizabeth Weir, célèbre diplomate qui semblait n’avoir aucune ombre au tableau dans sa petite vie.
Elle s’en voulait d’avoir oublie ce papier, elle ne le quittait jamais depuis 10 ans….
Après avoir prit quelques affaires et son passeport, le docteur Weir se rendit dans l’aéroport le plus proche pour prendre un billet en destination de Paris. Quand elle arriva elle se rendit compte qu’aucun avion pour Paris ne décollait avant la fin de l’après midi alors elle acheta son billet puis elle s’asseya à la cafétéria de l’aéroport puis elle ressortit les papiers que le général O’neill lui avait fait passer via le major Hailey.
En relisant ceux-ci pour une énième fois, elle repensa à son passé, a cet événement qui avait bouleversé toute sa vie et qui la boulevsera encore peut être mais cela elle ne voulait pas y penser. Elle avait tant attendu ce moment. Elle avait rendez vous avez l’homme qui s’occupait de son affaire depuis maintenant 10 ans. En effet dés le début de ses études à l’université, elle avait commencé les recherches, recherches qu’elle payait avec des petits boulots qu’elle faisait les cours puis elle avait décidé de continuer ses recherches après la fin de ses études. Celle-ci avançait très peu mais Elizabeth gardait toujours espoir que ses recherches pour retrouver cette personne aboutiraient.
Et aujourd’hui, l’homme qu’elle avait engagé pour continuer ses recherches avait trouvé une piste très sérieuse et il avait voulu faire prévenir le docteur Weir et c’est pour cela qu’il avait prévenu O’neill. Depuis son départ sur Atlantis, Elizabeth avait perdu espoir mais maintenant elle en retrouvait un peu depuis qu’elle avait reçu cette enveloppe. Elle s’en voulait pourtant d’avoir abandonner Atlantis aux mains d’une inconnue. De plus elle se demandait si celle-ci arriverait à se faire respecter des Atlantes. Elle-même avait eu beaucoup de mal à se faire respecter des scientifiques mais surtout des militaires de la cité. De nombreuses altercations, elle avait eu avec les militaires et surtout le major Sheppard au début de l’expédition mais maintenant tout cela était fini. Le major respectait les décisions que Elizabeth prenait et souvent ils les prenaient ensemble.
L’heure du départ arriva assez vite pour Elizabeth qui entendit une annonce au haut parleur qui disait que les voyageurs en destination de Paris étaient invités à embarquer dans l’avion.
Elle se rendit en salle d’embarcation et quelques minutes plus tard elle était dans l’avion et attendait que celui-ci décolle.
Pendant ce temps sur Atlantis, tout le monde essayait de se remettre du départ précipité du docteur Weir et ils redoutaient tous l’arrivée de la remplaçante de celle-ci. En effet, ils savaient tous que personne ne pourrait remplacer Elizabeth sur Atlantis. Le major était l’un des plus affectés par son départ. Il n’avait pas eu le temps de lui dire tout ce qu’il aurait voulut lui dire mais il en aurait peut être pas eu non plus le courage devant elle. En effet depuis quelques semaines, maintenant il ressentait quelque chose qui était plus que de l’amitié pour le docteur Weir mais il avait tout gardé pour lui de peur que cela ne soit pas réciproque et de plus il avait peur que cela interfère avec leur travail dans la cité. Il se disait qu’il faudrait qu’il lui parle dés qu’elle reviendrait. Il espérait que ce retour se ferait très bientôt.
L’avion d’Elizabeth avait décollé depuis un peu plus d’une heure maintenant. Celle-ci regardait les nuages par le hublot de l’avion. Elle avait hâte que le voyage se termine. Elle n’avait jamais trop aimé les voyages en avion depuis son enfance. Très vite, Elizabeth s’endormit sur son siége.
Quand Elizabeth se réveilla, elle se rendit compte que le voyage allait prendre fin très bientôt. En effet elle avait été réveillée par une nouvelle annonce qui annonçait l’atterrissage de l’avion. Elizabeth attacha sa ceinture et l’avion se posa tranquillement sur une des nombreuses pistes de l’aéroport de Charles de Gaulle. Une heure plus tard, Elizabeth avait récupéré ses valises et elle était dans un taxi en destination d’un petit hôtel en France.
Durant ce temps tout le monde sur Atlantis était rassemblé dans la salle d’embarquement pour accueillir la nouvelle dirigeante d’Atlantis. Personne n’était très heureux de l’arrivée de celle ci à part Kavanagh qui n’avait jamais aimé le docteur Weir et qui ne faisait que la critiqué. A ce moment là, ce devait être la seule personne sur Atlantis qui devait avoir le sourire.
Le moment tant attendu arriva, la porte s’activa et quelques minutes après une jeune femme en sortit. Elle était assez grande, blonde, plutôt jolie. La jeune femme se présenta dés son arrivée :
-Bonjour, je suis le docteur Erika Caine. Je suis la remplaçante du docteur Weir.
Rodney souria en voyant la jeune femme. Elle était plutôt à son goût mais il perdit très vite son sourire en repensant à Elizabeth qui avait quitté la cité si vite et sans leur donner de raison précise. Le major joua son rôle de militaire le plus gradé, il s’avança et dit au docteur Caine d’une voix assez froide :
-Je suis le major Sheppard !
Erika lui répondit avec un grand sourire :
-Ravie de vous rencontrer major !
Le major ne répondit pas toute suite, il n’aimait pas cette femme qui allait maintenant remplacer le docteur Weir même s’il ne la connaissait pas depuis quelques temps. En fait, il ne la connaissait que depuis quelques minutes, mais il ne l’aimait pas, il ne savait pas pourquoi mais il ne l’aimait pas. Quelques minutes plus tard, le major dit à Erika :
-Je suis désolé, j’ai du travail
Puis celui-ci quitta la salle d’embarquement précipitamment pour se rendre en salle d’entraînement. Là bas il y retrouva Teyla qui était venue juste après s’être présentée par politesse à la nouvelle dirigeante d’Atlantis.
Teyla avait remarqué que John n’était pas bien depuis le départ d’Elizabeth comme tout le monde dans la cité mais celui-ci semblait plus particulièrement affecté par ce départ.
Durant ce temps Elizabeth était arrivée à l’hôtel et elle attendait un coup de téléphone de l’homme qui faisait ses recherches. Quelques heures plus tard, le téléphone sonna :
-Bonjour docteur Weir
-Bonjour Peter ! Alors avez-vous des nouvelles ?
-Oui depuis quelques temps je suis sur une piste très importante. Cela fait quelques temps que j’essayais de vous joindre mais cela a été très difficile pour moi ! A croire que vous ne viviez plus sur cette planète…
-J’ai juste beaucoup de travail en ce moment mais bon vous avez arrivez à me joindre alors ?
-Je pense qu’il serait préférable que l’on se rencontre.
-Ok ! Que diriez vous de demain matin ?
-Oui pas de problèmes !
-D’accord alors 9 heures au restaurant de l’hôtel
-D’accord j’y serais !
Elizabeth raccrocha le téléphone. Elle ne savait pas si elle pourrait attendre le lendemain pour avoir des nouvelles sur ses recherches. Elle ouvrit son sac pour retrouver le morceau de papier qu’elle avait prit la dernière fois sous son lit mais après plusieurs minutes de recherches, elle se rendit compte qu’elle ne l’avait pas sur elle. Elizabeth avait du sûrement l’oublier dans ses quartiers privés dans son départ précipité.
Elle espérait que personne ne retrouverait ce petit papier qui représentait son passé. De plus si quelqu’un le retrouvait, il pourrait savoir quel était le plus grand secret d’Elizabeth Weir, célèbre diplomate qui semblait n’avoir aucune ombre au tableau dans sa petite vie.
Elle s’en voulait d’avoir oublie ce papier, elle ne le quittait jamais depuis 10 ans….
gwenlan- Nombre de messages : 60
Date d'inscription : 28/12/2005
Re: Un passé qui ressurgit
Sur Atlantis, John et Teyla venaient de finir leur entraînement. Le major avait beaucoup progressé depuis les premiers cours que Teyla lui avait donnés mais aujourd’hui il s’était surpassé. En effet, il était tellement mal et en colère qu’Elizabeth soit parti qu’il mettait toute celle-ci dans ses gestes. Il avait mis plusieurs fois Teyla au sol qui se tirait de l’entraînement avec quelques petits bleus.
Après l’entraînement, ils se rendirent au mess où ils retrouvèrent Carson et Rodney qui était entrain de déjeuner et ayant l’air d’avoir une conversation très importante. Teyla et John allèrent chercher leur plateau pour déjeuner puis ils allèrent rejoindre les deux hommes assis à une table.
Rodney et Carson parlait du docteur Caine :
Carson demanda à Rodney :
-Vous pensez quoi de la remplaçante du Dr Weir ?
-Physiquement elle est très jolie !
