Un autre réalitée

Cette fic est entrée sur Elisabeth mais avec bien sur de ships. Je vous donne 3 partie à la suite

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Elisabeth attend depuis plusieurs heures dans son bureau. John, Teyla et Ronon sont partit en mission. Elle ne sait pas quoi faire et en plus ils ont 2 h de retard. Elisabeth entre dans ses pensées, toujours la même scène qui se rejoues.




Flash Back




Elisabeth arrive devant ses appartements et aperçoit John.

Elisabeth : Que me voulez vous ?
John : J’ai quelque chose à vous dire, c’est important.
Elisabeth : Ca ne peut pas attendre demain ? Je suis vraiment fatiguée, alors…
John : Non ! C’est personnel.
Elisabeth : Je vous écoute.

John baisse la tête, passe sa main dans ses cheveux, prend une bonne inspiration et regarde avec conviction Liz dans les yeux.

John : Vous savez, je suis nul pour dire mes sentiments, ce que je ressens, j’ai l’habitude de garder tout pour moi et ne rien dire.
Elisabeth : Mais…
John : Vous voir tous les jours et tout garder pour moi, c’est impossible. Alors ne m’interrompez pas, c’est assez difficile comme ça.

A ces mots il prend une main de Liz et caresse d’un doigt son visage. Il rapproche son visage du sien. Liz fait un pas en arrière, puis deux, et elle se cogne contre le mur. Un sourire s’installe sur le visage du colonel. Leurs lèvres se touchent, se percutent, et….

Voix : Le docteur Weir est attendu dans la salle de contrôle, je répète, le docteur Weir est attendu dans la salle de contrôle.

Liz se détache sans difficultés, et part sans un regard pour John, les yeux embués. John garde les yeux fermés, se laisse tomber, un long soupir coupe le silence.



Fin du Flash Back




Cette scène date de quelques semaines, depuis elle appelle John, Colonel Sheppard. Maintenant qu’il a ouvert son cœur, Liz n’a peur que d’une seule chose, comme toutes les personnes amoureuse : la mort. Quand on aime on dit qu’on a peur de rien mais la seule chose dont on a peu c’est la mort de l’être cher. Elisabeth tapote sur son bureau, se lève et s’apprête à envoyer du renfort sur la planète.

Homme : La porte s’ouvre… c’est le code du colonel Sheppard.
Elisabeth : Ouvrez !

Mais comme dans un cauchemar, Teyla et Ronon arrive, sans John. Leurs yeux rencontrent ceux de Liz. Parfois les yeux suffisent

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Voila la suite

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A ce moment John passe la porte essoufflé, elle se referme, il lève les yeux vers Elisabeth, son regard est froid.

Elisabeth : Après votre passage à l’infirmerie, passez dans mon bureau pour le rapport Colonel Sheppard.

Et elle s’en va sans un regard pour l’équipe.

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Ronon : Vous en avez encore pour longtemps doc ?
Carson : Si vous continuez à m’interrompre, oui !

Ronon suit alors du regard John. Ses blessures ne sont que superficielles mais il a l’air complètement anéantie. Il se lève et part vers le bureau de Liz avec des yeux remplis de colère.

Elisabeth : Alors, comment c’est passé votre mission colonel ?
John : Vous regrettez ?
Elisabeth : De quoi parlez-vous ?
John : Je vous ai ouvert mon cœur et vous regrettez de n’avoir rien dit. Vous me rejetez ?
Elisabeth : Non.
John : Alors pourquoi n’avoir rien fait ou dit ? Pour quoi m’appeler Colonel Sheppard alors qu’avant c’était John ? Vous avez joué avec mes sentiments ! Vous vous êtes moqué de moi ! N’aillez plus peur, je ne vais plus vous importuner, oublier ma tirade, oubliez tout, je vous aime mais ce n’est pas de l’amour, je crois plutôt que maintenant je vous hais.

A ces mots John part en trombe laissant Elisabeth perplexe. Il la laisse seul. Elle s’assoit, prend sa tête dans ses mains, soupir et quelques larmes descendent le long de ses joues.
Elisabeth se joins à une mission, sans prévenir. Le ton glacial et la tension entre John et Elisabeth ne passe pas inaperçu.

Ronon : Je pense qu’il n’y a rien ici, personne.
John : Alors on rentre.
Teyla : Attendez ! J’ai vu bouger par ici !
John : C’est quoi ? Un lapin ?

A ce moment, un flèche traverse la plaine et viens se loger dans le bras de John.

John : Courez vers la porte, je vous couvre !
Elisabeth : Nous ne vous laisserons pas ici seul, Ronon nous couvrira.

