Ah l'amour!!!lol
Fanfictions Stargate Atlantis :: Fanfictions Stargate Atlantis :: Sur les Ship :: Sur John/Elizabeth
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Ah l'amour!!!lol
Auteur: Na
Catégorie:Shweir
Disclame:Pas de perso a moi
Note: Alors cette fic je les écrite vers 2h du mat' donc a des moment c'est trop débile lol enfin vous verrez
Aujourd'hui l’équipe de John était dans une salle qu'ils venaient de découvrir dans la citée. Ils avaient appeler Elizabeth car il y avait une machine avec des inscriptions dessus et pour éviter de faire des bêtises il l'on appellé. Cela faisait 1h que Elizabeth était à ces traductions quand elle dit
E: Bon apparemment ce n'est rien de grave il suffit juste que quelqu'un possédant le gêne l'active et elle s'allume toute seul.
R: C’est tout? Pas de bombe ni rien??
E: « souriant »Non rien de tous ça.
John s'approcha pour toucher la machine. Quand il eu toucher un flache en sortit et frappa tout les hommes de la citée puis un deuxième et flache et cette fois ce fut les femmes qui surent toucher ce qui eux pour effet de les faire tous s'évanouir. Ils se réveillèrent tous 6h plus tard et eurent tous une surprise et de taille:toute les femmes de citée étaient enceintes et apparemment c'était bien avancer.
E: AAAAAAAAhhhhhhhh mon dieu.
Elizabeth avait tellement était surprise de ce voir enceinte qu'elle en avait crier et quand elle vit Teyla dans le même état qu'elle elle dit.
E: Mon dieu mais comment est ce possible qu'on soit enceinte?
R: Sa doit être la machine. Vous n'avait pas lu quelque chose qui aurait avoir un rapport avec ce qui vous arrive??
E: Non rien.
Soudain elle reçut un appel radio de Carson.
C : « par radio » Elizabeth on a un problème.
E : « par radio » Oui Carson ?
C : « par radio » Et ben on a vu un gros flache et après on c’est évanouie, enfin je parle de ceux qui sont dans l’infirmerie enfin bref, et depuis qu’on c’est réveiller toutes les femmes de la citées arrive et a voir leur état je croit bien qu’elles sont toutes enceintes.
E : « par radio » Je sais Carson on a le même problème ici.
C : « par radio » Vous voulez dire que c’est une machine qui a fait ca ?
E : « par radio » Oui Carson.
C : « par radio » Bon Elizabeth, Teyla venaient à l’infirmerie pour voir si tout va bien pour vous car vu que c’est une machine qui a fait sa je ne sait pas se qui peut se passer et vu que toutes les femmes de la citée sont là je vais les examiner aussi.
E : « par radio » D’accord Carson ont arrive « vers les autres » bon vous, vous ne toucher a rien je vais voir Carson et puis je revient avec lui pour voir ce que cette machine nous a fait.
R : Oui ne vous inquiétez pas Elizabeth.
J : Je viens avec vous.
Ro (c’est Ronon ça) : Oui moi aussi.
E : Et pourquoi ca ?
J : Car je ne veux pas qu’il vous arrive quelque chose.
E : Que voulez vous qu’ils nous arrivent ? On va juste à l’infirmerie.
J : On ne sait jamais.
Ro : Oui il peut y avoir des personnes qui vous veule du mal.
E : Ouai bon sa va vous pouvez venir si vous le voulez vraiment.
Ils partirent tous les 4 vers l’infirmerie, dans le couloir Teyla poussa un cri en se tenant le ventre. Quand Ronon vit sa il arriva vers elle et lui attrapa le bras au cas où elle tomberait.
Ro : Teyla sa va ?
T : Oui c’est rien c’est juste le bébé qui donne des coups. Vous ne le sentez pas Elizabeth ?
E : « tristement »Si mais je suis habituez.
J : Ah bon pourquoi ?
E : Sa ne vous regarde pas.
J : Mais je voit bien que vous êtes triste et je veux savoir pourquoi car je n’aime pas vous voir triste.
E : Non vous ne le serait pas.
J : « insistant » Elizabeth des fois sa fait du bien d’en parler.
E : « en ayant marre et énerver» Vous voulez vraiment le savoir ? « Les larmes aux yeux »J’ai l’habitude car j’ai eu un enfant mais il est mort à la naissance.
Quand elle eu dit elle partie à l’opposez de l’infirmerie. Pendant ce temps John était scotché sur place. Il sa dit qu’il n’aurait jamais du lui demander ça et que ca a du sans doute faire remonter des mauvais souvenirs à la surface.
T : Ah c’est malin John vous avez vu ce que vous avez fait ?
J : Je ne veux pas lui faire revivre de mauvais souvenirs.
T : Vous devrez allé vois ou elle est.
J : Mais je ne sais pas ou elle est, vous avez bien vu qu’elle n’est pas allez à l’infirmerie ?
T : Je suis sur que au fond de vous vous savez où elle est.
John réfléchie puis après 1min de réflexion parti en courant.
Ronon et Teyla se regardèrent puis Ronon dit.
Ro : Il a vraiment fait une gaffe là je crois.
T : Oui, bon on va à l’infirmerie car autrement Carson va s’inquiétez.
Ro : Oui allons y.
Ils partirent vers l’infirmerie.
Pendant ce temps John savait où trouver Elizabeth, sur le balcon.
Quand il arriva il la vit, elle était assise contre le mur et il pouvait entendre des sanglots.
Catégorie:Shweir
Disclame:Pas de perso a moi
Note: Alors cette fic je les écrite vers 2h du mat' donc a des moment c'est trop débile lol enfin vous verrez
Aujourd'hui l’équipe de John était dans une salle qu'ils venaient de découvrir dans la citée. Ils avaient appeler Elizabeth car il y avait une machine avec des inscriptions dessus et pour éviter de faire des bêtises il l'on appellé. Cela faisait 1h que Elizabeth était à ces traductions quand elle dit
E: Bon apparemment ce n'est rien de grave il suffit juste que quelqu'un possédant le gêne l'active et elle s'allume toute seul.
R: C’est tout? Pas de bombe ni rien??
E: « souriant »Non rien de tous ça.
John s'approcha pour toucher la machine. Quand il eu toucher un flache en sortit et frappa tout les hommes de la citée puis un deuxième et flache et cette fois ce fut les femmes qui surent toucher ce qui eux pour effet de les faire tous s'évanouir. Ils se réveillèrent tous 6h plus tard et eurent tous une surprise et de taille:toute les femmes de citée étaient enceintes et apparemment c'était bien avancer.
E: AAAAAAAAhhhhhhhh mon dieu.
Elizabeth avait tellement était surprise de ce voir enceinte qu'elle en avait crier et quand elle vit Teyla dans le même état qu'elle elle dit.
E: Mon dieu mais comment est ce possible qu'on soit enceinte?
R: Sa doit être la machine. Vous n'avait pas lu quelque chose qui aurait avoir un rapport avec ce qui vous arrive??
E: Non rien.
Soudain elle reçut un appel radio de Carson.
C : « par radio » Elizabeth on a un problème.
E : « par radio » Oui Carson ?
C : « par radio » Et ben on a vu un gros flache et après on c’est évanouie, enfin je parle de ceux qui sont dans l’infirmerie enfin bref, et depuis qu’on c’est réveiller toutes les femmes de la citées arrive et a voir leur état je croit bien qu’elles sont toutes enceintes.
E : « par radio » Je sais Carson on a le même problème ici.
C : « par radio » Vous voulez dire que c’est une machine qui a fait ca ?
E : « par radio » Oui Carson.
C : « par radio » Bon Elizabeth, Teyla venaient à l’infirmerie pour voir si tout va bien pour vous car vu que c’est une machine qui a fait sa je ne sait pas se qui peut se passer et vu que toutes les femmes de la citée sont là je vais les examiner aussi.
E : « par radio » D’accord Carson ont arrive « vers les autres » bon vous, vous ne toucher a rien je vais voir Carson et puis je revient avec lui pour voir ce que cette machine nous a fait.
R : Oui ne vous inquiétez pas Elizabeth.
J : Je viens avec vous.
Ro (c’est Ronon ça) : Oui moi aussi.
E : Et pourquoi ca ?
J : Car je ne veux pas qu’il vous arrive quelque chose.
E : Que voulez vous qu’ils nous arrivent ? On va juste à l’infirmerie.
J : On ne sait jamais.
Ro : Oui il peut y avoir des personnes qui vous veule du mal.
E : Ouai bon sa va vous pouvez venir si vous le voulez vraiment.
Ils partirent tous les 4 vers l’infirmerie, dans le couloir Teyla poussa un cri en se tenant le ventre. Quand Ronon vit sa il arriva vers elle et lui attrapa le bras au cas où elle tomberait.
Ro : Teyla sa va ?
T : Oui c’est rien c’est juste le bébé qui donne des coups. Vous ne le sentez pas Elizabeth ?
E : « tristement »Si mais je suis habituez.
J : Ah bon pourquoi ?
E : Sa ne vous regarde pas.
J : Mais je voit bien que vous êtes triste et je veux savoir pourquoi car je n’aime pas vous voir triste.
E : Non vous ne le serait pas.
J : « insistant » Elizabeth des fois sa fait du bien d’en parler.
E : « en ayant marre et énerver» Vous voulez vraiment le savoir ? « Les larmes aux yeux »J’ai l’habitude car j’ai eu un enfant mais il est mort à la naissance.
Quand elle eu dit elle partie à l’opposez de l’infirmerie. Pendant ce temps John était scotché sur place. Il sa dit qu’il n’aurait jamais du lui demander ça et que ca a du sans doute faire remonter des mauvais souvenirs à la surface.
T : Ah c’est malin John vous avez vu ce que vous avez fait ?
J : Je ne veux pas lui faire revivre de mauvais souvenirs.
T : Vous devrez allé vois ou elle est.
J : Mais je ne sais pas ou elle est, vous avez bien vu qu’elle n’est pas allez à l’infirmerie ?
T : Je suis sur que au fond de vous vous savez où elle est.
John réfléchie puis après 1min de réflexion parti en courant.
Ronon et Teyla se regardèrent puis Ronon dit.
Ro : Il a vraiment fait une gaffe là je crois.
T : Oui, bon on va à l’infirmerie car autrement Carson va s’inquiétez.
Ro : Oui allons y.
Ils partirent vers l’infirmerie.
Pendant ce temps John savait où trouver Elizabeth, sur le balcon.
Quand il arriva il la vit, elle était assise contre le mur et il pouvait entendre des sanglots.
Re: Ah l'amour!!!lol
J : Elizabeth, je suis désolé.
E : Laissez moi.
J : « s’asseyant à côté d’elle »Non. Ecoutez je ne voulais pas faire ressortir des vieux souvenir aussi douloureux que sa.
E : Ce n’est pas grave vous ne saviez pas mais se qui ma énerver c’est que vous vouliez tellement le savoir et puis aussi avec les hormones.
J : Elizabeth si j’avais su jamais je ne vous en aurez parlé vous savez.
E : Oui je me doute.
J : Vous allez trouver sa peut-être indiscret mais, de quoi et-il mort ? Je comprendrais si vous ne voulez pas en parlez.
E : Si en faite il c’est étrangler avec le cordon.
J : Sa a du être dur.
E : Sa la était. En plus j’étais toute seul pour le surmonter.
J : Ah bon ? Et le père ? Et vos parents ?
E : « acquissent un petit sourire » Le père, lui, c’est qu’un enfoiré de première et mes parents eux n’ont plus jamais voulut entendre parler de moi quand j’ai quitté la maison à 18 ans.
J : Sa n’a pas du être facile pour vous.
E : Non c’est sur. J’avais ma sœur qui venait me voir de temps en temps quand elle a apprit que j’avais perdu mon enfant mais après quand elle c’est marié elle et parti vivre en Italie et je n’ai plus eu de ces nouvelle. Heureusement que j’avais des amis ils étaient là.
J : Ne vous inquiétez pas tout va bien se passer cette fois.
E : Oui mais j’ai quand même peur, si jamais il m’arrivait la même chose je ne suis pas sur que je supporterais.
J : Si vous y arriveriez, on sera là.
Elizabeth le regarda et John vit de la peur dans son regard.
J : Venait là.
Il lui présenta son épaule et elle y mit sa tête dessus, John, lui, passa un bras autour de sa taille.
J : Ne vous inquiétez pas Elizabeth je serai toujours là si vous avez un problème et même quand le bébé sera là.
Elizabeth releva la tête et ce retrouva à quelque centimètre de celle de John.
E : Merci John.
J: Pourquoi?
E: D’être là pour moi.
J : Mais c ‘est un réelle plaisir.
Leurs regards c’était accroché et tout doucement leurs visages se rapprochèrent jusqu’à ce que leur levres se frôle puis ils s’embrassèrent passionnément. Ils se séparèrent quelques minutes plus tard.
J : Ne t’inquiète pas Elizabeth je serai toujours là pour toi et pour le bébé. Je t’aime.
E : Moi aussi je t’aime.
Ils s’embrassèrent de nouveau puis John dit.
J : On devrait allez à l’infirmerie autrement Carson ve sa demandé se qu’on fabrique.
E : Oui tu as raison.
John se leva puis aida Elizabeth et ils partirent vers l’infirmerie. Quand Carson les vits il leur dit assez contrarier.
E : Laissez moi.
J : « s’asseyant à côté d’elle »Non. Ecoutez je ne voulais pas faire ressortir des vieux souvenir aussi douloureux que sa.
E : Ce n’est pas grave vous ne saviez pas mais se qui ma énerver c’est que vous vouliez tellement le savoir et puis aussi avec les hormones.
J : Elizabeth si j’avais su jamais je ne vous en aurez parlé vous savez.
E : Oui je me doute.
J : Vous allez trouver sa peut-être indiscret mais, de quoi et-il mort ? Je comprendrais si vous ne voulez pas en parlez.
E : Si en faite il c’est étrangler avec le cordon.
J : Sa a du être dur.
E : Sa la était. En plus j’étais toute seul pour le surmonter.
J : Ah bon ? Et le père ? Et vos parents ?
E : « acquissent un petit sourire » Le père, lui, c’est qu’un enfoiré de première et mes parents eux n’ont plus jamais voulut entendre parler de moi quand j’ai quitté la maison à 18 ans.
J : Sa n’a pas du être facile pour vous.
E : Non c’est sur. J’avais ma sœur qui venait me voir de temps en temps quand elle a apprit que j’avais perdu mon enfant mais après quand elle c’est marié elle et parti vivre en Italie et je n’ai plus eu de ces nouvelle. Heureusement que j’avais des amis ils étaient là.
J : Ne vous inquiétez pas tout va bien se passer cette fois.
E : Oui mais j’ai quand même peur, si jamais il m’arrivait la même chose je ne suis pas sur que je supporterais.
J : Si vous y arriveriez, on sera là.
Elizabeth le regarda et John vit de la peur dans son regard.
J : Venait là.
Il lui présenta son épaule et elle y mit sa tête dessus, John, lui, passa un bras autour de sa taille.
J : Ne vous inquiétez pas Elizabeth je serai toujours là si vous avez un problème et même quand le bébé sera là.
Elizabeth releva la tête et ce retrouva à quelque centimètre de celle de John.
E : Merci John.
J: Pourquoi?
E: D’être là pour moi.
J : Mais c ‘est un réelle plaisir.
Leurs regards c’était accroché et tout doucement leurs visages se rapprochèrent jusqu’à ce que leur levres se frôle puis ils s’embrassèrent passionnément. Ils se séparèrent quelques minutes plus tard.
J : Ne t’inquiète pas Elizabeth je serai toujours là pour toi et pour le bébé. Je t’aime.
E : Moi aussi je t’aime.
Ils s’embrassèrent de nouveau puis John dit.
J : On devrait allez à l’infirmerie autrement Carson ve sa demandé se qu’on fabrique.
E : Oui tu as raison.
John se leva puis aida Elizabeth et ils partirent vers l’infirmerie. Quand Carson les vits il leur dit assez contrarier.