John prit la parole à ce moment là :
-Y’a pas que le physique de la vie
Il pensa en plus que le docteur Weir était beaucoup plus jolie que cette catin blonde qui avait l’air de vouloir draguer tout le monde avec son grand sourire carnassier…
-C’est bon major ! J’ai rien dit ! De toute façon elle ne pourra jamais arrivé à la cheville d’Elizabeth
Carson répondit à Rodney ;
-Oui c’est vrai ! cela fait un grand vide dans la citée sans elle.
Rodney s’exclama soudain :
-Vous ne savez pas la meilleure ?
Carson, John et Teyla regardèrent Rodney d’un air étonné et curieux :
-Elle c’est mis la moitié des scientifiques a dos !
Teyla demanda :
-Le docteur Caine ?
Rodney s’exclama :
-Ben oui qui d’autre ! Elle a refusé qu’ils étudient un appareil des anciens parce qu’elle le trouvait n’aucune utilité alors qu’elle n’y connaît rien du tout !
-Oui je ne sais pas pourquoi le SGC a envoyé cette femme
Répondit Carson
John lui répondit :
-Il paraît que c’est le président lui-même qui l’a choisi pour ce poste…
Rodney répondit :
-Eh bien je crois que le président est fatigué en ce moment…Je suis certaine que cette femme n’a aucune qualification…
Erika qui venait d’arriver au mess entendit la remarque de Rodney et elle lui répondit :
-Si vous voulez savoir je ne suis pas rentrée dans le lit du président ni d’une autre personne pour avoir ce poste et si vous voulez je vous ferez envoyer un de mes CV.
Rodney penaud ne répondit rien et baissa la tête tout en continuant de manger. Le docteur Caine alla s’asseoir à une autre table. A la table de nos amis, tout le monde rigola. Cette femme avait fait rabaissé son caquet au Docteur Mckay.
Durant ce temps sur la Terre et plus précisément à Paris, Elizabeth était dans le restaurant de son hôtel et elle attendait l’homme a qui elle avait donné rendez vous la veille au soir.
A 9 heures précis, un homme assez grand et en costume entra dans le restaurant et se dirigea à la table du Docteur Weir. Il lui dit :
-Bonjour Docteur Weir.
Elizabeth le salua elle aussi avant de lui demander :
-Vous l’avez retrouvé ?
-Non pas encore mais je pense qu’il y a un grand espoir maintenant qu’on puisse la retrouver !
-Cela fait 10 ans que vous me dites cela !
-Aujourd’hui c’est différent, nous savons qu’elle habite en France. Il faudra juste un peu de temps pour qu’on la retrouve. Avec les informations qu’on a il nous suffira de quelques mois pour qu’on puisse la retrouver…. Vous voulez toujours n’est ce pas ?
-Bien sûr quelle question ! Je veux retrouver ma petite fille !
Elizabeth voulait vraiment retrouver sa petite fille. Elle ne l’avait vu qu’une fois lors de sa naissance puis depuis lors elle ne l’avait jamais revu. Elle en avait souffert et elle en souffrait encore comme toute mère a qui on retire un enfant.
Après ce déjeuner Elizabeth remonta dans sa chambre et elle repensa à ce que le détective qu’elle avait engagé lui avait dit durant ce repas :
« Il nous suffira de quelques mois pour la retrouver… »
Elle avait enfin retrouvé espoir de retrouver sa petite fille. En revanche, elle s’en voulait d’avoir quitté Atlantis comme cela sans donner aucune information. Elle leur avait dit qu’elle serait absente au maximum qu’un mois car elle ne voulait pas d’adieux. En effet, elle savait que si elle retrouvait sa fille, elle ne reviendrait pas sur Atlantis. Cela n’était concevable pour elle. Elle voulait rattraper le temps perdu avec celle-ci même si elle ne connaissait rien d’elle. Elle ne connaissait même pas son prénom.
Elle se sentait coupable aussi de n’avoir pas dit la vérité au major. Mais elle avait eu peur que celui-ci ne comprenne pas et que surtout il la juge pour ce qu’elle a fait dans le passé.
Elle avait une grande confiance en lui et elle savait qu’elle pourrait toujours compter sur lui. Il lui était d’un grand soutien sur Atlantis. Sans lui, elle ne savait pas si elle aurait pu se faire respecter par tous et surtout les militaires mais lui, il lui a rendu les choses plus faciles. Ils se sont toutes suite très bien entendue dés le début de l’expédition. Il faut dire que c’était elle qui lui avait demandé d’intégrer cette aventure. En effet, en plus d’être un très bon pilote, il possédait le précieux gène des Anciens. Cela faisait de lui une personne idéale pour venir sur Atlantis. Elizabeth n’avait pas pris en compte son dossier militaire qui n’était pas parfait même loin de l’être. Elle avait décidé de lui laisser sa chance et elle ne l’avait jamais regretté.
Elizabeth avait décidé de se rendre le lendemain avec le détective qui l’aidait dans ses recherches aux archives de l’était civil de Paris. Elle savait que rechercher sa fille dans tout ces papiers seraient comme de chercher une aiguille dans une meule de foin mais elle était là et donc elle ne reculerait plus maintenant. Même si elle devait passer toutes ses journées là bas pendant plusieurs mois pour la retrouver elle le ferait sans se poser de questions.
Sur Atlantis, la vie reprenait doucement son cours même si Elizabeth n’était plus là. Cela faisait maintenant deux mois qu’elle était partie de la citée. Les missions sur les autres planètes avaient reprises et chaque fois que John rentrait de mission, il avait l’espoir de revoir le visage familier d’Elizabeth mais à chaque fois il ne voyait que celui du docteur Caine qui semblait lui faire du rentre dedans. John était très inquiet car Elizabeth n’avait donné aucune nouvelle en plus de ne pas être rentrée. Elle lui avait dit qu’elle en avait pour un mois maximum et au bout de deux mois elle n’était pas rentrée et aucune nouvelle d’elle. Il avait peur qu’il lui soit arrivé quelque chose.
Il avait décidé d’écrire une lettre au général O’neill qui lui ferait parvenir par le major Hailey pour lui demander quand le docteur Weir rentrerait et surtout s’il savait où elle était et si elle était en bonne santé.
« Général O’neill
Je vous écris cette petite lettre pour vous demander pour quand est le retour du docteur Weir. En effet, elle ne devait s’absenter que durant un mois et voilà maintenant deux mois se sont écoulés depuis son départ et nous n’avons aucune nouvelle. Nous nous inquiétons tous pour elle. Pourriez vous nous dire quand elle sera de retour sur Atlantis.
Sincères Salutations
Major John Sheppard »
Il avait essayé de ne pas montrer dans cette lettre que le départ d’Elizabeth l’avait beaucoup touché. Il espérait que le général O’neill lui répond assez vite et que surtout il est des nouvelles du docteur Weir.
Après l’entraînement, ils se rendirent au mess où ils retrouvèrent Carson et Rodney qui était entrain de déjeuner et ayant l’air d’avoir une conversation très importante. Teyla et John allèrent chercher leur plateau pour déjeuner puis ils allèrent rejoindre les deux hommes assis à une table.
Rodney et Carson parlait du docteur Caine :
Carson demanda à Rodney :
-Vous pensez quoi de la remplaçante du Dr Weir ?
-Physiquement elle est très jolie !
John prit la parole à ce moment là :
-Y’a pas que le physique de la vie
Il pensa en plus que le docteur Weir était beaucoup plus jolie que cette catin blonde qui avait l’air de vouloir draguer tout le monde avec son grand sourire carnassier…
-C’est bon major ! J’ai rien dit ! De toute façon elle ne pourra jamais arrivé à la cheville d’Elizabeth
Carson répondit à Rodney ;
-Oui c’est vrai ! cela fait un grand vide dans la citée sans elle.
Rodney s’exclama soudain :
-Vous ne savez pas la meilleure ?
Carson, John et Teyla regardèrent Rodney d’un air étonné et curieux :
-Elle c’est mis la moitié des scientifiques a dos !
Teyla demanda :
-Le docteur Caine ?
Rodney s’exclama :
-Ben oui qui d’autre ! Elle a refusé qu’ils étudient un appareil des anciens parce qu’elle le trouvait n’aucune utilité alors qu’elle n’y connaît rien du tout !
-Oui je ne sais pas pourquoi le SGC a envoyé cette femme
Répondit Carson
John lui répondit :
-Il paraît que c’est le président lui-même qui l’a choisi pour ce poste…
Rodney répondit :
-Eh bien je crois que le président est fatigué en ce moment…Je suis certaine que cette femme n’a aucune qualification…
Erika qui venait d’arriver au mess entendit la remarque de Rodney et elle lui répondit :
-Si vous voulez savoir je ne suis pas rentrée dans le lit du président ni d’une autre personne pour avoir ce poste et si vous voulez je vous ferez envoyer un de mes CV.
Rodney penaud ne répondit rien et baissa la tête tout en continuant de manger. Le docteur Caine alla s’asseoir à une autre table. A la table de nos amis, tout le monde rigola. Cette femme avait fait rabaissé son caquet au Docteur Mckay.
Durant ce temps sur la Terre et plus précisément à Paris, Elizabeth était dans le restaurant de son hôtel et elle attendait l’homme a qui elle avait donné rendez vous la veille au soir.
