Torturer et blesser

Celà faisiat déjà 4 ans, 4 longues années ou les membres de l'expédition atlantis, dirgé par le docteur weir, avait débarqué sur la célèbre citée des anciens. 4 ans qu'ils avaient faient la connaissance des wraiths, des géniis et de d'autres ennemies, mais aussi, des années qu'ils avaient noués des liens avec d'autres peuples. 4 ans que des aliens avaient rejoins leur groupe.
Celà faisait 5 mois que le colonel sheppard et le docteur weir entretenait une relation personnelle. 5 mois qu'ils vivaient leur amour sans ce cacher, un amour a tout épreuve.
Une soirée fut organiser un jour de la semaine, histoire de ce détrendre un peu et de profiter du moment de tranquilité que leurs ennemies leur laissais. Tout le personnel était sur son 31, une bonne occasion de se vetir de ses plus beaux habits, ça faisiat dejà 2h30 que la soirée venait de débuter et quand john regardais sa compagne il n'en revenait toujours pas sa tenue.
En effet, elizabeth avait fait fort et quand le miliatire l'avait vu il en avait eu le soffle coupé. Elle portait de supers tallons aïguilles noires cirer, à en faire palir d'envie un mannequin, une robe qui lui arrivait à la limite des genoux, d'un rouge passion satiné, la moulant à la perfection avec un dos nue qui allait faire s'étrangler quelques militaires. Ses cheveux retombaient en boucles travaillés, sur ses épaules dénudés, ses yeux mient en valeur par un peu de noir et de mascara, et ses levres, juste assez retouché d'un peu de rouge, faisant presque ombre aux biloux qu'elle portait.
Sur les différentes tables qui étaient disposer dans la salle, des gâteaux et des bouteilles de différents alcools avait été installés, tandis que la musique envoutais une piste de dance de quelques danseurs. John et ses amis était assis à une table discutant de tout et de rien, leurs assiettes remplient de gâteaux et une coupe de champagne pour tout le monde.
Le militaire semblait très interresé par le biscuit de la diplomate, elle s'en aperçut alors avec sa cuillère, elle coupa un morceau et infiltrale morceau dans la bouche de john, qui lui souria amoureusement.
- Délicieux... dit il en guidant la main de sa compagne pour une deuxième cuillère, puis il l'embrassa à la commissure des lèvres, faisant sourire leurs amis.
Les équipiers de Sheppard les regardérent attendris, mais Teyla ressentit quelque chose, un mauvais preéssentiment lui faisant perdre un peu son sourire.
- Moi je dit qu'on ne devrait pas travailler demain, de plus avec l'alcool que tout le monde prends, la citée va être belle à voir demain matin ! lança Rodney
- Je ne suis pas d'accord ! Les gens doivent assumer les actes qu'ils commettent !
- John à raison, le personnel est assez grand pour savoir qu'ils travaillent demain, alors à eux de choisir dans quel état ils veulent être demain ! souria Elizabeth
- C'est dégueulasse vous profitez de l'union de votre couple pour me contre dire !
- Vous avez tout simplement tort Rodney admetez le ! taquina Sheppard
- Je t'en prie ne commence pas, tu reste sage.
- Bien madame !
- Quelque chose ne va pas Teyla ?! demande Elizabeth. Vous avez l'air...ailleurs.
- Ca va ... tout va bien. souria t-elle ressentant toujours ce mauvais préssentiment, surtout lorsque son regard croisait celui de la diplomate
Quelques biéres avaient été vidés, rendant le personnel plus décontracter et moins strictes sur le réglement. Puis une musiqe entrainante attira l'attention du militaire, il ce redressa le sourire aux levres, retirant sa veste de costume et gagna la pistede dance. D'un signe de la main il appella 5 militaires qui le rejoignient.
Ils ce regarderent et ce mirent à danser sur le même rythme, attirant le regard de tous. Elizabeth ce leva de sa chaise pour mieux voir danser son amant, dont elle ne lui connaissait pas se talent et s'aperçut très vite des regards attichès des femmes, jetant leur dévolus sur son militaire à elle. Il commença à ce déhancher, faisant avec son bassin des mouvements de va et viens tout en accélerant, puis il fit un clin d'oeil au passage à une jeune femme.
La diplomate s'énerva en croisant les bras sous sa poitrine, il osait draguer d'autres femmes ouvertement devant elle. Il l'a regarda, et elle lui jeta un regard noire, il aimait tant la voir jalouse, surtout lorqu'après ils faisaient l'amour, elle se surpassait dans leurs ébats, voulant lui prouver à quel point elle pouvait être entreprenante, à son plus grand bonheur.
Il fit une dernière pirouette, alors que la chanson s'arretait passant à une autre, tandis que tous le monde applaudissait. Il ce rapprocha de sa compagne qui semblait toujours énervé.
- Tu veut jouer à ça ?!
- Pourquoi pas ! On est en soirée autant en profiter, du moment qu'elle ce termine comme je l'avais prévut.
- D'accord ! Vous ... allez me chercher un micro s'il vous plaît !
- Oui madame !
Quelques secondes plus tard, Elizabeth prenait en main le micro et tout en ce dirigeant vers le milieu de la piste de dance, elle lança.
- Votre attention s'il vous plaît ... que se soit sur Terre ou ici ... sur Atlantis, la plupart des gens, notamment les hommes ... croivent que les femmes qui sont diplomates tekke que moi, sont des femmes ... coincer et ne savent pas s'amuser. lança t-elle en souriant alors que les femmes houer et que les hommes disaient ouais.
John souriait, cette femme était loin d'être coincer, surtout lorsqu'ils étaient que tout les deux. L'ambiance était très chaleureuse.
- Et bah ce soir, je vais vous prouvez que les femmes comme moi sont loin d'être coincer.
Elle demande à un militaire de mettre un chaise au milieu de la piste de dance, tout le monde la regarda avec enthousiasme. Avec un sourire ravageur et un regard brulant, elle ce rapprocha du ténèbreux colonel Sheppard, dans un déhanché à en faire tomber un wraith. Elle s'arreta devant lui, puil elle lui attrappa sa cravate noire, fit une torsion pour ce retrouvé dos à lui tenant toujous sa cravate par dessus son épaule et le fit asseoir sur la chaise. Il souriait de toute ses dents, ce demandant jusqu'à ou elle allait aller. Elle ce redressa, fit un rapide rapport sur la salle,puis elle finit par lancer.
- Balancez moi le son !

Suite :

Une musique au rythme plutôt éffrené et sensuelle ce fit entendre. Elizabeth regarda John en lui faisant un clin d'oeil puis commença à se déhancher devant lui, en bougeant très sensuellement le bassin sous les yeux un peu ébahit des femmes et convoiteur des hommes.
Elle fit descendre sa main droite le long de son bras gauche, puis ses 2 mains glissérent sur son torse, faisant le contour de sa poitrine tout en descendant le long de son ventre, sur ses hanches et elles ce faufilèrent entre ses jambes tout en gémissant. Puis en en faisant des déhanchés elle ce rapprocha du militaire assis sur la chaise, qui ne perdait aucune miettes de spectacle. Elle ce baissa en écartant les jambes pour faire écarter celle de son compagnon.
Les hommes commençérent à dégluttir, regrettant de ne pas être à la place de Sheppard. Elizabeth ce redressa doucement faisant glisser ses mains le long des cuisses fermes de celui-ci, qui ce raidit légèrement sur sa chaise, sentant l'envie de la prendre maintenant s'affoler dans son pantalon. Elle mit un pieds au bord de la chaise, tout près du sexe de John lui laissant une agréale vue sous sa robe. Elle ce retourna, et il voulut la toucher en posant ses mains sur son postèrieure mais d'une claque sur les doigts elle lui fit non. Elle se détacha de lui dansant sensuellement, tout en remontant sa robe le long de ses cuisses, elle s'arréta en lançant.
- Est-ce que je continue ?!
- Oui, plus haut ! Plus haut ! lançerent les militaires
Elle remonta un peu plus son vêtement pour finalament le laisser retomber sur ses cuisses, elle fit un clin d'oeil à John et de son index elle lui fit signe de la rejoindre, alors qu'une autre musique défilait.
Quelques couples rejoignirent la piste de dance, Sheppard ne ce fit pas prier, il ce colla contre sa compagne, tandis que Ronon et Teyla dansaient ensemble.
Avec un sourire charmeur, le militaire commença à ce déhancher suivant le rythme de la musique et les déhanchés provocateurs de la jeune femme.
- Tu continue ton petit stip tease tout à l'heure ?! ... Tu as chauffer toute la pièce, surtout les militaires, ils aiment beaucoup se genre de ... jeu. murmura t-il à son oreille
- Je le sais ... est-se que tu fais partie de ses militaires ?!
- Tu sais très bien la réponse, j'ai cru que j'allais te sauter dessus ... et la tu n'arrange pas les choses. souria t-il en la sentant ce mettre dos à lui.
Elle accentua se frottements bassin contre bassin, fesses contre sexe, en ce reculant davantage contre lui. Elle suivait la musique, et elle gémissa justa assez fort pour que son homme l'entende. Ne tenant plus face au comportement de la jeune femme, il lui souffla à l'oreille.
- Il est peut être temps de s'éclipser !
Elle hocha la tête d'un air convaincu et ils tenterent un repli stratégique vers les couloirs. Une fois arriver dans un corridor, ils prirent un transporteur, et à peine monter dedans, Elizabeth lui attrapa la cravate en l'attirant contre elle. La porte se referma derrière John, tandis qu'elle l'embrassait langoureusement. Ils avaient tellement envie de l'un comme de l'autre, qu'ils n'attendirent pas les quartiers de la jeune femme pour commencer les préliminaires.

Suite !



Elle commença à défaire sa cravate, déboutonnant sa chemise, alors que les mains du colonel se baladait sur la poitrine de la diplomate en exerçant quelques pressions et il les sentit se durcir. Il la porta contre lui avec ses bras puissants tandis qu'elle enroula ses jambes autour de sa taille. Quelques minutes plus tard, ils étaient dans leur quartiers, elle disparut dans la salle de bain tandis que John retirait son uniforme. Elle se démaquilla et retourna auprès de son compagnon. Il s'approcha d'elle en la prenant de nouveau dans ses bras, elle le sentit mordiller suavement son cou tout en remontant lentement le tissu fin qu'elle avait gardé sur elle. Il découvrit avec plaisirs qu'il n'aurait que la robe à enlever. Une fois retiré, il contempla avec désir sa poitrine rebondit et la reprit dans ses bras. Ils s'embrassèrent tendrement, leurs mains chaudes parcourant leurs corps nus, en leur arrachant des gémissements de plaisirs, elle brisa le silence ambiant en gémissant à nouveau le prénom du militaire, alors qu'elle guidait le sexe dure de son amant en elle. Il était à présent en elle, cette endroit chaud reflétant le désir à l'état brut, un endroit qu'il aimait tant.

-Je t'aime Élisabeth ! Elle crut que son cœur allait manquer un battement, John choisissait souvent des situations significatives pour lui, pour ce déclarer, chose rare, lors de ses précédentes relations.

Il garda ses yeux plantés à ceux de la jeune femme, elle profita de l'instant alors qu'elle le sentait glisser un peu plus en elle, faisant naitre un soupir en chacun d'eux. Elle s'apprêtait à lui répondre, mais elle le sentit commencer des va et viens qui ne lui permit que de gémir encore son nom, et cela lui semblait lui suffire. Elle atteignit l'orgasme la première, griffant le dos du militaire, qui part l'excitation ne pu ce retenir plus longtemps et ce rependait en elle. Quand enfin elle reprit ses esprits, elle vit le désir qui n'avait pas diminué d'intensité dans les pupilles du militaire, puis elle le sentit augmenter légèrement le rythme de leurs bassins, la laissant ce fondre dans ses bras. Le second orgasme de la jeune femme fut beaucoup plus intense, la faisant ce cambrer violament contre le torde de son amant, emporté lui aussi par la passion.

Ils s'embrassèrent encore, gémissants encore un peu alors que la jeune femme ce collait contre le cou de l'homme.

- Je veux vraiment passer le restant de ma vie avec toi ! Lui murmura t-il

Il la sentit resserrer ses bras dans son dos et se détendre contre lui.

-Moi aussi !

Elle posa doucement sa tête sur l'épaule de son compagnon qui les mena tant bien que mal au lit. Un énième baiser et il se retira en douceur, déposant Élisabeth sur le matelas, éteignant la lumière de la chambre et ce glissant à ses côtés. Elle ce blottissait contre lui avec un soupir de bonheur et un « Je t'aime » murmurer. Ils s'endormirent enlacés pensant à un futur dont ils ne connaissaient rien mais sachant qu'ils le passeraient ensemble. Peu importait le nombre d'étoiles qui décorait son uniforme qu'il avait jeté sur la chaise, il préférait récolté celles qui émaillait des yeux de sa compagne, elles étaient bien plus précieuses à son cœur.

Une semaine c'était déroulé, la citée s'éveillait doucement. Élisabeth ce réveilla lentement dans les bras chauds et protecteurs de John qui dormait encore. Elle n'était qu'à quelques centimètres de son visage qu'elle embrassa, tout d'abord sur le front, descendant ensuite sur son nez puis elle embrassa ses lèvres et elle le sentit sourire. Il intensifia son baiser devenant plus passionnelle tout en la faisant basculer sur le dos.

- Bonjour mon amour, bien dormit ?! Souria t-il

- Très bien et toi ?

- Comment pourrait on mal dormir dans les bras de la plus belle créature de la galaxie?! … En tout cas j'aime quand tu me réveille ainsi. Lança t-il en l'embrassant de nouveau

- Il faut que j'aille travailler !