Re: Ah l'amour!!!lol
C : Oui étiez vous sa fait un moment que je vous attend ?
E : On avait un petit point à éclaircire. Bon comment vont toute les femmes Carson ?
C : Elles vont bien, elles sont toute enceintes de 6 mois donc à mon avis vous aussi.
E : Alors je suis pas obliger de passé les examens.
C : Oh que si vous allez les passés on ne sait jamais avec se qui vous ai arrivé dans le passé je préfère être prudent.
E : Bon d’accord.
J : « tout bas à Liz » Il est au courant pour ton histoire ?
E : John il est medecin il a nos dossiers.
J : Ah oui que je suis bête.
C : Bon Elizabeth vous êtes prête ?
E : Oui Carson.
Elizabeth alla avec Carson pour faire ces examens.
E : « pendant qu’il l’examiner » Carson vous viendrez avec moi après il faut qu’on sache se qu’il c’est passé.
C : Je suis obligé ? Non je demande car j’ai toutes les analyses à faire.
E : Quelqu’un les fera à votre place.
C : Bon d’accord.
Carson lui fit ces examens puit ils partirent vers la salle. Quand ils arrivèrent ils virent qu’il y avait John et Rodney qui se disputés.
J : Et moi je vous dit que c’est la meilleur.
E : Alors encore entrain de ce disputé ?
J : Non c’est juste que nous n’avons pas les même goût alors nous sommes en désaccord.
E : Ah sa doit être encore à propos du foot je présume ?
J : Oui c’est encore de ça car Monsieur je suis le plus intelligent n’en fait qu’à sa tête.
E : Bon vous allez arrêter d’accord ? On va tout reprendre avec Carson donc je vous prierez de vous taire et d’arrêter de vous chamailler pour rien.
Ils mirent 1h30 pour tous déchiffrer et à la fin Elizabeth dit.
E : Bon si notre traduction avec Carson et exacte nous savons à quoi servait cette machine.
C : Et c’est fascinant.
E : Dite sa pour vous.
J : Bon c’est quoi que vous avez découvert.
E : EN faite cette machine c’est……comment expliqué.
C : Une machine pour aider les couples.
E : Oui voilà c’est tout à fait sa.
J : Qui aide les couples ? On aura tout vu. Et pourquoi toutes les femmes sont enceintes si, normalement, sa touche que les couples ?
C : Et ben je pense que au fond d’elles toute les aime un homme sur la citée.
R : Et alors comment sa se fait qu’elles soit enceintes ?
E : Apparemment, si j’ai bien comprit, c’est la machine qui fait ça.
R : Et comment fait-elle sa ?
E : On Rodney je vais pas vous faire un dessin elle touche d’abord les hommes avec son flache puis après les femmes. Sa va vous avez comprit ?
R : Oui je pense. Mais pourquoi toutes les femmes sont enceintes de 6 mois ? Normalement elles ne devraient être enceinte que de quelque semaine voir jours ?
E : Oui apparemment elles sont enceintes du nombre d’heures où elles sont restées inconscientes.
J : Oula je n’ai pas tout compris là.
E : Bon on est toute enceintes de 6 mois car on est resté inconscientes 6h ont auraient était inconscientes 3h on aurais était enceinte de 3 mois tu comprend ?
Elizabeth s’arrêta net à la fin de sa phrase. Elle avait fait une énorme gaffe.
R : Vous l’avez tutoyé ?
E : On avait un petit point à éclaircire. Bon comment vont toute les femmes Carson ?
C : Elles vont bien, elles sont toute enceintes de 6 mois donc à mon avis vous aussi.
E : Alors je suis pas obliger de passé les examens.
C : Oh que si vous allez les passés on ne sait jamais avec se qui vous ai arrivé dans le passé je préfère être prudent.
E : Bon d’accord.
J : « tout bas à Liz » Il est au courant pour ton histoire ?
E : John il est medecin il a nos dossiers.
J : Ah oui que je suis bête.
C : Bon Elizabeth vous êtes prête ?
E : Oui Carson.
Elizabeth alla avec Carson pour faire ces examens.
E : « pendant qu’il l’examiner » Carson vous viendrez avec moi après il faut qu’on sache se qu’il c’est passé.
C : Je suis obligé ? Non je demande car j’ai toutes les analyses à faire.
E : Quelqu’un les fera à votre place.
C : Bon d’accord.
Carson lui fit ces examens puit ils partirent vers la salle. Quand ils arrivèrent ils virent qu’il y avait John et Rodney qui se disputés.
J : Et moi je vous dit que c’est la meilleur.
E : Alors encore entrain de ce disputé ?
J : Non c’est juste que nous n’avons pas les même goût alors nous sommes en désaccord.
E : Ah sa doit être encore à propos du foot je présume ?
J : Oui c’est encore de ça car Monsieur je suis le plus intelligent n’en fait qu’à sa tête.
E : Bon vous allez arrêter d’accord ? On va tout reprendre avec Carson donc je vous prierez de vous taire et d’arrêter de vous chamailler pour rien.
Ils mirent 1h30 pour tous déchiffrer et à la fin Elizabeth dit.
E : Bon si notre traduction avec Carson et exacte nous savons à quoi servait cette machine.
C : Et c’est fascinant.
E : Dite sa pour vous.
J : Bon c’est quoi que vous avez découvert.
E : EN faite cette machine c’est……comment expliqué.
C : Une machine pour aider les couples.
E : Oui voilà c’est tout à fait sa.
J : Qui aide les couples ? On aura tout vu. Et pourquoi toutes les femmes sont enceintes si, normalement, sa touche que les couples ?
C : Et ben je pense que au fond d’elles toute les aime un homme sur la citée.
R : Et alors comment sa se fait qu’elles soit enceintes ?
E : Apparemment, si j’ai bien comprit, c’est la machine qui fait ça.
R : Et comment fait-elle sa ?
E : On Rodney je vais pas vous faire un dessin elle touche d’abord les hommes avec son flache puis après les femmes. Sa va vous avez comprit ?
R : Oui je pense. Mais pourquoi toutes les femmes sont enceintes de 6 mois ? Normalement elles ne devraient être enceinte que de quelque semaine voir jours ?
E : Oui apparemment elles sont enceintes du nombre d’heures où elles sont restées inconscientes.
J : Oula je n’ai pas tout compris là.
E : Bon on est toute enceintes de 6 mois car on est resté inconscientes 6h ont auraient était inconscientes 3h on aurais était enceinte de 3 mois tu comprend ?
Elizabeth s’arrêta net à la fin de sa phrase. Elle avait fait une énorme gaffe.
R : Vous l’avez tutoyé ?
Re: Ah l'amour!!!lol
E : Euh non pas que je me souvienne.
C : Si Elizabeth.
R : Vous nous l’aviez caché ?
J : Cachez quoi ?
R : Le fait que vous sortiez ensemble quoi que on savait tous que vous terminerez ensemble mais quand même vous auriez pu nous le dire.
J : Comment ca vous saviez tous qu’ont allaient finir ensemble ?
R : Oh tout le monde le voyait vous êtes tous le temps entrain de la protéger et elle, elle vous passe tous vos caprices.
J : C’est pas vrai elle me passe pas tous.
R : Si.
J : Non.
E : Bon vous n’allez pas bataillés pendant 1h. Bon je propose que vous cherchiez qui sont les pères des enfants.
C : Quoi ? De tous le monde ?
E : Oui pourquoi il y a un problème ?
C : Ben un peu vous imaginez le nombre de personnes que je vais devoir essayé pour savoir qui sont les pères ? Quoi que pour certain sa devrait être facile.
E : Et ben vous trouverez le temps Carson.
C : Bon alors je vais me mettre au travail maintenant alors.
Il parti et laissa seul Rodney, John et Elizabeth.
R : Bon et ben moi je vais allez dans mon labo car j’ai d’autres trucs a faire.
Rodney parti lui aussi.
J : Alors tout va bien ?
E : oui pourquoi veux tu qu’il y est un problème ?
J : Je parler du bébé.
E : Ah oui tout va bien. Il est en plein forme.
John sourit à Elizabeth.
E : Bon je vais retourné travailler car j’ai du travaille.
J : Oui je viens avec toi.
E : Ok.
Dans le couloir qui menait au bureau d’Elizabeth.
E : « en s’arrêtant brusquement » Au putain !
J : « inquiet » Quoi ?
E : Caldwell. Je sens qu’il ne va pas apprécier tous ses changements.
J : Ah oui et ben il aura rien à dire vu que c’est la faute de la machine.
E : oui mais va falloir faire un rapport et ils vont savoir comment la machine marche donc ils vont en déduire que tous les membres de l’expédition ressentes des choses les uns pou les autres.
J : Ola on se calme ok il faut te ménager ok ? Bon Caldwell il n’aura pas on mot a dire d’accord ?
E : Oui mais il va pas apprécier.
J : Et alors ? On ne peut pas revenir en arrière je suis désoler pour lui. Bon tu te calme ?
E : Oui c’est bon.
J : Et ben dit donc toi les hormones sa te réussi pas.
Pour toute réponse il reçu une tape sur l’épaule.
J : Quoi c’est vrai.
E : Bon ta fini oui de dire des bêtises oui.
Arriver à la salle de contrôle il virent Caldwell qui les attendaient de pied ferme dans le bureau d’Elizabeth.
E : Oula ça sens mauvais je te l’avait dit.
J : Calme si il dit un truc de travers je m’en, occupe.
Elizabeth lui sourit puis ils rentrèrent dans le bureau.
E : « comme sa de rien n’était et en s’asseyant derrière son bureau » Colonel vous êtes arrivé ? Vous avez fait bon voyage ?
Ca (Caldwell): Ne vous moquez pas de moi j’ai bien vu tous les changements qu’il y a eu pendant mon absence.
E : Au vous voulez parlé de cette petite mésaventure qui nous est arrivé.
Ca : Petite ? Petite ? Non mais vous vous moquez de moi ?
J : Et oh ne lui parler pas comme ça.
Ca : Ecoutez je cois que vous ne voyez pas l’ampleur des dégâts qu’il y a.
E : « s’énervant » Si je le vois bien car j’en fait parti.
Ca : Et comment toutes les femmes de la citées ont-elles pu tombés enceintes ?
E : A cause d’une machine mais vous aurez mon rapport donc patienter.
Caldwell parti un peu furieux de ne pas avoir eu la réponse qu’il souhaite.
E : Là je crois qu’il a pas apprécié.
J : Et alors il ne peut toujours pas avoir ce qu’il veut.
E : Oui tu as raison. Bon je vais faire sont rapport comme sa ça sera fait.
J : Bon et ben je vais te laissez et allez voir comment va Teyla.
E : Oui a tout à l’heure.
Il parti voir Teyla laissant Elizabeth à ces rapports. Quand il arriva où était Teyla il la vit avec Ronon et ne pu pas s’empêché de penser qu’ils faisaient un très beau couple tous les deux.
J : Alors Teyla vous allez bien ?
T : Oui John merci de demander.
J : Mais c’est avec plaisir.
T : Comment va Elizabeth ?
J : Bien a par que si elle continue elle va nous faire une dépression mais autrement sa va.
T : Une dépression et pourquoi ?
J : Oh on va dire que Caldwell la un peu énervé à cause de cette histoire.
T : Mais se n’est pas de ca faute.
J : Oui je sais mais allez expliqué sa à Caldwell.
T : Non sans facon.
J : Bon je vais pas vous embêtez plus longtemps.
Ro : Oh mais vous dérangez pas.
J : Oui mais je doit allez finir des rapports alors mieux vaut allez les finires car les hormones à Elizabeth sa lui réussi pas trop.
Teyla et Ronon sourirent à cette réplique puis John parti faire ces rapports.
John mit 3h pour finir tous les rapports qu’il avait en retard (et oui qu’elle fenian) puis il parti les amenés à Elizabeth.
C : Si Elizabeth.
R : Vous nous l’aviez caché ?
J : Cachez quoi ?
R : Le fait que vous sortiez ensemble quoi que on savait tous que vous terminerez ensemble mais quand même vous auriez pu nous le dire.
J : Comment ca vous saviez tous qu’ont allaient finir ensemble ?
R : Oh tout le monde le voyait vous êtes tous le temps entrain de la protéger et elle, elle vous passe tous vos caprices.
J : C’est pas vrai elle me passe pas tous.
R : Si.
J : Non.
E : Bon vous n’allez pas bataillés pendant 1h. Bon je propose que vous cherchiez qui sont les pères des enfants.
C : Quoi ? De tous le monde ?
E : Oui pourquoi il y a un problème ?
C : Ben un peu vous imaginez le nombre de personnes que je vais devoir essayé pour savoir qui sont les pères ? Quoi que pour certain sa devrait être facile.
E : Et ben vous trouverez le temps Carson.
C : Bon alors je vais me mettre au travail maintenant alors.
Il parti et laissa seul Rodney, John et Elizabeth.
R : Bon et ben moi je vais allez dans mon labo car j’ai d’autres trucs a faire.
Rodney parti lui aussi.
J : Alors tout va bien ?
E : oui pourquoi veux tu qu’il y est un problème ?
J : Je parler du bébé.
E : Ah oui tout va bien. Il est en plein forme.
John sourit à Elizabeth.
E : Bon je vais retourné travailler car j’ai du travaille.
J : Oui je viens avec toi.
E : Ok.
Dans le couloir qui menait au bureau d’Elizabeth.
E : « en s’arrêtant brusquement » Au putain !
J : « inquiet » Quoi ?
E : Caldwell. Je sens qu’il ne va pas apprécier tous ses changements.
J : Ah oui et ben il aura rien à dire vu que c’est la faute de la machine.
E : oui mais va falloir faire un rapport et ils vont savoir comment la machine marche donc ils vont en déduire que tous les membres de l’expédition ressentes des choses les uns pou les autres.
J : Ola on se calme ok il faut te ménager ok ? Bon Caldwell il n’aura pas on mot a dire d’accord ?
E : Oui mais il va pas apprécier.
J : Et alors ? On ne peut pas revenir en arrière je suis désoler pour lui. Bon tu te calme ?
E : Oui c’est bon.
J : Et ben dit donc toi les hormones sa te réussi pas.
Pour toute réponse il reçu une tape sur l’épaule.
J : Quoi c’est vrai.
E : Bon ta fini oui de dire des bêtises oui.
Arriver à la salle de contrôle il virent Caldwell qui les attendaient de pied ferme dans le bureau d’Elizabeth.
E : Oula ça sens mauvais je te l’avait dit.
J : Calme si il dit un truc de travers je m’en, occupe.
Elizabeth lui sourit puis ils rentrèrent dans le bureau.
E : « comme sa de rien n’était et en s’asseyant derrière son bureau » Colonel vous êtes arrivé ? Vous avez fait bon voyage ?
Ca (Caldwell): Ne vous moquez pas de moi j’ai bien vu tous les changements qu’il y a eu pendant mon absence.
E : Au vous voulez parlé de cette petite mésaventure qui nous est arrivé.
Ca : Petite ? Petite ? Non mais vous vous moquez de moi ?
J : Et oh ne lui parler pas comme ça.
Ca : Ecoutez je cois que vous ne voyez pas l’ampleur des dégâts qu’il y a.
E : « s’énervant » Si je le vois bien car j’en fait parti.
Ca : Et comment toutes les femmes de la citées ont-elles pu tombés enceintes ?
E : A cause d’une machine mais vous aurez mon rapport donc patienter.
Caldwell parti un peu furieux de ne pas avoir eu la réponse qu’il souhaite.
E : Là je crois qu’il a pas apprécié.
J : Et alors il ne peut toujours pas avoir ce qu’il veut.
E : Oui tu as raison. Bon je vais faire sont rapport comme sa ça sera fait.
J : Bon et ben je vais te laissez et allez voir comment va Teyla.
E : Oui a tout à l’heure.
Il parti voir Teyla laissant Elizabeth à ces rapports. Quand il arriva où était Teyla il la vit avec Ronon et ne pu pas s’empêché de penser qu’ils faisaient un très beau couple tous les deux.