A 9 heures précis, un homme assez grand et en costume entra dans le restaurant et se dirigea à la table du Docteur Weir. Il lui dit :
-Bonjour Docteur Weir.
Elizabeth le salua elle aussi avant de lui demander :
-Vous l’avez retrouvé ?
-Non pas encore mais je pense qu’il y a un grand espoir maintenant qu’on puisse la retrouver !
-Cela fait 10 ans que vous me dites cela !
-Aujourd’hui c’est différent, nous savons qu’elle habite en France. Il faudra juste un peu de temps pour qu’on la retrouve. Avec les informations qu’on a il nous suffira de quelques mois pour qu’on puisse la retrouver…. Vous voulez toujours n’est ce pas ?
-Bien sûr quelle question ! Je veux retrouver ma petite fille !
Elizabeth voulait vraiment retrouver sa petite fille. Elle ne l’avait vu qu’une fois lors de sa naissance puis depuis lors elle ne l’avait jamais revu. Elle en avait souffert et elle en souffrait encore comme toute mère a qui on retire un enfant.
Après ce déjeuner Elizabeth remonta dans sa chambre et elle repensa à ce que le détective qu’elle avait engagé lui avait dit durant ce repas :
« Il nous suffira de quelques mois pour la retrouver… »
Elle avait enfin retrouvé espoir de retrouver sa petite fille. En revanche, elle s’en voulait d’avoir quitté Atlantis comme cela sans donner aucune information. Elle leur avait dit qu’elle serait absente au maximum qu’un mois car elle ne voulait pas d’adieux. En effet, elle savait que si elle retrouvait sa fille, elle ne reviendrait pas sur Atlantis. Cela n’était concevable pour elle. Elle voulait rattraper le temps perdu avec celle-ci même si elle ne connaissait rien d’elle. Elle ne connaissait même pas son prénom.
Elle se sentait coupable aussi de n’avoir pas dit la vérité au major. Mais elle avait eu peur que celui-ci ne comprenne pas et que surtout il la juge pour ce qu’elle a fait dans le passé.
Elle avait une grande confiance en lui et elle savait qu’elle pourrait toujours compter sur lui. Il lui était d’un grand soutien sur Atlantis. Sans lui, elle ne savait pas si elle aurait pu se faire respecter par tous et surtout les militaires mais lui, il lui a rendu les choses plus faciles. Ils se sont toutes suite très bien entendue dés le début de l’expédition. Il faut dire que c’était elle qui lui avait demandé d’intégrer cette aventure. En effet, en plus d’être un très bon pilote, il possédait le précieux gène des Anciens. Cela faisait de lui une personne idéale pour venir sur Atlantis. Elizabeth n’avait pas pris en compte son dossier militaire qui n’était pas parfait même loin de l’être. Elle avait décidé de lui laisser sa chance et elle ne l’avait jamais regretté.
Elizabeth avait décidé de se rendre le lendemain avec le détective qui l’aidait dans ses recherches aux archives de l’était civil de Paris. Elle savait que rechercher sa fille dans tout ces papiers seraient comme de chercher une aiguille dans une meule de foin mais elle était là et donc elle ne reculerait plus maintenant. Même si elle devait passer toutes ses journées là bas pendant plusieurs mois pour la retrouver elle le ferait sans se poser de questions.
Sur Atlantis, la vie reprenait doucement son cours même si Elizabeth n’était plus là. Cela faisait maintenant deux mois qu’elle était partie de la citée. Les missions sur les autres planètes avaient reprises et chaque fois que John rentrait de mission, il avait l’espoir de revoir le visage familier d’Elizabeth mais à chaque fois il ne voyait que celui du docteur Caine qui semblait lui faire du rentre dedans. John était très inquiet car Elizabeth n’avait donné aucune nouvelle en plus de ne pas être rentrée. Elle lui avait dit qu’elle en avait pour un mois maximum et au bout de deux mois elle n’était pas rentrée et aucune nouvelle d’elle. Il avait peur qu’il lui soit arrivé quelque chose.
Il avait décidé d’écrire une lettre au général O’neill qui lui ferait parvenir par le major Hailey pour lui demander quand le docteur Weir rentrerait et surtout s’il savait où elle était et si elle était en bonne santé.
« Général O’neill
Je vous écris cette petite lettre pour vous demander pour quand est le retour du docteur Weir. En effet, elle ne devait s’absenter que durant un mois et voilà maintenant deux mois se sont écoulés depuis son départ et nous n’avons aucune nouvelle. Nous nous inquiétons tous pour elle. Pourriez vous nous dire quand elle sera de retour sur Atlantis.
Sincères Salutations
Major John Sheppard »
Il avait essayé de ne pas montrer dans cette lettre que le départ d’Elizabeth l’avait beaucoup touché. Il espérait que le général O’neill lui répond assez vite et que surtout il est des nouvelles du docteur Weir.
gwenlan- Nombre de messages : 60
Date d'inscription : 28/12/2005
Re: Un passé qui ressurgit
Durant ces deux mois Elizabeth menait toujours ses recherches sans relâche. Elle savait qu’elle approchait du but. Tous les matins, elle se levait pour aller aux archives et elle continuait ses recherches sur sa fille avec toujours la même ardeur qu’au premier jour.
Depuis deux mois ils cherchaient des jeunes filles qui était nées au mois de juillet et qui avait 17 ans. En effet, il n’avait que ces informations sur la jeune inconnue tant recherchée. Mais avec ce peu d’information, il avait pu éliminer déjà un bon nombre d’enfants.
De plus en ne gardant que les petites filles adoptées, il n’y avait qu’une dizaine de filles qui pouvaient être l’enfant du docteur Weir. Elizabeth s’était débrouillée par tous les moyens pour pouvoir accéder aux dossiers confidentiels de toutes ces petites filles. Après cette lecture, elle pu en conclure que seule une enfant pouvait être la sienne car une seule était née aux Etats-Unis.
Maintenant il ne restait plus qu’à trouver où cette jeune fille habitait aujourd’hui et cela ne fut pas le plus facile pour le docteur Weir.
Quelques jours passèrent avant qu’Elizabeth trouve enfin l’adresse de sa fille. Celle-ci habitait dans une petite ville dans le nord de la France. Elle voulait s’y rendre le plus possible pour pouvoir la rencontrer mais maintenant qu’elle était si prés du but, elle était effrayée.
Pleins de questions restaient sans réponses :
Comment se passera notre rencontre ?
Est-ce qu’elle voudra me parler ?
Est-ce qu’elle me détestera pour ce que j’ai fais ?
Comment réagira t elle ?
Tant de questions et si peu de réponses…
Elizabeth choisit de se rendre dans la ville ou sa fille habitait maintenant et d’aller lui parler même si elle ne savait pas ce qu’elle allait lui dire. Le docteur Elizabeth Weir, grande diplomate, ne savait pas ce qu’elle pourrait lui dire. Elle avait l’habitude de parler et de convaincre avec les mots mais aujourd’hui c’était différent, tout était différent. Elle ne savait pas si elle trouverait les bons mots pour lui parler….
Elizabeth arriva devant la porte de la maison. Elle avait peur… Au bout de plusieurs minutes, elle se décida à sonner à la porte. Son cœur battait à la chamade. Elle entendit des pas de l’autre côté et quelques secondes plus tard une porte s’ouvrit laissant apparaître une femme d’une quarantaine d’années. La femme prit la parole et elle demanda :
-Bonjour, que puis je pour vous ?
-Je m’appelle Elizabeth Weir. En fait…
Elizabeth ne savait pas comment le dire. Cette femme avait prit le rôle qu’elle aurait du jouer depuis 17 ans. Elle avait vu grandir sa fille…
-Et bien voilà, je ne sais pas comment trop le dire… Mais avez-vous adoptée votre fille ?
La femme ne s’attendait à cette question venant d’Elizabeth.
-Pourquoi cette question ? Cela ne vous regarde pas !
-Je suis désolée, mais la jeune fille que vous avez adoptée pourrez bien être ma fille
La femme qui perdait son calme s’exclama :
-Vous ne voulez pas d’elle si vous l’avez fait adoptée ! Je me trompe ?
-Non je n’ai pas eu le choix !
La femme regarda Elizabeth d’un air surprise et elle put voir dans ses yeux beaucoup de tristesse alors elle lui dit :
-Entrez, je pense qu’il faut qu’on parle…
Elizabeth remercia la femme puis elle entra dans la maison. Elles se rendirent toutes les deux au salon où la femme fit signe à Elizabeth de s’asseoir. Une longue discussion entre les deux femmes s’ensuivit.
-Je n’ai jamais voulu l’abandonner !
-Mais comment ?
-On ne m’a pas laissé le choix !
-Et le père ?
-Une longue histoire qui fait remonter trop de mauvais souvenir. Je ne connais même pas son nom… Je ne demande seulement qu’à la rencontrer ! Comment s’appelle t elle ?
Après quelques hésitations, la femme lui répondit :
-Je pense qu’elle a le droit de vous connaître ! Elle s’appelle Koraly mais elle ne sait pas qu’elle a été adopté pour nous c’est notre fille et qu’elle ne le soit pas par les liens du sang ne fait aucune différence.