- Non, reste encore un peu … soupira t-il d'une voix rauque l'embrassant dans le cou

- J'aimerais bien, mais j'ai beaucoup de travail qui m'attends et puis … plus tu me laisseras travailler tôt ce matin, plus je rentrerais tôt dans nos quartiers se soir. Avoua t-elle d'un regard malicieux

Il se laissa tomber sur le dos, elle savait toujours ce qu'elle devait dire pour refréner les pulsions du militaire, enfin presque toujours. Elle ce leva du lit en s'habillant, sous le regard dévoreur de Sheppard, après avoir enfilé son T-shirt elle du s'accrocher au bureau sentant un vertige la menacer, puis elle courut vers les toilettes.

j'adore ta fic vivement la suite même si j'ai un idée de la raison de son état a elisabeth

Je te remercie pour ton comm, ca me fais plaisirs que tu aime ma fic. je mets bientot la suite !

suite !

John ce leva précipitamment en enfilant un boxer et entra dans la salle de bain, il la vit agenouiller au bord des toilettes en vomissant, le visage pâle.
- Viens là ! Lança t-il en l'aidant à ce relever puis la porta jusqu'à leur lit. Lizzie, ça fait plus d'une semaine que tu est malade et tu m'avait promit d'aller voir Carson.
Elle aimait tant quand il s'inquiétait pour elle, cela lui prouvait qu'il tenait plus que tout à elle.
- Je sais, mais ses derniers jours les rapports se sont accumulés sur mon bureau, j'irais voir Carson aujourd'hui, promit !
- Tu me le promet ?!
- Oui !
Bien, tu iras ce matin, et ci ce midi j'apprends que tu n'y est pas aller je t'y emmène de force.
Elle rigola, c'était un signe qu'elle allait mieux. Elle glissa une de ses mains sur la joue droite de son amant et tout en la caressant, elle lança.
- Puisqu'il n'est pas trop tard, je finit de me préparer et je file directement à l'infirmerie.
- Sa … ça me va parfaitement.
Elizabeth avait tenu sa promesse, elle ce trouvait dans le bureau de Carson, il lui avait passer quelque examens.
- Alors Beckett, qu'est ce que j'ai ?!
- Rien de grave Elizabeth … Vous êtes enceinte de 4 semaines pour être exacte.
- Enceinte ?! Lança t-elle un peu surprise
- Oui, vous allez devenir maman toute mes félicitations !
Carson commença à s'inquiéter voyant le manque de réaction de la diplomate, mais il fut rassurer lorsqu'elle souria tout en posant une main sur son ventre, le geste typique d'une femme enceinte.
- Maman … murmura t-elle. C'est géniale, il va être heureux de l'apprendre. S'excita la jeune femme en ce levant de sa chaise, puis elle embrassa la joue du médecin. Merci !
Puis elle sortit de l'infirmerie avec un énorme sourire aux lèvres, alors que le médecin restait encore surprit du baiser de celle-ci. Elle ce dirigea vers son bureau et elle y vit John qui tournait en rond. Elle allait pouvoir lui annoncer la bonne nouvelle, mais plus elle ce rapprochais de lui, plus elle constatait qu'il était énerver.
- John ! Je suis contente que tu soit là, j'ai une bonne nouvelle à t'annonc ...
- Tu part en mission cette après-midi avec l'équipe de Lorne sans même m'en avoir parlé et surtout dans l'état dans lequel tu te trouve ! Dit-il sur un ton sec et froid
- Tu oublie que je suis la dirigeant de cette citée, que je fais ce qu'il me plaît sans demander ta permission, et mon état va mieux, Carson me la dit !
- Je ne veut pas que tu parte avec l'équipe de Lorne, si tu veux sortir tu viens dans mon équipe. Ronon et moi on pourra mieux assurer ta sécurité.
Les personnes qui ce trouvait autour de bureau de la leader, firent semblant de travailler en prêtant une oreille attentive à la dispute entre les deux chefs.
- Tu entends ce que tu dis ! Tu insinue que tes propres soldats ne sont pas assez compétents pour me protégez ?! S'énerva t-elle
- Ne dit pas ce que je n'ai pas dit ! Haussa t-il la voix
- Mais tu le pense, je te signale que sais mon droit de partir avec une autre équipe que la tienne, que c'est une banale mission de reconnaissance pour des traductions et que c'est moi qui ai fait la liste du personnel ici, se sont tous des personnes qualifier.
- Ça ta toujours plus de venir en mission avec mon équipe alors pourquoi veut tu changer subitement, tu aurais du m'en parler !
- Ce n'est pas parce que tu partage mon lit, que tu as tous les droits sur moi …
John la regarda un peu surprit par les dires de sa compagne assez blessants.
- J'ai besoin de changements, j'en ai marre de la routine !!
- Dis plutôt que je ne te suffit plus ! Et que tu préfère faire des parties de jambes en l'air avec le major Lorne ! Lança t-il en colère.
Énervée elle aussi et surtout blessé par ses propos, elle lui administra une gifle monumentale,
- Comment ose tu dire ça !! Comment ?! Tu croit que c'est facile de supporter les remarques désobligeantes de Kavanna sur notre couple, pour qu'en plus tu en rajoute ?!
Elle commença à partir, les larmes aux yeux, tristes qu'il pense cela d'elle, elle qui croyait pourtant qu'il la connaissait bien, elle ce retourna quelques gouttes perlaient sur ses joues,
- Je partirais que sa te plaise ou non, tu n'as plus ton mot à dire !
Puis elle s'en alla en courant, disparaissant de sa vision et doucement il prit conscience des paroles blessantes qui lui avait balancer à la figure, ses mots aussi tranchants que des larmes de rasoir. Ce qu'il pouvait être vraiment stupide quand il était en colère.
Il était 14h00, l'équipe du major Lorne et Elizabeth ce préparait pour la mission, Rodney, Ronon et Teyla se tenait près de la salle des commandes avec un air un peu surpris, ils avaient eu vent de la dispute et de la gifle du couples leaders. John regardait la diplomate mettre son équipement, puis il se rapprocha d'elle et l'aida à mettre son gilet,
- Je n'ai ...
- Laisse moi faire ! Dit -il sur un ton neutre
Elle se laissa faire ne voulant pas créer un scandale et ne voulant pas partir en mission plus énervé qu'elle ne l'était déjà.
- Tu devrais parler à Teyla, je la trouve bizarre ses derniers jours, elle est comme ... ailleurs. Avoua t-elle en regardant la jeune athosienne qui la regardait avec un visage plutôt triste.
John ce retourna pour la regarder et reporta son attention sur sa compagne.
- Je vais lui parler aujourd'hui !
- Bien ... Chuck composer l'adresse !
- Oui madame.
Alors que doucement les chevrons s'activaient, Elizabeth voulait ce retourner face à la porte des étoiles, mais le colonel l'obligea à rester face à lui.
- Fais très attention à toi.
- Je suis une grande fille, je sais me débrouiller tout seule ! Lança t-elle d'une voix froide
Il voulut l'enlacer tout en sachant que ce ne serait pas facile de la reconquérir, mais elle ce recula de lui repoussant violemment ses bras.
- Ce n'est pas aussi facile que ça John ! Allez on y va ! Dit-elle à son équipe
Elle allait traverser le vortex quand Sheppard intercepta le major Lorne.
- Oui mon colonel !
- Vous surveillez très attentivement le docteur Weir, si il y a quelque chose de suspect vous rentrez qu'importe ce qu'elle dit. Ci elle revient blesser je vous prévient que vous le regretterez ! Affirma John
Bien mon colonel ! A vos ordres.

suite :

L'équipe de Lorne était enfin partit sur la planète. Ils marchèrent dans la direction d'un petit village accueillant, où se trouvait aux alentours un temple en ruines avec des traductions. Deux soldats ouvraient la marche et deux autres la fermaient, tandis qu' Evan marchait au côté d'Élisabeth.
- Qu'est ce que John vous a dit avant de franchir le vortex ?!
Il m'a demander de bien surveillez les alentours et surtout de vous surveillez madame !
Elle soupira, jamais il ne changerait, et parfois il avait tendance à trop la sur-protéger et elle étouffait.
- Qu'est ce qui ne va pas madame ? Demande le soldat en l'entendant soupirer
- Rien de grave major ... c'est juste que je n'aime pas me disputer avec le colonel Sheppard pour de simple histoire de missions.
- Je veut bien vous croire ! Souriait-il
- De plus j'avais une bonne nouvelle à lui annoncer, qui je suis sur l'aurait rendu heureux, mais à la place on sait disputer et je n'aime pas pu lui annoncer que ... j'étais enceinte !
Evan semblait un peu surprit, mais il ne le fut pas beaucoup, sachant que le militaire et la diplomate entretenait une relation depuis plus de 5 mois.
- Mes félicitations madame ! Je suis très heureux pour vous et le colonel.
- Merci major, mais vous devez me promettre de ne rien dire, j'aimerais pas qu'il l'apprenne d'une autre bouche que la mienne !
- Bien sur.
Elizabeth fit quelques traductions, et 2 heures plus tard, ils ce rendaient au village qui était très accueillant, ils allèrent dans une taverne pour boire un verre avec le chef du peuple et partager certaines cultures.
Quelques minutes après avoir bu des verres, Elizabeth se sentit lourde, prise de violent vertiges, elle vit 2 militaires s'effondrer au sol, se sentant partir elle aussi, elle s'accrocha à la veste du chef qui lui lança.
- Je suis vraiment désoler !
Puis elle s'effondra au sol.
Doucement elle ce réveilla avec un mal de crâne horrible, elle ouvrit péniblement les yeux s'habituant à la faible lumière de la pièce. Elle ce trouvait dans un endroit assez sombre, allonger à même le sol, lentement elle s'assit et fit le tour de la salle, qui ressemblait étrangement à une prison dans un sous sol. Il y avait d'autres prisons à côtés d'elle, une sorte de fenêtre munit de barreaux lui permettait de voir qui ce trouvait à côté. Elle ce leva et s'en approcha.
- Major Lorne ?! Sergent Gates ?!
- Je suis là madame ! Dit Lorne dans la cellule, elle vit son visage et cela la rassura un peu. Les autres sont dans les cellules d'à côtés, ils sont réveillé mais on a plus nos armes.
- Où somme nous ?! J'ai l'impression d'avoir déjà vu cette endroit !
- Ce sont des cellules Génii, j'en suis sur, ils nous ont tendus un piège et je ne l'ai même pas vu arriver. Je suis désoler madame !
- Ne le soyez pas, personne n'aurait pu s'en douter, il va falloir trouver un moyen de sortir d'ici.
- Oui ... mais je ne voit pas comment, sans armes on ne pourra pas faire grand chose et ...
Il ne pu terminer sa phrase, que l'équipe de Lorne entendirent des soldats venir dans leurs direction, et comme l'avait dit le militaire, c'était bine des Génii avec leur uniformes et leurs armes. Ils étaient 5 et se rapprochaient des cellules.
Vous allez nous suivre sans faire de mouvements brusques ou je la tue ! Dit l'un des soldats avec son arme bien en main, menaçant la diplomate.
- Ne la touchez pas ! Ordonna Evan
- Avancez !!
On les obligea à avancer, marchant dans des couloirs sans fin, alors qu'on leurs avaient ligoter les mains avec de la corde. Ils arrivèrent dans une grande salle, ou il y avait une sorte de bureau avec quelques chaises, du matériels électroniques, leurs gilets et leurs armes. La pièce était plutôt sombre, éclairer seulement par des lumières au plafond, il y avait une caméra d'un très ancien modèle, mais se qui fit glacer le sang des atlantes, c'était les instruments de tortures qui avait été disposer correctement sur une autre table.
Elizabeth ne fut pas étonner de voir Kolya, qui lui souriait en se rapprochant.
- Bonjour docteur Weir, je suis heureux de vous revoir !
- Kolya ! ... désoler si l'honneur n'est pas réciproque !
- Que voulez vous ?! Demande Lorne
- C'est simple, lors de notre dernière rencontre, le colonel Sheppard et ses hommes nous on voler notre traceur Wraiths et notre matériels pour nos bombes, grâce à vous nous allons pouvoir récupérer se qui nous est dû. Sourit t-il en s'assoyant sur le bord de la table en bois.
- Vos bombes vous servent à détruire des villages pacifistes et le traceur, vous sert à envoyer les Wraiths sur d'autres planètes, pour qu'ils vous laissent tranquille ... Atlantis ne négocie pas avec nos ennemies. Que vous fassiez pressions sur nous, ne changeras rien, vous n'opterez rien ! Lança Elizabeth faisant quelques pas vers le chef Génii, qui était toujours impressionner par le caractère de cette femme.
- Vous mettez en doute les sentiments que les gens peuvent avoir, lorsqu'on menace la vie des personnes que l'on aime.
- On est là pour le travail et non pour avoir une vie personnelle ...
- Arrêtez docteur Weir ! Je commence à connaître assez bien le colonel Sheppard, pour savoir qu'il ressent beaucoup plus d'affection qu'il ne le devrais envers vous. Le jour ou il y a eu la tempête mes suspicions on été confirmer, vous comptez beaucoup trop aux personnes sur Atlantis, pour qu'ils n'agissent pas pour vous sauvez ! Même ses soldats sont prêt à tout pour votre vie. Avoua Kolya en désignant l'équipe de Lorne et il n'avait pas tort
- Sa c'est ce que vous croyez ! Ils ont ordres de ne pas ce laisser influencer et de ne pas céder aux requêtes de nos ennemies, quel qu'en soit le prix !
- J'avoue que votre caractère et votre façon de penser mon, toujours impressionner docteur Weir ! Bon trêve de bavardages et passons au choses sérieuses. Ce boitier permet d'accéder à Atlantis et de faire baisser le bouclier grâce à un code d'identification, quel est-il ?! Demanda t-il en montrant le boitier que la diplomate portait sur elle quelques heures auparavant.
- Je ne sais pas !
- Vous avez deux solutions docteur Weir, soit on emploi la méthode douce, ou soit la méthode forte. Faites attention à la décision que vous prendrais, car vos hommes en compatirons.
- Je n'ai pas d'ordres à recevoir de vous !
- Vous voulez jouer à ce jeu là ?! Très bien on va jouer, je vais choisir la méthode forte, vous ne me laissez pas le choix.
Il fit signe à ses soldats de faire avancer les 3 militaires de l'équipe de Lorne. Les Génii les firent s'agenouiller devant eux, et ils sortirent leurs armes, les pointant en direction du front des militaires.
- Je vous en prie ne faites pas ça, ils ne connaissent pas le code ! Supplia Elizabeth
- Je repose ma question, quel est le code ?! N'oubliez pas que vous seule détenez le sort de leurs vies !
- Ne dîtes rien docteur Weir ! Lança l'un des atlantes qui ce prit un coup de pieds dans le ventre.
- Le code !! s'énerva le chef
- Je ne sais pas. Avoua t-elle en baissant la tête
- Bien alors dîtes adieu à cette homme !
- Ça a été un honneur de travailler avec vous …
Le militaire ne pu terminer sa phrase qu'il ce reçut une balle en pleine tête et s'écroula au sol, sous les yeux impuissant de la diplomate et du major Lorne qui c'était tous deux reçut du sang sur le visage à cause de l'impacte.
Kolya reposa deux fois la question, mais elle ne lui avoua rien, alors il tua les 2 autres atlantes sans aucun remords, alors que la jeune femme versait quelques larmes en silence, c'était à cause d'elle qu'ils étaient morts. Malgré sa faiblesse elle ne montra rien, de peur que ses ennemies en profite.
- On va passer au chose sérieuse puisque vous voulez toujours rien nous dire ! Sachez docteur Weir que j'obtiens toujours se que je veut !
- Sachez Kolya que je ne cède jamais aux menaces ! Le défia t-elle du regard
- Alors c'est ce que nous verrons, ramenez la en prison, je vais m'entretenir avec le major Lorne !
Elle fut ramener dans sa cellule la peur au ventre. Elle connaissait assez bien les Géniis en particulier Kolya, pour savoir qu'il prêt à tout pour obtenir ses informations, et que la violences et les crimes ne lui faisait pas peur.