J : Alors Teyla vous allez bien ?
T : Oui John merci de demander.
J : Mais c’est avec plaisir.
T : Comment va Elizabeth ?
J : Bien a par que si elle continue elle va nous faire une dépression mais autrement sa va.
T : Une dépression et pourquoi ?
J : Oh on va dire que Caldwell la un peu énervé à cause de cette histoire.
T : Mais se n’est pas de ca faute.
J : Oui je sais mais allez expliqué sa à Caldwell.
T : Non sans facon.
J : Bon je vais pas vous embêtez plus longtemps.
Ro : Oh mais vous dérangez pas.
J : Oui mais je doit allez finir des rapports alors mieux vaut allez les finires car les hormones à Elizabeth sa lui réussi pas trop.
Teyla et Ronon sourirent à cette réplique puis John parti faire ces rapports.
John mit 3h pour finir tous les rapports qu’il avait en retard (et oui qu’elle fenian) puis il parti les amenés à Elizabeth.
Re: Ah l'amour!!!lol
Quand il arriva à son bureau il la vit pencher sur une piles de feuilles et se dit que même enceinte elle ne changeait pas ces habitudes.
J : Alors on travail bien ?
E : Oh John c’est toi.
J : Oui c’est moi et je n’aime pas que tu es autant de travail à faire.
E : Oh ca c’est rien par rapport à d’habitude. Que me vaut ta venue ?
J : Et ben je t’amène les rapports que j’avais en retard.
E : En retard ? Tu croix que je n’ai pas assez de travail pour que tu m’amène tous tes rapports d’on y en a qui date d’au moins 8 mois ?
J : Je peux t’aidé si il faut.
E : Tu ferais ca ?
J : Bien sur qu’est ce que je ne ferai pas pour toi.
Elizabeth lui sourit puis il prit une chaise et s’assit à côté de lui.
J : Tu vas voir en 1h on aura tous fini.
E : Mais bien sur à mon avis on en a jusqu’à 22h.
J : Mais non il est..qu’elle heure il est déjà ?
E : 17h.
J : Oui et ben à 19h maximum au auras tous fini.
E : Si tu l’dit.
Ils se mirent au travail et comme l’avait dit Elizabeth ils en hures jusqu’à 22h.
E : Ouf enfin fini et comme je te lavait dit on en a eu jusqu’à 22h.
J : Ouai tu avais raison la prochaine fois je t’écouterais.
E : « en lui souriant » Si seulement tu m’écoutais tout le temps.
J : Et je t’écoute.
E : Mais bien sur tu veux que je te rappel tous les moments ou tu m’a désobéie ?
J : Oui j’aimerais bien savoir.
E : Alors il y a toute les fois ou tu es parti car tu avaient flashé sur une fille et aussi quand tu avait une idée pour délivré l’équipe du
Major Lorne alors que je t’avais dit comment faire. Tu veux que je continue ?
J : « boudant » Non sa va j’ai compris.
E : Bon ce n’est pas pour râler mais moi j’ai faim.
J : Oui on y va.
Ils partirent tous les deux vers le mess et quand ils arrivèrent il n’y avait personne donc il partirent aux cuisines pour se préparé quelque chose enfin plutot Elizabeth car John n’était pas très fort en cuisine.
J : Et ben dit dont t’es doué en cuisine.
E : Non pas tellement je me débrouille c’est tout.
J : « en se mettant derrière elle et en l’enlaçant » Et ben tu te débrouille très bien même.
E : John tu veux bien me laisser préparer ?
J : « en lui donnant des baisers dans le cou »Je sais pas.
E : « souriant » John s’il te plait.
J : Mais j’aime bien t’avoir toi et le bébé dans mes bras.
E : Bon tu me lâche pour qu’on puisse allez mangé ?
J : « soupirant » Ok.
Ils partirent vers une table tous les deux pour manger.
J : Tu cuisine super bien dit moi.
E : Si tu le dis.
J : Bien sur que je le dis. Et tu es doué en quoi encore ?
Elizabeth leva ça tête vers John en le regardant d’un oeil.
J : Quoi ? J’ai dit quelque chose qui ne fallait pas ?
E : Tu as remarqué les sous entendus que tu vient de dire ?
J : Qui sa ? Moi ? « Souriant »Non je n’oserez pas voyons.
E : « levant les yeux au ciel » Quel pervers celui là.
J : « se défendant »Je suis pas pervers.
E : Mais bien sur ! Et moi je suis la reine Elizabeth.
J : Elizabeth tu l’es reine tu l’es aussi.
E : Je suis pas sur qu’on es la même définition du mot reine.
J : « en lui souriant »Ben si tu es ma reine à moi.
E : Oh mais quel romantique je ne vous connaissez pas comme ca Colonel.
J : « avec de gros sous entendus » Et encore vous n’avez rien vu Docteur.
E : « rentrant dans son jeux » Ah oui ? Et que dois je encore découvrir?
J : Que je suis un joueur.
E : Un joueur ? Et vous jouer a quoi ?
J : Sa dépend de se que j’ai dans la tête.
E : Et qu’avait vous en tête Colonel ?
J : Dans l’immédiat "Docteur"j’airais l’idée de jouer au Docteur avec vous.
E : Et qui fera le rôle du Docteur ?
J : Sa dépend.
E : Sa dépend de quoi ?
J : De toi bien sur.
E : Et pourquoi de moi ?
J : Car c’et toi qui doit me laissez le rôle du Docteur pour une nuit.
E : « lui souriant » Je sais pas ? As tu étais sage pour le mérité ?
J : Oh que oui je l’ai étais .
E : Alors c’est oui.
J : « se raprochant d’elle dangereusement » Alors attention Docteur car maintenant vous prenez le rôle du patient.
Des qu’il eu fini sa phrase il se jeta sur elle et l’embrassa. Elizabeth répondit à son baiser.
E : John je crois qu’il vaut mieux évité de faire sa là tu crois pas ?
J : Et pourquoi pas ? On serai les premiers.
E : Peut-être mais je n’ai pas envie que quelqu’un nous surprenne.
J : Ok.
John la prit dans ces bras et la conduisis jusque dans ces quartiers. (bon je vous raconte pas la suite tous le monde sais comment se déroule le jeux du docteur )
J : Alors on travail bien ?
E : Oh John c’est toi.
J : Oui c’est moi et je n’aime pas que tu es autant de travail à faire.
E : Oh ca c’est rien par rapport à d’habitude. Que me vaut ta venue ?
J : Et ben je t’amène les rapports que j’avais en retard.
E : En retard ? Tu croix que je n’ai pas assez de travail pour que tu m’amène tous tes rapports d’on y en a qui date d’au moins 8 mois ?
J : Je peux t’aidé si il faut.
E : Tu ferais ca ?
J : Bien sur qu’est ce que je ne ferai pas pour toi.
Elizabeth lui sourit puis il prit une chaise et s’assit à côté de lui.
J : Tu vas voir en 1h on aura tous fini.
E : Mais bien sur à mon avis on en a jusqu’à 22h.
J : Mais non il est..qu’elle heure il est déjà ?
E : 17h.
J : Oui et ben à 19h maximum au auras tous fini.
E : Si tu l’dit.
Ils se mirent au travail et comme l’avait dit Elizabeth ils en hures jusqu’à 22h.
E : Ouf enfin fini et comme je te lavait dit on en a eu jusqu’à 22h.
J : Ouai tu avais raison la prochaine fois je t’écouterais.
E : « en lui souriant » Si seulement tu m’écoutais tout le temps.
J : Et je t’écoute.
E : Mais bien sur tu veux que je te rappel tous les moments ou tu m’a désobéie ?
J : Oui j’aimerais bien savoir.
E : Alors il y a toute les fois ou tu es parti car tu avaient flashé sur une fille et aussi quand tu avait une idée pour délivré l’équipe du
Major Lorne alors que je t’avais dit comment faire. Tu veux que je continue ?
J : « boudant » Non sa va j’ai compris.
E : Bon ce n’est pas pour râler mais moi j’ai faim.
J : Oui on y va.
Ils partirent tous les deux vers le mess et quand ils arrivèrent il n’y avait personne donc il partirent aux cuisines pour se préparé quelque chose enfin plutot Elizabeth car John n’était pas très fort en cuisine.
J : Et ben dit dont t’es doué en cuisine.
E : Non pas tellement je me débrouille c’est tout.
J : « en se mettant derrière elle et en l’enlaçant » Et ben tu te débrouille très bien même.
E : John tu veux bien me laisser préparer ?
J : « en lui donnant des baisers dans le cou »Je sais pas.
E : « souriant » John s’il te plait.
J : Mais j’aime bien t’avoir toi et le bébé dans mes bras.
E : Bon tu me lâche pour qu’on puisse allez mangé ?
J : « soupirant » Ok.
Ils partirent vers une table tous les deux pour manger.
J : Tu cuisine super bien dit moi.
E : Si tu le dis.
J : Bien sur que je le dis. Et tu es doué en quoi encore ?
Elizabeth leva ça tête vers John en le regardant d’un oeil.
J : Quoi ? J’ai dit quelque chose qui ne fallait pas ?
E : Tu as remarqué les sous entendus que tu vient de dire ?
J : Qui sa ? Moi ? « Souriant »Non je n’oserez pas voyons.
E : « levant les yeux au ciel » Quel pervers celui là.
J : « se défendant »Je suis pas pervers.
E : Mais bien sur ! Et moi je suis la reine Elizabeth.
J : Elizabeth tu l’es reine tu l’es aussi.
E : Je suis pas sur qu’on es la même définition du mot reine.
J : « en lui souriant »Ben si tu es ma reine à moi.
E : Oh mais quel romantique je ne vous connaissez pas comme ca Colonel.
J : « avec de gros sous entendus » Et encore vous n’avez rien vu Docteur.
E : « rentrant dans son jeux » Ah oui ? Et que dois je encore découvrir?
J : Que je suis un joueur.
E : Un joueur ? Et vous jouer a quoi ?
J : Sa dépend de se que j’ai dans la tête.
E : Et qu’avait vous en tête Colonel ?
J : Dans l’immédiat "Docteur"j’airais l’idée de jouer au Docteur avec vous.
E : Et qui fera le rôle du Docteur ?
J : Sa dépend.
E : Sa dépend de quoi ?
J : De toi bien sur.
E : Et pourquoi de moi ?
J : Car c’et toi qui doit me laissez le rôle du Docteur pour une nuit.
E : « lui souriant » Je sais pas ? As tu étais sage pour le mérité ?
J : Oh que oui je l’ai étais .
E : Alors c’est oui.
J : « se raprochant d’elle dangereusement » Alors attention Docteur car maintenant vous prenez le rôle du patient.
Des qu’il eu fini sa phrase il se jeta sur elle et l’embrassa. Elizabeth répondit à son baiser.
E : John je crois qu’il vaut mieux évité de faire sa là tu crois pas ?
J : Et pourquoi pas ? On serai les premiers.
E : Peut-être mais je n’ai pas envie que quelqu’un nous surprenne.
J : Ok.
John la prit dans ces bras et la conduisis jusque dans ces quartiers. (bon je vous raconte pas la suite tous le monde sais comment se déroule le jeux du docteur )
Re: Ah l'amour!!!lol
Le lendemain Elizabeth se réveilla en première car le bébé lui donné des coûts. Elle se leva en silence pour ne pas réveillé John, s’enroula dans un drap et sorti sur le balcon les mains posé sur son ventre.
E : Bon on se calme je sais qui est ton père mais se n’est pas la peine de faire comme lui.
Du côté de John il se réveilla doucement et ne sentant pas la présence d’Elizabeth commença à s’inquiété mais il la vit, sur le balcon, entrain de parlé au bébé. Il trouvé sa trop mignon puis décida de la rejoindre.
J : « l’enlacent » Alors on parle au bébé ?
E : Oui parce qu’il est comme sont père il n’en fait qu’à sa tête.
J : Je n’en fait pas qu’à ma tête.
E : Ben si quand même.
J : Bon j’avous que des fois oui j’en fait qu’à ma tête.
E : J’avais raison. Bon tu veux pas essayer de le calmé ?
J : « posant ces mains sur le ventre d’Elizabeth » Bon mon petit tu as interet à laissé ta mère ou je me fâche c’est compris ?
Elizabeth rigola à la réplique de John.
J : Quoi j’ai pas raison ?
E : Si tu as tout à fait raison. Tien il ta écouté il c’est arrêter.
J : Bien sur il sais qui commande ici.
E : Et ben c’est pas toi.
J : SI c’est moi.
E : « souriant de plus belle »Non tu oublie que tu es sous mes ordres.
J : Mais en dehors c’est moi qui commande.
E : « se retournant vers lui mais toujours dans ces bras » Mais bien sur mon chérie.
Ils s’embrassèrent jusqu’à ce qu’ils entendent un appel radio disant qu’ils devaient se rendre à l’infirmerie.
Ils s’habillèrent en vitesse puis se rendirent à l’infirmerie.
Quand ils arrivèrent ils virent Rodney et Carson qui était dans le bureau de ce dernier.
J : Alors pourquoi nous avoir dérangés ?
R : Ah vous en avait mit du temps.
J : Désolé ont étaient occupés.
R : Sa devait être très important ;
J : Oui sa l’était.
E : « les coupant tous les deux » Bon vous arrêter oui vous allez pas bataillé pour sa quand même. Carson qu’avaient vous découvert ?
C : Nous avons découvert pourquoi TOUTE les femmes d’Atlantis sont enceinte.
J : Et pourquoi ?
R : Ah cause de la guerre.
E : de la guerre ?
R : Oui en faite cette machine servait quand il y avait de grand moment de guerre qui s’annoncé.
E : Oui mais pourquoi ils ont inventaient cette machine, je veux dire c’est débile de faire maîtres des enfants pendant la guerre.
C : Pas temps que sa.
E : Bon arrêter de tournés autour du pot et dite nous se que vous savez.
R : En faite c’est dur à expliquer mais je vais essayer. Donc vous savez que pendant le des anciens les Wairths prennent le maximum de gens pour pouvoir tenir le siège ?
E : Oui et alors ?
R : Attendait, vous savez aussi que les anciens faisaient des voyages avec des vaisseaux pour essayer de sauver le plus de personne.
J : Oui et alors ?
R : Et ben des fois les Wairths arraisonnaient les vaisseaux des anciens, vu qu’il y avait beaucoup de monde.
J : Bon, et alors ?
R : Vous avez fini avec vos "Et alors" ?
E : Oui mais continué.
R : En faite plus ils arraisonnaient de vaisseaux plus ils avaient de personnes et aussi des anciens donc moins de monde sur Atlantis.
E : Je ne vois pas le rapport avec des enfants.
C : Si en fait si toutes les femmes qui était sur Atlantis porté un enfant, ou même voir deux des fois, la citée se peuplerait assez vite.
J : Vous voulez dire que les anciens on crées cette machine pour pouvoir, en temps de guerre, avoir plus de personnes ?
R : Oui voilà.
E : Mais c’est absurde.
R : Et pourquoi sa ?
E : parce qu’un enfant sa ne grandit pas en 1h.
R : Si car la machine à deux fonction, celle de crée et celle de faire grandir les êtres humains.
J : Et ben moi qui croyais que les anciens étaient plus intelligents que ca je me suis trompé.
C : C’est intelligent.
J : Je ne vois pas en quoi.
R : Sa peut très bien servir pour des femmes qui ne peuvent pas avoir d’enfant enfin plutot qui on des difficulté à concevoir.
E : Oui c’est sur que sa peut-être très pratique.
R : Il faudrait que l’on trouve comment elle fonctionne et on pourra en faire plusieurs pour les ramener sur Terre.
E : Ola on se calme Rodney il n’est pas question que l’on retouche à cette machine elle a déjà fait beaucoup de dégâts alors autant ne pas en rajoutés.
R : Mais Elizabeth…
E : Il n’y a pas de Mais qui tienne Rodney ma décision et prise « vers John » John tu veille à se que la porte soit condamné.