Ronon et Teyla avait déjà tué 4 tireurs. Une deuxième flèche s’enfonce dans la poitrine du colonel, coupant son souffle. Le tireur s’enfuit, par un geste Teyla fait comprendre à Ronon de rester. Elisabeth fait un massage cardiaque, du bouche à bouche.

Elisabeth : Allez John ! Ne mourez pas, battez vous ! Je vous en prie !

Ronon sert Teyla qui ne peut retenir un sanglot.

Elisabeth : Qu’est ce que vous attendez ? Appelez Carson ! A besoin de lui !
Ronon : Je suis désolé Docteur Weir, mais….il….il est mort.

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Et encore une suite

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Elisabeth s’arrête, essoufflée, ses bras pendent, des sanglots la secouent.

Elisabeth : Non, ce n’est pas possible ! Non ! NON !!!!!!!!!!!!!!!!!

Ce cri est inhumain, personne ne la reconnaît dans cette jeune femme meurtrie. Elle prend son visage, le touche, passe un doigt sur se lèvres, elles sont froides et lisse comme une statue de cire. Pendant ce temps, Becket arrive et la découvre son front sur la poitrine du mort, parlant tout bas. Il s’approche doucement, lui touche l’épaule, l’aide à se relever. Ronon la soutient pour passer la porte. Tout le monde regarde ébahis le colonel allongé, blanc comme neige avec sur le flanc gauche un tache rouge magnifique, elle reste là, les narguant par sa présence, s’imposant de plus en plus. Normalement c’est à Elisabeth d’annoncer la mort à la cité mais Ronon s’avance à sa place. Elle le retient par l’épaule, le rejette négligemment, et s’avance. Tous les regards sont sur elle, les larmes reviennent et dans un souffle elle annonce la terrible nouvelle.

Elisabeth : Il est mort… Le Lieutenant Colonel John Sheppard est mort en mission.

Et après cet effort surhumain Elisabeth s’effondre. Tout le monde se rue autour d’elle, son cœur ralentit…il va s’arrêter….. Il s’arrête.

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Elisabeth ouvre les yeux, ce n’était qu’un rêve, qu’un horrible cauchemar. Elle se lève et court comme une folle dans les couloirs, bouillonnante de bonheur. IL est encore vivant, elle peut encore se rattraper. Elle arrive dans la salle de contrôle toute essoufflée.

Carson : Ne courez pas comme ça, vous venez de sortir du coma.

Elisabeth ne prend pas en compte cette phrase et s’avance vers l’équipe de John, et IL est là ! Elle se jette à son cou.

Elisabeth : J’ai cru vous avoir perdu !
John : Comment ?
Elisabeth : J’ai rêvé que vous mouriez, c’était horrible, mais ce n’était qu’un rêve.
John : Vous devriez allez voir Marcus.
Elisabeth : Qui ?
Teyla : Marcus, l’homme qui interprète les rêves, allez le voir.
Marcus : Pas la peine je suis là !

Elisabeth se retrouve devant un homme de 2 m environ, avec des cheveux grisonnants. Elle ne l’avait jamais vu dans la cité mais avant d’avoir un dit un mot, Marcus lui a déjà pris le bras et l’emmène dans ses appartements. C’est les quartiers de McKay revisité par la mode athosienne. Il l’invite à s’asseoir et lui sert à boire.

Marcus : Alors heureuse d’avoir revu John en vie ?
Elisabeth : Quoi ?
Marcus : Je vous explique, le rêve que vous avec fait c’est réellement passé. John est bien mort mais dans une réalité parallèle. A la demande de notre Elisabeth, j’ai regardé si dans une autre réalité il n’y aurait pas une personne qui voudrait partir de son monde. Et je suis tombé sur vous. Vous veniez de perdre un être cher et vouliez partir, le même cas que notre Elisabeth et dans votre monde, cet être cher vie. J’ai briefé Elisabeth et je l’ai envoyé dans votre monde à votre place, et vous vous retrouvez ici. Vous m’avez comprise ?
Elisabeth : En gros, j’ai pris la place d’une autre Elisabeth dans un monde où John vie ?
Marcus : Exacte.
Elisabeth : Mais c’est merveilleux, même parfait !
Marcus : Il y a comme même des changements, pas beaucoup sur les caractères mais plus sur les sentiments éprouvé et l’histoire.
Elisabeth : Quels changements ?
Marcus : Par exemple vous êtes seulement ami avec John
Elisabeth : vous voulez dire que…
Marcus : Eh oui, John Sheppard n’éprouve pas de sentiments particuliers pour vous.

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Je l'avait déjà commencer sur un autre forum donc 3 suite d'un coup. Qu'est ce que vous en penser ? Des coms please

Perso j'adore !!!!!!!!!!! C'est géniale !! Il faut que tu continues !!!!