ah! non pas kolya! je aut pas le supporter (surment parce qu'il veut tue jonh et que c'esst un vrai sadique). Merci d'avoir mis a suite...j'ai hate de savoir ce qui va se passer.

suite :

1h30 plus tard, et les Géniis ramenaient le militaire dans sa cellule, il avait du mal à tenir debout et paraissait salement amocher, mais l'obscurité de la pièce d'à côte ne permettait pas à Elizabeth de voir les détails. A son tour elle fut emmener devant le chef et des tortionnaires, pour un interrogatoire qui ce promettait douloureux.
Alors que le docteur Weir subissait les assauts violents des Géniis, John était dans le bureau de celle-ci remplissant ses dossiers, puis alla en salle des commandes.
- Toujours pas de contact radio avec l'équipe du major Lorne ?! Demanda t-il à Chuck
- Non messieurs.
- Qu'est ce qui se passe ? Lança Rodney accompagner de Teyla.
- L'équipe du major Lorne ne nous a toujours pas contacté, ils auraient du le faire il y une heure !
- Je suis sur que ce n'est rien de grave. On est déjà aller sur cette planète, les villageois sont très gentils et il n'y a rien de menaçant autour. Sourit l'athosienne en essayent de rassurer le militaire.
- Puis vous connaissez très bien Elizabeth, si les traductions l'intéresse, elle ne voit pas le temps défiler et ce laisse prendre par son travail.
John réussit à sourire, le scientifique n'avait pas tort.
- Oui vous avez surement raison ! Je leur laisse une heure, si ils ne nous ont toujours pas contacté, on le fait !
Le militaire retourna dans le bureau, tandis que McKay se rendait à son laboratoire et que Teyla allait voir la psychologue.
- Bonjour docteur !
- Teyla … Bonjour !
- Est ce que je peut vous voir quelques minutes ?
- Bien sur, entrez et installez vous.
La jeune femme prit place sur le divan, regarda le docteur Heitmayer, puis lança.
- J'ai besoin de conseil. Comme vous la savez j'ai un don qui me permet de détecter la présence des Wraiths à une certaine distance, et de rentrer dans leurs esprits.
Le docteur fit oui de la tête, surprise de voir la jeune femme assez perdu.
- Mais depuis 5 jours environ, j'ai un mauvais pressentiment. Je ne s'en pas la présence des Wraiths, c'est autre chose et cela c'est intensifier de plus en plus jusqu'à aujourd'hui !
- Qu'entendez vous par un mauvais pressentiment, vous sentez que quelque chose de négatif va se produire ? Demanda le docteur
- Oui, j'ai se sentiment étrange en moi, puis les jours se sont écouler et que j'étais en présence d'Elizabeth, plus se mauvais pressentiment m'envahissais. Je me suis toujours fier à mon instinct, il ne ma jamais tromper.
- Je comprends et c'est vrai que grâce à vos capacités, vous ressentez certaines choses que les autres ne ressentent pas ! Pour en revenir au docteur Weir, vous pensez qu'il va lui arriver quelque chose ?!
- Je ne sais pas, mais il est fort probable que oui. Je ne sais pas se qui va arriver, j'essaye de me dire que rien ne va se passer, que c'est le fruit de mon imagination, mais s'est arriver à un point ou je n'arrive plus fermer l'œil de la nuit ! Est se que vous pensez qu'il serait judicieux d'en parler à John, il est déjà assez stresse comme ça.
- Vous seule pouvez le décider, c'est vrai que nous avons parfois des mauvais pressentiments, mais ils ne se déroule pas forcement. Ci vous sentez que c'est le contraire, que quelque chose va mal ce passer, vous pouvez en parler, mais vous en êtes pas obliger.
- D'accord, je vais y réfléchir, merci Docteur !
- De rien Teyla !
Et elle repartit pas pour autant palus rassurer que cela.
Les Géniis avaient interroger le docteur Weir pendant 2 heures, sans relâche et ils c'étaient vite rendu compte que pour le moment elle n'était pas trop décider à parler, alors ils avaient remplacer leurs questions par leurs poings et leurs instruments de torture. Puis l'avait balancer dans sa cellule sans plus de faveur que cela.
- Docteur Weir, est ce que ça va ?! Questionna Evan, se relevant péniblement en ce tenant au barreau de la fenêtre pour voir sa supérieur allonger sur le dos, le corps fatiguer et presque inerte, seule sa respiration saccader lui permettait de savoir qu'elle était vivante.
- Ça va Lorne !
- Que vous ont-ils fait ?! Demanda t-il inquiet, sachant qu'elle n'était pas habituer à supporter se genre de traitements contre des aveux, qui de tout façon leur couterais la vie.
- Le même traitement que vous je suis pose … est se que vous êtes blesser quelques part ?!
- Non, à part de jolies hématomes qui apparaissent sur mon corps, ils ne m'ont encore rien casser et vous ?!
- Je respire encore ! Plaisanta t-elle
- Tant mieux alors !
Il l'entendit rire et ça le rassure, elle ce redressa doucement, s'assoyant contre un mur et le militaire s'aperçut des marques sur le visage de celle-ci, quelques hématomes qui tirait sur le violet ornait sa joue gauche et son œil droit, l'arcade droite légèrement en sang et la façon dont elle s'était déplacer, prouvait qu'ils n'avaient pas seulement frapper sur son visage.
- Vous avez de la famille Lorne ? Des enfants, une femme ?!demanda t-elle doucement en le regardant, voyant elle aussi les coups du militaire.
- Non madame ! Dans mon métier ce n'est pas très recommander, comme ça au moins si il m'arriver quelque chose je ne laisserais personnes derrière moi.
- Vous vous trompez major, vous être beaucoup apprécier sur Atlantis, John et son équipe vous apprécie énormément et John vous respect.
- Je le respect beaucoup moi aussi, c'est un bon militaire.
- Oui je sais ! Vous savez, je savais que venir sur Atlantis ne serait pas facile et que ma vie personnelle en prendrais un coup. Mais depuis que j'ai rencontrer John tout à changer, même si on est ensemble que depuis plus de 5 mois, je me suis mise à penser au mariage avec lui, une vie auprès de ses bras avec nos enfants. Souria t-elle
Le militaire l'écoutait avec plaisirs, ce disant que jamais la diplomate ne lui avait parut aussi faible et sentimentale qu'aujourd'hui. Et cela lui faisait plaisirs de savoir que parler de sa vie personnelle lui rendait le sourire.
- Je ne me serais jamais cru aussi sentimentale, mais je sais que quand je suis dans les bras de John, je suis en sécurité, … et dire que j'allais lui annoncer une bonne nouvelle ce matin et qu'à la place on c'est disputer pour la mission d'aujourd'hui. Je ne sais même pas ci je le reverrais un jour.
- Ne perdez pas espoir madame ! Vous êtes fortes, et sur Atlantis ils ont encore besoin de vous, puis le colonel va nous retrouvez !
- Il sera surement trop tard, vous savez que si nous leurs donnons pas ce qu'ils veulent, nous leurs serrons plus d'aucune utilité ! Lança t-elle, le visage triste, alors que les Géniis venait à nouveau la reprendre.

suite :

John inquiet que l'équipe de Lorne ne les aient toujours pas contacter, s'apprêtait à le faire, mais la porte des étoiles s'activa toute seule, alors que les équipiers de Sheppard venait près de la salle des commandes.
- C'est un contact radio ! Dit Chuck
- Très bien, branchez le !
L'écran s'alluma et tous virent une pièce avec quelques instruments et Kolya apparut.
- Kolya, quel surprise de vous voir ! Avoua John ironiquement
- Colonel Sheppard, je vois que êtes toujours un militaire au sens de l'humour rare … Si je vous contacte c'est que j'ai une bonne raison de le faire. Vous avez du matériels que vous nous avez prit, nous intéresse beaucoup sur Atlantis.
- Bien sur ! Alors vous avez décider de nous contacter comme ça, un jour en croyant qu'on allait vous offrir ce que vous désirez ! Désolé mais là c'est une mauvaise journée alors rappelez plus tard . … Depuis le temps qu'on ce connait, vous n'avez toujours pas comprit qu'on ne négociait pas avec nos ennemies, encore moins si ils ont votre tronche ! S'énerva Sheppard
- J'apprécie votre franchise Sheppard et vous non plus vous n'avez toujours pas comprit. Si je vous ordonne un échange, ce que nous possédons certaines choses, qui je suis sur, vous ferons changer d'avis à coup sur. Souria le Génii
- Ah oui ?! On aimerais bien savoir ce que sait ! Lança à son tour Ronon sur un ton sec
- Très bien ! Emmenez là ! Ordonna Kolya
L'équipe de Sheppard se rapprochèrent de l'écran, ainsi que le personnel se trouvant aux alentours, intriguer par l'agitation. Ils virent sur l'écran deux soldats au loin, qui tenaient fermement une personne, qui se débattait. Cela se rapprochais de l'écran, alors que le chef Génii continuait de sourire. John et ses amis remarquèrent l'uniforme d'Atlantis sur le prisonnier, mais ils ne purent mettre un visage, car les Géniis avait mit un sac sur sa tête, et les mains ligoter.
- Enlevez lui le sac !
Le tissu fut enlever et le cœur de John manqua un battement dans sa poitrine, lorsqu'il découvrit avec horreur que c'était Elizabeth, la leader d'Atlantis, sa compagne, qui était aux mains de leurs ennemies, ses mains ligoter et la bouche munit d'un tissu. Tout le monde fût surpris et Sheppard sentit la colère lui monter au cerveau.
- Elizabeth ! Murmura t-il. Je vous préviens si vous touchez un seul cheveux d'Elizabeth, je vous tue !
- Oh, mais je n'ai pas entendu votre permission pour commencer les interrogatoires ! Dit le chef en prenant la jeune femme par le bras, l'approchant de la caméra puis la balança au sol.
- Kolya !! s'énerva John, voyant le visage abimer de la femme qu'il aimait. Qu'est se que vous lui avez fait ?!
- Rien mise à part que je lui ai poser des questions auquel elle n'a pas voulut répondre, alors Sheppard vous avez changer d'avis, sinon … vous n'êtes pas prêt de revoir le docteur Weir et le major Lorne !
- Où sont mes autres hommes ?
- Ils sont morts, le major Lorne et le docteur Weir nous sont utiles pour faire pressions sur vous, que ne feriez vous pas pour la femme que vous aimez, avec qui vous partager plus de 5 mois de vie commune, qui est en détresse ?!
Tout le monde montra un visage incrédule, ce demandant comment il savait ça, Élisabeth haussa les sourcils.
Le docteur Weir et le major Lorne sont filmer à leurs insu, alors certaines choses nous sont parvenues aux oreilles. Vous voulez faire un petit coucou à vos amis ?! Dit-il en retirant le morceau de tissu de la bouche de la diplomate qui regarda la caméra.
- Quoi qu'ils fassent ou demande, je vous ordonne de ne rien faire ! Avoua t-elle avant que l'on lui remette le morceau de tissu.
John ne voulait qu'une chose, récupérer sa compagne la rassurer, lui dire que tout était finit, en donnant tous ce que les Géniis demandait, mais elle lui avait donner un ordre, que cette fois-ci il allait respecté. Il fallait qu'il pense à la vie des membres de la base.
- J'attends votre réponse Sheppard !
- … On ne négocie pas avec nos ennemies ! Dit-il d'une voix neutre, ne laissant montrer sa faiblesse.
- Comme vous voudrez, mais par votre faute le docteur Weir va en payer les conséquences.
Il fit signe à deux soldats, d'obliger la diplomate à s'agenouiller, puis Kolya s'approcha d'elle puis en refermant son poing droit, il l'abattit violemment sur le visage de la jeune femme qui s'écroula au sol, gagner par la douleur.
Quelques minutes plus tard, John et le reste de son équipe assistait impuissants au coups de fouets des Géniis, claquant la chair vif d'Elizabeth qui souffrait en silence, ce cambrant de douleurs. Malgré les cris de menaces du militaire et de l'ex-runner, mais cela ne changea rien.
- On vous contact dans 3 heures, le temps que les plaies du Docteur Weir puisse se reposer. Réfléchissez bien à se que je vous ai demander, sinon vous pourriez la perdre à tout jamais !
2 heures c'étaient écouler, l'équipe de Sheppard essayait de trouver un moyen pour retrouver les traces des Géniis, mais le délai que Kolya avait laisser, était beaucoup trop court et ils n'avaient rien trouver. En attendant, les interrogatoires avaient reprit, Lorne en premier, mais en bon militaire il se retenait de toute confidence. Kolya préférait s'en prendre à Elizabeth, elle qui n'était pas habituer à ce genre de traitement. Pour le chef Génii c'était une vengeance personnelle, pour s'en prendre directement à Sheppard, mais il devait avouer que la jeune femme avait plus de courage et de force qu'il ne l'avait cru.