J : Ouai.
E : merci. Bon c’est pas tout mais moi j‘ai faim alors a plus tard.
J : Je vient avec toi.
Ils partirent puis Elizabeth se ravisa
E : Au fait Carson vous avez trouvé qui sont les pères des enfants ?
C : Oui il ne m’en reste plus que trois ou quatre et c’est bon.
E : Merci Carson.
Puis John et Elizabeth partirent ver le mess.
Dans le couloir John et Elizabeth n’arrêter pas de parler de tous et rien qui était des fois ponctués par ds rires de temps en temps jusqu’à que John s’arrêta brusquement.
E : John ?
Elizabeth n’obtenant pas de réponse commença à s’inquiéter.
E : John sa va ?
J : Tu veux m’épouser ?
Elizabeth se figea sur place, on aurait dit que le temps c’était arrêter de tourner.
E : « se reprenant » T’épouser ?
J : Ben oui pourquoi ?
E : Non mais tu te sans bien ?
J : Oui pourquoi ?
E : Non mais si tu te sans obliger envers moi et le bébé c’est pas la peine.
Puis elle parti mais John la rattrapa car il ne savait pas pourquoi elle avait réagie comme ça.
J : « marchant à côté d’elle »Pourquoi tu croit que je me s’en obligé envers toi et le bébé ?
E : Parce que.
J : Parce que quoi ?
E : Et ben parce que cette idée te vient comme ça quand je suis enceinte et prête à accouchée.
J : Oh tu ne va pas encore accouchée.
E : Non peut-être mais « s’arrêtant brusquement et triste se qui inquiéta John » mais pourquoi maintenant ?
J : Ben parce que je t’aime Elizabeth.
E : Oui et toi des qu’une femme et enceinte de toi et a qui tu lui à dit "Je t’aime "tu veux l’épouser ?
J : Non Elizabeth tu ne comprend pas je t’aime depuis longtemps mais le règlement nous l’interdisais….
E : Et alors le règlement et toujours là.
J : Oui mais maintenant il ne pourra rien nous dire à cause de l’enfant.
E : Bon on se calme je sais qui est ton père mais se n’est pas la peine de faire comme lui.
Du côté de John il se réveilla doucement et ne sentant pas la présence d’Elizabeth commença à s’inquiété mais il la vit, sur le balcon, entrain de parlé au bébé. Il trouvé sa trop mignon puis décida de la rejoindre.
J : « l’enlacent » Alors on parle au bébé ?
E : Oui parce qu’il est comme sont père il n’en fait qu’à sa tête.
J : Je n’en fait pas qu’à ma tête.
E : Ben si quand même.
J : Bon j’avous que des fois oui j’en fait qu’à ma tête.
E : J’avais raison. Bon tu veux pas essayer de le calmé ?
J : « posant ces mains sur le ventre d’Elizabeth » Bon mon petit tu as interet à laissé ta mère ou je me fâche c’est compris ?
Elizabeth rigola à la réplique de John.
J : Quoi j’ai pas raison ?
E : Si tu as tout à fait raison. Tien il ta écouté il c’est arrêter.
J : Bien sur il sais qui commande ici.
E : Et ben c’est pas toi.
J : SI c’est moi.
E : « souriant de plus belle »Non tu oublie que tu es sous mes ordres.
J : Mais en dehors c’est moi qui commande.
E : « se retournant vers lui mais toujours dans ces bras » Mais bien sur mon chérie.
Ils s’embrassèrent jusqu’à ce qu’ils entendent un appel radio disant qu’ils devaient se rendre à l’infirmerie.
Ils s’habillèrent en vitesse puis se rendirent à l’infirmerie.
Quand ils arrivèrent ils virent Rodney et Carson qui était dans le bureau de ce dernier.
J : Alors pourquoi nous avoir dérangés ?
R : Ah vous en avait mit du temps.
J : Désolé ont étaient occupés.
R : Sa devait être très important ;
J : Oui sa l’était.
E : « les coupant tous les deux » Bon vous arrêter oui vous allez pas bataillé pour sa quand même. Carson qu’avaient vous découvert ?
C : Nous avons découvert pourquoi TOUTE les femmes d’Atlantis sont enceinte.
J : Et pourquoi ?
R : Ah cause de la guerre.
E : de la guerre ?
R : Oui en faite cette machine servait quand il y avait de grand moment de guerre qui s’annoncé.
E : Oui mais pourquoi ils ont inventaient cette machine, je veux dire c’est débile de faire maîtres des enfants pendant la guerre.
C : Pas temps que sa.
E : Bon arrêter de tournés autour du pot et dite nous se que vous savez.
R : En faite c’est dur à expliquer mais je vais essayer. Donc vous savez que pendant le des anciens les Wairths prennent le maximum de gens pour pouvoir tenir le siège ?
E : Oui et alors ?
R : Attendait, vous savez aussi que les anciens faisaient des voyages avec des vaisseaux pour essayer de sauver le plus de personne.
J : Oui et alors ?
R : Et ben des fois les Wairths arraisonnaient les vaisseaux des anciens, vu qu’il y avait beaucoup de monde.
J : Bon, et alors ?
R : Vous avez fini avec vos "Et alors" ?
E : Oui mais continué.
R : En faite plus ils arraisonnaient de vaisseaux plus ils avaient de personnes et aussi des anciens donc moins de monde sur Atlantis.
E : Je ne vois pas le rapport avec des enfants.
C : Si en fait si toutes les femmes qui était sur Atlantis porté un enfant, ou même voir deux des fois, la citée se peuplerait assez vite.
J : Vous voulez dire que les anciens on crées cette machine pour pouvoir, en temps de guerre, avoir plus de personnes ?
R : Oui voilà.
E : Mais c’est absurde.
R : Et pourquoi sa ?
E : parce qu’un enfant sa ne grandit pas en 1h.
R : Si car la machine à deux fonction, celle de crée et celle de faire grandir les êtres humains.
J : Et ben moi qui croyais que les anciens étaient plus intelligents que ca je me suis trompé.
C : C’est intelligent.
J : Je ne vois pas en quoi.
R : Sa peut très bien servir pour des femmes qui ne peuvent pas avoir d’enfant enfin plutot qui on des difficulté à concevoir.
E : Oui c’est sur que sa peut-être très pratique.
R : Il faudrait que l’on trouve comment elle fonctionne et on pourra en faire plusieurs pour les ramener sur Terre.
E : Ola on se calme Rodney il n’est pas question que l’on retouche à cette machine elle a déjà fait beaucoup de dégâts alors autant ne pas en rajoutés.
R : Mais Elizabeth…
E : Il n’y a pas de Mais qui tienne Rodney ma décision et prise « vers John » John tu veille à se que la porte soit condamné.
J : Ouai.
E : merci. Bon c’est pas tout mais moi j‘ai faim alors a plus tard.
J : Je vient avec toi.
Ils partirent puis Elizabeth se ravisa
E : Au fait Carson vous avez trouvé qui sont les pères des enfants ?
C : Oui il ne m’en reste plus que trois ou quatre et c’est bon.
E : Merci Carson.
Puis John et Elizabeth partirent ver le mess.
Dans le couloir John et Elizabeth n’arrêter pas de parler de tous et rien qui était des fois ponctués par ds rires de temps en temps jusqu’à que John s’arrêta brusquement.
E : John ?
Elizabeth n’obtenant pas de réponse commença à s’inquiéter.
E : John sa va ?
J : Tu veux m’épouser ?
Elizabeth se figea sur place, on aurait dit que le temps c’était arrêter de tourner.
E : « se reprenant » T’épouser ?
J : Ben oui pourquoi ?
E : Non mais tu te sans bien ?
J : Oui pourquoi ?
E : Non mais si tu te sans obliger envers moi et le bébé c’est pas la peine.
Puis elle parti mais John la rattrapa car il ne savait pas pourquoi elle avait réagie comme ça.
J : « marchant à côté d’elle »Pourquoi tu croit que je me s’en obligé envers toi et le bébé ?
E : Parce que.
J : Parce que quoi ?
E : Et ben parce que cette idée te vient comme ça quand je suis enceinte et prête à accouchée.
J : Oh tu ne va pas encore accouchée.
E : Non peut-être mais « s’arrêtant brusquement et triste se qui inquiéta John » mais pourquoi maintenant ?
J : Ben parce que je t’aime Elizabeth.
E : Oui et toi des qu’une femme et enceinte de toi et a qui tu lui à dit "Je t’aime "tu veux l’épouser ?
J : Non Elizabeth tu ne comprend pas je t’aime depuis longtemps mais le règlement nous l’interdisais….
E : Et alors le règlement et toujours là.
J : Oui mais maintenant il ne pourra rien nous dire à cause de l’enfant.
Re: Ah l'amour!!!lol
Elizabeth ne dit rien mais John était encore inquiet qu’elle est réagis comme sa.
J : Elizabeth je ne sais pas pourquoi tu as peur mais il ne faut pas je serai toujours là pour toi.
E : Je sais mais sa me fait peur.
J : Pourquoi ?
E : Parce que j’ai peur que si on se marie ont oublis nos place dans la citée.
J : Elizabeth jamais je n’oublierai ma place.
E : Oui mais on sais jamais.
J : Ne t’inquiète pas bon peut-être que des fois j’aurai peur pour vous mais c’est normale je m’inquiète toujours pour toi même quand je suis en mission.
E: Ah bon ?
J: Oui j’ai peur que si Atlantis se fait attaquer je ne puisse pas être là pour te sauver.
Elizabeth lui sourit et John compris qu’elle c’était redonner confiance en elle.
E : oui je le veux.
J : « ne comprennent pas » Quoi ?
E : Aurais-tu déjà oublié ta question ?
J : « tous souriant et la prenant dans ces bras» Oh Elizabeth Weir je vous aime.
E : Moi aussi John.
Ils s’embrassèrent mais quand ils virent que sa allez dégénérer ils s’arrêtèrent vite.
J : Bon tu ne vous lais pas allez mangé ?
E : Si.
J : On y va alors.
Ils partirent main dans la main au mess.
3 mois plus tard
C’était un matin d’été comme les autres sur Atlantis, enfin pas comme les autres car depuis ce matin l’infirmerie était débordé car, malheureusement pour ce pauvre Carson, toutes les femmes accouchèrent ce jour là et c’était plus la cohue que le reste dans l’infirmerie.
J : Carson !
C : oui John qui a t’…
Il s’arrêta quand il vit John et Elizabeth arriver dans l’infirmerie.
C : Vous aussi ?
J : Oui elle aussi et on va dire que c’est comme quand elle était enceinte, enfin elle les encore théoriquement mais plus pour longtemps, enfin bref c’est comme quand elle est enceinte elle est très énervante.
E : Oh toi la ferme c’est en partie de ta faute si je suis comme ca.
J : Oh on va pas épiloguer pour sa.
C : Je suis désolé mais pour le moment je ne peux pas m’occuper de vous. Va falloir que vous attendiez.
E : Que j’attende ? Que j’attende ? Non mais vous voyez qui et le père ? Vous croyez que l’enfant va suivre mon chemin et attendre bien sagement ? Non Monsieur n’a décidé que d’en faire a ca tête et sa je les bien vu pendant ma grossesse.
C : Je suis vraiment désolé Elizabeth mais là je ne peux vraiment pas m’occuper de vous.
E : Et pourquoi sa ?
C : Parce que je m’occupe de Laura alors ou vous le faite patienter ou alors vous allez avec une infirmière.
E : Non sa va je vais réussir à attendre.
Elizabeth s’assit avec l’aide de John.
Et 1h plus tard Carson réapparut.
C : Bon allez Elizabeth venez vite avant que vous accouchiez dans le couloir.
Carson et John aidèrent Elizabeth à arriver jusque dans l’infirmerie et 1h30 plus tard elle accoucha d’un petit garçon du prénom de Matisse.
E : Ouf j’ai bien crut que jamais il allait sortir.
John : « lui souriant » Oui c’est sur il n’en avait pas trop envi à mon avis.
Vers 21h toute les femmes de la citée avait accouchée et la plupart étaient reparti dans leur chambre pour se reposer.
Les semaines qui suivirent les accouchements furent très durs pour tous le monde. Entre les enfants qu’ils pleuraient toute la nuit et les parents qui faisait passé leurs manque de sommeille dans leur humeurs cela donné un tous autre aspect à la citée et tous se du Dédale l’avait bien vu et surtout Caldwell qui trouver que la citée était moins bien dirigée depuis que Elizabeth avait eu Matisse et justement allais joué sur ca pour réussir à la faire partir sur Terre.
Ca : « rentrant dans son bureau »Dr Weir.
E : Colonel Caldwell le Dédale et arrivé quand ?
Ca : Il est arrivé il y a 5min mais nous vous avons prévenu, il y a 15 min, par radio que nous allions atterrire dans 10min.
E : Oh excusez moi j’avais oublié. Je suis désolé Colonel.
Ca : Se n’est pas grave mais il faudrait pensait à vous prendre des vacances.
E : Des vacances ?
Ca : Oui tous le monde le voie bien, enfin surtout le personnel du Dédale ; nous voyons tous que vous n’êtes plus en forme depuis que vous avez accouchée.
E : Et je doit en déduire quoi Colonel ?
John, qui arrivait dans la salle de la portes des étoiles vit Caldwell et Elizabeth dans le bureau de cette dernière et vu la tête d’Elizabeth John compris que Caldwell était entrain de lui dire quelque chose qui ne lui faisait pas plaisir puis tous d’un coup il vit Elizabeth sortire du bureau passé devant lui et partire vers les quartiers.
John monta jusque dans le bureau d’Elizabeth où se trouver encore Caldwell.
J : Qu’avait vous dit à Elizabeth pour qu’elle s’énerve comme ca ?
Ca : Rien.
J : Rien ? Et c’est pour ca que je l’ai vu partire vers les quartiers énervé ?
Ca : Je lui ai juste dit ma façon de penser et à mon avis elle a approuver c’est pour ca qu’elle est partie vers les quartiers.
J : Je vous jures que si vous lui avait dit quelque chose de mal vous allez le regretté.
Ca : Ne vous inquiétez pas se n’était que la pur et la stricte vérité.
John sorti du bureau très énervé et alla dans les quartiers d’Elizabeth et lui car il s’avait qu’elle était là bas.
J : Elizabeth je ne sais pas pourquoi tu as peur mais il ne faut pas je serai toujours là pour toi.
E : Je sais mais sa me fait peur.
J : Pourquoi ?
E : Parce que j’ai peur que si on se marie ont oublis nos place dans la citée.
J : Elizabeth jamais je n’oublierai ma place.
E : Oui mais on sais jamais.
J : Ne t’inquiète pas bon peut-être que des fois j’aurai peur pour vous mais c’est normale je m’inquiète toujours pour toi même quand je suis en mission.
E: Ah bon ?
J: Oui j’ai peur que si Atlantis se fait attaquer je ne puisse pas être là pour te sauver.
Elizabeth lui sourit et John compris qu’elle c’était redonner confiance en elle.
E : oui je le veux.
J : « ne comprennent pas » Quoi ?
E : Aurais-tu déjà oublié ta question ?
J : « tous souriant et la prenant dans ces bras» Oh Elizabeth Weir je vous aime.
E : Moi aussi John.
Ils s’embrassèrent mais quand ils virent que sa allez dégénérer ils s’arrêtèrent vite.
J : Bon tu ne vous lais pas allez mangé ?
E : Si.
J : On y va alors.
Ils partirent main dans la main au mess.
3 mois plus tard
C’était un matin d’été comme les autres sur Atlantis, enfin pas comme les autres car depuis ce matin l’infirmerie était débordé car, malheureusement pour ce pauvre Carson, toutes les femmes accouchèrent ce jour là et c’était plus la cohue que le reste dans l’infirmerie.
J : Carson !
C : oui John qui a t’…
Il s’arrêta quand il vit John et Elizabeth arriver dans l’infirmerie.
C : Vous aussi ?