-Oui je le comprends très bien madame.
A ce moment là on entendit une porte s’ouvrir puis quelqu’un crier :
-C’est moi maman ! Je suis rentrée du lycée !
Quelques secondes plus tard, une jeune fille entra dans le salon, elle alla faire la bise à sa mère puis elle salua Elizabeth d’un signe de tête. Sa mère prit la parole :
-Je te présente Elizabeth, une amie a moi !
-Ravie de vous rencontrer
Répondit Koraly en souriant.
Cela était étrange pour Elizabeth de rencontrer sa fille pour la première fois. Sa mère adoptive lui demanda :
-Tu restes un peu avec nous pour parler. Elizabeth voudrait un peu mieux te connaître.
Koraly posa son sac puis elle répondit :
-Ok mais je ne reste pas longtemps j’ai beaucoup de devoirs pour demain.
Elizabeth intéressée par ce que faisait sa fille lui demanda :
-Tu es en quelle classe ?
-Je suis en terminal Scientifique
-Oh et tu aimes ça ?
-Oui ça va je me débrouille…
Elizabeth, Koraly et sa mère adoptive parlèrent de tout et de rien durant une heure avec que Koraly s’excuse et quitte la conversation pour aller faire ses devoirs. Elizabeth était heureuse de voir que sa fille vivait heureuse et qu’elle avait pleins de projets dans la vie.
La maman adoptive de Koraly proposa à Elizabeth de se revoir le lendemain si elle le voulait en compagnie de Koraly. Elle avait l’impression que cette femme comprenait ce qu’elle ressentait et elle lui en était reconnaissante de lui laisser passer du temps avec Koraly même si celle-ci ne savait pas que c’était sa fille.
Durant ce temps sur Atantis, le major attendait toujours une réponse du général O’neill à sa lettre. Quelques semaines plus tard il reçut :
« Major Sheppard
Je croyais que vous le saviez mais il est fort possible que le docteur Weir ne reprenne pas son poste sur Atlantis. En effet, elle a quitté le pays il y a un peu plus de deux mois pour des raisons personnelles et nous n’avons plus de nouvelles d’elle depuis.
Général O’neill »
John n’en croyait pas ses yeux quand il lu la lettre du général. Il ne pouvait pas imaginer vivre sans elle. Il décida de suite de contacter par radio le SGC pour demander une permission spéciale pour rentrer sur Terre et ainsi retrouver le docteur Weir et comprendre ce qui c’était passé.
Le général sceptique accepta quand même que le major prenne une permission. Il se doutait qu’il y avait quelque chose entre le major et le docteur Weir. Quelques minutes plus tard, le major Sheppard traversa la porte lui aussi en direction de la Terre et avec pour ferme attention de retrouver Elizabeth.
Depuis deux mois ils cherchaient des jeunes filles qui était nées au mois de juillet et qui avait 17 ans. En effet, il n’avait que ces informations sur la jeune inconnue tant recherchée. Mais avec ce peu d’information, il avait pu éliminer déjà un bon nombre d’enfants.
De plus en ne gardant que les petites filles adoptées, il n’y avait qu’une dizaine de filles qui pouvaient être l’enfant du docteur Weir. Elizabeth s’était débrouillée par tous les moyens pour pouvoir accéder aux dossiers confidentiels de toutes ces petites filles. Après cette lecture, elle pu en conclure que seule une enfant pouvait être la sienne car une seule était née aux Etats-Unis.
Maintenant il ne restait plus qu’à trouver où cette jeune fille habitait aujourd’hui et cela ne fut pas le plus facile pour le docteur Weir.
Quelques jours passèrent avant qu’Elizabeth trouve enfin l’adresse de sa fille. Celle-ci habitait dans une petite ville dans le nord de la France. Elle voulait s’y rendre le plus possible pour pouvoir la rencontrer mais maintenant qu’elle était si prés du but, elle était effrayée.
Pleins de questions restaient sans réponses :
Comment se passera notre rencontre ?
Est-ce qu’elle voudra me parler ?
Est-ce qu’elle me détestera pour ce que j’ai fais ?
Comment réagira t elle ?
Tant de questions et si peu de réponses…
Elizabeth choisit de se rendre dans la ville ou sa fille habitait maintenant et d’aller lui parler même si elle ne savait pas ce qu’elle allait lui dire. Le docteur Elizabeth Weir, grande diplomate, ne savait pas ce qu’elle pourrait lui dire. Elle avait l’habitude de parler et de convaincre avec les mots mais aujourd’hui c’était différent, tout était différent. Elle ne savait pas si elle trouverait les bons mots pour lui parler….
Elizabeth arriva devant la porte de la maison. Elle avait peur… Au bout de plusieurs minutes, elle se décida à sonner à la porte. Son cœur battait à la chamade. Elle entendit des pas de l’autre côté et quelques secondes plus tard une porte s’ouvrit laissant apparaître une femme d’une quarantaine d’années. La femme prit la parole et elle demanda :
-Bonjour, que puis je pour vous ?
-Je m’appelle Elizabeth Weir. En fait…
Elizabeth ne savait pas comment le dire. Cette femme avait prit le rôle qu’elle aurait du jouer depuis 17 ans. Elle avait vu grandir sa fille…
-Et bien voilà, je ne sais pas comment trop le dire… Mais avez-vous adoptée votre fille ?
La femme ne s’attendait à cette question venant d’Elizabeth.
-Pourquoi cette question ? Cela ne vous regarde pas !
-Je suis désolée, mais la jeune fille que vous avez adoptée pourrez bien être ma fille
La femme qui perdait son calme s’exclama :
-Vous ne voulez pas d’elle si vous l’avez fait adoptée ! Je me trompe ?
-Non je n’ai pas eu le choix !
La femme regarda Elizabeth d’un air surprise et elle put voir dans ses yeux beaucoup de tristesse alors elle lui dit :
-Entrez, je pense qu’il faut qu’on parle…
Elizabeth remercia la femme puis elle entra dans la maison. Elles se rendirent toutes les deux au salon où la femme fit signe à Elizabeth de s’asseoir. Une longue discussion entre les deux femmes s’ensuivit.
-Je n’ai jamais voulu l’abandonner !
-Mais comment ?
-On ne m’a pas laissé le choix !
-Et le père ?
-Une longue histoire qui fait remonter trop de mauvais souvenir. Je ne connais même pas son nom… Je ne demande seulement qu’à la rencontrer ! Comment s’appelle t elle ?
Après quelques hésitations, la femme lui répondit :
-Je pense qu’elle a le droit de vous connaître ! Elle s’appelle Koraly mais elle ne sait pas qu’elle a été adopté pour nous c’est notre fille et qu’elle ne le soit pas par les liens du sang ne fait aucune différence.
-Oui je le comprends très bien madame.
A ce moment là on entendit une porte s’ouvrir puis quelqu’un crier :
-C’est moi maman ! Je suis rentrée du lycée !
Quelques secondes plus tard, une jeune fille entra dans le salon, elle alla faire la bise à sa mère puis elle salua Elizabeth d’un signe de tête. Sa mère prit la parole :
-Je te présente Elizabeth, une amie a moi !
-Ravie de vous rencontrer
Répondit Koraly en souriant.
Cela était étrange pour Elizabeth de rencontrer sa fille pour la première fois. Sa mère adoptive lui demanda :
-Tu restes un peu avec nous pour parler. Elizabeth voudrait un peu mieux te connaître.
Koraly posa son sac puis elle répondit :
-Ok mais je ne reste pas longtemps j’ai beaucoup de devoirs pour demain.
Elizabeth intéressée par ce que faisait sa fille lui demanda :
-Tu es en quelle classe ?
-Je suis en terminal Scientifique
-Oh et tu aimes ça ?
-Oui ça va je me débrouille…
Elizabeth, Koraly et sa mère adoptive parlèrent de tout et de rien durant une heure avec que Koraly s’excuse et quitte la conversation pour aller faire ses devoirs. Elizabeth était heureuse de voir que sa fille vivait heureuse et qu’elle avait pleins de projets dans la vie.
La maman adoptive de Koraly proposa à Elizabeth de se revoir le lendemain si elle le voulait en compagnie de Koraly. Elle avait l’impression que cette femme comprenait ce qu’elle ressentait et elle lui en était reconnaissante de lui laisser passer du temps avec Koraly même si celle-ci ne savait pas que c’était sa fille.
Durant ce temps sur Atantis, le major attendait toujours une réponse du général O’neill à sa lettre. Quelques semaines plus tard il reçut :
« Major Sheppard
Je croyais que vous le saviez mais il est fort possible que le docteur Weir ne reprenne pas son poste sur Atlantis. En effet, elle a quitté le pays il y a un peu plus de deux mois pour des raisons personnelles et nous n’avons plus de nouvelles d’elle depuis.
Général O’neill »
John n’en croyait pas ses yeux quand il lu la lettre du général. Il ne pouvait pas imaginer vivre sans elle. Il décida de suite de contacter par radio le SGC pour demander une permission spéciale pour rentrer sur Terre et ainsi retrouver le docteur Weir et comprendre ce qui c’était passé.