oh non Elizabeth. Merci de poster ta fic je l'adore, tu écris super bien;

suite :

Elle fut à nouveau ruer de coups, poings fermer, coups de fouets, coups d'armes, elle encaissait tout les coups un par un dans des cris de douleurs qui parvenait jusqu'à la cellule d'Evan, qui se sentait responsable de tout se qui leurs arrivaient. Elle avait de plus en plus de mal à tenir, sentant son corps se dérober doucement sous ses pieds, mais pour rien au monde elle ne leur donnerais satisfaction, il lui restait encore de la dignité pour faire face à Kolya.
A nouveau celui-ci contacta Atlantis demandant si ils avaient changer d'avis, les atlantes répondirent non et à nouveau ils durent voir leur leader se faire battre sans relâche, donnant du plaisirs aux soldats qui la cognaient.
Le soir était tomber rapidement, tout le monde avait essayer de trouver un moyen de retrouver leur leader, mais leurs recherches n'aboutissaient à rien. Le colonel n'avait pas manger depuis le petit-déjeuner et passait son temps en salle d'entrainement, préférant taper sur le sac de sable, à imaginer la tête de Kolya. Les Géniis balancèrent le corps de la jeune diplomate dans sa cellule, elle tomba lourdement sur le ventre, chaque gestes était pour elle un supplice, plus de 3 heures sans aucune pause, à se faire rouer de coups de toutes sortent. Sa respiration était hacher, le major Lorne était assis et même avec sa jambe gauche surement casser, il ne ce plaignait pas et se redressa pour voir l'état de sa supérieure.
- Docteur Weir !
- …
- S'il vous plait, dites quelque chose !
- Je vais bien … J'aimerais … me reposez … lança t-elle dans un murmure.
Lorne se laissa glisser contre le mur priant pour qu'on les retrouvent avant qu'il ne soit trop tard.
On les laissaient aucune seconde de répit, ils avaient droit à 2 heures et demi maximum de repos et après on les réveillaient. La nuit était haut dans le ciel, malheureusement les deux atlantes ne purent voir le ciel pleins d'étoiles.
Elizabeth avait réussit à se glisser sur le dos, c'était plus facile pour elle de respirer.
- Major vous dormez ?!
- Non madame, je n'arrive pas à trouvez le sommeil ! Et vous, vous avez réussit à vous reposez ?!
- Pas vraiment, un matelas ne serais pas de refus pour trouvez un peu de repos et je me sens nauséeuse … Vous tenez le coup ?!
- Oui madame ! Je suis un militaire je suis entrainer pour ce genre de situation, même avec un genou probablement casser, … Je m'inquiète pour vous, vous ont-ils cassez ou blessez quelque part ?!
- Je vais bien, ne vous inquiétez pas pour moi, comme vous l'avez dit tout a l'heure, il ne faut pas perdre espoir.
- Je garde espoir madame ! … Je suis sur sincèrement désoler, si j'aurais fait plus attention j'aurais pu nous éviter tous cela. J'aurais du vous protégez mais j'ai échouer à ma mission. Avoua Lorne la voix pleins de peine.
- Non Lorne vous n'êtes pas responsable, vous avez fait votre devoir et je veux que vous continuez à ne rien dire, même si cela nous entraine dans un chemin que l'on connait que trop bien … Auriez vous l'heure ma montre est casser et ma vision n'est pas nette ?!
- Il est … 01h48 madame ! Vous devriez essayer de vous reposez, vous en avez besoin !
- Oui
Mais au moment ou elle fermait les yeux, deux soldats Géniis vinrent rendre visite au prisonniers. Ils leurs balancèrent de la nourriture et une gourde d'eau, ils regardèrent les détenues avec un rictus aux lèvres, ils étaient traiter comme de vulgaires esclaves. Tandis que Lorne prenait sa gourde d'eau et la nourriture dégueulasse, Elizabeth restait allonger sur le dos, le regard vers le plafond, la respiration douloureuse.
Un soldat discuta avec son équipiers, puis en lui tapant sur l'épaule gauche, il rentra dans la cellule de la jeune femme, prenant le soin de clenche derrière lui, même si il savait qu'elle n'irait pas loin, alors que l'autre soldat restait devant la cellule. Il se rapprocha de la diplomate, elle le regardait s'approchait mais elle ne bougea guerre, cela lui était trop difficile.
- Alors docteur Weir vous ne mangez pas ?! Pourtant il le faut, Kolya à encore besoin de vous pour quelques jours ! Sourit t-il en s'accroupissant à ses côtés.
- Votre nourriture n'est pas comestible, elle nous rend malade !
- C'est comme ça ma jolie ... demain on aura une nouvelle façon de procéder pour te faire parler, je suis sur que sa va te plaire.
Il lui caressa la joue gauche, son visage blêmit par des hématomes important, complètement violassé, l'arcade enfler et sa lèvre inférieure entailler. La main du soldat glissa le long de son cou.
- Allez vous en ! Dit elle presque dans un murmure, tentant de se reculer de lui.
- Viens par là, on va s'amuser ! Dit le Génii en souriant tout en arrachant à moitiez le T-shirt de la leader.
- Ne la touchez pas !! hurla Lorne
- Toi tu la ferme, ou je coupe la langue du docteur Weir !
Il se ravisa, ne voulant pas aggraver la situation.
Le soldat commença à caresser la poitrine de la jeune femme, malgré les hématomes sur son corps, elle ressemblait toujours à une femme avec des formes qui attirait les soldats. Ses mains s'infiltrent dans son soutien gorge, alors qu'elle essayait de le repousser malgré la douleur aiguë qui la reprenait. Ses mains descendirent sur son ventre, accentuant sur les bleues pour la calmer et la faire hurler de souffrance. Puis elle sentit qu'il déboutonnait son pantalon et le sien par la même occasion.
- Lâchez moi, allez vous en ! Supplia t-elle en essayent de le frapper
- C'est fou ce que tu est excitante ... t'inquiète pas, mon ami et moi on va te faire que tu bien !

suite :

Elle voulut le frapper à nouveau, se reculer de lui mais quand elle essaya de bouger une violente dans son dos l'obligea a ne pas bouger. Son pantalon fut baisser ainsi que son sous vêtement, elle essaya de se cacher, elle se sentait mise à nue, humilier et salit.
Le soldat baissa davantage son pantalon et son caleçon puis lui écarta violemment les cuisses. Elle tourna la tête vers le mur pour ne pas voir la satisfaction du Génii, des larmes coulaient doucement le long de ses joues et il la pénétra brutalement dans un cri rauque. Elle sentait une nouvelle douleur l'envahir, son corps se mit à trembler alors que le soldat entamait ses mouvements de va et viens. Puis Kolya arriva, il ouvrit avec colère la cellule et prit le soldat par la veste en le balançant hors de la cellule, le pantalon et le sous vêtement encore à ses chevilles.
- Je vous avez pourtant dit de ne pas la touchez ! Hors de ma vue ou je vous coupent vos bijoux de famille !
Les 2 soldats s'en allèrent, Kolya balança une couverture à la jeune femme qui avait réussit, avec beaucoup de mal à remettre ses vêtements, sans avoir prit la peine de le reboutonner.
- Vous, vous allez passez la nuit avec le docteur Weir, exceptionnellement, faîtes la manger. Dit Kolya en mettant le major Lorne dans la même cellule que la diplomate.
Il la vit allonger sur le sol, dos à lui, elle tremblait, de froid ou d'état de choc,le militaire ne put le dire. Elle avait réussit à ce coller contre le mur, tandis que le Génii.
- Docteur Weir ! Mangez un peu, vous avez besoin de force !
Il se rapprocha d'elle et avec son aide elle réussit à s'asseoir en s'adossant contre le mur, en criant de douleur. Lorne vit avec effroi le visage abimer de la diplomate, elle bu un peu mais difficilement.
- Tenez, prenez ma veste ! Avoua t-il en retirant la sienne voyant le T-shirt de la jeune femme déchirer.
- Merci ... mais je ne vais pas réussir à la mettre.
- Je vais vous aider madame !
Elle réussit à mettre la veste, puis le militaire c'était allonger sur le dos et même un peu réticente, Elizabeth avait dormit dans les bras de l'atlante pour éviter qu'elle ne souffre trop à cause du sol. Une main poser sur son ventre, elle se demandait si sa grossesse avait une chance d'être à terme, vu les traitements que l'on affligeait à son corps.
Il était 10h30, la citée était réveiller depuis longtemps, Caldwell était arriver dans la soirée avec le dédale et avait rapidement informer de la situation dans lequel le docteur Weir et le major Lorne ce trouvait.
Le colonel Sheppard n'avait pratiquement pas dormit, trop tourmenter par le sort qu'attendait sa compagne aux mains des Géniis, et peu habituer à dormir seul. La porte des étoiles s'activa à nouveau, un message radio de la part de Kolya.
- Vous continuez à tenir tête à notre demande, vous êtes bien complice avec le docteur Weir. Vous formez un jolie couple tous les deux, mais vu comment vous réagissez vous risquez de vous retrouvez seul !
- Si je vous trouve Kolya, vous êtes un homme mort ! Vous entendez ... un homme mort !! s'énerva le militaire.
- Je vous envoie des donner, se sont 2 vidéos qui ont été filmer hier soir et une ce matin. Je suis sur quels vont vous plaire, surtout la deuxième, j'ai presque faillit être triste.
Le vortex ce referma, tandis que Rodney configurais les vidéos sur l'ordinateur, pour les afficher sur l'écran de la salle des commandes.
La première vidéo, que le scientifique, Caldwell et l'équipe de John virent, était celle de la tentative de viol du soldat Génii envers Elizabeth. Sheppard serra les poings et les dents, énerver contre ses hommes, contre Kolya qui humiliait et faisait souffrir la femme de sa vie jours après jours. Teyla posa une main amicale et compatissante sur l'une des épaules du colonel, qui ne réagit pas.
La deuxième vidéo commença et Carson rejoignit les membres du personnel.
Ils virent Elizabeth debout au milieu de la salle, son visage défigurer, les yeux tristes et avide de toues étincelles. Kolya tournait autour d'elle à en lui donner le vertige, comme un prédateur qui tourne autour de sa proie.
-Pourquoi continuez ainsi ... vous savez très bien que l'on ne vous donneras jamais se que demandez. Alors au lieu de nous gâcher la vie, finissez en une bonne fois pour toute. Lança t-elle
-Non, c'est plus agréable d'en faire profiter le colonel Sheppard, c'est ma vengeance personnelle, je vous fait souffrir et il en souffre, c'est aussi simple que ça !
-Il en faut plus pour nous atteindre ! Dit elle en le soutenant du regard. Vous n'obtiendrais rien de moi, encore moi du major Lorne, alors votre requête vous pouvez vous la mettre là ou je pense !
-Comment croyez vous que le colonel réagiras quand il verra la femme qu'il aime, se faire torturer, les pires qu'ils soient, la voir se faire ce violer en directe par plusieurs soldats ?! Je pense que se sera très amusant.
-Sa ne changeras rien, torturer moi, voiler moi, faîtes se que vous voulez de moi, de tout façon je ne vous dirais rien !
-Très bien !
-De toute façon j'ai toujours deviner que vous étiez un homme sans cœur, un homme que l'on rêve de balancer dans un repère Wraiths !
Il la regarda puis lui colla son poing droit sur son visage , par manque de force elle tomba au sol, et Kolya lui donna un coup dans le bas dos, se qui la fit se cambrer violemment tout en hurlant de douleurs. Il ce plaça face à elle et lui administra un coup de pieds dans le ventre. Caron se raidit à cette vision, elle était enceinte et vu comment se présentait les choses, elle allait perdre son enfant. De ses mains ligoter et de son corps tremblant, elle essaya de protéger son ventre mais à nouveau il lui administra un violent coup dans son abdomen. Elle hurla de douleur, elle aurait préférer mourir que de connaître autant de souffrance.
Ramenez la dans sa cellule et emmenez moi le major Lorne !
Deux Géniis prirent chacun un bras de la diplomate pour la relever, mais elle retomba lourdement sur ses genoux à bout de force. Ce tenant le bas ventre, des larmes coulaient le long de ses joues.
- Non ... pas ça ... murmura t-elle
Les soldats la relevèrent violemment, ses jambes ne voulaient pas bouger, puis doucement du sang s'écoula entre ses jambes, coulant sur son pantalon à moitie déchirer. Elle continuais de pleurer silencieusement, le sang était visqueux avec des teintes noires. Kolya regarda la flaque de sang, puis la jeune femme qui avait poser ses mains sur son ventre et il comprit.
La vidéo s'arrêta, John regardait toujours l'écran, en essayant de comprendre se qui c'était passer, alors que le médecin avait du s'assoir sur un tabouret, elle qui avait été si heureuse d'apprendre qu'elle allait devenir maman, mais à présent elle avait tout perdu.
- Carson qu'est ce qui c'est passer ?! Pourquoi elle a perdu du sang ?! Demanda Sheppard en ce retournant face au médecin.
- Elle était ... je suis désoler John !
- Désoler de quoi Carson ?! Qu'est ce qu'elle avait ?! S'énerva le militaire en se rapprochant du médecin
- Elizabeth est ... était enceinte de 4 semaines, je lui avait annoncer la nouvelle hier matin, je suis surprit qu'elle ne vous l'ai pas dit !
- Était ?! Questionna John qui avait l'impression que son monde s'écroulait autour de lui.
- Les traitements qu'à subit Elizabeth, on été très violents, surtout ... les coups ... je suis désoler mais elle a perdu votre enfant !
- Quoi ?! Non, c'est pas vrai ! Dîtes moi que c'est une blague ! Lança t-il les yeux pleins de tristesse en empoignant le col de la blouse du médecin, qui fut surprit, Ronon lui posa une main sur son épaule.
- Calmez vous Sheppard ! Avoua Caldwell
Le militaire lâcha le médecin en se retournant face à son équipe.
- Que je me calme ! Ma femme est retenu pendant 2 jours par Kolya, qui la frappe sans aucun état d'âme, elle se fait quasiment violer et on vient de perdre notre enfant ... Au lieu de me demander de me calmer, vous feriez mieux de trouvez un moyen de la retrouvez, avant qu'ils ne finissent par la tuer !! dit-il en s'énervant, prenant un tabouret qu'il balança à travers une vitre.
Puis il courut, disparaissant de la vue de ses amis qui s'inquiétait de son état.
Dans les cellules des Géniis, le major Lorne avait rejoins sa prison, assis contre le mur près de la fenêtre, il attendait. Il finit par entendre les soldats déposer le docteur Weir dans sa cellule et s'en aller, il entendit la jeune femme gémir de douleur. Elle devait surement essayer de se réfugier au fond de la pièce, mais elle avait tellement mal qu'elle se demandait encore combien de temps elle réussirais à tenir, sans tomber dans le coma et ne plus jamais se réveiller. Puis le militaire l'entendit pleurer, pleurer à chaudes larmes tout en gémissant de douleurs, il ne pouvait rien faire pour elle, les mots ne servait à rien, l'espoir c'était dissiper.
- Mon bébé ... j'ai perdu mon bébé ... dit-elle comme pour s'en convaincre
Lorne l'écoutait et il baissa la tête compatissant à sa douleur.
John était dans la salle d'entrainement en se défoulant comme un fou sur le sac de sable, Teyla entra doucement dans la pièce et le vit. Il hurlait de rage tout en continuant de taper, elle se rapprocha de lui.
- Je suis désoler John !
- Ne le soyez pas, vous n'étiez pas au courant et ce n'est pas de votre faute !
- Je suis désoler pour ça, mais pas seulement pour cela. Dit elle en baissant la tête
Il s'arrêta de frapper sur le sac de sable, intriguer par le comportement de l'athosienne.
- Depuis quelques jours j'avais un mauvais pressentiment dés que que je voyais Elizabeth et surtout lorsqu'elle était avec moi ! Sa c'est intensifier et j'en dormait plus la nuit, la veille ou Elizabeth a été prise en otage ... je pensais que cela se passerais, mais non, on aurait plus l'éviter si je vous en avez informez ! Lança t-elle complètement triste
- Teyla ce n'est pas votre faute ... si il y a bien une personne à blâmer c'est Kolya. Il me prends tout, d'abord la pureté de ma compagne, ensuite mon enfant et bientôt se sera ma femme !
- Non, on va la retrouvez, on va les retrouvez, Rodney et les autres mettent tout en œuvre pour cela !
- Hier matin, elle était partit voir Carson, j'avais apprit qu'elle partait en mission avec Lorne, elle ne m'en avait pas parler et ça ma énerver ! Je l'attendait dans son bureau, je me souviens de son visage épanouie, elle avait une bonne nouvelle à m'annoncer, que j'allais être père ... mais à la place on c'est disputer en lui des propos incandescents ... maintenant je vais peut-être tout perdre ... je ne peux pas vivre sans elle, plus maintenant !
- Non ne dîtes pas ça, restez fort pour elle,elle a encore besoin de vous !
- Je ne supporterais pas de la perdre ... je ne pourrait pas ...
- Alors ne l'envisageais pas, venez avec moi et passer votre colère à trouver un moyen de la retrouvez !