J : Oui elle aussi et on va dire que c’est comme quand elle était enceinte, enfin elle les encore théoriquement mais plus pour longtemps, enfin bref c’est comme quand elle est enceinte elle est très énervante.
E : Oh toi la ferme c’est en partie de ta faute si je suis comme ca.
J : Oh on va pas épiloguer pour sa.
C : Je suis désolé mais pour le moment je ne peux pas m’occuper de vous. Va falloir que vous attendiez.
E : Que j’attende ? Que j’attende ? Non mais vous voyez qui et le père ? Vous croyez que l’enfant va suivre mon chemin et attendre bien sagement ? Non Monsieur n’a décidé que d’en faire a ca tête et sa je les bien vu pendant ma grossesse.
C : Je suis vraiment désolé Elizabeth mais là je ne peux vraiment pas m’occuper de vous.
E : Et pourquoi sa ?
C : Parce que je m’occupe de Laura alors ou vous le faite patienter ou alors vous allez avec une infirmière.
E : Non sa va je vais réussir à attendre.
Elizabeth s’assit avec l’aide de John.
Et 1h plus tard Carson réapparut.
C : Bon allez Elizabeth venez vite avant que vous accouchiez dans le couloir.
Carson et John aidèrent Elizabeth à arriver jusque dans l’infirmerie et 1h30 plus tard elle accoucha d’un petit garçon du prénom de Matisse.
E : Ouf j’ai bien crut que jamais il allait sortir.
John : « lui souriant » Oui c’est sur il n’en avait pas trop envi à mon avis.
Vers 21h toute les femmes de la citée avait accouchée et la plupart étaient reparti dans leur chambre pour se reposer.
Les semaines qui suivirent les accouchements furent très durs pour tous le monde. Entre les enfants qu’ils pleuraient toute la nuit et les parents qui faisait passé leurs manque de sommeille dans leur humeurs cela donné un tous autre aspect à la citée et tous se du Dédale l’avait bien vu et surtout Caldwell qui trouver que la citée était moins bien dirigée depuis que Elizabeth avait eu Matisse et justement allais joué sur ca pour réussir à la faire partir sur Terre.
Ca : « rentrant dans son bureau »Dr Weir.
E : Colonel Caldwell le Dédale et arrivé quand ?
Ca : Il est arrivé il y a 5min mais nous vous avons prévenu, il y a 15 min, par radio que nous allions atterrire dans 10min.
E : Oh excusez moi j’avais oublié. Je suis désolé Colonel.
Ca : Se n’est pas grave mais il faudrait pensait à vous prendre des vacances.
E : Des vacances ?
Ca : Oui tous le monde le voie bien, enfin surtout le personnel du Dédale ; nous voyons tous que vous n’êtes plus en forme depuis que vous avez accouchée.
E : Et je doit en déduire quoi Colonel ?
John, qui arrivait dans la salle de la portes des étoiles vit Caldwell et Elizabeth dans le bureau de cette dernière et vu la tête d’Elizabeth John compris que Caldwell était entrain de lui dire quelque chose qui ne lui faisait pas plaisir puis tous d’un coup il vit Elizabeth sortire du bureau passé devant lui et partire vers les quartiers.
John monta jusque dans le bureau d’Elizabeth où se trouver encore Caldwell.
J : Qu’avait vous dit à Elizabeth pour qu’elle s’énerve comme ca ?
Ca : Rien.
J : Rien ? Et c’est pour ca que je l’ai vu partire vers les quartiers énervé ?
Ca : Je lui ai juste dit ma façon de penser et à mon avis elle a approuver c’est pour ca qu’elle est partie vers les quartiers.
J : Je vous jures que si vous lui avait dit quelque chose de mal vous allez le regretté.
Ca : Ne vous inquiétez pas se n’était que la pur et la stricte vérité.
John sorti du bureau très énervé et alla dans les quartiers d’Elizabeth et lui car il s’avait qu’elle était là bas.
Re: Ah l'amour!!!lol
Quand il arriva il la vit, de dos, entrain de faire ces bagages et ceux de Matisse. John ne comprit pas mais se dit que c’était a cause de Caldwell.
J : Elizabeth qu’est ce que tu fais ?
E : Je m’en vais sa ne se voit pas ?
J ; Et pourquoi ? Ah cause de se que ta dit Caldwell ?
E : « soudainement inquiète » Il te la dit ?
J : Non je vous ai vu dans ton bureau. Mais j’aimerai bien savoir ce qu’il sait et que moi j’ignore.
E : Ne me force pas à te le dire s’il te plait.
J : Et pourquoi ?
John, n’ayant pas de réponse s’approcha d’elle et la força à le regardé. Quand elle se retourna il vit qu’elle avait le visage en larme.
J : « doucement »Elizabeth quoi qu’il a pu te dire il ne faut pas le croire il faut que tu soit forte. Il faut le faire pour la citée car Caldwell n’est pas un bon leader.
E : Mais tu sera là toi.
J : Non si tu pars je pars avec toi.
E : John ne fait pas ca la citée a encore besoin de toi.
J : Et toi alors ? Tu es le pilier de cette citée tu ne peux pas les abandonner.
E : Je suis désolé je ne peux rien contre ce qu’il ma dit.
J : Dans c’est cas là je vient avec toi.
E : Tu ne peux pas tu as ta carrière.
J : Et alors ? Caldwell et entrain de ruiner la tienne et puis je ne te laisserai pas partir toute seul avec Matisse.
E : Mais on va sans sortir.
J : Peut-être mais je ne me voit pas vivre loin de toi et puis ma décision et prise je part avec vous.
E : Bon d’accord.
Ils firent leurs bagages dans le silence puis se rendirent dans la salle de contrôle pour l’annoncer à toute la citée.
R : Quoi ? Vous nous laissez avec Caldwell comme leader.
Ils s’étaient réunis Rodney, Teyla John, Elizabeth et Ronon dans le bureau d’Elizabeth.
E : Il va bien falloir vous y faire Rodney car on décolle bientôt avec le Dédale.
R : Mais pourquoi vous partez tous les deux ?
J : Parce que Elizabeth part donc je vais avec elle.
R : Oh sa y est Monsieur joue les Roméo.
J : Non c’est juste que je suis la femme que j’aime se n’est pas pareil.
E : Bon sa suffit ont part un point c’est tous.
R : Et ont peux savoir les rasions de votre départ ?
E : Non je suis désolé mais personne ne le saura.
R : Oh bien sur John peut le savoir mais pas nous.
E : Ecoutez moi bien Rodney personne n’est au courant même pas John alors laissez moi en paix avec cette histoire.
R : Bon très bien mais j’espère que vous nous donnerez des nouvelles des fois.
E : Ne vous inquiétez pas vous en aurez. Bon on doit y allez vous venez avec nous jusqu’au Dédale ?
T : Bien sur.
Ils partirent tous les 5 plus Matisse et Elya, la fille de Teyla, vers le Dédale. Quand ils arrivèrent tous les monde serra John et Elizabeth dans leurs bras même Ronon.
Puis le Dédale parti laissant la citée vide de ces meilleurs leaders.
R : Ils vont me manqués.
T : Moi aussi, ce ne sera plus pareil sans eux.
Ro : Oui surtout que c’est cet imbécile de Caldwell qui va prendre leurs place.
T : Ronon !
Ro : Quoi ? Je dit ce que je pense un point c’est tout.
R : Il a raison sa ne sera plus pareil avec Caldwell. Lui il va faire passé les militaire avant les scientifiques et aussi il ne va plus nous écoutés comme le faisait si bien Elizabeth.
Teyla, Rodney et Ronon se regardèrent et tous lurent de la tristesse dans le regard de l’autre.
R : Bon je doit retourné travaillé veillez m’excusez.
Rodney parti puis Teyla dit.
T : Sa vous direz un petit combat pour oublié un peu tous sa pendant un moment ?
Ro : Oui pourquoi pas.
Ils partirent tous les deux vers la salle d’entrainement ou il y passèrent le reste de la journée.
Dans le Dédale John et Elizabeth, avec Matisse dans ce bras, étaient dans le petit self qu’il y avait.
E : Ils vont me manqués.
J : Moi aussi.
E : John tu n’étais pas obligé de venir.
J : Elizabeth on ne vas pas en reparlé je t’es suivie un point c’est tous.
E : Oui mais tu vas faire quoi sur Terre hein ? Tu peux me le dire ?
J : E toi ? Que vas tu faire ?
E : Moi je peux toujours travaillé mais toi tu vas allés où ?
J : Ne t’inquiète pas pour moi je me débrouillerai ne tant fait pas pour moi.
E : Toi tu as une idée derrière la tête.
J : « souriant de plus belle » Non c’est juste que j’ai ma petite idée sur ce que je vais faire sur Terre.
E : Bon je ne demanderai pas ce que tu vas faire ?
J : Non tu ne le sauras pas.
E : Oh que c’est méchant.
J : Non c’est juste de la répartie.
E : De la répartie ?
J : Ben oui tu veux pas me dire ce que t’a dit Caldwell alors je te dirais pas se que je ferais sur Terre.
E : « sérieuse » Ca n’a aucun rapport.
J : Je crois bien que si.
E : « s’énervant et ce levant» Non moi je te dit qu’il n’y en a aucun.
Elle s’avança jusqu’au espèce de vitre qu’il y avait sur le Dédale.
J : Elizabeth pourquoi tu refuses de me le dire ?
E : « les larmes au yeux » Parce que c’est un souvenir que j’aurai aimé oublier.
J : « se levant et s’approchant d’elle » Tu sais tu peux tous me dire.
E : « le regardant dans les yeux » Si tu serais ce qu’il m’et arrivé tu partirais en courant sur Atlantis et tu n’essayerai plus de me revoir.
J : Je suis sur que non.
E : Et moi je suis sur du contraire.
Elle commença à partir vers leurs quartiers mais John voulait à tous prit qu’elle lui dise ce fameux secret.
J : Elizabeth combien de fois faudra-t-il que je te dise que je t’aime et que tous ceux que tu vas me dire ne me fera pas changé d’avis.
E : Au croit moi que si John si tu savais ca tu ne penserai pas la même chose de moi.
Ils arrivèrent jusqu’à leurs quartiers et y rentrèrent. Elizabeth alla changé Matisse pendant que John essayé encore de lui faire avoué le secret qui faisait tant de mal à la femme qu’il aime.
J : Elizabeth il faut que tu me fasse confiance.
E : Je te fais confiance mais c’est si dur.
J : Je ne vois pas ce qui peux être dur dans une vie à par la perte des êtres qu’on aime.
E : Crois moi John y a pire que ca.
Elizabeth avait fini de changer Matisse et elle l’amena au lit puis elle revint vers John.
J : Elizabeth il faut que tu me die. Il faut que je comprenne se qui te fait tant de mal car sa me fait souffrire de te voir souffrire comme ca.
E : « les larmes aux yeux » Ne me force pas à te le dire.
J : Elizabeth il faut que je sache. Il faut que tu me fasse confiance, il faut que tu me fasse confiance que quoi que tu diras rien ne pourra me faire changé d’avis sur les sentiments que j’ai pour toi, même un secret enfouie depuis longtemps.
Elizabeth s’assit sur le lit et John en fit de même.
E : « toujours les larmes aux yeux » C’est si dur.
J : Ne t’inquiète pas, je suis là.
E : En faite c’est arrivé quand j’était adolescente, je devait avoir 15 ou 16 ans. Mon père venait de perdre son travail et ma mère était femme au foyer et l’argent nous à vite manqués et mon père était trop fière de lui pour dire aux voisins que nous étions en manque d’argent. Bien sur ils s’en étaient rendu compte mais quand ils nous ont proposés leurs aides, mon père les a envoyé promener. Et un jour mon père à eu une idée c’est la pire qu’il et eu.
Elle s’arrêta un moment pour séché les larmes qui menacer de coulé à tous moment puis elle reprit.
E : Son idée était que j’aille…. que j’aille..
J : « la prenant dans ces bras » Prend ton temps ma chérie.
E : « en pleurant » Et que j’ aille me prostituées pour ramené de l’argent.
J : « la serrant encore plus contre lui » Au ma chérie.
E : « continuant » Bien sur au début je ne voulait j’ai même refusée de le faire mais si je ne le faisait pas mon père se mettait en colère et alors rien ne pouvait plus l’arrêter alors j’ai étaient obligé de le faire. Mais quand j’ai eu 18 ans j’en ai eu assez et je suis partie définitivement de la maison mais un jour alors que je marché dans la rue un homme ma accosté il y a crut que je me prostitué encore même si je lui disait que j’avais arrêter il ne voulait rien savoir il ma même dit que comme ca sa sera gratuit et c’est pour ca que je me suis retrouvé enceinte parce ce qu’il m’a….il m’a…il m’a violée
J : Elizabeth qu’est ce que tu fais ?
E : Je m’en vais sa ne se voit pas ?
J ; Et pourquoi ? Ah cause de se que ta dit Caldwell ?
E : « soudainement inquiète » Il te la dit ?
J : Non je vous ai vu dans ton bureau. Mais j’aimerai bien savoir ce qu’il sait et que moi j’ignore.
E : Ne me force pas à te le dire s’il te plait.
J : Et pourquoi ?
John, n’ayant pas de réponse s’approcha d’elle et la força à le regardé. Quand elle se retourna il vit qu’elle avait le visage en larme.
J : « doucement »Elizabeth quoi qu’il a pu te dire il ne faut pas le croire il faut que tu soit forte. Il faut le faire pour la citée car Caldwell n’est pas un bon leader.
E : Mais tu sera là toi.
J : Non si tu pars je pars avec toi.
E : John ne fait pas ca la citée a encore besoin de toi.
J : Et toi alors ? Tu es le pilier de cette citée tu ne peux pas les abandonner.
E : Je suis désolé je ne peux rien contre ce qu’il ma dit.
J : Dans c’est cas là je vient avec toi.
E : Tu ne peux pas tu as ta carrière.
J : Et alors ? Caldwell et entrain de ruiner la tienne et puis je ne te laisserai pas partir toute seul avec Matisse.
E : Mais on va sans sortir.
J : Peut-être mais je ne me voit pas vivre loin de toi et puis ma décision et prise je part avec vous.
E : Bon d’accord.
Ils firent leurs bagages dans le silence puis se rendirent dans la salle de contrôle pour l’annoncer à toute la citée.
R : Quoi ? Vous nous laissez avec Caldwell comme leader.
Ils s’étaient réunis Rodney, Teyla John, Elizabeth et Ronon dans le bureau d’Elizabeth.
E : Il va bien falloir vous y faire Rodney car on décolle bientôt avec le Dédale.
R : Mais pourquoi vous partez tous les deux ?
J : Parce que Elizabeth part donc je vais avec elle.
R : Oh sa y est Monsieur joue les Roméo.
J : Non c’est juste que je suis la femme que j’aime se n’est pas pareil.
E : Bon sa suffit ont part un point c’est tous.
R : Et ont peux savoir les rasions de votre départ ?
E : Non je suis désolé mais personne ne le saura.
R : Oh bien sur John peut le savoir mais pas nous.
E : Ecoutez moi bien Rodney personne n’est au courant même pas John alors laissez moi en paix avec cette histoire.
R : Bon très bien mais j’espère que vous nous donnerez des nouvelles des fois.
E : Ne vous inquiétez pas vous en aurez. Bon on doit y allez vous venez avec nous jusqu’au Dédale ?
T : Bien sur.
Ils partirent tous les 5 plus Matisse et Elya, la fille de Teyla, vers le Dédale. Quand ils arrivèrent tous les monde serra John et Elizabeth dans leurs bras même Ronon.
Puis le Dédale parti laissant la citée vide de ces meilleurs leaders.
R : Ils vont me manqués.
T : Moi aussi, ce ne sera plus pareil sans eux.
Ro : Oui surtout que c’est cet imbécile de Caldwell qui va prendre leurs place.
T : Ronon !
Ro : Quoi ? Je dit ce que je pense un point c’est tout.
R : Il a raison sa ne sera plus pareil avec Caldwell. Lui il va faire passé les militaire avant les scientifiques et aussi il ne va plus nous écoutés comme le faisait si bien Elizabeth.