Le général sceptique accepta quand même que le major prenne une permission. Il se doutait qu’il y avait quelque chose entre le major et le docteur Weir. Quelques minutes plus tard, le major Sheppard traversa la porte lui aussi en direction de la Terre et avec pour ferme attention de retrouver Elizabeth.
gwenlan- Nombre de messages : 60
Date d'inscription : 28/12/2005
Re: Un passé qui ressurgit
Quand il arriva sur Terre, il se rendit directement dans le bureau du général O’neil. Il interrogea celui-ci pour savoir où Elizabeth était partie et pour quelle raison. Le général ne put répondre à toutes ses questions car le docteur Weir lui avait demandé de rien dire. En revanche, elle ne lui avait pas dit de ne pas dire où elle partait alors Jack répondit au major :
-Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’elle est en France !
John souria puis il remercia le général puis il quitta la base comme un fou pour se rendre à l’aéroport et ainsi prendre un avion pour Paris. Le lendemain matin, John était à l’aéroport Charles de Gaulle mais maintenant il se rendait compte qu’il ne savait pas comment trouver Elizabeth. En effet, il savait qu’elle était en France mais où ?
Durant ce temps où John faisait des recherches pour trouver Elizabeth ; celle-ci apprenait à connaître sa fille. Elle lui ressemblait beaucoup. Koraly était brune, les cheveux mi long avec de grands yeux bleus. Elle avait toujours le sourire et elle croquait la vie à pleine dent. Durant les longues conversations qu’elles avaient eu toutes les deux, elle avait appris que Koraly faisait de la danse depuis son enfance et qu’après son bac, elle voulait devenir archéologue.
Cela fit sourire Elizabeth quand elle appris, elle se disait que peut être un jour sa petite fille deviendrait une grande archéologue et qu’elle viendrait travailler au SGC ou sur Atlantis. En tout cas, elle savait qu’elle en avait le potentiel. En effet, on pouvait lire une certaine détermination dans les yeux de Koraly quand elle parlait de son avenir et de sa vie future. Elizabeth était heureuse mais d’un autre côté elle était attristée que Koraly ne sache pas qu’Elizabeth était sa mère
Au bout d’une semaine, John avait enfin arrivé à savoir où était Elizabeth. Elle était dans une petite ville dans le nord de la France. Mais que faisait elle la bas ?
Qu’est qu’il l’a amené à quitter Atlantis, a nous quitter sans explication ? Pourquoi nous a-t-elle fait croire qu’elle reviendrait bientôt ?
Tant de questions sans réponses !
Il était 19h quand il arriva dans le petit hôtel où Elizabeth vivait depuis quelques temps. Il demanda à l’accueil la chambre d’Elizabeth Weir. On lui répondit qu’elle était partie pour le l’instant. Quand il allait s’apprêter à ressortir de l’hôtel en pensant :
« Je reviendrais demain à la première heure ! »
Une femme poussa la porte de l’hôtel et regarda le major surprise. Elle ne s’attendait pas à le voir ici. Comment il l’avait retrouvé, elle n’en avait aucune idée. C’était impossible. Le major qui venait de reconnaître la femme qui venait d’entrer lui dit :
-Bonjour Elizabeth
Elizabeth le regarda étonnée, aucun mot ne sortait de sa bouche. Après quelques minutes face à face, Elizabeth arriva à articuler :
-Que faites vous là ?
Le major lui souria puis il lui répondit :
-Je suis venu vous chercher.
-Me chercher ?
-Je vous ramène sur Atlantis…
-C’est impossible ! Je ne peux pas !
-Pourquoi ?
-Je suis désolée, ce sont mes affaires !
John perdit son sourire en entendant la réponse du docteur Weir, elle avait dites ces paroles d’un ton très sec. Mais le major n’allait pas abandonner comme ça.
Alors quand Elizabeth monta les escaliers de l’hôtel pour se rendre dans sa chambre, il la suivit. Alors qu’elle allait fermer la porte de sa chambre celui-ci coinça son pied dans la porte pour pouvoir entrer. Elizabeth ne pouvait rien faire si elle continuait elle allait vraiment lui faire mal en tentant de fermer la porte. Et cela elle ne le voulait pas. Elle aimait trop pour le voir souffrir donc avec beaucoup de regrets, elle le laissa entrer dans sa chambre. Elle s’asseya sur son lit et elle resta silencieuse. John entra dans la piéce puis il alla s’asseoir à côté du docteur Weir et il lui demanda :
-Pourquoi nous avoir mentit ?
Elizabeth lui répondit :
-Je ne savais pas comment vous dire adieux !
John curieux lui demanda en la tutoyant :
-Tu peux tout me dire, tu le sais !
Elizabeth lui répondit avec les larmes aux yeux :
-C’est une longue histoire !
John lui souria puis il lui répondit :
-On a tout notre temps ce soir…
Elizabeth commença alors son récit. Elle espérait que de parler de son histoire à quelqu’un pourrait la soulager. De plus elle avait confiance en John et elle savait qu’il pourrait l’aider.
-Tout à commencer au lycée. J’étais une ado normale qui avait de bon résultat au lycée mais le problème c’était mes parents. Il ne me laissait pas sortir. Je ne devais qu’étudier et être la première dans toutes les matières et donc pour eux il était inconcevable que je m’amuse ou que j’aille à des fêtes. Mais voilà un jour j’en ai eu marre…Et je leur ai désobéi… J’ai fais la plus grande erreur de ma vie…
Des larmes coulaient le long des joues d’Elizabeth. John avait décidé de ne pas l’interrompre car il savait que ce qu’elle lui racontait était très difficile.
Quelques minutes plus tard, elle reprit son récit :
-Je suis allée à une fête et je ne sais pas comment j’en suis arrivée là mais le lendemain matin, je me suis réveillé en ne me rappelant de rien. J’étais dans une chambre chez quelqu’un que je ne connaissais pas. J’ai pris peur… Je n’avais plus de souvenir… Je suis rentrais chez moi et je n’ai rien dit à personne… Mes parents étaient partis pour le week end donc j’étais toute seule à la maison. Les semaines passèrent après cette fête et j’essayais d’oublier mais 2 mois après celle-ci je me suis rendu compte que j’étais enceinte… A 17 ans, j’attendais un enfant… Un enfant dont je ne connaissais pas le pére… Un enfant que je ne me rappelais pas d’avoir conçu… Et puis il a fallut que je l’annonce à mes parents. Quand ils l’ont su, ils ont voulut toute suite que j’avorte mais c’était inconcevable pour moi. Mes parents m’ont insultés de tous les noms et que de toute façon je n’étais qu’une traînée mais je ne pouvais rien faire car je n’étais pas majeur.
Elizabeth s’arrêta de nouveau quelque instant et elle reprit difficilement son récit sous l’œil attentif du major.
-Ils ont décidés que je n’irais plus au lycée mais que je suivrais des cours à la maison et que si je ne voulais pas avorter. On ferait adopter l’enfant. Et je n’ai pas eu le choix, on m’a retiré mon en enfant à la naissance… Je ne l’ai même pas vu…
Elizabeth ne put retenir ses sanglots plus longtemps. John s’approcha puis il la prit dans ses bras puis il lui dit d’une voix très douce :
-Chut, c’est fini maintenant. Je suis désolée…
Elizabeth pleurait toujours dans les bras de John. Cela lui avait fait du bien d’en parler a quelqu’un. Elle essaya tant bien que mal de continuer :
-Cela fait 10 ans que je recherche mon enfant et aujourd’hui je l’ai enfin retrouvée… Mais elle ne sait pas que je suis sa mére… C’est une fille tellement extraordinaire.
John souria puis il lui répondit :
-Elle ne pouvait qu’être extraordinaire… C’est votre fille.
Elizabeth esquiva un petit sourire puis elle lui dit :
-Je dois lui dire demain que je suis sa mère mais je ne sais pas… J’ai peur
John resserra son étreinte puis il lui répondit :
- Si vous voulez je viendrais avec vous…
-Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’elle est en France !
John souria puis il remercia le général puis il quitta la base comme un fou pour se rendre à l’aéroport et ainsi prendre un avion pour Paris. Le lendemain matin, John était à l’aéroport Charles de Gaulle mais maintenant il se rendait compte qu’il ne savait pas comment trouver Elizabeth. En effet, il savait qu’elle était en France mais où ?
Durant ce temps où John faisait des recherches pour trouver Elizabeth ; celle-ci apprenait à connaître sa fille. Elle lui ressemblait beaucoup. Koraly était brune, les cheveux mi long avec de grands yeux bleus. Elle avait toujours le sourire et elle croquait la vie à pleine dent. Durant les longues conversations qu’elles avaient eu toutes les deux, elle avait appris que Koraly faisait de la danse depuis son enfance et qu’après son bac, elle voulait devenir archéologue.