OH!!!! Comment y vont faire c'est pas possible!!

si c'est possibel, c'est la surprise du chef !! Mais j'avoue que je n'ai pas beaucoup été inspirer pour le passage , du comment ils retrouve Lorne et Elizabeth.

Dès que j'ai le temps, je vais la lire, et je te donnerais mon opinion, si tu veux bien ^-^

Ok, et veux bien que tu donne ton opinion. pour l'instant ma fic allère de plaire, pourvu que sa dure !

Moi en tout cas je la trouve formidable. J'ai desuite accoché a l'action et maintenant j'ai qu'une envie lire la suite. Par contre je crois avoir lu le debut sur un autre site.

Enfette j'ai lu une fic sur un site et je m'en suis inspirée. J'espere que la personne qui se reconnaitra ne m'en voudras pas !

suite :

Deux jours qu'Atlantis essayait de trouver ou pouvait bien se cacher les Géniis, remuant ciel et terre pour retrouvez les leurs avant qu'il ne soit trop tard.
Deux jours ou le major Lorne et le docteur Weir subissait les horribles tortures de Kolya, passant des heures à se faire ruer de coups, se faire humilier et traiter comme des esclaves. Puis un jour le scientifique déboula dans le bureau de Caldwell, il y avait enfin peut-être une chance de les retrouvez. Grâce à Ladon, ils avaient réussit à disposer des dernières coordonnées ou leurs ennemies se trouvait.
C'est ainsi que qu'un Jumper charger d'un militaire, fou de rage, de deux aliens munit de la tête au pieds d'armes, d'un scientifique à l'intelligence or nome et d'un autre militaire, se dirigeait vers cette planète. Cette endroit maudit ou les Géniis avaient prirent repères, ce lieu ou John avait perdu son bébé et ou sa compagne avait subit les pires tortures qui pouvait exister, d'ailleurs il avait déjà peut-être perdu sa femme. Le Jumper se posa sur le sol de la planète, au loin ils voyaient un grand bâtiment assez ancien. Les signatures de vie indiquait que sous ce bâtiment, il y avait des kilomètres de corridors. John et Ronon avait démarre la marche, McKay au milieu, Teyla et l'autre militaire fermait la marche.
- Major ... murmura Elizabeth qui ne pouvait presque plus parler et respirer
Le militaire du faire un effort pour la comprendre, lui aussi était mal en point, mais ce n'était pas comparable à l'état de santé de la leader. Les soldats se déchainaient sur elle, et à chaque interrogatoires il entendait ses hurlements de douleurs, transpercer le silence. Il savait qu'elle ne tiendrais plus longtemps, il avait eu l'horreur d'assister à un des interrogatoires avec la jeune femme, il avait vu dans les moindres détails les barbaries des Géniis.
Allonger sur le ventre, la respiration anarchiques et désordonnées, elle savait que pour elle c'était bientôt finit, qu'elle ne ressemblait plus à une femme. Pourquoi continuer le lutter alors que tout espoir de rentre sur Atlantis c'était dissous et que chaque respirations la rapprochait de la mort ?
- Je suis là madame ! Tenez le coup, on va s'en sortir !
- Non, ... l'espoir à disparus et vous le savez ... je ne peut plus ... je ne veux plus lutter ... je ne me sens pas très bi ...
- Docteur Weir ?! Questionna t-il en ne l'entendant plus parler, malgré sa respiration très saccader. Docteur Weir, je vous en prit, dîtes quelque chose !
Mais à la place d'une réponse, les soldats Géniis arrivèrent devant leurs cellules. Il ferma les yeux priant que cette fois-ci ils les tuerais pour ne plus à avoir à souffrir, soudain des coups de feu, à ceux que l'on compare à des armes automatiques, volèrent dans le silence.
Les soldats s'effondrèrent au sol en hurlant, Lorne observa doucement les intrus et s'aperçut que ce n'était que l'équipe des Sheppard. Il en fut grandement soulager, un énorme poids s'envola de ses épaules, ils allaient enfin pouvoir rentrer chez eux, en sécurité.
John était partit seul à la recherche de Kolya pour assurer se vengeance personnelle, malgré le désaccord du reste de son équipe. Ronon, Teyla, Rodney se chargèrent de trouver les leurs, tandis que l'autre militaire montait la garde. Teyla et Rodney se chargèrent de libérer Lorne, ils furent surpris de l'état de celui-ci, qui était loin d'être en bonne forme.
- Teyla ... Rodney, je n'ai jamais été aussi content de vous voir !
- Tout est finit major, on vous ramène sur Atlantis ! Sourit l'athosienne
- Où sont les autres membres de votre équipe ?
- ... Ils sont tous morts ... mise à part le docteur Weir dans la cellule d'à côtés, il lui faut un médecin ... et très vite !
Il prit appui sur le scientifique et sur l'athosienne, alors que Ronon ouvrait la cellule ou se trouvait la diplomate, il se rapprocha doucement, puis il la retourna en la prenant dans ses bras le plus délicatement possible et l'horreur se peignit sur son visage.
Sergent prévenez immédiatement le colonel Sheppard, qui ramène ses fesses ! Ordonna le satédien
Les restes de ses équipiers vit dans l'état ou se trouvait leurs leader, et ils furent écœuré par les personnes qui lui avait fait ça.
John se ramena en courant vers la salles des cellules, le visage fermer et crisper de douleurs et de haine, il observa les soldats qui étaient allonger au sol et in reconnu l'homme qui avait tenter de violer sa compagne.
- C'est toi l'ordure qui as toucher ma femme ?! Je vais t'apprendre à vouloir la toucher connard !!
Il lui tira une balle entre les jambes, et le Génii hurla de douleur.
- Je vais te faire passer l'envie de lui faire du mal ... tu comprends se que sait de souffrir ?! Espèce de sale con !! cria Sheppard
- John il faut partir, Lorne et Elizabeth on besoin de soins de toute urgence !
Il se retourna vers l'ex-runner et il vit la femme qu'il aimait, le corps totalement inerte et la respiration bruyante. Il se crispa encore plus à son revolver, il se positionna face au Génii tendit son arme et vida son chargeur sur le soldat. Sous les yeux surprit mais compréhensif de ses amis, le colonel prit sa femme dans ses bras, puis lança.
- Lorne ! Heureux de vous voir vivant
- Merci mon colonel !
L'équipe au complet ce rendirent au Jumper, Ronon et l'autre soldat durent tuer quelques Géniis sur leur passage qui était rester sur la planète. Une fois dans le vaisseau, le militaire n°2 prit les commandes, Rodney s'installa à ses côtes, Lorne c'était assis à l'arrière du vaisseau quant à John, lui il était assis à même le sol à l'arrière, caler entre les banquettes. Il avait prit une couverture pour la mettre sur la jeune femme qu'il avait contre lui, comme de peur que tout ne soit qu'un rêve, qu'à nouveau on la lui arrachait. Cette douleur qui ne l'avait pas quitté quand il avait vu les Géniis la frapper continuellement. Il observait son visage tumulte de coups violents.
- Ne t'inquiète pas, tout est finit, on va rentrer à la maison et je vais prendre soin de toi ! Plus jamais je ne te laisserais tomber ... plus jamais tu ne souffriras. Je te protégerais à en sacrifier ma vie ! Lui murmura t-il alors qu'une larme à la fois de peine et de colère, coulait le long de sa joue.
Il semblait si vulnérable en cette instant, ses amis ne l'avait jamais vu ainsi, à présent si on voulait le faire souffrir il suffisait de 'en prendre au docteur Weir et ça, Kolya l'avait bien comprit.
- Prévenez Atlantis et dîtes leur qu'on a besoin d'une équipe médicale de tout urgence en salle des Jumpers !
- Oui mon colonel !
- Vous tenez le coups major ?! Demanda John, regardant son second tout en continuant de bercer la leader, vérifiant si elle respirais toujours.
- Oui, la douleur est moins oppressante depuis que je sais qu'on rentre enfin à la maison !
- En effet ... à la maison !
- Elle à été très courageuse mon colonel ! Elle a été d'une force incroyable.
- Je n'en doute pas une seconde !
Quand ils descendirent du vaisseau, Carson les attendaient avec deux brancards, le médecin prit un air horrifier voyant Sheppard le visage crisper portant la diplomate dans ses bras, il la déposa sur le brancard, son visage recouvert d'hématomes violassé, puis il vit le major Lorne qui fut aider à être déposer sur l'autre brancard.
- Allez on file à l'infirmerie !
Pendant plus de trois heures, l'équipe de Sheppard durent patienter. John tournait en rond, agaçant légèrement Rodney qui ce tut, comprenant l'inquiétude de son ami. Quand enfin le médecin les rejoignirent.
- Comment vont-ils ?! Demanda l'athosienne
- Je vais commencer par le major Lorne, ses constances sont stables, on lui a briser la jambe gauche mais elle devrait bien ce remettre avec la pose du plâtre. Il a de nombreux hématomes partout sur le corps mais ils auront disparus d'ici 2 semaines. Il a une entaille assez profonde sur sa cuisse droite, il est très fatiguer, on lui a fait un lavage d'estomac car la nourriture que l'on leurs donnaient était avarier. Malgré ce qu'il a put subir, il va s'en remettre ! Lança Beckett
- C'est un militaire, il est entraîner à subir des interrogatoires très forcer et se genre de tortures. Avoua John. ... Comment va Elizabeth ?!
- Elle ... elle a été beaucoup plus violenter que le major Lorne. Elle ... ne va pas bien du tout, elle est sous-nutrition et en déshydratation, son corps est fatiguer, et ... elle a du subir des heures d'interrogations vu les coups qu'on lui a infliger sur le corps ! J'ai du lui faire quelques points de sutures à l'arcade, ses cicatrisent vont mettre pas mal de temps à se résorber et pour sa fausse couche ... il n'y auras pas de conséquences pour plus tard, elle pourra à nouveau avoir des enfants, par chances !
John s'assit sur une chaise, il avait beaucoup de mal à encaisser tout ça.
- Elle aura certainement besoin d'un soutien psychologique pour surmonter ses épreuves.
- Je ... lança le colonel qui ne savait pas trop quoi faire. Je peut la voir ?!
- Je ne sais pas colonel, elle ,'ai pas prête de se réveiller vu les calmants que je lui est administrés.
- J'ai besoin d'elle, je veux la voir ! Ordonna t-il
- Bon d'accord.
John rentra seul dans l'infirmerie, alors que le reste de son équipe allait informer Caldwell de l'état de santé des deux anciens prisonniers. Il vit le major Lorne dormir dans un lit médical et quelques lits plus loin, et vit aussi le corps de sa compagne endormit, le visage si fatiguer et abimer.
- John je n'ai pas trop voulut le dire devant le reste de votre équipe ... mais dans son sang j'ai trouver des substances, elle a été droguer. Lança t-il en voyant le militaire endosser son masque de chef, venant s'asseoir sur une chaise près de la leader, puis il prit une de ses mains et l'enlaça à la sienne, la portant contre sa joue.
- Il y avait de l'eau dans ses poumons et elle a eu une intoxication alimentaire !
- Que voulez vous dire ?!
- Que la nourriture qu'Elizabeth à manger était pratiquement empoisonné, se qui a du les rendre très malade là-bas, cela aurait pu la tuer. Quoi qu'il serait arriver ... votre enfant n'aurait pas survécut !
- Et l'eau dans ses poumons, qu'est se que cela veut dire ?!
- Ils ont du essayer de la noyer pour la faire parler. Je suis désolé John, mais Elizabeth risque d'être différente à son réveil !
- Qu'importe comment elle sera à son réveil, je serais là pour elle, je veillerais sur elle et plus jamais on ne lui feras de mal, j'y veillerait personnellement !
La nuit était tomber sur Atlantis, il était 01h40, tout le personnel dormait à point fermer à part les gardes de nuit et quelques infirmiers et John.