Teyla, Rodney et Ronon se regardèrent et tous lurent de la tristesse dans le regard de l’autre.
R : Bon je doit retourné travaillé veillez m’excusez.
Rodney parti puis Teyla dit.
T : Sa vous direz un petit combat pour oublié un peu tous sa pendant un moment ?
Ro : Oui pourquoi pas.
Ils partirent tous les deux vers la salle d’entrainement ou il y passèrent le reste de la journée.
Dans le Dédale John et Elizabeth, avec Matisse dans ce bras, étaient dans le petit self qu’il y avait.
E : Ils vont me manqués.
J : Moi aussi.
E : John tu n’étais pas obligé de venir.
J : Elizabeth on ne vas pas en reparlé je t’es suivie un point c’est tous.
E : Oui mais tu vas faire quoi sur Terre hein ? Tu peux me le dire ?
J : E toi ? Que vas tu faire ?
E : Moi je peux toujours travaillé mais toi tu vas allés où ?
J : Ne t’inquiète pas pour moi je me débrouillerai ne tant fait pas pour moi.
E : Toi tu as une idée derrière la tête.
J : « souriant de plus belle » Non c’est juste que j’ai ma petite idée sur ce que je vais faire sur Terre.
E : Bon je ne demanderai pas ce que tu vas faire ?
J : Non tu ne le sauras pas.
E : Oh que c’est méchant.
J : Non c’est juste de la répartie.
E : De la répartie ?
J : Ben oui tu veux pas me dire ce que t’a dit Caldwell alors je te dirais pas se que je ferais sur Terre.
E : « sérieuse » Ca n’a aucun rapport.
J : Je crois bien que si.
E : « s’énervant et ce levant» Non moi je te dit qu’il n’y en a aucun.
Elle s’avança jusqu’au espèce de vitre qu’il y avait sur le Dédale.
J : Elizabeth pourquoi tu refuses de me le dire ?
E : « les larmes au yeux » Parce que c’est un souvenir que j’aurai aimé oublier.
J : « se levant et s’approchant d’elle » Tu sais tu peux tous me dire.
E : « le regardant dans les yeux » Si tu serais ce qu’il m’et arrivé tu partirais en courant sur Atlantis et tu n’essayerai plus de me revoir.
J : Je suis sur que non.
E : Et moi je suis sur du contraire.
Elle commença à partir vers leurs quartiers mais John voulait à tous prit qu’elle lui dise ce fameux secret.
J : Elizabeth combien de fois faudra-t-il que je te dise que je t’aime et que tous ceux que tu vas me dire ne me fera pas changé d’avis.
E : Au croit moi que si John si tu savais ca tu ne penserai pas la même chose de moi.
Ils arrivèrent jusqu’à leurs quartiers et y rentrèrent. Elizabeth alla changé Matisse pendant que John essayé encore de lui faire avoué le secret qui faisait tant de mal à la femme qu’il aime.
J : Elizabeth il faut que tu me fasse confiance.
E : Je te fais confiance mais c’est si dur.
J : Je ne vois pas ce qui peux être dur dans une vie à par la perte des êtres qu’on aime.
E : Crois moi John y a pire que ca.
Elizabeth avait fini de changer Matisse et elle l’amena au lit puis elle revint vers John.
J : Elizabeth il faut que tu me die. Il faut que je comprenne se qui te fait tant de mal car sa me fait souffrire de te voir souffrire comme ca.
E : « les larmes aux yeux » Ne me force pas à te le dire.
J : Elizabeth il faut que je sache. Il faut que tu me fasse confiance, il faut que tu me fasse confiance que quoi que tu diras rien ne pourra me faire changé d’avis sur les sentiments que j’ai pour toi, même un secret enfouie depuis longtemps.
Elizabeth s’assit sur le lit et John en fit de même.
E : « toujours les larmes aux yeux » C’est si dur.
J : Ne t’inquiète pas, je suis là.
E : En faite c’est arrivé quand j’était adolescente, je devait avoir 15 ou 16 ans. Mon père venait de perdre son travail et ma mère était femme au foyer et l’argent nous à vite manqués et mon père était trop fière de lui pour dire aux voisins que nous étions en manque d’argent. Bien sur ils s’en étaient rendu compte mais quand ils nous ont proposés leurs aides, mon père les a envoyé promener. Et un jour mon père à eu une idée c’est la pire qu’il et eu.
Elle s’arrêta un moment pour séché les larmes qui menacer de coulé à tous moment puis elle reprit.
E : Son idée était que j’aille…. que j’aille..
J : « la prenant dans ces bras » Prend ton temps ma chérie.
E : « en pleurant » Et que j’ aille me prostituées pour ramené de l’argent.
J : « la serrant encore plus contre lui » Au ma chérie.
E : « continuant » Bien sur au début je ne voulait j’ai même refusée de le faire mais si je ne le faisait pas mon père se mettait en colère et alors rien ne pouvait plus l’arrêter alors j’ai étaient obligé de le faire. Mais quand j’ai eu 18 ans j’en ai eu assez et je suis partie définitivement de la maison mais un jour alors que je marché dans la rue un homme ma accosté il y a crut que je me prostitué encore même si je lui disait que j’avais arrêter il ne voulait rien savoir il ma même dit que comme ca sa sera gratuit et c’est pour ca que je me suis retrouvé enceinte parce ce qu’il m’a….il m’a…il m’a violée
Re: Ah l'amour!!!lol
Elizabeth ne pouvait plus continuer et fondit en larmes, John la serra très fort contre lui pour lui montrait qu’il était là avec elle et qu’il ne la laisserait jamais tombé. Elle mit 15min à la calmé et quand il y arriva enfin il vit qu’elle était toujours triste et John le comprit. Il pensa que Elizabeth avait passé une épreuve difficile qui ne donnerai pas même a ces pires ennemis.
J : Elizabeth tu as passé tellement d’épreuves je me demande comme tu as fais pour tous surmonté vraiment je t’admire.
E : Tu ne me déteste pas ?
J : Bien sur que non comment je te détesterai ? Ce n’est pas de ta faute tous ca c’est la faute à ton père.
E : Oui mais maintenant j’ai peur. Peur de rentré dans une vrai relation et puis peur de resté sur Terre aussi.
J : Sur Terre ?
E : Oui depuis que j’était sur Atlantis j’avais oublié cette histoire et maintenant quand je revient sur Terre j’ai toujours peur qu’il m’arrive la même chose.
J : Il ne t’arrivera rien je suis là maintenant.
E : Merci John.
J: Pourquoi?
E: D’être là pour moi.
J : je t’aime.
E : Moi aussi.
Ils s’embrassèrent puis c’est à ce moment que choisi Matisse pour ce réveillé.
J : Tu es sur qu’il n’est pas de Rodney ?
E : Non pourquoi ?
J : Car il se réveille au mauvais moment.
Elizabeth souri à cette réponse et John se dit qu’elle allait allé mieux maintenant qu’il l’avait vu sourire.
E : Bon je vais le chercher.
Elizabeth se leva, alla le cherché puis revint sur le lit.
E : Alors mon chérie on veut pas dormir ?
J : Il a peut-être faim.
E : Oui c’est vrai je vais allez préparé un biberon tu le garde ?
J : Oui va y.
Le retour du Dédale se passa très bien et quand ils arrivèrent sur Terre ils virent le Générale O’Neill qui les attendait.
O : Dr. Weir, Colonel.
E: Générale.
O: Appelé moi Jack.
E : Alors appelé moi Elizabeth.
Ils se sourirent puis Elizabeth continua.
E : Que nous vaut le plaisir de votre visite ?
O : Et bien je suis venue car on ma dit "Le Dr. Weir et le Colonel Sheppard rentre avec le Dédale et ne reviendront pas sur Atlantis" alors vous comprenez que quand j’ai entendu ça je me suis poser beaucoup de questions.
E : Ah oui et ben désolé mais vous ne le saurais pas pourquoi.
Ils allaient partire quand Jack leur dit.
O : Je sais comment Caldwell a su ce qu’il vous est arrivée quand vous étiez jeune.
Elizabeth ce raidit en entendant cela.
E : Et comment la t-il su ? « se retournant » Et comment le savez vous vous aussi ?
O : Moi je le sais c’est tous mais Caldwell la apprit par votre père.
E : Mon père ? Et pourquoi aurais-t-il fait ca ?
O : Vous n’avez pas une idée ?
Elizabeth réfléchi puis trouva la réponse touts seul.
E : « baissant la tête » Pour me le faire payer.
O : Oui.
E : « relevant la tête » Il veut vraiment me pourrire la vie.
O : Je ne sais pas mais ce que je sais c’est qu’il faut que vous repartiez sur Atlantis.
E : Mais je ne peux pas, si Caldwell dirait se qu’il m’est arrivée je ne sais pas si je vais le supportée.
O : Ecoutez moi Elizabeth Caldwell n’a pas le droit de vous faire quitté Atlantis sous la menace et il sera très sévèrement puni croyez le moi.
E : Et comment voulez vous que je le face partir ? Je ne suis pas sur d’y arrivée.
O : Parce que je vient avec vous.
E : Vous allez venir sur Atlantis ?
O : Oui, sa fait tellement longtemps que j’ai envie de voir cette citée et là j’ai trouvée le bon moment pour y allez.
E : « souriant » Merci Jack.
O : « lui souriant lui aussi » Mais de rien Elizabeth. Bon sachant que le Dédale repart demain on vous a préparés une chambre dans la base.
E : Merci Jack.
Ils partirent vers les quartiers qu’on leurs avaient attribués et ils reprirent le Dédale le lendemain matin avec Jack à son bord.
Pendant ce temps sur Atlantis ce n’était pas la même chose. Caldwell faisait passé les militaires avant les scientifiques se qui énerva Rodney plus d’une fois.
R : « à Ronon et Teyla qui étaient dans son labo » Oh ce qu’il peut m’énervé à toujours faire passé les militaire avant nous.
T : Je suis bien d’accord avec vous se n’est plus pareil depuis qu’Elizabeth et John sont parti.
Ro : Oui au moins avec elle tous le monde était écoutés. Alors qu’avec lui c’est pas pareil.
R : Ils me manquent pas vous ?
T : Si, et même beaucoup.
R : Franchement je ne sais pas pourquoi Elizabeth à voulut partire si vite d’Atlantis et sans nous dire pourquoi d’ailleurs.
T : Oui c’est vrai sa ne lui ressemble pas. Ah mon avis il a du se passer quelque chose de vraiment dur pour qu’elle parte précipitamment.
R : Oui et je suis sur que Caldwell y est pour quelque chose.
Ro : Vous croyez ?
R : J’en suis même sur.
Ils se regardèrent puis Rodney dit.
R : Bon non pas que je n’aime pas parlé avec vous mais j’ai du travail qui m’attend.
T : Oui on va vous laissez à ce soir au mess Rodney.
R : Oui à ce soir
Ronon et Teyla partirent vers leurs quartiers et laissèrent Rodney travaillé. Ils avaient prit l’habitude Rodney, Kate (qui étaient ensemble avec une petite fille du nom de Manon) Teyla et Ronon ( qui eux aussi on une petite fille du nom de Lyéa) et Carson et Laura ( qui eux ont un fils du nom d’Alexandre ou plutot Alex) de se retrouvez tous les soirs au mess avec les enfants et de discutés de tous et rien mais la plupart du temps leurs conversation dérivé sur le départ de John et Elizabeth. Et ce soir ne fit pas l’exception.
C : Je me demande encore pourquoi ils sont partis comme ca.
R : On ne le seras sans doute jamais malheureusement.
C : Oui.
La fin du repas se passa dans le calme le plus complet.
Depuis que les deux leaders d’Atlantis étaient partie, tous le monde désespérés car Caldwell n’était vraiment pas un bon leader, même les militaire ne le supportés plus. Au début ils avaient étaient ravis mais maintenant ils trouvaient que Caldwell leurs en demandaient trop. En plus le Dédale devait arrivé dans deux jours avec d’autre militaire qu’avait demandé Caldwell car il trouvé qu’il n’y avait pas assez de militaire sur la citée. Ce que personne ne savait c’était que John, Elizabeth et Jack était à bord du Dédale et qu’ils revenaient sur Atlantis.
Pendant ce temps sur le Dédale tous se passé bien à part que John et Elizabeth étaient un peu fatigués, enfin surtout Elizabeth, car Matisse qui les réveillés 2 fois par nuits car il voulait mangé et vu que Elizabeth lui donné le sein c’était elle qui devait se lever. Et le matin ils se retrouvaient, Elizabeth, John et Jack pour déjeuner et ce matin là ne fit pas exception.
O : Alors bien dormi cette nuit ?
E : Un peut oui.
J : « souriant » Moi très bien.
E : Bien sur lui il dormait très bien quand Matisse c’est réveiller tu la même pas entendu je suis sur.
J : « lui souriant de plus belle pour l’embêter » Non pas du tout.
E : Pffff.
O : Et ben vous pourriez le laissé s’occupé de matisse le nuit des fois.
J : J’aimerai bien l’aidé un peu mais elle lui donne le sein et ca c’est un truc que je ne pourrez pas faire.
E : Il ne pourrait vraiment pas car il n’y a pas de biberon sur le Dédale mais des qu’on arrive sur Atlantis c’est lui qui va se lever la nuit c’est moi qui vous le dit.
J : Mais bien sur je serai ravi de t’aidé nu peu.
E : « à Jack » Vous êtes témoin qu’il a dit oui. Non je vous dit sa car je suis sur que 2 jours plus tard il va arrivé et dire à tous le monde que je lui ai forcé la main pour qu’il accepte.
O : Ne vous inquiétez pas je vous couvrirez Elizabeth.
J : Et ben bonjour la solidarité.
E : Ce n’est pas de la solidarité c’est plutot….un truc pour t’embêté et sa marche très bien.
Elizabeth avait dit ca en lui souriant et John ne put résisté à l’envie de l’embrassé.
J : Elizabeth tu as passé tellement d’épreuves je me demande comme tu as fais pour tous surmonté vraiment je t’admire.
E : Tu ne me déteste pas ?
J : Bien sur que non comment je te détesterai ? Ce n’est pas de ta faute tous ca c’est la faute à ton père.
E : Oui mais maintenant j’ai peur. Peur de rentré dans une vrai relation et puis peur de resté sur Terre aussi.
J : Sur Terre ?
E : Oui depuis que j’était sur Atlantis j’avais oublié cette histoire et maintenant quand je revient sur Terre j’ai toujours peur qu’il m’arrive la même chose.
J : Il ne t’arrivera rien je suis là maintenant.
E : Merci John.
J: Pourquoi?
E: D’être là pour moi.
J : je t’aime.
E : Moi aussi.
Ils s’embrassèrent puis c’est à ce moment que choisi Matisse pour ce réveillé.
J : Tu es sur qu’il n’est pas de Rodney ?
E : Non pourquoi ?
J : Car il se réveille au mauvais moment.
Elizabeth souri à cette réponse et John se dit qu’elle allait allé mieux maintenant qu’il l’avait vu sourire.
E : Bon je vais le chercher.
Elizabeth se leva, alla le cherché puis revint sur le lit.
E : Alors mon chérie on veut pas dormir ?
J : Il a peut-être faim.
E : Oui c’est vrai je vais allez préparé un biberon tu le garde ?
J : Oui va y.
Le retour du Dédale se passa très bien et quand ils arrivèrent sur Terre ils virent le Générale O’Neill qui les attendait.
O : Dr. Weir, Colonel.
E: Générale.
O: Appelé moi Jack.
E : Alors appelé moi Elizabeth.
Ils se sourirent puis Elizabeth continua.
E : Que nous vaut le plaisir de votre visite ?
O : Et bien je suis venue car on ma dit "Le Dr. Weir et le Colonel Sheppard rentre avec le Dédale et ne reviendront pas sur Atlantis" alors vous comprenez que quand j’ai entendu ça je me suis poser beaucoup de questions.