Cela fit sourire Elizabeth quand elle appris, elle se disait que peut être un jour sa petite fille deviendrait une grande archéologue et qu’elle viendrait travailler au SGC ou sur Atlantis. En tout cas, elle savait qu’elle en avait le potentiel. En effet, on pouvait lire une certaine détermination dans les yeux de Koraly quand elle parlait de son avenir et de sa vie future. Elizabeth était heureuse mais d’un autre côté elle était attristée que Koraly ne sache pas qu’Elizabeth était sa mère
Au bout d’une semaine, John avait enfin arrivé à savoir où était Elizabeth. Elle était dans une petite ville dans le nord de la France. Mais que faisait elle la bas ?
Qu’est qu’il l’a amené à quitter Atlantis, a nous quitter sans explication ? Pourquoi nous a-t-elle fait croire qu’elle reviendrait bientôt ?
Tant de questions sans réponses !
Il était 19h quand il arriva dans le petit hôtel où Elizabeth vivait depuis quelques temps. Il demanda à l’accueil la chambre d’Elizabeth Weir. On lui répondit qu’elle était partie pour le l’instant. Quand il allait s’apprêter à ressortir de l’hôtel en pensant :
« Je reviendrais demain à la première heure ! »
Une femme poussa la porte de l’hôtel et regarda le major surprise. Elle ne s’attendait pas à le voir ici. Comment il l’avait retrouvé, elle n’en avait aucune idée. C’était impossible. Le major qui venait de reconnaître la femme qui venait d’entrer lui dit :
-Bonjour Elizabeth
Elizabeth le regarda étonnée, aucun mot ne sortait de sa bouche. Après quelques minutes face à face, Elizabeth arriva à articuler :
-Que faites vous là ?
Le major lui souria puis il lui répondit :
-Je suis venu vous chercher.
-Me chercher ?
-Je vous ramène sur Atlantis…
-C’est impossible ! Je ne peux pas !
-Pourquoi ?
-Je suis désolée, ce sont mes affaires !
John perdit son sourire en entendant la réponse du docteur Weir, elle avait dites ces paroles d’un ton très sec. Mais le major n’allait pas abandonner comme ça.
Alors quand Elizabeth monta les escaliers de l’hôtel pour se rendre dans sa chambre, il la suivit. Alors qu’elle allait fermer la porte de sa chambre celui-ci coinça son pied dans la porte pour pouvoir entrer. Elizabeth ne pouvait rien faire si elle continuait elle allait vraiment lui faire mal en tentant de fermer la porte. Et cela elle ne le voulait pas. Elle aimait trop pour le voir souffrir donc avec beaucoup de regrets, elle le laissa entrer dans sa chambre. Elle s’asseya sur son lit et elle resta silencieuse. John entra dans la piéce puis il alla s’asseoir à côté du docteur Weir et il lui demanda :
-Pourquoi nous avoir mentit ?
Elizabeth lui répondit :
-Je ne savais pas comment vous dire adieux !
John curieux lui demanda en la tutoyant :
-Tu peux tout me dire, tu le sais !
Elizabeth lui répondit avec les larmes aux yeux :
-C’est une longue histoire !
John lui souria puis il lui répondit :
-On a tout notre temps ce soir…
Elizabeth commença alors son récit. Elle espérait que de parler de son histoire à quelqu’un pourrait la soulager. De plus elle avait confiance en John et elle savait qu’il pourrait l’aider.
-Tout à commencer au lycée. J’étais une ado normale qui avait de bon résultat au lycée mais le problème c’était mes parents. Il ne me laissait pas sortir. Je ne devais qu’étudier et être la première dans toutes les matières et donc pour eux il était inconcevable que je m’amuse ou que j’aille à des fêtes. Mais voilà un jour j’en ai eu marre…Et je leur ai désobéi… J’ai fais la plus grande erreur de ma vie…
Des larmes coulaient le long des joues d’Elizabeth. John avait décidé de ne pas l’interrompre car il savait que ce qu’elle lui racontait était très difficile.
Quelques minutes plus tard, elle reprit son récit :
-Je suis allée à une fête et je ne sais pas comment j’en suis arrivée là mais le lendemain matin, je me suis réveillé en ne me rappelant de rien. J’étais dans une chambre chez quelqu’un que je ne connaissais pas. J’ai pris peur… Je n’avais plus de souvenir… Je suis rentrais chez moi et je n’ai rien dit à personne… Mes parents étaient partis pour le week end donc j’étais toute seule à la maison. Les semaines passèrent après cette fête et j’essayais d’oublier mais 2 mois après celle-ci je me suis rendu compte que j’étais enceinte… A 17 ans, j’attendais un enfant… Un enfant dont je ne connaissais pas le pére… Un enfant que je ne me rappelais pas d’avoir conçu… Et puis il a fallut que je l’annonce à mes parents. Quand ils l’ont su, ils ont voulut toute suite que j’avorte mais c’était inconcevable pour moi. Mes parents m’ont insultés de tous les noms et que de toute façon je n’étais qu’une traînée mais je ne pouvais rien faire car je n’étais pas majeur.
Elizabeth s’arrêta de nouveau quelque instant et elle reprit difficilement son récit sous l’œil attentif du major.
-Ils ont décidés que je n’irais plus au lycée mais que je suivrais des cours à la maison et que si je ne voulais pas avorter. On ferait adopter l’enfant. Et je n’ai pas eu le choix, on m’a retiré mon en enfant à la naissance… Je ne l’ai même pas vu…
Elizabeth ne put retenir ses sanglots plus longtemps. John s’approcha puis il la prit dans ses bras puis il lui dit d’une voix très douce :
-Chut, c’est fini maintenant. Je suis désolée…
Elizabeth pleurait toujours dans les bras de John. Cela lui avait fait du bien d’en parler a quelqu’un. Elle essaya tant bien que mal de continuer :
-Cela fait 10 ans que je recherche mon enfant et aujourd’hui je l’ai enfin retrouvée… Mais elle ne sait pas que je suis sa mére… C’est une fille tellement extraordinaire.
John souria puis il lui répondit :
-Elle ne pouvait qu’être extraordinaire… C’est votre fille.
Elizabeth esquiva un petit sourire puis elle lui dit :
-Je dois lui dire demain que je suis sa mère mais je ne sais pas… J’ai peur
John resserra son étreinte puis il lui répondit :
- Si vous voulez je viendrais avec vous…
gwenlan- Nombre de messages : 60
Date d'inscription : 28/12/2005
Re: Un passé qui ressurgit
Les larmes sur les joues d’Elizabeth ne cessaient pas de couler, parler avec John lui avait fait beaucoup de bien. John n’aurait jamais imaginé qu’Elizabeth aurait pu vivre une expérience de ce genre. En effet, elle n’avait jamais montré ses faiblesses et surtout quand quelques chose n’allait pas elle le gardait pour elle
Elizabeth au bout de quelques minutes murmura à John :
-Merci.
Quelques minutes plus tard, elle s’endormit dans les bras de John soulager d’avoir révéler son secret à John et de savoir que celui-ci la soutiendrait dans cette épreuve qui ne serait pas facile.
De son côté John repensa à tout ce que venait de lui dire Elizabeth et il n’arrivait pas à imaginer ce qu’elle avait ressenti et ce qu’elle ressentait encore aujourd’hui. Il n’avait posait aucune question à Elizabeth mais des questions sur le salaud qui lui avait fait ça il en avait :
John pensa :
« Quel salaud ! Si un jour je le trouve… »
Puis lui aussi s’endormit quelques minutes plus tard. Le voyage et le décalage horaire l’avaient beaucoup fatigué. Ils formaient tous les deux un beau couple. Elizabeth dormait dans les bras de John qui maintenant s’était allongé sur le lit en faisant attention de ne pas la réveiller.
Le lendemain matin, ce fut Elizabeth qui se réveilla la première. Elle ne se rendit pas toute suite compte qu’elle était dans les bras de John. Quand elle s’en rendit compte, elle fut gênée pendant quelques secondes puis cette gêne disparaissa très vite.
Quinze minutes plus tard, ce fut au tour de John d’ouvrir les yeux, il croisa très vite le regard d’Elizabeth et il lui souria, celle-ci répondit à celui-ci par un petit sourire.
Elle était heureuse avec lui et elle avait confiance. Elle savait que maintenant elle n’était plus toute seule pour parler à sa fille et lui dire la vérité.
Presque aucun mot ne fut échangé dans la chambre, un regard suffisait pour qu’ils se comprennent. Au bout d’une heure, ils sortirent de l’hôtel et John demanda à Elizabeth :
-Ca va ? Tu es prête à le faire ?
Elizabeth esquiva un sourire puis elle répondit à John :
-Oui je crois de toute façon je ne veux pas reculer. Elle a le droit à la vérité.
Il avait était convenu avec Koraly et Elizabeth que celle-ci se retrouverait pendant la pause déjeuner de Koraly pour discuter. Koraly était heureuse de pouvoir parler encore avec Elizabeth même si elle trouvait cela bizarre qu’elle se voit seulement toute les deux alors qu’Elizabeth était une amie à sa mère.