mondieu j'espere qu'elle ira mieux! Sinon tu ecris vraiment bien je trouve

suite :

Alors que Lorne se réveillait doucement, le médecin vint lui poser quelques questions, regarda ses constances et laissa le major se reposer. Depuis qu'il était revenu sur la base, il ne cessait d'être heureux, même si ses quatre jours avait été un enfer pesant, frustrant et humiliant il était en vie.
- Comment allez vous major ?!
Il tourna la tête vers la gauche et vu son supérieur, assis au chevet de la jeune femme qu'il aimait, une main enlacer à celle-ci.
- Mieux mon colonel, je suis content d'être en vie, de pouvoir manger convenablement et ... de dormir dans un lit !
- Je suis content que vous le preniez avec tant d'enthousiasme.
- Je suis désoler, je n'ai pas réussit à la protégez des mai,s de nos ennemies, je m'en veut horriblement ! Dit-il si tristement, regardant la leader allonger sur le lit.
- Ne le soyez pas, vous avez fait de mieux que vous avez pu. Vous vous êtes bien débrouillez !
- Merci ... si je suis si enthousiasme c'est parce que je me dit que comparer au traitement que le docteur Weir a subit, je m'en sors bien. Je l'entendait le soir, elle gémissait de douleurs à chaque mouvements, je l'entendait crier lorsqu'elle se faisait interroger et quelque fois je participait à ses tortures. Je restait impuissant devant ses abominations que ma supérieure subissait !
- Je sait que se que vous avez vécut est difficile à oubliez, Kolya n'est pas un homme, c'est un tortionnaire mais il faut oublier tout ça, pour mieux marcher de l'avant ! Moi aussi j'ai vécut ça, et si vous avez besoin de parler je serais là !
- Merci mon colonel mais ça va aller ... je m'inquiète pour le docteur Weir, je sais que c'est une femme forte mais elle a tout encaisser seule et dans le silence. Il y a des choses que l'organisme ne peut supporter !
- Oui je sais, moi aussi je m'inquiète beaucoup pour elle, la connaissant elle va se refermer et faire comme si de rien n'était passer... est ce que vous savez si les Géniis l'ont toucher ?! On a vu la vidéo ou un Génii a essayer ... d'abuser ma compagne, mais Kolya est intervenu !
- J'aimerais pouvoir vous le dire, mais je ne sais pas ce que les Géniis lui faisaient hors de la cellule.
- Elle n'a pas été violer colonel ! Il y eu simplement eu la pénétration de la vidéo. Lança le médecin
Deux jours c'était écouler le major Lorne était encore à l'infirmerie, mais semblait plutôt heureux, le colonel Sheppard était en mission de reconnaissance, avec son équipe sur une planète. Doucement Elizabeth se réveillait dans un endroit chaud, confortable et familier. Carson vint à ses côtés, alors qu'Evan les observaient.
- Bonjour Elizabeth, comment vous sentez vous ?!
- Où suis je ? Dit elle en paniquant
- Vous êtes à l'infirmerie sur Atlantis. Rodney à trouver la planète ou les Géniis c'étaient installer et l'équipe de Sheppard vous a ramenez ! Lança le médecin, qui c'était aperçut que la jeune femme c'était détendus au mot Atlantis.
Elle qui avait crut qu'elle ne reviendrais jamais sur cette base, qu'un cercueil vide serait à son enterrement et que jamais elle ne reverrais les gens qu'elle aimait. Son personnel, ses responsabilités, ses amis, son John, son bébé, ses tortures, soudain tout se brouilla dans sa tête, elle était perdu et paniquer. Seulement 4 jours qu'elle avait été entre les mains des Géniis, seulement 4 jours et ils avaient réussit à la rabaisser au plus bas de l'échelle humaine, à recouvrir son corps de blessure qui risquait de ne jamais se refermé et de tuer son bébé, cela lui avait sembler parut des années.
- Comment va le major ?!
- Bien madame ! Je vais très bien. Sourit Lorne qui regarda sa supérieure, qui le fuyais tout de suite du regard.
Malgré ça, elle était la meilleur dirigeante que le militaire n'avait jamais connut, elle pensait d'abord aux autres avant elle même.
- Tant mieux ! Avoua t-elle dans un souffle
- Est ce que vous avez mal quelque part ?! Vous avez besoin de quelque chose ?!
- Carson ... je ... où sont Sheppard et son équipe ?
Il sourit légèrement se disant, qu'au fond elle était toujours la même, mais son visage presque vide d'expressions et ses yeux blêmes, reflétait son mal être, sa souffrance intérieure.
- Ils sont en mission de reconnaissance, mais ils ne devraient pas tarder à rentrer, quand ils seront là, je les préviendrais que vous êtes réveiller. Ils seront très heureux de vous revoir.
- Non ! Lança t-elle subitement. Je ne suis pas prête à recevoir de la visite, votre regard de pitié que vous portez sur moi me gène, alors je ne veut pas avoir ceux de mon équipe.
- Je suis désolé Elizabeth, je l'ai pas fait exprès, je m'inquiète pour vous comme en bon médecin qui se respecte.
- Je sais Carson, ne soyez pas désoler, c'est juste que je vais bien et je n'ai pas besoin de la pitié des gens pour aller mieux ! Dit elle sans aucun sourire, dont elle avait pourtant le secret.
Ce qu'elle venait de dire choqua Beckett et le major. Comment pouvait elle aller bien après tout ce qu'elle avait vécut d'atrocité pendant quatre jours.
Cinq jours c'était dérouler, Lorne était sortit de l'infirmerie hier, il avait pu retourner dans ses quartiers et ce baladait dans les couloirs de la base en béquilles. Mais il passait ses soirées à parler avec Elizabeth. C'est vrai que depuis son réveil, les seules personnes qu'elle acceptait auprès d'elle était le médecin, parfois Caldwell et le major Lorne, elle semblait à avoir du mal à faire confiance aux personnes qui l'entourait.
Elle avait fait confiance à se peuple et elle c'était retrouver prisonnière des Géniis à lutter contre la mort. Ses amis mais surtout John avait du mal a accepté que leur leader ne voulait pas de leur présence auprès d'elle. Le militaire était perdu, il avait pourtant insister auprès d'elle mais cela n'avait aboutit à rien. Il était comme même heureux, parce qu'elle parlait de tout et de rien avec le major Lorne.
Le matin ce levait, l'équipe de John était partit en mission pour la journée, aider un peuple qui avait subit une tempête. Alors que Kate était aller voir Elizabeth.
- Elizabeth, je sais que vous entretenir avec moi ne vous enchante pas, mais parler vous feras du bien.
- Parler de quoi ?! De comment les Géniis nous ont traiter ? De comment j'ai perdu mon enfant ?! Je n'ai pas besoin de repenser à cela ! Dit-elle d'un ton sec
- Je comprends ! On n'est pas obliger de parler de ça. Comment c'est passer votre retour, tout se passe bien ?
- Oui, Carson s'occupe très bien de moi, même si il s'obstine à vouloir me garder ici. Les gens sont là pour moi, je sais qu'ils sont content que je sois revenu vivante mais ... beaucoup de choses on changer durant ses quatre jours. ... dans leurs yeux j'y décèle de la pitié à mon égard, c'est comme si j'allais m'écrouler à chaque mouvements ... je ne suis pas une faible !
- Ce sont des humains, ils sont inquiets pour vous et pour votre état de santé, il y a des marques qui ne trompent pas reflétant la vérité. Dit-elle d'une voix douce en faisant référence aux hématomes sur son visage. Puis il y a vos amis, ils tiennent beaucoup à vous, pour eux aussi ça été difficile, de voir que vous étiez aux mains des Géniis et qu'ils ne pouvaient rien faire. Au fond ils se sentent responsable !
- Ils ne le sont pas ! Je sais qu'ils ont tout fait pour sauver le major Lorne et moi-même.
- Oui, mais pourquoi refusez vous de les voir ?!
- Je ... je suis différente, je ne veux pas en reparler ! Lança Elizabeth soudainement, se qui surprit la psy.
- Comme vous voudrez ! La nuit vous arrivez à trouver le sommeil facilement ?
- Çà peut aller, les somnifères sont efficace, même si Carson me dit que ce n'est pas bon pour la santé !
- En effet, c'est comme une drogue, on en devient très vite dépendant ! Comment se porte la relation entre le colonel Sheppard et vous ?! Il n'a pas pu rendre visite depuis votre réveil ... vous savez il se comporte différemment, il est effondrer et il déprime ... ne comprenant pas pourquoi vous ne l'acceptez pas à ses côtes.
Heithmayer remarque le visage triste et avide de joie de la jeune femme, qui baissa la tête.
- Ce n'est pas sa ... enfin ... je l'aime toujours, je sais qu'il est là, sur cette citée à m'attendre ... mais je me sens coupable !
- Coupable de quoi docteur Weir ?!
- D'avoir tuer notre bébé, son enfant. Il ne savais même pas que j'étais enceinte et il a vu ma fausse couche par vidéo. Je n'ai rien pu faire pour l'éviter, je n'ai pas pu l'empêcher ! Avoua t-elle alors qu'elle sentait des larmes menacer de couler.
- Vous n'êtes en rien responsable de se qu'il vous est arriver. Les Géniis en sont les seuls responsables, Carson à dit ... que de tout façon même si ils ne vous aviez pas frapper, vous auriez perdu votre bébé à cause des traitements !
- Oui, il me la dit ... John doit me détester !
- Pas du tout, écoutez je ne devrais pas vous le dire, mais il y a quelques jours le colonel Sheppard est venu me voir pour me demander conseil, sur la façon dont il devait être avec vous, il est venu se confier. Cela à été difficile d'apprendre que vous étiez enceinte et que quelques secondes plus tard vous ne l'étiez plus. Il ne vous en veux pas, il culpabilise, il aimerait être à vos côtés, pour affronter ses événements.
- Je ne sais si je suis prête à supporter leurs regards ... son regard ... parfois je me dit que les choses aurait beaucoup plu facile et moins douloureuse, si je serais rester là-bas ... et que les Géniis auraient finit se qu'ils avaient commencer.
Kate resta interdite un moment, Elizabeth venait d'avouer qu'elle aurait préférer mourir, que de revenir sur Atlantis dans cette état.
- Ne laissez pas John de côté, il pourrait vous apporter beaucoup de soutient. Puis il risque de ne pas le supporter !
- Je sais mais je n'ai pas le choix ... je suis fatiguer, j'aimerais bien me reposez !
- D'accord, je vais vous laisser !
La psy ce leva et commença à s'en aller, quand Elizabeth l'interpella.
- Merci !
- Mais de quoi ?! Haussa t-elle les sourcils
- De ne pas trop insister et de simplement écouter !
- C'est mon travail je suis là pour ça.
- En tout cas merci ... je voulais savoir ci c'était possible d'avoir un autre rendez-vous ? Demanda la leader un peu gêner
- Bien sur, demain vers 17h00 cela vous conviendra t-il ?!
- C'est parfait, alors à demain.
- A demain docteur Weir !
La matinée c'était bien dérouler, Carson était inquiet de l'état de santé du docteur Weir, elle ne mangeait pas beaucoup, elle se forçait à sourire mais le bonheur n'y était pas. Et ses hématomes était toujours là, aussi gros, aussi moches, la dévisageant, se qui énervait au plus au point la leader.