E : Ah oui et ben désolé mais vous ne le saurais pas pourquoi.
Ils allaient partire quand Jack leur dit.
O : Je sais comment Caldwell a su ce qu’il vous est arrivée quand vous étiez jeune.
Elizabeth ce raidit en entendant cela.
E : Et comment la t-il su ? « se retournant » Et comment le savez vous vous aussi ?
O : Moi je le sais c’est tous mais Caldwell la apprit par votre père.
E : Mon père ? Et pourquoi aurais-t-il fait ca ?
O : Vous n’avez pas une idée ?
Elizabeth réfléchi puis trouva la réponse touts seul.
E : « baissant la tête » Pour me le faire payer.
O : Oui.
E : « relevant la tête » Il veut vraiment me pourrire la vie.
O : Je ne sais pas mais ce que je sais c’est qu’il faut que vous repartiez sur Atlantis.
E : Mais je ne peux pas, si Caldwell dirait se qu’il m’est arrivée je ne sais pas si je vais le supportée.
O : Ecoutez moi Elizabeth Caldwell n’a pas le droit de vous faire quitté Atlantis sous la menace et il sera très sévèrement puni croyez le moi.
E : Et comment voulez vous que je le face partir ? Je ne suis pas sur d’y arrivée.
O : Parce que je vient avec vous.
E : Vous allez venir sur Atlantis ?
O : Oui, sa fait tellement longtemps que j’ai envie de voir cette citée et là j’ai trouvée le bon moment pour y allez.
E : « souriant » Merci Jack.
O : « lui souriant lui aussi » Mais de rien Elizabeth. Bon sachant que le Dédale repart demain on vous a préparés une chambre dans la base.
E : Merci Jack.
Ils partirent vers les quartiers qu’on leurs avaient attribués et ils reprirent le Dédale le lendemain matin avec Jack à son bord.
Pendant ce temps sur Atlantis ce n’était pas la même chose. Caldwell faisait passé les militaires avant les scientifiques se qui énerva Rodney plus d’une fois.
R : « à Ronon et Teyla qui étaient dans son labo » Oh ce qu’il peut m’énervé à toujours faire passé les militaire avant nous.
T : Je suis bien d’accord avec vous se n’est plus pareil depuis qu’Elizabeth et John sont parti.
Ro : Oui au moins avec elle tous le monde était écoutés. Alors qu’avec lui c’est pas pareil.
R : Ils me manquent pas vous ?
T : Si, et même beaucoup.
R : Franchement je ne sais pas pourquoi Elizabeth à voulut partire si vite d’Atlantis et sans nous dire pourquoi d’ailleurs.
T : Oui c’est vrai sa ne lui ressemble pas. Ah mon avis il a du se passer quelque chose de vraiment dur pour qu’elle parte précipitamment.
R : Oui et je suis sur que Caldwell y est pour quelque chose.
Ro : Vous croyez ?
R : J’en suis même sur.
Ils se regardèrent puis Rodney dit.
R : Bon non pas que je n’aime pas parlé avec vous mais j’ai du travail qui m’attend.
T : Oui on va vous laissez à ce soir au mess Rodney.
R : Oui à ce soir
Ronon et Teyla partirent vers leurs quartiers et laissèrent Rodney travaillé. Ils avaient prit l’habitude Rodney, Kate (qui étaient ensemble avec une petite fille du nom de Manon) Teyla et Ronon ( qui eux aussi on une petite fille du nom de Lyéa) et Carson et Laura ( qui eux ont un fils du nom d’Alexandre ou plutot Alex) de se retrouvez tous les soirs au mess avec les enfants et de discutés de tous et rien mais la plupart du temps leurs conversation dérivé sur le départ de John et Elizabeth. Et ce soir ne fit pas l’exception.
C : Je me demande encore pourquoi ils sont partis comme ca.
R : On ne le seras sans doute jamais malheureusement.
C : Oui.
La fin du repas se passa dans le calme le plus complet.
Depuis que les deux leaders d’Atlantis étaient partie, tous le monde désespérés car Caldwell n’était vraiment pas un bon leader, même les militaire ne le supportés plus. Au début ils avaient étaient ravis mais maintenant ils trouvaient que Caldwell leurs en demandaient trop. En plus le Dédale devait arrivé dans deux jours avec d’autre militaire qu’avait demandé Caldwell car il trouvé qu’il n’y avait pas assez de militaire sur la citée. Ce que personne ne savait c’était que John, Elizabeth et Jack était à bord du Dédale et qu’ils revenaient sur Atlantis.
Pendant ce temps sur le Dédale tous se passé bien à part que John et Elizabeth étaient un peu fatigués, enfin surtout Elizabeth, car Matisse qui les réveillés 2 fois par nuits car il voulait mangé et vu que Elizabeth lui donné le sein c’était elle qui devait se lever. Et le matin ils se retrouvaient, Elizabeth, John et Jack pour déjeuner et ce matin là ne fit pas exception.
O : Alors bien dormi cette nuit ?
E : Un peut oui.
J : « souriant » Moi très bien.
E : Bien sur lui il dormait très bien quand Matisse c’est réveiller tu la même pas entendu je suis sur.
J : « lui souriant de plus belle pour l’embêter » Non pas du tout.
E : Pffff.
O : Et ben vous pourriez le laissé s’occupé de matisse le nuit des fois.
J : J’aimerai bien l’aidé un peu mais elle lui donne le sein et ca c’est un truc que je ne pourrez pas faire.
E : Il ne pourrait vraiment pas car il n’y a pas de biberon sur le Dédale mais des qu’on arrive sur Atlantis c’est lui qui va se lever la nuit c’est moi qui vous le dit.
J : Mais bien sur je serai ravi de t’aidé nu peu.
E : « à Jack » Vous êtes témoin qu’il a dit oui. Non je vous dit sa car je suis sur que 2 jours plus tard il va arrivé et dire à tous le monde que je lui ai forcé la main pour qu’il accepte.
O : Ne vous inquiétez pas je vous couvrirez Elizabeth.
J : Et ben bonjour la solidarité.
E : Ce n’est pas de la solidarité c’est plutot….un truc pour t’embêté et sa marche très bien.
Elizabeth avait dit ca en lui souriant et John ne put résisté à l’envie de l’embrassé.
Re: Ah l'amour!!!lol
O : Et ben je croit que je vais m’amusé sur Atlantis.
J : Oh si vous risquez de vous ennuyez surtout quand Rodney commence à partire dans des explications scientifiques dont on comprend rien.
E : John il fait sont travail.
J : Oui et ben si il passait moins de temps à expliqué ces truc le brifing irait 2 fois plus vite et ont ne s’ennuieraient pas.
O : Je le comprend.
E : Ah oui ?
O: Oui moi aussi je ne comprenait rien à ce que disait Carter et des fois c’était assez ennuyeux mais on si fait très vite vous verrez.
J : Oui et bien quand vous aurez vu Rodney vous comprendrez très vite.
E : Bon tu as fini avec Rodney ?
J : Quoi sa t’embête qu’on parle de lui ?
E : Non pas du tout mais là tu vas dire qu’il te manque et qu’en tu vas rentré sur Atlantis tu vas dire que tu regrette d’être renté alors au lieu de parlé de lui à tous bout de champs parle d’autre chose.
J : Ouai c’est vrai de raison il me manque mais je pense que quand je vais rentré je vais vite m’en lassé.
Jack sourit à la réplique que venait d’avoir John et Elizabeth se qui ne passa pas inaperçu aux yeux de cette dernière.
E : « vers Jack » Quoi ?
O : « souriant » Non rien. C’est juste que vous allez si bien ensemble.
J : Comment ça ?
O : On dirait que vous étiez fait l’un pour l’autre car vous allez très bien ensemble.
J et E : Merci.
E : Bon non pas que je n’apprécie pas d’être avec vous mais je vais allez voir les rapports de mission que le Dédale a à son bord.
Elle donna Matisse à John et commença à partir quand John l’interpella.
J : Alors là non, non et non tu ne vas pas allez travaillé tu vas allez dans nos quartiers et te reposée tu as entendu ? Tu te lève deux fois par nuit pour donné le sein à Matisse et tu veux faire des rapports alors que tu es fatigué ? Et ben moi je te dit non et tu n’as rien à dire c’est un ordre. Et tu n’as pas à le discuté même si je n’es pas à te donnée d’ordre c’est pareil je m’occupe de Matisse pendant que tu te repose et sa sera comme ça pendant 2 jours jusqu’à ce que le Dédale arrive sur Atlantis.
Elizabeth ne pu pas en placée une pendant tous ce que lui avait dit John et ce dit qu’il valait mieux faire ce qu’il lui avait dit plutot que de le mettre en colère dont c’était la dernière chose qu’elle voulait faire.
E : Bon très bien j’y vais.
Elle fit une bise sur le front de Matisse et embrassa tendrement John puis partie vers leurs quartiers pour essayé de dormir un peu se qu’elle arrive à faire car elle était très fatiguée.
O : Oula vous au moins vous y allez franc jeux.
J : Avec Elizabeth il faut des fois c’est moi qui vous le dit.
O : Mais maintenant que Elizabeth et dans la chambre où allez vous couché Matisse ?
J : Ben je vais attendre 15min et puis je vais allez dans nos quartiers je suis sur que fatigué comme elle est Elizabeth ne nous entendra peut-être pas et puis même si elle nous entend je la forcerai à ce recouché enfin facon de parlé.
Jack sourit à la dernière phrase du Colonel.
15min plus tard, comme il l’avait dit, John alla dans ces quartiers. Quand il rentra il vit que Elizabeth dormait. Il fait le moins de bruit possible pour ne pas la réveillé mais malheureusement pour lui, quand il mit Matisse au lit, il fit un bruit, petit serte, mais qui réveilla, enfin pas réveilla complètement, Elizabeth.
E : John ?
J : Oui c’est moi chute re couche toi je venait juste couché Matisse.
E : Tu veux pas resté ?
J : « lui souriant et content qu’elle lui ai posé cette question » Bien sur ma chérie.
John se coucha à coté d’Elizabeth et elle se blottie contre lui qui passa ces bras autour de sa taille. Et c’est comme ca qu’ils s’endormirent tous les deux.
Les deux jours sur le Dédale se passa dans le calme Elizabeth se reposé la journée pendant que John s’occuper de Matisse et la nuit c’était Elizabeth et ils se débrouillèrent bien pour le moment mais ils redoutaient leurs retour sur Atlantis car ils savaient qu’ils auraient moins le temps de s’occupé de Matisse comme ils le faisaient sur le Dédale. Mais la dernière nuit qu’ils passèrent sur le Dédale ils en parlèrent tous les deux dans leurs quartiers en regardent Matisse dormir.
E : John comment on va faire sur Atlantis ?
J : Comment ça ?
E : Ben tu sais toi tu sera sur d’autre planètes, moi je serai dans mon bureau ou avec mes rapports.
J : On y arrivera Elizabeth, à ton avis comment fait Rodney ?
E : Il a Kate qui est toujours sur Atlantis c’est facile.
J : Et Carson ?
E : Carson reste toujours sur Atlantis ou les rares fois ou il va en mission Laura ne part pas avec lui.
J : Et Ronon et Teyla ?
John croyez qu’il avait trouvé le bon couple mais non, toujours pas, Elizabeth avait trouvé à répondre à ca.
E : Ils peuvent les amenés sur le continent quand ils veulent.
J : Tu auras toujours réponse à tous.
E : Oui car c’est la vérité John et tu le sais très bien. Nous allons avoir un gros problème pour le garder et il n’est pas question qu’une personne vienne tous les jours spécialement pour le gardé.
J : « la prenant dans ces bras » Ne t’inquiète pas Elizabeth, on trouvera un moyen. Tu sais pourquoi ? Parce qu’on est fort Elizabeth on arrivera à le surmonté.
E : Tu le croit vraiment ?
J : Oui je le croit. On y arrivera ensemble.
Elizabeth releva la tête et embrassa John.
J : Oh si vous risquez de vous ennuyez surtout quand Rodney commence à partire dans des explications scientifiques dont on comprend rien.
E : John il fait sont travail.
J : Oui et ben si il passait moins de temps à expliqué ces truc le brifing irait 2 fois plus vite et ont ne s’ennuieraient pas.
O : Je le comprend.
E : Ah oui ?
O: Oui moi aussi je ne comprenait rien à ce que disait Carter et des fois c’était assez ennuyeux mais on si fait très vite vous verrez.
J : Oui et bien quand vous aurez vu Rodney vous comprendrez très vite.
E : Bon tu as fini avec Rodney ?
J : Quoi sa t’embête qu’on parle de lui ?
E : Non pas du tout mais là tu vas dire qu’il te manque et qu’en tu vas rentré sur Atlantis tu vas dire que tu regrette d’être renté alors au lieu de parlé de lui à tous bout de champs parle d’autre chose.
J : Ouai c’est vrai de raison il me manque mais je pense que quand je vais rentré je vais vite m’en lassé.
Jack sourit à la réplique que venait d’avoir John et Elizabeth se qui ne passa pas inaperçu aux yeux de cette dernière.
E : « vers Jack » Quoi ?
O : « souriant » Non rien. C’est juste que vous allez si bien ensemble.
J : Comment ça ?
O : On dirait que vous étiez fait l’un pour l’autre car vous allez très bien ensemble.
J et E : Merci.
E : Bon non pas que je n’apprécie pas d’être avec vous mais je vais allez voir les rapports de mission que le Dédale a à son bord.
Elle donna Matisse à John et commença à partir quand John l’interpella.
J : Alors là non, non et non tu ne vas pas allez travaillé tu vas allez dans nos quartiers et te reposée tu as entendu ? Tu te lève deux fois par nuit pour donné le sein à Matisse et tu veux faire des rapports alors que tu es fatigué ? Et ben moi je te dit non et tu n’as rien à dire c’est un ordre. Et tu n’as pas à le discuté même si je n’es pas à te donnée d’ordre c’est pareil je m’occupe de Matisse pendant que tu te repose et sa sera comme ça pendant 2 jours jusqu’à ce que le Dédale arrive sur Atlantis.
Elizabeth ne pu pas en placée une pendant tous ce que lui avait dit John et ce dit qu’il valait mieux faire ce qu’il lui avait dit plutot que de le mettre en colère dont c’était la dernière chose qu’elle voulait faire.
E : Bon très bien j’y vais.
Elle fit une bise sur le front de Matisse et embrassa tendrement John puis partie vers leurs quartiers pour essayé de dormir un peu se qu’elle arrive à faire car elle était très fatiguée.
O : Oula vous au moins vous y allez franc jeux.
J : Avec Elizabeth il faut des fois c’est moi qui vous le dit.
O : Mais maintenant que Elizabeth et dans la chambre où allez vous couché Matisse ?
J : Ben je vais attendre 15min et puis je vais allez dans nos quartiers je suis sur que fatigué comme elle est Elizabeth ne nous entendra peut-être pas et puis même si elle nous entend je la forcerai à ce recouché enfin facon de parlé.
Jack sourit à la dernière phrase du Colonel.
15min plus tard, comme il l’avait dit, John alla dans ces quartiers. Quand il rentra il vit que Elizabeth dormait. Il fait le moins de bruit possible pour ne pas la réveillé mais malheureusement pour lui, quand il mit Matisse au lit, il fit un bruit, petit serte, mais qui réveilla, enfin pas réveilla complètement, Elizabeth.
E : John ?
J : Oui c’est moi chute re couche toi je venait juste couché Matisse.
E : Tu veux pas resté ?
J : « lui souriant et content qu’elle lui ai posé cette question » Bien sur ma chérie.
John se coucha à coté d’Elizabeth et elle se blottie contre lui qui passa ces bras autour de sa taille. Et c’est comme ca qu’ils s’endormirent tous les deux.
Les deux jours sur le Dédale se passa dans le calme Elizabeth se reposé la journée pendant que John s’occuper de Matisse et la nuit c’était Elizabeth et ils se débrouillèrent bien pour le moment mais ils redoutaient leurs retour sur Atlantis car ils savaient qu’ils auraient moins le temps de s’occupé de Matisse comme ils le faisaient sur le Dédale. Mais la dernière nuit qu’ils passèrent sur le Dédale ils en parlèrent tous les deux dans leurs quartiers en regardent Matisse dormir.
E : John comment on va faire sur Atlantis ?
J : Comment ça ?
E : Ben tu sais toi tu sera sur d’autre planètes, moi je serai dans mon bureau ou avec mes rapports.
J : On y arrivera Elizabeth, à ton avis comment fait Rodney ?
E : Il a Kate qui est toujours sur Atlantis c’est facile.
J : Et Carson ?
E : Carson reste toujours sur Atlantis ou les rares fois ou il va en mission Laura ne part pas avec lui.
J : Et Ronon et Teyla ?
John croyez qu’il avait trouvé le bon couple mais non, toujours pas, Elizabeth avait trouvé à répondre à ca.
E : Ils peuvent les amenés sur le continent quand ils veulent.
J : Tu auras toujours réponse à tous.
E : Oui car c’est la vérité John et tu le sais très bien. Nous allons avoir un gros problème pour le garder et il n’est pas question qu’une personne vienne tous les jours spécialement pour le gardé.
J : « la prenant dans ces bras » Ne t’inquiète pas Elizabeth, on trouvera un moyen. Tu sais pourquoi ? Parce qu’on est fort Elizabeth on arrivera à le surmonté.
E : Tu le croit vraiment ?
J : Oui je le croit. On y arrivera ensemble.
Elizabeth releva la tête et embrassa John.
Re: Ah l'amour!!!lol
J : Bon on devrait allait au lit car demain on arrive sur Atlantis vers 8h alors faudrait être prêt.
E : Oui tu as raison.
Ils s’endormirent très vite après c’être couchés.
Le réveille fut un peu difficile car ils n’avaient presque pas dormi à cause de matisse qui se réveillé toute les 30mins.
O : « les voyant arrivé sur le pont avec la tête des jour ou la veille on fait la fête » Oula vous avez ml dormi ?
J : Oui Matisse n’a pas arrêté cette nuit.
Jack leurs sourit puis leurs dit.
O : On devrait atterrire dans 15min.
E : D’accord.
Pendant ce temps sur Atlantis tous le monde étaient entrain de préparé la venu des nouveau arrivant du Dédale.
Quand le Dédale se posa tous ces occupant en sortirent la visite fut faite par Caldwell.
Rodney, Ronon et Teyla, qui étaient venu pour les accueillir avec leurs enfants respectifs, qui regardaient les recrus partirent vers la citée.
R : Pfff encore des militaire et autres personnes inutile pour nous.
?: On est vraiment si inutile que ca ? Tu entend chérie on peut rentré sur Terre.
?: Oui bon ben on remballe nos affaire et on rentre.
Rodney, Ronon et Teyla se retournèrent en entendant ces voix si familière qu’ils pensaient ne plus entendre.
R : John, Elizabeth vous êtes revenues?
J : Et oui !
R : Mais je croyez que vous ne voulez plus revenir.
E ; On va dire qu’on a eu l’aide de quelqu’un.
R : Ah bon ? Et qui.
?: De moi.
R : Général O’Neill ?
O : Et oui Mckay c’est bien moi en chaire et en os.
R : Mais vous n’étiez pas sur Terre ?
O : Si mais je suis venu pour les aidés.
R : Les aidés à quoi ?
O : Enfin plutot Elizabeth, c’est pour qu’elle retrouve son poste.
R : Je ne comprends rien.
E : Mieux vaux que vous ne soyez pas au courant Rodney c’est moi qui vous le dit.
R : Bon d’accord je ne demande plus rien.
E : Merci.
O : Bon non pas que je n’aime pas êtres avec vous mais j’aimerai bien allez voir mes nouveaux quartiers car sa fatigue un voyage comme ça.
E : Oui venez je vais vous y amenez.
J : Je te rejoint au mes ?
E : Oui.
J : Et laisse moi Matisse il ta assez embêté comme ca.
Elizabeth donna Matisse à John puis elle parti avec Jack dans la citée.
A midi ils se retrouvèrent, Rodney, Kate, Elizabeth, John, teyla, Ronon, Carson, Laura, Jack et les enfants, au mess le midi.
E : je suis contente d’être de retour.
J : Et moi dont.
R : Et nous on est content que vous soyez de retour car ce n’était plus pareil sons vous.
E : Ah bon pourquoi ?
C : Ben vous savez avec Caldwell les militaires passe avant les autres.
E : Oui je sais mais bon maintenant ca reviendra comme avant.
R : Mais Caldwell n’a rien dit que vous reveniez ?
E : Ben en faite il nous a dit de venir la voir à 14h alors on va y allez.
J : Et je sans que sa va pas être de la tarte.
O : Ne vous inquiétez pas je vient avec vous il ne vous fera rien.
La fin du repas se passa dans la joie et la bonne humeur.
A 14h Elizabeth, John et Jack se rendirent dans le bureau de Caldwell.
Ca : Ah Dr. Je vois que vous êtes venu accompagné.
J : « sans laissé Elizabeth parlé » Oui Colonel et je trouve très irrespectueux des virée une personne de son poste alors qu’elle l’occupe, déjà depuis longtemps et aussi parce que c’est très lâche de fouiller dans le passé des gens pour pouvoirs avoir leur poste alors si jamais vous ne laissez pas le Dr. Weir reprendre son poste je vous fait descendre en grade ai-je était assez claire ?
Ca : Oui Général.
Jack Sorti et Elizabeth et John le suivirent sans qu’ils aient pus ouvrire la bouche.
O : Bon je pense qu’il va vous laissez.
E : Franchement Jack j’aurais pu me débrouillée seul.
O : Je ne pense pas, vous savez Caldwell et vraiment une vrai tête de mule alors avec lui il faut y allez franc jeux et à mon avis vous n’y serai pas arrivé.
J : En tous cas merci Général de nous avoir aidé.
O : De rien c’est un plaisir de vous aidez maintenant vous pouvez vivre votre vie en paix et oublier le passé.
E : Oui.
O : Bon je vous laisse je vais allez voir vos Jumper ils on l’air très bien.
E : Oui allez y.
Jack parti et laissa John et Elizabeth là ou ils étaient.
E : Bon je vais chercher Matisse et je vais dans mon bureau.
J : Ouai a ce soir ma puce.
E : « l’embrassant » A ce soir.
Puis elle parti cherché Matisse et dans son bureau.
Le soir ils se retrouvèrent dans les quartiers qui avait était aménagé pour eux et Matisse.
J : Mmmhh c’est plus spacieux que ceux qu’on avait avant dit moi.
E : Oui c’est vrai bon je vais mettre Matisse au lit.
J : Ouai moi aussi j’y vais.
E : Je te rejoint.
Elizabeth mit Matisse en pyjama puis la mit au lit en suivant. Elle se mit en pyjama( une nuisette que lui avait offert John ) puis alla au lit.
John et Elizabeth étaient blottis l’un contre l’autre.
J : Il faudra essayer de refaire Matisse.
E : Refaire Matisse ?
J : « le regard coquin » Je parlé de ca conception.
E : Ah. Tu parle de ca.
J : « toujours sont regard et son sourire coquin que Elizabeth compris » Oui.
Elizabeth se mit à califourchon sur lui et dit.
E : « pour l’embêté » Tu es sur ?
J : « mettant ces mains sur les cuisses d’Elizabeth » Ouai.
Elizabeth lui sourit puis l’embrassa. John pendant ce temps était entrain de remonter ces mains sur ses cuisses et lui débarrassa de sa nuisette. Le reste de leurs habits fini par terre et sans suivit d’un corps a corps très chaud. Quand tous deux atteignirent le septième ciel ceux qui arriva, arriva Matisse se réveilla en hurlant. John qui était sur Elizabeth s’arrêta net dans ce qu’il était entrain de faire et posa sa tête sur la poitrine d’Elizabeth.
J : Oh ce n’est pas vrai, on dirait Rodney.
E : « souriant » Non c’est juste qu’il a faim. Bon pousse toi un peu que j’aille le cherche.
John sortie de Elizabeth (dans tous les sens du terme mdr). Elizabeth attrapa un drap, s’enroula autour et alla cherché Matisse pendant que John retomba sur le lit brutalement. Elizabeth revint 2min plus tard avec Matisse et s’assit sur le lit. John ouvrit ces bras pour qu’elle y vienne se qu’elle fit. Et pendant qu’elle donné le sein à Matisse John dit.
J : « a Matisse » Toi je suis sur que plus tard tu finira scientifique avec Rodney car vous nous embêtez toujours dans les meilleurs moment.
E : John.
Elle sourit à la réplique de John et se dit que si un jour Matisse devenait scientifique John allait le remettre dans le droit chemin de la raison car jamais John ne voudra que son fils devienne scientifique.
Fin
Alors bien ou pas bien??????
E : Oui tu as raison.
Ils s’endormirent très vite après c’être couchés.
Le réveille fut un peu difficile car ils n’avaient presque pas dormi à cause de matisse qui se réveillé toute les 30mins.
O : « les voyant arrivé sur le pont avec la tête des jour ou la veille on fait la fête » Oula vous avez ml dormi ?
J : Oui Matisse n’a pas arrêté cette nuit.
Jack leurs sourit puis leurs dit.
O : On devrait atterrire dans 15min.
E : D’accord.
Pendant ce temps sur Atlantis tous le monde étaient entrain de préparé la venu des nouveau arrivant du Dédale.
Quand le Dédale se posa tous ces occupant en sortirent la visite fut faite par Caldwell.
Rodney, Ronon et Teyla, qui étaient venu pour les accueillir avec leurs enfants respectifs, qui regardaient les recrus partirent vers la citée.
R : Pfff encore des militaire et autres personnes inutile pour nous.
?: On est vraiment si inutile que ca ? Tu entend chérie on peut rentré sur Terre.
?: Oui bon ben on remballe nos affaire et on rentre.
Rodney, Ronon et Teyla se retournèrent en entendant ces voix si familière qu’ils pensaient ne plus entendre.
R : John, Elizabeth vous êtes revenues?
J : Et oui !
R : Mais je croyez que vous ne voulez plus revenir.
E ; On va dire qu’on a eu l’aide de quelqu’un.
R : Ah bon ? Et qui.
?: De moi.
R : Général O’Neill ?
O : Et oui Mckay c’est bien moi en chaire et en os.
R : Mais vous n’étiez pas sur Terre ?
O : Si mais je suis venu pour les aidés.
R : Les aidés à quoi ?
O : Enfin plutot Elizabeth, c’est pour qu’elle retrouve son poste.
R : Je ne comprends rien.
E : Mieux vaux que vous ne soyez pas au courant Rodney c’est moi qui vous le dit.
R : Bon d’accord je ne demande plus rien.
E : Merci.
O : Bon non pas que je n’aime pas êtres avec vous mais j’aimerai bien allez voir mes nouveaux quartiers car sa fatigue un voyage comme ça.
E : Oui venez je vais vous y amenez.
J : Je te rejoint au mes ?
E : Oui.
J : Et laisse moi Matisse il ta assez embêté comme ca.
Elizabeth donna Matisse à John puis elle parti avec Jack dans la citée.
A midi ils se retrouvèrent, Rodney, Kate, Elizabeth, John, teyla, Ronon, Carson, Laura, Jack et les enfants, au mess le midi.
E : je suis contente d’être de retour.
J : Et moi dont.
R : Et nous on est content que vous soyez de retour car ce n’était plus pareil sons vous.
E : Ah bon pourquoi ?
C : Ben vous savez avec Caldwell les militaires passe avant les autres.
E : Oui je sais mais bon maintenant ca reviendra comme avant.
R : Mais Caldwell n’a rien dit que vous reveniez ?
E : Ben en faite il nous a dit de venir la voir à 14h alors on va y allez.
J : Et je sans que sa va pas être de la tarte.
O : Ne vous inquiétez pas je vient avec vous il ne vous fera rien.
La fin du repas se passa dans la joie et la bonne humeur.
A 14h Elizabeth, John et Jack se rendirent dans le bureau de Caldwell.
Ca : Ah Dr. Je vois que vous êtes venu accompagné.
J : « sans laissé Elizabeth parlé » Oui Colonel et je trouve très irrespectueux des virée une personne de son poste alors qu’elle l’occupe, déjà depuis longtemps et aussi parce que c’est très lâche de fouiller dans le passé des gens pour pouvoirs avoir leur poste alors si jamais vous ne laissez pas le Dr. Weir reprendre son poste je vous fait descendre en grade ai-je était assez claire ?
Ca : Oui Général.
Jack Sorti et Elizabeth et John le suivirent sans qu’ils aient pus ouvrire la bouche.
O : Bon je pense qu’il va vous laissez.
E : Franchement Jack j’aurais pu me débrouillée seul.
O : Je ne pense pas, vous savez Caldwell et vraiment une vrai tête de mule alors avec lui il faut y allez franc jeux et à mon avis vous n’y serai pas arrivé.
J : En tous cas merci Général de nous avoir aidé.
O : De rien c’est un plaisir de vous aidez maintenant vous pouvez vivre votre vie en paix et oublier le passé.
E : Oui.
O : Bon je vous laisse je vais allez voir vos Jumper ils on l’air très bien.
E : Oui allez y.
Jack parti et laissa John et Elizabeth là ou ils étaient.
E : Bon je vais chercher Matisse et je vais dans mon bureau.
J : Ouai a ce soir ma puce.
E : « l’embrassant » A ce soir.
Puis elle parti cherché Matisse et dans son bureau.
Le soir ils se retrouvèrent dans les quartiers qui avait était aménagé pour eux et Matisse.
J : Mmmhh c’est plus spacieux que ceux qu’on avait avant dit moi.
E : Oui c’est vrai bon je vais mettre Matisse au lit.
J : Ouai moi aussi j’y vais.
E : Je te rejoint.
Elizabeth mit Matisse en pyjama puis la mit au lit en suivant. Elle se mit en pyjama( une nuisette que lui avait offert John ) puis alla au lit.
John et Elizabeth étaient blottis l’un contre l’autre.
J : Il faudra essayer de refaire Matisse.
E : Refaire Matisse ?
J : « le regard coquin » Je parlé de ca conception.
E : Ah. Tu parle de ca.
J : « toujours sont regard et son sourire coquin que Elizabeth compris » Oui.
Elizabeth se mit à califourchon sur lui et dit.
E : « pour l’embêté » Tu es sur ?
J : « mettant ces mains sur les cuisses d’Elizabeth » Ouai.
Elizabeth lui sourit puis l’embrassa. John pendant ce temps était entrain de remonter ces mains sur ses cuisses et lui débarrassa de sa nuisette. Le reste de leurs habits fini par terre et sans suivit d’un corps a corps très chaud. Quand tous deux atteignirent le septième ciel ceux qui arriva, arriva Matisse se réveilla en hurlant. John qui était sur Elizabeth s’arrêta net dans ce qu’il était entrain de faire et posa sa tête sur la poitrine d’Elizabeth.
J : Oh ce n’est pas vrai, on dirait Rodney.
E : « souriant » Non c’est juste qu’il a faim. Bon pousse toi un peu que j’aille le cherche.
John sortie de Elizabeth (dans tous les sens du terme mdr). Elizabeth attrapa un drap, s’enroula autour et alla cherché Matisse pendant que John retomba sur le lit brutalement. Elizabeth revint 2min plus tard avec Matisse et s’assit sur le lit. John ouvrit ces bras pour qu’elle y vienne se qu’elle fit. Et pendant qu’elle donné le sein à Matisse John dit.
J : « a Matisse » Toi je suis sur que plus tard tu finira scientifique avec Rodney car vous nous embêtez toujours dans les meilleurs moment.
E : John.
Elle sourit à la réplique de John et se dit que si un jour Matisse devenait scientifique John allait le remettre dans le droit chemin de la raison car jamais John ne voudra que son fils devienne scientifique.
Fin
Alors bien ou pas bien??????
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