Elizabeth et John arrivèrent quelques minutes avant la sonnerie au lycée de Koraly. Celle-ci sortit avec une bande d’ami avec qui elle se sépara à la grille pour venir rejoindre John et Elizabeth. Elle fut étonnée de voir qu’il y avait un homme avec Elizabeth. Elle pensa :
« Peut être son mari ? »
Koraly s’approcha d’Elizabeth et de John puis elle leur dit :
-Salut !
Elizabeth souria puis elle lui répondit :
-Bonjour Koraly, je te présente John un ami !
John souria heureux qu’Elizabeth n’est pas dit qu’il n’était qu’un collègue de travail car pour lui elle était beaucoup plus que ça puis il répondit :
-Salut !
Puis ce fut autour d’Elizabeth de reprendre la parole :
-J’ai quelque chose de très important à te dire ! Tu ne veux pas qu’on aille manger quelque part ?
Koraly acquiesça. Elle se demandait ce qu’Elizabeth avait d’important à lui dire. Elle avait hâte de le savoir. Koraly les emmena dans un petit snack où elle avait l’habitude de manger avec ses amis pendant le week end.
Quand ils eurent commandé leur repas. Koraly demanda :
-Alors qu’est ce que tu as à me dire de si important ?
John observait Koraly. Elle ressemblait beaucoup à Elizabeth. Elle était souriante, enjouée et elle avait l’air de savoir ce qu’elle voulait dans la vie.
Elizabeth répondit à Koraly ;
-Et bien ce n’est pas facile à dire…
Quelques secondes passèrent avec qu’Elizabeth ne pu continuer sa phrase.
-Je suis ta mère Koraly !
Koraly perdit son sourire immédiatement. Elle avait du mal à mémoriser l’information. Pour elle s’était pas possible, c’était inconcevable !
Elle lui répondit d’une voix tremblante :
-Quoi ? Ce n’est pas vrai ?
John était resté silencieux pendant tout cet échange de parole. Il savait qu’il ne devait pas s’en mêler.
Elizabeth murmura :
-Je te dis la vérité Koraly !
Koraly se leva précipitamment et elle quitta le snack en courant et les larmes aux yeux. Elizabeth voulut la rattraper mais John l’en empêcha et il lui dit :
-Elle a besoin d’être seule et de réfléchir…
Elizabeth elle aussi avait maintenant les larmes aux yeux. Elle venait de faire souffrir sa fille et elle ne le supportait pas. John la pris dans ses bras puis il lui dit :
-Je suis sûr que tout va s’arranger…
Koraly courait toujours. Elle ne pouvait pas croire ce qu’elle venait d’entendre de la bouche d’Elizabeth. Celle-ci ne pouvait pas être sa mère. Au bout de 10 minutes de courses, elle se retrouva devant le stade où elle faisait sport, elle alla s’asseoir dans les gradins du terrain de foot et les larmes, cette fois-ci coulèrent à flot. Elle avait une vie heureuse ici. Elle avait des parents qu’elle aimait, une sœur, un frère avec qui elle adorait se chamailler mais elle se rendait compte aujourd’hui qu’elle ne faisait pas parti de cette famille et encore pire on lui avait mentit toute sa vie. Elle resta de longues heures assises sur ce banc avant de se rendre compte que la nuit était tombée depuis maintenant quelques heures. Elle avait perdu la notion du temps
Chez elle, Elizabeth et John étaient venus pour essayer de lui parler mais ils étaient inquiets tout comme ses parents adoptifs de ne pas l’avoir trouver. En effet, il n’avait pas imagine qu’elle soit autre part que chez elle. Mais était-ce vraiment chez elle ? Puisque ce n’était pas sa vraie famille !
Vers 22 heures, Koraly rentra chez elle, en espérant avoir des explications pas ses parents adoptifs. Elle avait prit le temps de réfléchir et elle s’était enfin calmée. Elle savait qu’il y avait sûrement une raison derrière cet abandon.
Quand elle entra chez elle, elle fut accueillit par sa mère adoptive qui lui sauta dans les bras et qu’il lui posa de nombreuses questions :
- Ca va ? Tu étais ou ? Tu as rien ?
Koraly s’apprêtait à répondre aux questions de sa mère quand elle remarque la présence d’Elizabeth et de John dans la pièce.
Elizabeth calmement lui dit :
-Je pense que tu as le droit à des explications !
Koraly lui répondit :
-Oui j’aimerais bien savoir et connaître les raisons de mon abandon si bien sur vous acceptez de me les dire !
Koraly avait remarqué dans le regard d’Elizabeth de la tristesse, ce passage de sa vie devait être très douloureux pour elle.
Elizabeth et Koraly montèrent toutes les deux dans la chambre de celle-ci et elles eurent un longue discutions pleines de larmes et de quelques sourire. Elles redescendirent deux heures plus tard avec toutes les deux un grand sourire. Elle s’était maintenant expliquée et Koraly connaissait toute l’histoire et elle était reconnaissante envers Elizabeth car elle lui avait tout dit.
Il avait été convenu que toutes les deux s’écrivent pour apprendre à mieux se connaître et Elizabeth avait promis qu’un jour, elle l’emmènerait sur son lieu de travail. Elizabeth ne lui avait pas dit qu’elle travaillait sur une autre planète et elle savait qu’elle n’en avait pas le droit mais elle savait qu’elle l’aurait bientôt car de toute façon elle ne voulait plus mentir à sa fille et inconsciemment elle espérait qu’un jour que Koraly vienne vivre avec elle sur la cité des Anciens
Les séparations entre la mère et la fille fut assez dure, ne sachant pas quand elles allaient se revoir. Quelques larmes coulèrent de nouveaux.
John et Elizabeth sortirent de la maison et Elizabeth dit à John :
-Merci !
John lui souria et il ne répondit rien.
Quelques jours plus tard ils furent de retour sur Atlantis et de nombreuses questions leur furent posées et Elizabeth répondit à toutes avec honnêteté
Depuis cet événement Elizabeth et John s’étaient beaucoup rapprochés. En effet quelque chose avait changé lors de ce petit voyage en France. Ils n’avaient plus peur de montrer leur sentiment vis-à-vis de l’autre mais il fallut plusieurs mois avant que le reste de la base soit mis au courant qu’il y avait un nouveau couple sur Atlantis. Elizabeth et Koraly continuait toujours à correspondre et Elizabeth avait presque obtenu toutes les autorisations pour que Koraly vienne sur Atlantis maintenant elle espérait que celle-ci accepterait .
The end
Elizabeth au bout de quelques minutes murmura à John :
-Merci.
Quelques minutes plus tard, elle s’endormit dans les bras de John soulager d’avoir révéler son secret à John et de savoir que celui-ci la soutiendrait dans cette épreuve qui ne serait pas facile.
De son côté John repensa à tout ce que venait de lui dire Elizabeth et il n’arrivait pas à imaginer ce qu’elle avait ressenti et ce qu’elle ressentait encore aujourd’hui. Il n’avait posait aucune question à Elizabeth mais des questions sur le salaud qui lui avait fait ça il en avait :
John pensa :
« Quel salaud ! Si un jour je le trouve… »
Puis lui aussi s’endormit quelques minutes plus tard. Le voyage et le décalage horaire l’avaient beaucoup fatigué. Ils formaient tous les deux un beau couple. Elizabeth dormait dans les bras de John qui maintenant s’était allongé sur le lit en faisant attention de ne pas la réveiller.
Le lendemain matin, ce fut Elizabeth qui se réveilla la première. Elle ne se rendit pas toute suite compte qu’elle était dans les bras de John. Quand elle s’en rendit compte, elle fut gênée pendant quelques secondes puis cette gêne disparaissa très vite.
Quinze minutes plus tard, ce fut au tour de John d’ouvrir les yeux, il croisa très vite le regard d’Elizabeth et il lui souria, celle-ci répondit à celui-ci par un petit sourire.
Elle était heureuse avec lui et elle avait confiance. Elle savait que maintenant elle n’était plus toute seule pour parler à sa fille et lui dire la vérité.
Presque aucun mot ne fut échangé dans la chambre, un regard suffisait pour qu’ils se comprennent. Au bout d’une heure, ils sortirent de l’hôtel et John demanda à Elizabeth :
-Ca va ? Tu es prête à le faire ?
Elizabeth esquiva un sourire puis elle répondit à John :
-Oui je crois de toute façon je ne veux pas reculer. Elle a le droit à la vérité.
Il avait était convenu avec Koraly et Elizabeth que celle-ci se retrouverait pendant la pause déjeuner de Koraly pour discuter. Koraly était heureuse de pouvoir parler encore avec Elizabeth même si elle trouvait cela bizarre qu’elle se voit seulement toute les deux alors qu’Elizabeth était une amie à sa mère.
Elizabeth et John arrivèrent quelques minutes avant la sonnerie au lycée de Koraly. Celle-ci sortit avec une bande d’ami avec qui elle se sépara à la grille pour venir rejoindre John et Elizabeth. Elle fut étonnée de voir qu’il y avait un homme avec Elizabeth. Elle pensa :
« Peut être son mari ? »
Koraly s’approcha d’Elizabeth et de John puis elle leur dit :
-Salut !
Elizabeth souria puis elle lui répondit :
-Bonjour Koraly, je te présente John un ami !