Suite :


Dans l'après-midi, il y eu une activation de la porte des étoiles, c'était l'équipe de Sheppard. Rodney passa le premier, puis Ronon qui portait sur son épaule le colonel et Teyla qui tirait derrière elle.
- Il nous faut un médecin vite !
- Qu'est ce qui c'est passer ?! Demanda Caldwell en ce rapprochant d'eux
- Les Wraiths ont débarquer, les villageois ont commencer à riposter pour les repousser, mais avec leurs armes ils ont tirer n'importe ou et le colonel c'est prit une balle ! Avoua Rodney
On déposa John sur un brancard et on l'emmena de vitesse à l'infirmerie.
- Vite ! Apportez moi un défibrillateur, on est entrain de le perdre ... chargez à 200 ! dégagez ! Ordonna le médecin
Une onde parcouru le corps inerte du militaire, alors qu'une flaque de sang s'agrandissait sur le drap blanc.
Elizabeth avait entendu de l'agitation dans l'infirmerie.
- Chargez à 250 ! ... Dégagez !
- Toujours rien ! Lança un infirmiers
- Allez colonel, ne nous lâchez pas maintenant. Dégagez !
- Ça y est on a un pouls !
- Bien, préparer le bloc opératoire on va retirer la balle et arrêté l'hémorragie au plus vite.
Elizabeth vit au loin l'équipe de Sheppard, vit ses équipiers mais lui il manquait à l'appel, soudain son sang se glaça. Elle voulut sortir de son lit, malgré qu'elle était en tenue d'hospitalisation, et malgré la douleur persistante dans tous son corps.
- Madame vous devez rester allonger, ordre du médecin ! Dit une infirmière
- Non, je n'ai pas d'ordres à recevoir de vous, laissez moi passer !
- Je ne peut pas vous laissez faire ça !
- Laissez moi passer ! Cria t-elle, tout en gémissant de douleurs alors qu'elle se tenait debout.
Ses jambes ne répondait pas, chaque pas était un supplice une douleur insupportable.
Les amis de John, qui attendais dans la salle d'attente, finir par entrer dans l'infirmerie, et virent Elizabeth ce débattre avec une infirmière.
- Vous ne pouvez pas passer !
- Si vous ne me laissez pas passer, je vous jure que je vous vire ! Dit-elle les yeux remplit de colère et à la fois de souffrance.
L'infirmière s'écarta, alors que les amis de la diplomate se rapprochèrent d'elle, en détaillant son visage, ses bras et le bas de ses jambes recouvert d'hématomes.
- Elizabeth ! Dit Teyla d'une voix douce
- Où est John ?! Qu'est ce qui c'est passer ?!
- On c'est fait attaquer par les Wraiths, les villageois on riposter en tirant partout et le colonel c'est prit une balle au niveau de la poitrine. Avoua le scientifique
- Non ... pas lui ... il faut que je le voie !
- Vous ne pouvez pas Elizabeth, il est au bloc opératoire ! Relança l'athosienne
- Non ... c'est pas possible ...
Soudain elle se sentit lourde, les voix lui devinrent lointaine, le sol se dérobait sous ses pieds, son corps n'avait plus la force de la supporter et elle s'écroula au sol.
Ronon la souleva, la portant sur le lit le plus près, les infirmiers s'affairent autour d'elle, prenant sa tension.
- Qu'est ce qu'elle a ?
- Rien de grave, le docteur Weir est très fatiguer, elle ne mange pas beaucoup et prends beaucoup de médicaments pour dormir. Elle accumule trop et son corps ne suit pas.
- Elle va s'en remettre alors ?! Questionna Teyla
- Oui, on lui a administrer des calmants pour qu'elle se repose ... mais vous devez savoir qu'à cause des drogues que l'on a injecté au docteur Weir, son cœur est affaiblit.
Quelques heures étaient passer, Carson avait prévenu ses amis que l'état de John n'était plus à craindre. Le soir était tomber, Sheppard dormait encore, quant à Elizabeth, elle c'était réveiller, elle avait demander à se que l'on lui mette le rideau pour qu'elle puisse être tranquille. Elle avait eu si peur de perdre son compagnon et elle était tellement fatiguer, qu'elle s'endormit rapidement.
Le lendemain, la journée c'était passer assez vite, l'équipe de Sheppard n'était pas partit en mission et avait demander des nouvelles des deux chefs, puis la nuit avait commencer.
John c'était doucement réveiller, alors qu'Elizabeth avait préférer, une fois de plus, s'isoler dans son coin.
- Comment vous sentez vous colonel ?! Demanda Carson
- Mal ... j'ai mal ... dit-il en ayant du mal à parler tout en précisant son crâne
- C'est normal que vous ayez un peu mal au crâne, je vais vous donner quelque chose.
Il lui donna un médicament à avaler, il attendu quelques minutes et lança.
- Ça va mieux ?
- Oui ... Qu'est ce qui c'est passer ?!
- Vous avez reçut une balle dans le torse, vous avez perdu beaucoup de sang et vous avez fait un arrêt cardiaque ... mais vous êtes fort, vous allez vous en remettre très vite. Ce n'est pas le cas d'Elizabeth !
- Quoi ?! ... qu'est ce qu'elle a ... eu ... lança t-il en voulant se lever de son lit.
- Du calme John, ses constances sont stables. Quand elle a apprit qu'il vous étiez arriver quelque chose, son organisme ne l'a pas supporter, elle est tomber dans les vapes.
Le visage du militaire se décomposa, il lui était arriver malheur par sa faute, et il n'avait même pas été là pour elle.
- Elle va un peu mieux, ... mais elle de renferme de plus en plus, elle ne se nourrit pas beaucoup, elle est très fatiguer et les drogues que les Géniis lui ont administrer on affaiblit son cœur. Elle s'auto-détruit, il faut qu'elle parle à quelqu'un de se qu'elle à vécu là-bas, se sera la seule manière de tourner la page !
- Elizabeth ... veut la voir !
- Elle préfère rester seule, elle a eu sa séance avec le docteur Heitmayer, puis elle s'est isoler.
- Comment c'est passer la séance ?! Demanda John
- Cela se passe bien, elle commence doucement à en parler, mais elle ce braque souvent et passe à travers certaines questions. Allez ...reposez vous, vous en avez besoin.
- Merci
Le docteur sourit, puis alla voir d'autres patients. Le militaire s'installa confortablement dans son lit et lança d'une voix calme.
- Lizzie tu dors ?!
- ...
- S'il te plaît, réponds moi !
- Non, je ne dors pas. Lança t-elle derrière le rideau. Je suis contente que tu ailles mieux.
- Et moi je suis content d'entendre ta voix, ça fait si longtemps. Pourquoi ?!
- Pourquoi quoi ?!
- Pourquoi ne veut tu pas me laisser t'approcher, pourquoi tu ne veut pas de moi à tes côtes ? Es-ce à cause de moi ?!
- Non, ce n'est pas à cause de toi ... je ne veut pas que tu me regarde comme Carson et ses infirmiers, avec horreur et pitié. Ils me regardent comme si j'étais une faible et je ne veut pas de se genre de regard de la part de mes amis, encore moins de toi !
- Ils sont surprit de te voir ainsi, mais tu ne peut pas leur en vouloir, ils sont humains et ils 'inquiètent pour toi. Puis jamais je te regarderais ainsi, quoiqu'il arrive, je te trouverais toujours la plus belle. Sourit-il
- Non ne dit pas ça, parce que je ne ressemble plus à rien, mon corps reflète des heures de tortures non stop, ... je ne suis plus une femme et je n'ai pas besoin d'aide, je vais bien ! Dit-elle d'une voix sec.
- Ne dit pas que tu va bien, c'est un mensonge, comment peut on aller bien après tout se que les Géniis t'ont fait endurer. Dire que je n'ai vu qu'une infime partie de se qu'ils t'ont faits ... Et pourtant ça ma suffit pour m'apercevoir de l'horrible souffrance qu'ils t'ont infliger heures par heures.
- Arrêtes ... supplia le jeune femme, commençant à sangloter.
- Je n'ai rien pu faire, je n'ai pas su te protégez, vous protégez et maintenant je m'en mords les doigts. J'ai faillit te perdre ! Avoua John d'une voix triste
- Et moi je les aient laisser tuer notre enfant, je ne les aient pas empêcher ... lança t-elle. Comment peut tu encore vouloir de moi !
- Ce n'ai pas de faute, les seuls à blâmer sont bien les Géniis, en particulier Kolya ! Tu n'y est absolument pour rien, je t'interdis de penser à ça ! Laisse moi t'aider, laisse moi partager ta douleur, laisse moi être ta force, je veux être auprès de toi ... Ne me laisse pas de côté.
- Il me faut du temps John, que j'arrive à faire face toute seule sur ce qui m'est arriver.
- Alors j'attendrais le temps qu'il faudra !
Durant la nuit, le militaire entendit la jeune femme s'agiter dans son sommeil, puis elle se mit à crier dans l'infirmerie, sa respiration était anarchique, mais doucement elle ce calma, s'apercevant qu'elle avait une fois de plus, fait un de ses innombrables cauchemars. Et elle finit par craquer, pour la première fois depuis son retour, seule, isoler dans son con, elle pleura essayant d'étouffer ses sanglots, pour que personne ne l'entende. Mais John avait tout entendu et ne dit rien, sachant que pleurer l'aiderais à se soulager.
Il était 7h30, Carson était déjà entrain de faire son travail et alla voir sa patiente, devinant qu'elle était déjà réveillé.
- Bonjour Elizabeth, comment allez vous se matin ? Une infirmière m'a dit que vous avez eu une nuit très agité.
- Bonjour Carson, j'ai juste fait un cauchemar c'est tout. Quand est ce que je pourras sortir d'ici, je vous aime bien, mais je commence à m'ennuyer sérieusement !
- Je sais, mais il va falloir patienter encore un peu et il vous faudra faire de la rééducation en sortant. Faire un eu de sport, puis si vous acceptiez la présence de vos amis à vos côtés, vos journées passerais plus vite.
Il la vit ce braquer d'un coup, son visage se durcit et ses yeux lançaient des éclairs.
- Je suis désoler, je n'aurais pas du vous dire ça !
- Non, vous avez raison, vous pouvez tirer le rideau, j'aimerais le voir. Souria t-elle timidement
Il ouvrit le rideau et Elizabeth vit le militaire allonger sur le côté gauche, le visage en se direction, un léger sourire aux lèvres.
- Il ne vas peut-être pas se réveiller maintenant.
- Je sais, mais je l'ai toujours trouver si apaiser, si paisible et si craquant quand il dort ... Comment va t-il ?!
- C'est un bon militaire, il s'en remet vite mais il va falloir qu'il passe encore 2 à 3 jours ici. Il a perdu beaucoup de sang et il faut qu'il reprenne des forces.
Elle hocha la tête, alors que Sheppard ouvrait doucement les yeux. Après s'être habituer à la lumière de l'infirmerie, il vit enfin le visage de la femme qu'il aimait en face de lui. Elle avait bien changer, cela lui fit bizarre et le choqua, mais il prit sur lui et lui souria, en se redressant dans son lit, tandis que le médecin les laissaient seuls.
- Bonjour toi, tu as bien dormit ?!
- Ça va et toi ?!
- Impeccable, fais moi un sourire. Dit-il en la regardant droit dans les yeux
Doucement elle lui sourit, un sourire qu'elle n'avait pas eu le loisirs de faire depuis plus d'une semaine.
- Oui ce sourire là, celui qui ma fait fondre d'amour pour toi ... Tu as fait un cauchemars cette nuit, je t'ai entendus !
- Ce n'était qu'un simple cauchemars. Dit-elle en se forçant à lui sourire
Il savait que c'était un mensonge, mais le faîtes qu'elle veuille voir son visage et qu'elle lui parle en lui souriant, était un pas franchit. Il ne fallait pas la brusquer.
- Tu veux peut-être en parler ?!
- Non le docteur Heitmayer est là pour ça ... mais peut-être que plus tard, je pourrais t'en parler.
John était toujours allonger dans son lit, ne pouvant pas vraiment ce lever à cause de sa blessure. Elizabeth travaillait sur un ordinateur portable, encore trop gêner pour parler avec son compagnon, elle sentait son regard la détailler, la mettant mal alaise. Puis la jeune athosienne entra dans l'infirmerie avec quelques vêtements en mains. Elle souria saluant Sheppard, tout en prenant de ses nouvelles et alla voir Elizabeth par la suite.
- Bonjour Elizabeth ! Comment allez vous se matin ?
- Tout va bien !
- Je vous est emmener les affaires que vous m'avez demander d'apporter.
- Merci Teyla ... par contre j'aurais besoin de votre aide pour m'habiller.
- Bien sur. Avoua t-elle
- Vous pouvez tirez le rideau s'il vous plait !
- Tout de suite !
Elle mit 10 minutes à habiller la diplomate, de son simple uniforme, pantalon en toile bleue nuit et son T-shirt rouge. Mais elle devait être vraiment blesse, parce qu'à de nombreuses reprises, le militaire l'entendit gémir de douleur, et la pauvre athosienne qui ne cesse de s'excuser.
Teyla tira le rideau et il vit sa compagne mettre difficilement sa veste, pour recouvrir ses bras mutiler.
- Merci Teyla !
- De rien, c'est toujours un plaisir de vous rendre service. Si vous avez encore besoin de moi, vous m'appelez !
- D'accord !
Teyla ne souriait pas, elle semblait un peu choquer parce qu'elle avait vu sur le corps de la diplomate, elle fuya le regard du colonel et il comprit tout.
Les deux chefs restèrent seuls, dans un silence pesant, elle commença à marcher doucement dans l'infirmerie et John remarqua la difficulté qu'elle avait à placer une jambe devant l'autre, puis Carson arriva en haussant les sourcils, voyant sa patiente porter l'uniforme.
- Elizabeth que faîtes vous en uniforme ?!
- J'en ai marre de porter votre tenue d'hospitalisation, déjà que je ne ressemble plus à grand chose !
- Je t'interdis de dire ça ! Tu est toujours aussi belle ! Lança John
- Ne mens pas John, regarde mon visage, il est horrible et je ne te parle pas du reste de mon corps !
- Pour moi, tu est toujours la sublime créature dont je suis tomber amoureux.
- John à raison ! Laissez le temps faire les choses, je sais que ce n'est pas facile mais vos blessures finirons par s'en aller !
- Arrêtez de dire que je suis belle, vous êtes tous les deux incapable de me regarder sans ressentir de la pitié pour moi !
- ...
- Elizabeth ... vous ne devriez pas être debout à essayer de marcher ! Lança Carson changeant de conversation
- J'ai ma séance de rééducation tout à l'heure, je m'échauffe un peu !
- Ne forcez pas trop, ou vous vous fatiguerez beaucoup plus vite. Votre dos à subit un choc violent, rendant le contrôle de vos jambes plus difficile. Il va falloir du temps pour que vous puissiez marcher et courir normalement !
- Je sais, mais je préfère m'entrainer avant pour voir l'ampleur des dégâts ! Avoua t-elle froidement
- Le colonel Caldwell à dit que le débriefing sur votre kidnapping était demain matin ! Demanda Sheppard
- Oui de toute façon je n'ai pas le choix !
- Lizzie, il fait son travail, il va devoir vous posez des questions.
Ronon, Rodney et Teyla était prés de la porte de l'infirmerie, ils écoutaient depuis peu la conversation des deux leaders, qui montait d'un cran. Le visage de la jeune femme c'était soudainement refermer et ses yeux reflétait de la tristesse.
- Il aurait pu attendre quelques jours !
- Il doit savoir se qui c'est exactement passer là-bas, c'est important, puis il a un rapport à faire pour la Terre. De toute façon est se que cela aurait changer quelque chose, si il avait reporter cette entretien ?! Je te connais, c'est juste un prétexte pour refouler ton passé ! Lança t-il en essayant de la calmer.
- Il y a des choses auxquelles j'aurais aimer ne pas y repenser maintenant !
- Je serais là avec toi pour cette entretien, je serais toujours là pour toi dans les moments difficiles !
- Ton aide ne me seras d'aucune utilité, d'ailleurs personne ne le pourras. Vous êtes loin de savoir se que les Géniis nous ont fait subir pendant ses heure, sans relâche, à subir leurs colères !! cria t-elle laissant John encore abasourdie par ses propos. D'ailleurs ... je n'aurais jamais penser que tu aurais prit le partit de Caldwell !
Elle prit les béquilles que le médecin lui avait donner, pour l'aider à se déplacer plus rapidement, malgré qu'elle se sentait faible avec. Elle les empoigna et se dirige vers la sortie, alors que quelques larmes coulaient lentement sur ses joues.
- J'ai ma séance qui m'attends !
Puis elle s'en alla, laissant l'équipe de Sheppard, encore surprit du comportement de leur leader.
- Ne vous en voulez pas colonel ! C'est un peu normal qu'elle réagisse ainsi. Comme elle l'a clairement dit, on ne sait par quels moyens ils ont essayer de la faire parler.
- Je ne veux pas la perdre !
- Elle ne veut pas que l'on la regarde comme ci elle était une faible, elle ne veux pas qu'on ai pitié pour elle. Vous la connaissez très bien pour savoir, qu'elle va vouloir surmonter cette épreuve toute seule. Souligna Beckett
- Oui mais cette fois ci c'est différent. Elle se renferme sur elle même, et elle n'y arriveras pas toute seule !
- Je sais ... mais vous savez, les séances qu'elle fait avec la psy l'aide beaucoup.

suite :


Une heure c'était déjà écouler, John était dans son lit, réfléchissant aux événements récents, et un goût de colère noire le rongea, à l'idée qu'il ne récupérait peut-être jamais la vrai personnalité de sa compagne. Il avait un plan de vengeance en tête, il lui restait plus qu'à tout planifié et il serait enfin l'âme tranquille.
Deux heures plus tard, Elizabeth était toujours à sa séance de rééducation, il savait qu'elle persisterais aussi longtemps qu'elle le pourrait.
Une infirmière vérifiait les blessures du colonel, en lui faisant un nouveau bandage, ils se souriaient et après une bonne blague du militaire, elle rigola aux éclats posant une main sur son torse muscler. Alors qu'au même moment, la diplomate rentrait dans l'infirmerie, en marcha,t avec ses béquilles, le visage fatiguer et couvert de sueur. Elle remarqua John et la jeune infirmière, ils étaient très proches et ils se souriaient.
Elizabeth était exaspérer, certes elle lui avait dit des propos blessants, mais de là à flirter avec une autre femme, c'était encore pire. Doucement elle s'avança vers son lit, ne jetant aucun coup d'oeil vers eux, elle laissa tomber bruyamment ses béquilles et sur le matelas en grimaçant de douleurs.
- Vous pouvez nous laissez ? Demanda John
- Bien sur colonel !
- Comment c'est passer ta séance ?! Ça n'a pas été trop dure ?
- Parce que tu t'en préoccupe maintenant ?! Lança t-elle d'un ton froid en s'asseyant sur le bord du lit
- Lizzie je t'en prie ... oui je m'en préoccupe, je m'inquiète pour toi !
- Oh oui ... et c'est pour ça que tu fricotais avec cette pétasse, jouant à l'infirmière avec toi !
- C'est faux, comment peut tu croire que j'irais voir ailleurs, alors que tu m'offres déjà tout se qu'un homme peut désirer dans sa vie ... comment peut tu croire que j'irais voir ailleurs alors qu'en se moment tu as besoin de moi !
- Je me débrouille très bien toute seule, je ne suis pas faible ... et qui te dit que j'ai besoin de toi !
A nouveau elle écorcha vivement le coeur du colonel, mais il ne dit rien et continua à être fort, c'est ce dont elle avait besoin.
- Je sais que je n'ai pas vu tout se que Kolya t'as fait, mais je sais à quel point il t'a fait souffrir. Ce n'est pas un combat que tu peut gagner toute seule !
Elle se leva du lit, et marcha difficilement vers le bout du lit.
- Tu as besoin de moi et moi j'ai besoin de toi, je t'aime Lizzie !
- Non ... je n'ai plus la force de me battre contre tous, j'en ai marre d'être la force de tout le monde sur cette base !
Elle se retourna face à lui, le visage lasse, puis soudain son visage se crispa, elle mit une main au niveau de sa poitrine et s'écroula au sol.
- Carson ! Cria Sheppard
Le médecin accourut auprès du colonel et s'aperçut de la jeune femme allonger au sol, quelques infirmiers vinrent auprès de Beckett. Ils la placèrent sur un lit.
- Elle fait un arrêt cardiaque, apportez moi le défibrillateur, vite !
Il plaça les objets sur le torse dénuder de la jeune femme.
- Chargez à 200 ! ... dégagez !
Son corps se souleva dans un spasme pour retomber sur le matelas.
Chargez à 250 ! ... dégagez !
Son corps se souleva à nouveau et un bip régulier se fit entendre sur l'électrocardiogramme.
- On a un pouls fiable docteur !
- D'accord, administrer lui des calmants, elle accumule trop, il faut qu'elle se repose.
- Bien docteur !
L'après midi c'était vite dérouler, John avait reçut de la visite de ses amis, qui avait prit en même temps des nouvelles de leurs leader. Elle c'était réveiller en fin de soirée, elle avait parler un peu avec Carson, qui lui expliquer pourquoi son coeur c'était emballer, elle avait mangé et c'était endormit très rapidement.
Vers 3h00 du matin, Elizabeth se réveilla en sursaut dans son lit, le coeur battant comme jamais, le corps tremper de sueur, elle regarda autour d'elle et s'aperçut, qu'elle était à l'infirmerie. Des larmes silencieuses coulèrent lentement sur ses joues, elle descendait de son lit en s'avança vers celui du colonel. Elle grimpa, sur le matelas, alors que John se réveillait en s'apercevant de sa compagne qui essayait de monter dans son lit.
- Lizzie qu'est ce qui ne va pas ?! Dit il en s'inquiétant
- Je veut dormir avec toi !
Il se décala un peu, pour laisser de la place à celle-ci. Une fois allonger, elle ce colla vraiment contre lui, doucement il remonta les couvertures sur eux et resserra tendrement son étreinte sur sa compagne.
- Ne t'inquiète pas je suis là, je vais veillez sur toi. Lui murmura t-il
- ... Je t'aime John ! Chuchota t-elle d'une voix remplit de sincérité, en enlaçant sa main droite à celle du militaire, posant se lien sécurisant contre son ventre.
Il se blottit un peu plus contre elle, inhalant le parfum de ses cheveux, le sourire aux lèvres.
- Moi aussi, je t'aime.
Quand le matin ce leva, Carson fut très surprit mais très heureux de voir Elizabeth dormir dans le même lit que John, puis Rodney entra.
- Oh ... dit le scientifique. Ils ont dormit ensemble toute la nuit ?!
- Je pense, ... la seule chose que je sais, c'est qu'Elizabeth était dans son lit quand elle c'est endormit. Mais ça va lui faire du bien d'être entourer de quelqu'un en qui elle a une grande confiance !
- En effet !
John et Elizabeth marchaient dans les couloirs de la base, cela faisait des semaines qu'elle n'avait pas quitter l'infirmerie, mise à part pour sa séance de rééducation. Et elle regrettais d'avoir quitter son lit, à présent elle devait supporter les regards plutôt inquiets, que le personnel faisait en la voyant. Elle avait toujours ses béquilles, quand ils arrivèrent enfin en salle de réunion, Caldwell, Ronon, Teyla, Carson et le major Lorne les attendaient. Le couple s'installèrent côte à côte, et le militaire aida la diplomate à s'installer.
- Docteur Weir, colonel Sheppard ! Comment allez vous ?
- Ça va colonel Caldwell ! Pourrions nous en finir au plus vite, je n'ai pas envie que cette entretien s'éternise ! Lança la jeune femme
- Bien sur, je peut le comprendre ! Alors nous allons commencer, ... se sont les Géniis qui vous ont capturer ?!
- Non mon colonel ! Se sont les villageois qui nous ont droguer, pour donner ensuite aux Géniis. Avoua Lorne
- On allait se rafraichir chez ses villageois, ils étaient très accueillants et aimable, un peu trop d'ailleurs. Ils ont surement du nous droguer et ont c'est écrouler. A notre réveil, ont étaient enfermer dans des cellules.
- Ensuite que c'est il passer ?!
- Vous connaissez très bien la suite ! S'énerva Elizabeth
- Je connais le résumer, mais je voudrais savoir se qui c'est réellement passer !
- Vous l'avez vu sur les vidéos non ?! Dit elle en haussant les sourcils
- Elizabeth ! Lança John pour la calmer
Il la regarda d'un air suppliant, le visage de la jeune femme se détendit doucement.
- Si vous me posez les bonnes questions, je pourrais peut être vous répondre !
- D'accord ! Ils vous ont interroger ?
- Oui, ils nous ont posez beaucoup de questions, sous différentes formes !
- Sur quels sujets était baser ses questions ?
- Cela dépendait de leurs humeurs, mais beaucoup était centrer sur le matériels que nous leur avons prit ainsi que sur la citée.
- Et avez vous divulguer quelques infos sur la Atlantis ?!
Elizabeth écarquilla les yeux, comment pouvait il oser posez cette question, la colère l'envahit à nouveau.
- Comment pouvez vous posez cette question ?! Pendant des années j'ai tout sacrifier pour cette citée et pour la survie du personnel ! J'ai mit ma vie entre parenthèses, pour assouvir aux demandes et attentes de tout le monde. Et pendant ses quelques jours, aux mains des Géniis, j'ai tout accumuler, leurs tortures, leurs interrogatoires et leurs rabaissements. Le major Lorne et moi même, avons tout supporter, heures après heures pendant 4 jours !! Pour votre gouverne, NON nous n'avons rien dit ! Jamais j'aurais pu faire une tels chose, ... j'aurais préférer mourir ! cria t-elle presque, en tapant du poing sur la table.
- Colonel, sauf votre respect, le docteur Weir et moi, avons vécut des choses traumatisantes, des tortures difficiles à encaisser, mais on a fait notre devoir !
- Je comprends se que vous avez vécut, ce n'est pas facile mais je suis obliger de vous posez ses questions ! Avoua Caldwell
- Non Caldwell justement vous ne savez pas se que nous avons endurer ! Pour ma part ils se sont littéralement défouler sur moi, me frappant avec jouissance, avec leurs mains, leurs fouets, partout sur mon corps !! Ils m'ont droguer pour essayer de me faire parler, ils m'ont humilier et rabaisser au plus bas de l'échelle humaine, on a essayer de me violer. Puis ils ont recommencer heure après heures, jours après jours. Ils s'acharnaient sur moi, parce qu'ils savaient qu'en me faisant souffrir, ils faisait souffrir John, alors ne venez pas me dire que vous comprenez se que l'on ressent !
Elle commença à se lever de sa chaise, récupérant ses béquilles au sol, avec l'aide de son compagnon.
- Vous savez tout maintenant, pour moi l'entretien est terminer !
Elle se dirigea vers la porte de la salle de réunion, John la suivait, ne voulant pas qu'elle reste seule, puis elle se retourna.
- J'ai sacrifier ma dignité pour cette base, en me rabaissant à des choses répugnantes qu'ils m'obligeaient à faire, j'ai laisser mon corps à leurs mains pour cette base et ... j'ai même sacrifier la vie de mon enfant pour cette base !
Elle finit par quitter définitivement la pièce, alors que le visage de ses amis se décomposait devant d e tels propos.

je hais Caldwell même dans la sére je l'ai jamais apprécié, j'adore a quand la suite?