John souria heureux qu’Elizabeth n’est pas dit qu’il n’était qu’un collègue de travail car pour lui elle était beaucoup plus que ça puis il répondit :
-Salut !
Puis ce fut autour d’Elizabeth de reprendre la parole :
-J’ai quelque chose de très important à te dire ! Tu ne veux pas qu’on aille manger quelque part ?
Koraly acquiesça. Elle se demandait ce qu’Elizabeth avait d’important à lui dire. Elle avait hâte de le savoir. Koraly les emmena dans un petit snack où elle avait l’habitude de manger avec ses amis pendant le week end.
Quand ils eurent commandé leur repas. Koraly demanda :
-Alors qu’est ce que tu as à me dire de si important ?
John observait Koraly. Elle ressemblait beaucoup à Elizabeth. Elle était souriante, enjouée et elle avait l’air de savoir ce qu’elle voulait dans la vie.
Elizabeth répondit à Koraly ;
-Et bien ce n’est pas facile à dire…
Quelques secondes passèrent avec qu’Elizabeth ne pu continuer sa phrase.
-Je suis ta mère Koraly !
Koraly perdit son sourire immédiatement. Elle avait du mal à mémoriser l’information. Pour elle s’était pas possible, c’était inconcevable !
Elle lui répondit d’une voix tremblante :
-Quoi ? Ce n’est pas vrai ?
John était resté silencieux pendant tout cet échange de parole. Il savait qu’il ne devait pas s’en mêler.
Elizabeth murmura :
-Je te dis la vérité Koraly !
Koraly se leva précipitamment et elle quitta le snack en courant et les larmes aux yeux. Elizabeth voulut la rattraper mais John l’en empêcha et il lui dit :
-Elle a besoin d’être seule et de réfléchir…
Elizabeth elle aussi avait maintenant les larmes aux yeux. Elle venait de faire souffrir sa fille et elle ne le supportait pas. John la pris dans ses bras puis il lui dit :
-Je suis sûr que tout va s’arranger…
Koraly courait toujours. Elle ne pouvait pas croire ce qu’elle venait d’entendre de la bouche d’Elizabeth. Celle-ci ne pouvait pas être sa mère. Au bout de 10 minutes de courses, elle se retrouva devant le stade où elle faisait sport, elle alla s’asseoir dans les gradins du terrain de foot et les larmes, cette fois-ci coulèrent à flot. Elle avait une vie heureuse ici. Elle avait des parents qu’elle aimait, une sœur, un frère avec qui elle adorait se chamailler mais elle se rendait compte aujourd’hui qu’elle ne faisait pas parti de cette famille et encore pire on lui avait mentit toute sa vie. Elle resta de longues heures assises sur ce banc avant de se rendre compte que la nuit était tombée depuis maintenant quelques heures. Elle avait perdu la notion du temps
Chez elle, Elizabeth et John étaient venus pour essayer de lui parler mais ils étaient inquiets tout comme ses parents adoptifs de ne pas l’avoir trouver. En effet, il n’avait pas imagine qu’elle soit autre part que chez elle. Mais était-ce vraiment chez elle ? Puisque ce n’était pas sa vraie famille !
Vers 22 heures, Koraly rentra chez elle, en espérant avoir des explications pas ses parents adoptifs. Elle avait prit le temps de réfléchir et elle s’était enfin calmée. Elle savait qu’il y avait sûrement une raison derrière cet abandon.
Quand elle entra chez elle, elle fut accueillit par sa mère adoptive qui lui sauta dans les bras et qu’il lui posa de nombreuses questions :
- Ca va ? Tu étais ou ? Tu as rien ?
Koraly s’apprêtait à répondre aux questions de sa mère quand elle remarque la présence d’Elizabeth et de John dans la pièce.
Elizabeth calmement lui dit :
-Je pense que tu as le droit à des explications !
Koraly lui répondit :
-Oui j’aimerais bien savoir et connaître les raisons de mon abandon si bien sur vous acceptez de me les dire !
Koraly avait remarqué dans le regard d’Elizabeth de la tristesse, ce passage de sa vie devait être très douloureux pour elle.
Elizabeth et Koraly montèrent toutes les deux dans la chambre de celle-ci et elles eurent un longue discutions pleines de larmes et de quelques sourire. Elles redescendirent deux heures plus tard avec toutes les deux un grand sourire. Elle s’était maintenant expliquée et Koraly connaissait toute l’histoire et elle était reconnaissante envers Elizabeth car elle lui avait tout dit.
Il avait été convenu que toutes les deux s’écrivent pour apprendre à mieux se connaître et Elizabeth avait promis qu’un jour, elle l’emmènerait sur son lieu de travail. Elizabeth ne lui avait pas dit qu’elle travaillait sur une autre planète et elle savait qu’elle n’en avait pas le droit mais elle savait qu’elle l’aurait bientôt car de toute façon elle ne voulait plus mentir à sa fille et inconsciemment elle espérait qu’un jour que Koraly vienne vivre avec elle sur la cité des Anciens
Les séparations entre la mère et la fille fut assez dure, ne sachant pas quand elles allaient se revoir. Quelques larmes coulèrent de nouveaux.
John et Elizabeth sortirent de la maison et Elizabeth dit à John :
-Merci !
John lui souria et il ne répondit rien.
Quelques jours plus tard ils furent de retour sur Atlantis et de nombreuses questions leur furent posées et Elizabeth répondit à toutes avec honnêteté
Depuis cet événement Elizabeth et John s’étaient beaucoup rapprochés. En effet quelque chose avait changé lors de ce petit voyage en France. Ils n’avaient plus peur de montrer leur sentiment vis-à-vis de l’autre mais il fallut plusieurs mois avant que le reste de la base soit mis au courant qu’il y avait un nouveau couple sur Atlantis. Elizabeth et Koraly continuait toujours à correspondre et Elizabeth avait presque obtenu toutes les autorisations pour que Koraly vienne sur Atlantis maintenant elle espérait que celle-ci accepterait .
The end
gwenlan- Nombre de messages : 60
Date d'inscription : 28/12/2005
Re: Un passé qui ressurgit
je lit tes fics dés que j'ai le temps ce qui veux dire lundi! et je te ferait mon petit commentaire!
Re: Un passé qui ressurgit
mon com lol!
J'adore quand rodney reporte toujours la faute sur les autres! au self lol!
Par contre je dois avouer que je me demandait ce qui mettait Elizabeth dans cet état. et je me demandais le sujet de cette enquête, et pourquoi celle-ci entrainait un départ précipité de la base!
J'ai aimer aussi quant McKay critiquait la nouvelle et qu'elle l'a choper, elle lui as bien cloué le bec lol!
Je me doutait que Elizabeth recherchait sa fille, du moin un enfant qu'elle aurait eut, et j'adore cette idée:
Trés bonne idée, la petite letre que John envoie à Jack pour en savoir plus, et j'ai trouver ça super quant il passe la porte afin de retrouver Elizabeth et qu'une fois en france, il ne saches pas ou chercher. et puis le moment ou elle lui avoue tout, et qu'il ne pose pas de questions j'adore, c'est mignon tout plein. et puis la fille qui es les ambitions de sa mére (à quelques différences prés), puis la séparation..
enfin bon, tout ça pour dire que j'ai adorer ta fic, et que j'attends la suite impatiemment!
J'adore quand rodney reporte toujours la faute sur les autres! au self lol!
Par contre je dois avouer que je me demandait ce qui mettait Elizabeth dans cet état. et je me demandais le sujet de cette enquête, et pourquoi celle-ci entrainait un départ précipité de la base!
J'ai aimer aussi quant McKay critiquait la nouvelle et qu'elle l'a choper, elle lui as bien cloué le bec lol!
Je me doutait que Elizabeth recherchait sa fille, du moin un enfant qu'elle aurait eut, et j'adore cette idée:
Trés bonne idée, la petite letre que John envoie à Jack pour en savoir plus, et j'ai trouver ça super quant il passe la porte afin de retrouver Elizabeth et qu'une fois en france, il ne saches pas ou chercher. et puis le moment ou elle lui avoue tout, et qu'il ne pose pas de questions j'adore, c'est mignon tout plein. et puis la fille qui es les ambitions de sa mére (à quelques différences prés), puis la séparation..
enfin bon, tout ça pour dire que j'ai adorer ta fic, et que j'attends la suite impatiemment!
Re: Un passé qui ressurgit
Super fanfic!(désolée je suis souvent brève dans mes commentaires,moi)
lagentillefan- Nombre de messages : 348
Age : 42
Localisation : Angers
SIP : McWeir principalement,mais ces temps-ci,j'ai des envies de Teyla/McKay...Bizarre,non? lol
Date d'inscription : 19/12/2005
Re: Un passé qui ressurgit
J'aime beaucoup l'histoire ^^
eryn- Nombre de messages : 189
Age : 30
Localisation : Dormant sur les genoux de John ^^
SIP : je dirais McShep
Date d'inscription : 13/12/2009
Fanfictions Stargate Atlantis :: Fanfictions Stargate Atlantis :: Sur les Ship :: Sur John/Elizabeth
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum