Le sacrifice d'une vie

Le sacrifice d'une vie

Genre : Shweir, de la romance et de l'action
Disclamers : les personnages ne m'appartienne pas

J'espere que vous aimerez.

 
 
 C'était une journée calme, comme un dimanche sur la Terre.
Depuis que le docteur Weir, avait décidé, qu'un jour par semaine, une journée de congés serait obligatoire, tout le monde se portait très bien. Chacun profitait de se moment, pour se détendre, vaguer à des hobbies, ou se rapprocher de certaines personnes.
 
Le major Lorne, peignait tranquillement sur une toile blanche, l'une des innombrables vues de la citée.
Teyla passait du temps, avec l'une de ses amis, Ronon et John, s'entrainaient amicalement avec des battons en bois. L'ex-runner avait inventé de nouvelles règles, ce qui n'était pas pour plaire au colonel, qui se faisait battre a plates coutures.
 
Rodney, lui, avait invité une scientifique à passer l'après midi ensemble, pour mieux apprendre à se connaître.
Carson se préparait, pour aller sur la nouvelle Athos, pour pêcher. Mais il était à la recherche d'une autre personne pour l'accompagner, car le scientifique l'avait abandonné. Le médecin le comprenait, il était rare que Rodney invite une femme à passer du temps avec lui, mais à présent il se retrouvait seul.

Quant à Elizabeth, elle c'était laisser convaincre de déjeuner, avec un scientifique, Mike Brenton.
Tous les membres de l'expédition, passaient de bons moments.
 
Après avoir, pas mal amocher le colonel Sheppard, Ronon décida de s'initier au golf, une grande passion de John. Beckett avait enfin de compte, renoncé à se rendre sur les terres athosiennes.
 
Pour Elizabeth et Mike, ils avaient changé le mess, à l'un des balcons de la base, pour finir leur repas. Un moment fort agréable, qu'elle avait trop rarement l'occasion de savourer. Seule les moments en compagnie de l'équipe de Sheppard, semblait lui procurer du plaisirs, mais Mike avait su la convaincre qu'il n'y avait pas qu'eux, qui pouvait la détendre.

Et sans s'y attendre, il l'avait embrasse, et elle y répondit, mais elle ne savait pas si cela était une bonne idée. À cause de leur travail, leurs hiérarchies, le regard des autres, elle avait peur de ne plus pas pouvoir y faire face.
 
Malgré la plénitude, le calme et le bonheur, dans lequel la journée avait commencé, se dissipa.
Une explosion eu lieu dans l'un des couloirs d'atlantis, qui blessa quelques personnes sur son passage. Le résultat totale, fut trois blesser superficiel et un mort. Une personne que tout le monde appréciait.
Le docteur Beckett Carson, mort sur le coup, à cause de cette explosion, qui provenait d'une mauvaise manipulation, de la part des scientifiques, sur une machine trouver sur une planète.
 
Tout le monde c'étaient réunit, pour rendre un dernier hommage à se héros guérisseur. Chacun habillé en tenus de militaires ou costumes. Sur ce plateau magnifique de la porte des toiles, se trouvait son cercueil, avec le drapeau écossais déposé dessus, symbole emblématique de ses origines. Ils affichaient tous un visage sombre, envahit par la tristesse.
 
L'équipe de Sheppard se tenait au premier rang. Un militaire venait de finir de rendre son dernier hommage, pour le médecin, puis se fut autour du docteur Weir, de s'avancer pour conclure cette cérémonie. Avant que le cercueil, ne soit emmener sur Terre, là ou aurait lieu son enterrement.
Elizabeth était triste, elle sentait la douleur d'une perte d'un ami, le vide que déjà il laissait. Elle n'aurait jamais voulut connaître un tel sentiment, mais c'était trop tard. À présent elle devait vivre avec, et continuer de se battre.

je me disais bien au debut que ca me faisait penser a quelque chose c'est l'ep où Carson meurt. Merci j'adore ce que tu as écrit. Pour info j'ai pleuré comme une madeleine au moment de sa mort

Desolé que cela t'est fait pleurer !

Même si j'aime beaucoup Carson, je voulais commencer mon histoire ainsi.

Desolé pour tout ses fans.

une petite suite :


Doucement elle s'approcha de son cercueil, elle fit face aux personnes de son expédition. Elle se tenait parfaitement droite, elle fit un balayage de la salle, avec son regard triste.
 
- Nous avons dit au revoir à beaucoup d'ami aujourd'hui. Notre mission ici, est dangereuse ... nous perdons des êtres chers, c'est notre réalité quotidienne, aussi douloureuse soit elle.
Il y eu un moment de silence, il ne fallait pas qu'elle craque, non pas maintenant, encore devant son équipe. Alors comme souvent elle refoula ses sentiments, et continua.
- Mais Carson était ... un être irréprochable, dont personne n'a jamais eu à ce plaindre sur atlantis. Personne ... Une âme généreuse ... Un sauveur, un guérisseur.

De nouveau, il y eu un moment de silence. Un par un elle regarda les membres de l'équipe de Sheppard, pour essayer d'y trouver une quelconque force.
Elle y décela une petite lueur dans chacun d'eux, mais il y avait beaucoup plus de tristesse et de peine, dans leurs regards.
 
- Il va profondément et cruellement nous manquer ... Un jour Georges Fabricius à dit « la mort nous emporte tous, mais les grandes œuvres accomplie, c'est riches comme des monuments, qui tiendrons jusqu'à se que le soleil s'éteigne » ... Chacune des vies que Carson à sauver, est un monument pour lui. Et cela m'apporte un grand réconfort.
 
Elle resta bien droite, sans un mot, pendant quelques secondes, puis elle fit signe à un homme portant le kilt et une corne muse, de jouer l'air emblématique de l'écosse. La musique commençait à résonner dans toute la salle, tandis qu'un par un les chevrons de la porte des étoiles s'activait.

Elizabeth mit sa main gauche sur le cercueil tout en murmurant un dernier au revoir, puis retourna au côté de John.
Il vit son regard charger de peine, et de maudit de ne rien pouvoir faire pour la réconforter. Il aurait tout donné, pour à cet instant présent, revoir le sourire gracieux de la jeune diplomate, qui avait toujours eu le don de le calmer, et de le rassurer.
Mais la seule chose qu'elle pouvait lui offrir, était se regard détruit.
 
Une flaque de particules d'un bleu turquoise apparut, le colonel fit signe à quelques personnes, et s'avancèrent vers le cercueil. Chacun posèrent une main sur l'une des poignets, et le levèrent.

Puis ils passèrent à travers le vortex, tout en quittant atlantis en deuil sur une musique Ecossaise. Le docteur Weir c'était rapprocher de Teyla, en lui posant une main, sur l'épaule droite pour la réconforter.
La jeune athosienne apprécia se geste, et à son tour, elle mit l'une de ses mains sur celle de son amie.
 
L'enterrement sur Terre, avait été magnifique, douloureux et insupportable, mais magnifique. La sale avait été remplit, et tous fut mémorable. Les atlantes qui avait put assister à l'enterrement, revinrent dans les 6 heures qui suivie.

Il était à présent 23h15, le vortex s'ouvrait et Sheppard ainsi que ses équipiers rejoignait la salle des commandes. L'endroit était devenu triste, il y avait peu de personnes présentes.
Le major Lorne alla dans ses quartiers, tandis que Ronon, Rodney et John allèrent vers Chuck. Ils s'aperçurent que le bureau d'Elizabeth était éteint et fermer, se qui n'était pas dans ses habitudes.
John adorait quand elle, venait les voir lors de leur retour de mission, cela lui prouvait qu'elle tenait à eux.
 
- Colonel ! Dit Chuck, fidèle à son poste.
- Que c'est il passer durant notre absence ?! Demanda le scientifique.
- Pas grand chose. Le docteur Weir à laisser libre arbitre aux personnels, de faire se qu'ils avaient envie. Certains on réussit à travailler, d'autres ce sont réunis pour parler. Seuls les postes les plus important on été maintenu.
- ... Ah !
- Sinon, le docteur Weir a arrêtez de travailler, il y longtemps ?! Lança Sheppard qui s'inquiétait.
Jamais elle n'avait réagit de la sorte, avec les autres disparations tragiques. Mais il était vrai que Carson était différent, c'était leur ami, et Elizabeth l'avait connu bien avant atlantis.
- Et bien ... après la fermeture du vortex, elle est retourné dans son bureau, mais elle n'arrivait pas à travailler, alors elle a rejoins ses quartiers. Et elle a demandé que l'on ne la dérange pas !
- OK ... est ce que ça fait longtemps qu'elle est dans ses quartiers ?!
- Vous savez, elle n'a pas tenu 10 minutes dans son bureau, et d'après Teyla, elle n'est même pas sortit diner.
- Très bien merci Chuck !

John se rapprocha de ses deux amis en lançant.

- Allez vous reposez, on en à tous besoin. Moi je vais aller m'assurer si Elizabeth va bien.
- Moi je vais faire un tour chez Teyla, m'assurer si elle arrive à tenir le coup.
- Je vais aller me coucher, je vous dis à demain.
Ouais à demain !

Chacun partirent de leurs côtés.
Le colonel marcha pendant quelques minutes, qui lui parurent des heures. Jamais ce chemin ne lui avait semblé aussi long. Il ne savait pas vraiment se qui lui dirais au moment venu, tant pis, il laisserait son cœur parler pour lui.

C'était la première fois, qu'il avait envie de parler à cœur ouvert, il n'avait jamais été doué pour des aveux, encore moins, si cela devenait personnel. Mais depuis qu'il connaissait Elizabeth, il avait toujours sentit qu'elle le transformait en une personne bien.
Le colonel arriva enfin devant les quartiers, de la jeune femme, il inspira profondément et frappa.

voici la suite :

Aucune réponse, il espérait qu'elle ne dormait pas, puis il entendit des pas.
- Elizabeth ouvrez moi, c'est John, je sais que vous êtes là !

Malgré qu'elle ne veuille pas que Sheppard la voie dans cet état, elle le laissa entrer. Sa présence avait toujours su la calmer, par moment, elle et lui, n'avait même pas besoin d'échanger de mots, simplement leurs regards leurs suffisaient.

Il entra dans la pièce, seulement éclairé par la lampe de chevet, près de son lit. Elle se tenait debout, entrain de faire les cent pas, elle portait toujours son costume.

- On ma dit que vous étiez resté un bon moment dans vos quartiers, sans manger, ... vous savez, dans se genre de moment, les amis ça aident beaucoup !
- Je sais, mais quand il s'agit de se genre de moment, ou l'on perd de très proche amis, je préfère rester seule, cela m'aide à ne pas craquer !
- Vous ne changerez jamais, vous la célèbre diplomate Elizabeth Weir, vous vous dissimulez derrière votre masque de leader, pour ne pas pleurer. Et je me demande bien pourquoi ?! Sourit John en la regardant.
- Parce que cela a toujours été ainsi dans ma famille. Et depuis que je suis rentré à l'université de Georgetown, pour acquérir mon diplôme des sciences politiques, c'est comme cela ! J'étais très souvent rassembler contre des militaires, pour mettre un terme aux guerres, qu'ils avaient déclaré !
Au début c'était difficile, ses hommes essayaient de me faire craquer, essayant de m'humilier, pour que je lâche prise. C'est pour cela, qu'à présent je me montre en femme forte.
- J'avoue que ça n'a pas du être facile tous les jours pour vous. Mais je ne vous comprends pas vraiment, vous voulez insinuer, que si vous pleurez, on vous prendra pour une faible ?! Lança t il en la regardant droit dans les yeux.

Un regard remplit de tristesse, douleur que le colonel ressentit intensément.

- Oui, je suis la chef de cette citée, je me dois de me montrer forte ... mais là, je n'arrive pas.
- Elizabeth vous êtes la femme la plus forte, et la plus courageuse que je n'ai jamais connut auparavant. Vous êtes humaine, et ce n'est pas parce que vous craquez un jour, que cela est un signe de faiblesse. Croyez moi, plus vous essayerez de refouler vos sentiments, plus vos larmes menacerons de couler !
- Je pensais que j'arriverais à tenir le coup ... mais c'est beaucoup plus dur que je ne le pensais ...
Elle dit cela, tout en s'asseyant lourdement sur son lit. Le militaire la rejoignit, il détestait être aussi impuissant, face à se genre d'événement, face à ses amis, et surtout face à elle.
- Et vous John ... vous tenez le coup ?!
- Pour l'instant j'arrive à me contrôler, je pense que je ne réalise pas encore. Mais je redoute l'instant ou cela arrivera !
- Quand ce moment arrivera, alors vous viendrez me voir. Parce que les amis sont la pour se réconforter, comme vous le faites pour moi !
- Du moins j'essaye ... je m'inquiète pour vous, j'aurais aimé que vous veniez a cet enterrement, ... c'était mémorable, douloureux, mais mémorable ! L'église était remplit de sa famille et d'amis. Je me sens s'y impuissant face à votre douleur. Dit-il en la regardant à nouveau droit dans les yeux.

Elle y ressentit ce mal être, que pourtant jamais John n'avait montré, lui qui était si fort, si calme en temps normal.

Elle lui prit les mains qu'elle serra très fort, et qu'elle porta sur ses cuisses. Le militaire frémit à ce contact, elle n'avait pas besoin de parler, simplement ses sourires magnifiques pouvait le réconforter.

- John, votre présence me suffit amplement à me réconforter. Votre force, votre énergie et votre calme m'apaise ! Vous représentez tellement d'importance à mes yeux ...
- Elizabeth vous aussi vous comptez beaucoup plus que vous ne pouvez le croire ! Vous êtes tous pour moi ... vous perdre, serait pour moi la douleur la plus insupportable de ma vie.

La jeune femme se sentait un peu perdu. Quelques auparavant, le scientifique Mike Brenton avait frappé à ses quartiers, mais ne l'avait pas laissé entre, contrairement a John.
 
Flash-back
On frappa deux coup à sa porte, puis une voix ce prononça.
- Elizabeth, c'est Mike, je venais m'assurer si vous ... arriver tenir le coup !
- Merci Mike de vous inquiétez, mais je préfère rester seule ! Répondit-elle gentiment, sans pour autant lui ouvrir la porte.
Mais le scientifique essaya de nouveau.
- Elizabeth je vous en prie, ouvrez-moi !
- Je préfère rester seule Mike, s'il vous plait ...
- D'accord, je comprends, en cas de problème je serais dans mon labo.
- Merci ... finit elle par murmurer dans le vide, alors que la tristesse la saisissait de nouveau.
Fin du Flash-back
 
- Vous savez John ... me dire ou même penser, que vous auriez pu être à la place de Carson ça me ...
Elle essaya de reprendre son souffle, qui se faisait anarchique.
... J'ai peur John, j'ai trop peur de vous perdre un jour ... Lança t elle dans un sanglot, puis elle ne pu se contenir plus longtemps, et les larmes déferlèrent sur ses joues.

Elle voulut enfouir son visage dans ses mains, pour qu'il ne la voie pas dans cet état, comme si il lui était défendu de pleurer. Mais à la place, le colonel lui prit les mains et lui offrit ses bras. Immédiatement elle accepta, mettant son visage dans le creux de l'épaule de l'homme, l'enlaçant très fort.
Ressentant le besoin de sa supérieur, de son amie, d'être réconforter, il resserra davantage son étreinte se blottissant à son tour contre elle.

Il avait besoin de la sentir, il ne fallait pas qu'a son tour il craque, elle avait besoin de force sa part, et il lui en apporterait.

- Je ressens une grande peine, une très grande peine.
Après quelques minutes dans cette position, elle se dégagea lentement de ses bras. Puis elle remarqua que l'uniforme de l'homme était légèrement mouillé, faute d'avoir pleuré dessus.
- Je suis désoler je vous es mouillé votre vêtement. Sourit-elle timidement tout en désignant l'endroit.

John sourit à son tour, non parce que la situation était drôle en lui même, mais depuis l'enterrement du médecin, c'était la première fois, qu'il revoyait la jeune femme sourire.

- C’n’est pas grave ... au moins j'ai servit à quelque chose, puisque j'ai enfin retrouvé votre magnifique sourire.
Elle baissa la tête, un peu trop gêner face aux aveux du colonel.
- Et puis au moins, j'aurais votre agréable parfum sur moi !
- John ...
- Écoutez moi Elizabeth, jamais vous entendez, jamais je ne vous laisserais tomber ! Je me dépasserais pour être à nouveau a vos côté ! Lança t il si sincèrement, il avait posé sa main gauche sur la joue de la jeune femme, pour essuyer les larmes qui coulaient encore.

Puis sans s'y attendre, elle l'embrassa. Cela perturba un temps soit peu, ses lèvres était devenu une convoitise secrète pour lui.

- Je suis désoler, ... je n'aurais pas du ...

La suite :


Elle n’eut le temps de continuer sa phrase, que John prit l'initiative de l'embrasser. Cette fois ci, c'est lui qui dirigea les commandes, et ne tarda pas à insinuer sa langue, dans la bouche de sa partenaire, qui ne mit pas longtemps à entrouvrir les lèvres.

Ses douces lèvres voluptueuses, et sa langue si chaude. Jamais il n'avait embrassé aussi passionnément une femme, et il avait été loin de penser, qu'un jour il aurait eu le droit à se plaisir.
Elle répondit ardemment à se baiser, en déposant l'une de ses mains derrière la nuque de l'homme, pour approfondir se contact. Doucement elle c'était rapprochée de lui, collant son corps contre le sien, puis elle commença à déboutonner, la veste du militaire.
Le vêtement de celui ci, fut rapidement retiré et jeter au sol.

John ne savait pas si c'était une très bonne idée, bien sur qu'il en avait très envie, une envie douloureuse, mais était ce le moment approprier.
Ce détachant légèrement de ses lèvres, il lança.
- Elizabeth j'en ai très envie ... mais vous êtes vulnérable, moi aussi, et je ne veux pas que ...
- Chut !! Lança t elle en posant son index sur sa bouche, puis elle retira sa veste, qu'elle balança à travers la pièce.
Puis elle s'attaqua à la chemise et à la cravate de John.
Elle le fit délicatement s'allonger sur le lit, tandis qu'elle montait à califourchon sur lui, tout en retirant avec empressement, la chemise de l'homme. Sa respiration s'accéléra.
 
Voyant que son amie n'était plus dans son rôle de leader, mais celui d'une femme en détresse, il aurait du arrêter ses actions. Mais lui aussi voulait oublier cette perte, ce chagrin, pouvoir tourner la page plus rapidement.
Il savait qu'il aurait des répercutions, mais pour le moment, cela le préoccupait peu, se qui l'intéressait c'était d'oublier sa peine, et faire oublier celle à Elizabeth.
Elle avait déposé ses douces mains sur son torse muscler, et de ses doigts elle caressait ses abdominaux, et l'embrassa sur la bouche. Elle déposa quelque baiser brulant sur sa peau, qui frémissait à ce contact, sentant l'envie grandir en lui, déclarant un incendie dans ses reins. Plus elle descendait sa bouche sur son ventre, plus il avait envie d'elle.

Et vu comment cela se présentait, il ne pourrait se contenir bien longtemps.
Jamais une femme n'avait réussit à le faire craquer aussi rapidement.
A présent, elle s'attaquait déjà à la ceinture de son pantalon. Il n'aurait jamais crut que la jeune femme, serait aussi entreprenante, et il ne voulait pas la laisser faire, il ne voulait pas qu'elle soit la seule, à prendre toute les initiatives.
Alors il la fit basculer sur le dos, tandis qu'elle en fut surprise. Elle sourit, puis il l'embrassa fougueusement. Le militaire lui retira avec empressement son T-shirt, qui visiblement n'attendait que ça. Il resta interdit pendant un moment, devant la poitrine de la jeune diplomate, contenus dans un soutien gorge noir, il ne pouvait pas regarder ailleurs.
Pendant de nombreuses réunion, ses formes avait été l'une de ses plus grande convoitise, et à présent il pouvait la toucher, sa peau si douce.

Elle déboucla son pantalon, infiltrant déjà ses mains, sous le vêtement, glissant sur ses fesses muscler pour commencer à lui retirer se pantalon. Il lui dégrafa son soutien gorge, et embrassa avec délice ses seins durcit par le plaisirs. Elle se cambrait contre lui, tout en gémissant son nom, se qui l'excita davantage.
Il finit par se déshabiller, retirant ses chaussures et son pantalon, puis Elizabeth l'attira à nouveau vers elle, l'embrassant langoureusement. Et avec sensualité, elle glissa ses mains dans le caleçon du colonel, prenant l'objet de ses convoitises entre ses mains. Elle commença à masser énergiquement son sexe, contre sa paume chaude, il se sentit tressaillir, ce contact si électrisant et il ne pu s'empêcher de gémir, alors que son membre s'agrandissait dans la main de la jeune femme.

John qui voulait garder le contrôle de cette partie si sensible de son corps, retira les mains d'Elizabeth qui haussait les sourcils d'une aussi grande virilité. Il finit par lui retirer son pantalon, ainsi que son sous vêtement, il ne voulait plus attendre. Il retira son pantalon, puis la regarda intéressement dans les yeux, pour avoir son accord, pour simple réponse elle pressa ses lèvres contre les siennes. Alors il la pénétra brutalement, cette sensation ne lui fut pas très agréable, pour la diplomate, mais le plaisirs remplaça très rapidement la douleur.
Elle se cambrait à chaque déhancher du militaire, elle ne pouvait contenir ses gémissements, qui devenait de plus en plus auditives, procurant une grande satisfaction pour John, qui augmenta sa vitesse, et sa puissance.

Puis elle fit volte face, se retrouvant dans la position du dominant, lui sur le dos, elle à califourchon sur lui. Tout en continuant ses déhancher, elle lui prit les mains, en les posant sur sa poitrine. Il ne se fit pas prier et les caressa, se qui de nouveau poussa la jeune femme à gémir, et lui aussi par la même occasion. Les cheveux en pagaille, leurs corps nus enlacés, transpirant de sueur à l'effort fournit, leurs respirations saccader, il se répandit en elle, haletant comme jamais.
Ils refirent l'amour deux fois à suivre, elle voulait s'effondrer de fatigue, pour ne pas pouvoir rêver, elle avait trop peur de rêver de Carson, trop peur de rêver qu’elle les perdait tous un par un. Dans un ultime effort, dans un dernier spasme, John conclu, se laissant tomber sur le corps de sa partenaire, sa tête posée contre sa poitrine.
 
Cette nuit fut très courte pour les deux chefs, mais incroyablement magique.

Le radio réveil d'Elizabeth annonçait 6h14, puis à 6h15, il se mit à sonner, ils étaient effondrés. La leader était tellement épuisé, qu'elle n'entendit pas la sonnerie, qui annonçait une nouvelle journée de travail. Ce ne fut pas le cas de Sheppard, qui éteignit se son abominable, lui qui n'avait pas l'habitude de se lever aussi tôt, surtout après la nuit qu'il avait passé.

Il ne voulait pas ouvrir les yeux, mais plutôt rester dans se lit bien chaud, puis il sentit un corps chaud se blottir contre lui. Lentement il ouvrir les paupières, s'habituant difficilement aux rayons du soleil, qui pénétrait dans la pièce.
Une fois réveillé, il regarda autour de lui, et vit Elizabeth, allonger sur son torse, les cheveux ébouriffé, le corps nue contre le sien, son souffle chaud contre sa peau. Il était bien, il était paisible tout en repensant à la nuit qu'il avait passé, elle avait été surprenante et si fantastique, que pourtant, il sentait qu'aujourd'hui' hui, se serait difficile.
Il fut sortit de ses pensées par la jeune femme, qui commençait à se réveiller. Elle sentit une pression dans son dos, un bras protecteur. Elle se souvenait de tout, et à présent elle avait honte.
Comment serait leur relation maintenant ?
 
Eux qui étaient devenus de très bon amis, cette nuit aurait des conséquences. Elle se redressa dans son lit, en ramenant la couverture sur sa poitrine, elle osait à peine le regarder. Ce n'était pas lui qui était en faute, non, il lui avait pourtant mit en garde, mais elle avait pourtant voulut continuer.

une petite suite :

- Euh ... bonjour ! Bien dormit ? Demanda John, histoire de détendre l'atmosphère de se lourd silence.
- Oui mais j'ai connut mieux, ... et vous ?!
- J'ai connut mieux aussi.

Il y eu un moment de silence, pendant laquelle Elizabeth regarda son radio réveil. Quand il vu l'heure, elle haussa les sourcils, il fallait à tout prit que le militaire s'en aie, avant que tout le personnel ne se réveil et s'aperçoive qu'il avait passé la nuit dans ses quartiers. Puis il fallait qu'elle se remette au travail.
Qu'elle finisse les dossiers qu'elle n'avait pu terminer la veille.
- Bon bah, ... je vais retourner dans mes quartiers ! On se voit tout à l'heure ?!
- Oui ... à tout à l'heure.

Elle passa une main dans ses cheveux, tandis que John se rhabillait, puis avant de sortir de la chambre de la jeune femme, il regarda derrière lui, il se sentait gêner parce qu'il avait fait hier soir.
Et il vit le même regard dans celui de sa supérieure, la même gêne que lui. Ce n'était pas dans ses habitudes de faire l'amour brutalement, avec une femme.

Il finit par sortir enfin. Elizabeth prit une douche bien chaude, et partit travailler. John fit la même chose, puis vu l'heure qu'il était, il préféra aller se restaurer au mess.
La cantine n'était pas remplit, mais déjà plusieurs table y était occuper, notamment la table de ses amis, qui faisaient encore une mine sombre. Même si ils savaient tous, qu'ils devaient tourner la page. Il remplit son plateau, puis s'installa à côté de Ronon.

- Bonjour à tous !
Ses amis remarquèrent, qu'il n'avait pas son sourire ce matin, lui qui d'habitude offrait un visage heureux à ses équipiers. Et remarquèrent aussi, les cernes importants sous ses yeux.
- Bonjour John, comment allez vous ?! Demanda Teyla.
- Ça va et vous ?!
- Mieux qu'hier, ... il faut tourner la page, de toute façon ... c'est ce qu'il y a de mieux à faire.
- Vous avez raison Teyla, cela nous permettras de moins souffrir. Extorqua Ronon.
- Vous avez l'air si fatiguer John, vous êtes sur que ça va ?! Lança le scientifique.
- Oui Rodney ça va, c'est juste que je n’ai pratiquement pas dormit cette nuit, voilà tout !
Ils finirent leur petit déjeuner et partit en simple mission de reconnaissance.

Dans l'après midi, il y eu une réunion pour parler de la planète visiter, par l'équipe de Sheppard. John et ses amis, arrivèrent en même temps que la diplomate, dans la salle de réunion, le colonel faillit se percuter avec elle, et à nouveau une gêne s'installa entre eux.
Ils avaient réussit à ne pas se croiser de la matinée, mais la citée redoutait d'endroit, ou ils pouvaient se croiser.
Elle baissa les yeux, puis lança.

- Colonel !
- Docteur Weir ... je vous en prie, après vous. Dit l'homme, en la laissant passer, qui s'empressa d'aller s'asseoir sur son fauteuil.

Ronon, Rodney et Teyla s'aperçurent du comportement étrange de leurs deux amis, eux qui d'habitude, à chaque fois se voyait, ils s'offraient de superbes sourires. Alors que là, ils s'appelaient par leurs grades et se regardaient à peine. La jeune athosienne, qui était très observatrice savait que quelque chose c'était passer entre eux.

- Bon, puisque tous le monde est présent, vous pouvez commencer.
- Je vais commencer ! Lança le scientifique, puisque personne n'avait l'air décidé à prendre la parole. Comme vous le savez Elizabeth, nous sommes allez visiter la planète PX58-C47.
Elle fit oui de la tête, tandis que John l'observait, se demandant si elle regrettait vraiment se qu'ils avaient fait. Parce que ce n'était pas son cas.

- Nous avons trouvé un peuple, un village installer, sur une partie de cette planète. C'est des constructions simples, et leur technologie n'est pas égale à la notre ...
- En faite, se que veut dire notre cher Mckay, c'est que se village n'a pas vraiment d'importances, en matières de technologies, mais ils font beaucoup de commerces. Surtout en production de nourriture et d'eau ! Lança John.
- Cela peut être intéressant ! Peuvent-ils être de futures alliées ?!
- Je pense sincèrement que oui !
- Bien sur, nous n'avons pas rencontré les plus haut chefs de se village, puisqu'ils n'étaient pas là. Par contre, les autres commerçant, ainsi que les villageois, étaient forts agréables. Sourit la jeune athosienne.
- Ouais, j'avoue qu'ils nous on bien accueillit ! Dit Ronon, jouant avec son couteau.
- Puis l'un des marchands à trouver, sur une planète une tablette avec des inscriptions dessus. C'est de l'ancien, j'ai commencé la traduction là-bas, mais c'est des mots très compliqué. Il me l'a mit de cote pour la prochaine fois que nous y retournerons !
- Il ne peut pas vous la prêtez, le temps que vous la traduisez ?!
- Non Elizabeth, je crois qu'il n'a pas encore assez confiance en nous.
- Oui c'est compréhensible ! Bon je pense que marchander avec ce village, peut être prévu. Il faudra que vous rencontriez les hauts chefs, et leurs demander si leurs terres peut nous êtres quémander, si on venait à avoir des problèmes ici ! Quant à vous Rodney, sachez de traduire le maximum sur cette tablette, elle contient peut être des donner importantes !
- Bah en faite ... j'aurais pensé que vous seriez venu avec nous ! C'est vrai que le domaine de la traduction des anciens, c'est plus votre truc que le mien.

Elle haussa les sourcils, un peu surprise, mais après tout, se serait mieux qu'elle les accompagne pour la prochaine mission, comme ça elle pourrait elle même négocier, avec ses souverains.

- Cela pourrait se faire ! Je vais y réfléchir, et je vous tiendrais au courant ! Sinon, ... je voulais, avant que je ne vous laisse quartiers libre, vous présentez quelqu'un.
Elle activa son oreillette, sous les yeux quelques peu surprit de son équipe. Qui se demandait qui leur leader allait leur présenter.
- Docteur Keller, pouvez vous vous présentez en salle de réunion maintenant ?!
- Bien sur docteur Weir, j'arrive tout de suite !

- D'accord.
Elle coupa l'activation de son oreillette. Avant même qu'elle ne puisse expliquer quelque sois, Mckay demanda.
- Qui est le docteur Keller ?!
- Le docteur Keller est la remplaçante du docteur Carson. Pendant que vous étiez en mission, nous avons été contacté par le SGC, et nous à parler du docteur Keller ! Quelques heures après, et elle débarquait sur atlantis.
- Ils n'ont pas perdu de temps ! Dit le scientifique, pas très ravit.
- Rodney, vous devez comprendre qu'il nous faut un bon médecin, absolument sur atlantis. Je sais que c'est très précipiter, moi aussi je souffre encore ! Mais à présent, ... il faut tourner la page, sans pour autant l'oublier !
- Le docteur Weir à raison ! Souligna Teyla.

Tout le monde comprenait, ils pouvaient se passer de quelques scientifiques, et de certains militaires, parce qu'il y en avait en majorité sur la base. Mais de médecins très compétant, il n'y en avait pratiquement pas.

- C'est une femme ?! Demanda John, qui avait toujours été habitué, à la présence masculine du docteur Beckett.
- Oui colonel ...
On frappa à la porte.
- Justement la voilà, essayer d'être accueillant. Entrez !
La jeune femme entre, un peu intimidé, par l'idée de prendre la place de l'un des leurs. Tous la regardèrent avec curiosité, ils se disaient qu'après tout, ce qui était arrivé au docteur Carson, n'était pas de la faute de la jeune femme. Et rejoindre atlantis, ne connaissant personnes, n'était pas chose évidente.

- Je vous présente le docteur Keller !
- Euh ... bonjour.
- Keller, je vous présente l'une de mes meilleurs équipes, le scientifique Rodney Mckay, Ronon Dex, Teyla Emmagan, et le colonel John Sheppard.
- Enchanté ! Dirent-ils
- Elle est timide. Murmura Rodney, se croyant discret.
- Et alors, vous vous croyez mieux ?! Lança le militaire.
- Ne faites pas attention à ses deux là, ils sont toujours aussi enfantins, à sales caractères. En tout cas soyez la bienvenue parmi nous, et sur atlantis ! Sourit l'athosienne.
- Merci beaucoup ... Teyla.
- Bienvenue sur atlantis ! Salua tout de même Sheppard, ainsi que le reste de son équipe.

La fin de la journée approchait, le reste de l'après midi avait été très calme. Le docteur Keller avait doucement apprit se qu'elle aurait à faire à présent.

Elizabeth avait toute la journée éviter le colonel, voulant à tout prit ne pas évoquer la nuit dernière, qu'ils avaient passé ensemble. Pourtant elle savait très bien, qu'il faudrait tôt au tard évoquer cet incident. Elle avait aussi évité Mike Brenton, pour ne pas reparlé du fameux baiser, qu'ils avaient échangés.

Elle se baladait dans les couloirs ou se trouvait les quartiers du personnel, ainsi que les siens. Elle s'apprêtait à se rendre à son bureau, quand elle se cogna dans quelqu'un.

Voici la suite :

- John !
- Oh ... Elizabeth ! Désoler !
La seule personne qu'elle ne désirait ne pas rencontrer en cette fin de soirée, ce tenait devant elle. Ils ne savaient pas quoi dire, mais le colonel tenta quelque chose.
- Au faites ... vous avez réfléchit de se que l'on nous avons parlé lors de la réunion ?!

Ils commencèrent à marcher, à présent qu'elle parlait avec lui, ils faillaient qu'ils abordent le sujet, et pour cela ils devaient en discuter dans un endroit calme, son bureau.

- Non pas vraiment, mais il y a de très grande chance pour que je vienne avec vous ! Pourquoi cette question, cela vous poserez t il un problème ?!
- Moi, non pas du tout. Bien au contraire ... c'est toujours un plaisirs, quand vous nous accompagnez. Je veux est posé cette question, juste pour savoir si vous veniez, car si c'est le cas, il va falloir renforcer notre vigilance, pour votre sécurité !
- Je vous remercie, mais comme vous l'avez tous dit, c'est un peuple accueillant, alors je n'ai rien à craindre.
- Peut être, mais il faut se méfier de tout, et puis c'est mon devoir de vous protégez !
Ils étaient enfin arrivés à destination, elle lui avait proposé de s'asseoir, mais il avait gentiment dit, qu'il préférait rester debout. Puis, depuis se qu'il c'était passer entre eux, elle le regarda dans le blanc des yeux.

- Il faut que l'on parle de se qui c'est passé, avant hier ... la nuit que l'on à passé ensemble !
- Ah ... Oui ! Dit il en se grattant la tête, il ne savait pas vraiment comment lancer le sujet.
Il ne voulait pas briser la jeune femme, il ne voulait pas la décevoir par des mots tranchants.
- Écoutez ... j'ai ... j'avais énormément de peine, vous en aviez vous aussi ! Vous m'avez réconfortez, vous été là, et tous les deux nous avons profité de la détresse de l'autre. Je sais que vous m'avez dit, qu'il ne fallait pas, mais à se moment là je crois, que je n'avez pas vraiment la tête à réfléchir. J'assume entièrement ce que j'ai fait, je suis désolé John !

Il avait écouté se discours, accroché à ses lèvres en essayant de détecter si oui ou non, elle regrettait sincèrement se qu'ils avaient fait, mais son masque de leader, ne laissa rien transparaitre.

Tandis que les deux leaders parlèrent, Ronon, Teyla et Rodney marchèrent près de la porte des étoiles. Et s'arrêtèrent près de celle ci, puis quand ils virent le colonel Sheppard debout, se tenant face à Elizabeth dans son bureau. Ils décidèrent de se rapprocher.

- Elizabeth, j'ai ma part de responsabilité aussi. J'aurais pu décider d'y mettre un terme, en sortant de vos quartiers, toute fois je n'ai rien fait. Moi aussi je suis désolée, et j'assume tout comme vous mes actes, ... je crois que nous recherchions tout les deux, un moyen d'oublier ... de fuir notre douleur ! Lança John en se rapprochant d'elle, voyant qu'elle semblait triste.
- Oui peut être ... mais regarder nous ! À présent on ose ce regardé, trop gêner, et à cause de mon comportement notre amitié va en souffrir ... et c'était aujourd'hui la seule chose qui me permettait de tenir debout ! Avoua t elle en éclatant en sanglots.

Les trois amis, qui les regardaient près des escaliers, remarquèrent que des liens profonds c'était ressoudé entre Sheppard et Weir, depuis la mort tragique du docteur Carson. Ils n'avaient pas pensés, que cette perte l'aurait autant affecté, cette leader qui semblait invulnérable et intouchable, en cet instant paraissait si impuissant et si faible.

Le colonel l'enlaça fortement, sans attendre, dans ses bras. Elle ne se fit pas prier et se colla contre lui, pour pleurer dans ses bras.

- Jamais Elizabeth, notre amitié souffriras, ou se briseras à cause de certains problèmes. Lança t il contre son oreille, tout en lui caressant le dos, l'apaisant dans les secondes qui suivirent.

Après quelques minutes passés comme cela, Ronon et Teyla avait finit par retourner à leurs quartiers. Quant à Rodney, il voulait se qui finirait par se dérouler entre la diplomate et le militaire. Mais se qui l'attristait, c'était qu'à présent il n'aurait plus de confidents, à qui divulguer ses rumeurs.
Beckett avait été toujours le premier à être au courant des rumeurs, qui courait sur atlantis.
Elizabeth prit l'initiative de briser cette étreinte, car la dernière fois qu'elle c'était laisser aller, ils avaient finit par coucher ensemble. Elle lui sourit timidement, lui, il fit un magnifique sourire.

- Merci John d'être la pour moi, dans les moments ou ça ne vas pas !
- Non, merci à vous d'embellir mes journées par votre force et vos magnifiques sourires.
Elle rougit, et le colonel le remarqua.
- Puis les amis sont là pour ça non ?!
- Oui, vous avez raison. Bon il serait préférable que j'aille dans mes quartiers !
- Je vous raccompagne !
- Euh ... j'ai deux trois bricoles à faire avant. J'en ai pour un moment, mais peut être une autre fois !
- Ouais, très bien. Alors bonne nuit Elizabeth !
- Bonne nuit John !

Tandis que la jeune femme restait dans son bureau, finissant certains dossiers, John sortit de la pièce, et descendit les marches. Et il croisa le scientifique qui lui sourit d'un air jubilatoire.

- Oh Rodney, vous n'êtes toujours pas coucher ?
- Et vous ?!
- Je vous est posé la question en premier !
- En faite, je comptais aller me coucher, mais en levant la tête vers le bureau d'Elizabeth, je l'ai surprit dans vos bras, alors je me demandais si ...
- Je vous arrête tout de suite Rodney ! Elizabeth a beaucoup de mal à se remettre de la perte de Carson. Elle sait confiée à moi, et elle a craquée, les amis sont là pour s'aider, alors n'aller pas vous imaginez des choses !
- Oh ! Mais je n'imagine pas, je constate ce que je le voie ! Sourit le scientifique, pour taquiner le colonel.
- Bonne nuit Mckay !

Deux jours c'était écoulés, les relations entre le colonel Sheppard et le docteur Weir semblaient être toujours aussi distance. Ils se sentaient toujours aussi gêner par le comportement, qu'ils avaient eux. Surtout pour la diplomate, elle qui était la dirigeante de cette base.

Il était 15h30, l'équipe de Sheppard était revenus de missions depuis 20 minutes. Elizabeth était dans son bureau, assise derrière son ordinateur, elle finissait des rapports de ses équipes. Puis on frappa à sa porte. Elle leva la tête pour de qui il s'agissait, elle fut surprise d'y découvrir la jeune athosienne.

- Teyla ?!
- Je vous dérange peut être ?!
- Bien sur que non ! Je vous en prie, installez-vous. Une petite pause de 5 à 10 minutes ne me fera pas de mal ! Sourit la jeune femme.

L'athosienne s'installa sur l'une des chaises, un petit sourire sur ses lèvres. Il fallait qu'elle demande une chose importante au docteur Weir, mais cette chose n'était pas très réjouissante. De plus, la mort du médecin était encore récente, alors il fallait qu'elle tâte le terrain.

- Oui, c'est vrai que depuis quelques jours, je vous trouve un peu ... fatigué et mal à l'aise, en compagnie du colonel Sheppard. Je sais que cela ne me regarde pas, mais vous êtes sur que tout va bien, entre vous deux ?
- Je vous remercie Teyla, de vous inquiétez de la relation que j'entretiens avec le colonel, mais il n'y a pas de quoi s'inquiéter. Je crois que ... la mort de Carson ma beaucoup et profondément bouleversée. Plus que je ne l'aurais crut ! J'ai eu un comportement que je n'aurais pas du avoir, envers Sheppard, maintenant nous avons, quelques divergences d'opinions, c'est tout !
- Vous avez souvent des divergences d'opinions avec le colonel ! Dit-elle en souriant, sachant pertinemment, que la diplomate ne disait pas toute la vérité.
- Au faites Teyla, à part que vous vous inquiétez pour moi, que me vaut votre visite ?!
- C'est un ... service, que je voulais vous demandez ! Mais c'est assez délicat !
- Je vous écoute Teyla ! Incita la jeune femme.
- En faites, dans mon peuple ... il y a un petit garçon, qui est tombé malade depuis 1 an et demie. Un patient que le Dr Carson avait en charge !
- Oui ... Beckett m'en avait parlé. Ce petit garçon qui est assez malade, et qui a perdu toute sa famille. Carson c'était attaché à lui ! Il s'appelle Malo n'est ce pas ?!
- C'est exacte, il a un cancer des poumons !
- Il se porte assez bien aujourd'hui ?!
- Non pas vraiment ! Son cancer est en phase terminale, et depuis quelques mois, Carson nous avait avoué qu'il ne pouvait plus rien pour Malo, juste soulager sa douleur.
- Oh ... je suis sincèrement désolé !
- Merci. Vous savez il devient de plus en plus fatigué, et jours après jours cela empire. Il sais que son heure va bientôt arriver ...
- Oh mon dieu.
La jeune diplomate haussa les sourcils, surprise des aveux de la jeune athosienne.

- Il aurait aimé pour son anniversaire, de ... de venir visiter Atlantis, et surtout de vous rencontrez !
- ... Quel âge à ce garçon, je crois qu'il est assez jeune ?
- En effet, il aura 7 ans dans quatre jours. Et il m'a dit qu'il aimerais visiter une partie d'atlantis, et rencontrer absolument la leader actuelle de cette citée. Vous êtes une légende pour mon peuple.

Elizabeth semblait accrochée aux lèvres de Teyla, comment un enfant de cet âge pouvait mourir et souffrir aussi jeune. Elle sentait les larmes embrumés ses yeux, mais elle ne laisserait rien apparaître.

j'adore tu écris vraiment bien!

Merci beaucoup, ça me touche !

Voici la suite :


- Il est ... vraiment jeune ! Trop jeune pour mourir.
Un moment de silence s'installa, puis le docteur Weir lança.
- Ce sera avec plaisirs que j'accueillerais ce petit Malo, oui un véritable plaisir. Puis je lui présenterais moi-même atlantis !
- Alors se sera l'enfant le plus heureux de toute la galaxie !
- Est ce que vous pensez que Malo serait content si pour son anniversaire, on organisait une petite soirée ?!
- Se sera fatiguant pour lui, mais il en serait très ravit !
- Faisons ça alors ! Je vais demander aux cuisiniers de préparer un menu spécial, et un gâteau d'anniversaire. Prévenir le personnel de la citée, de cette soirée ... et votre peuple seras le bienvenue Teyla !
- Merci beaucoup Elizabeth, je proposerais à certaines personnes de venir.
Teyla sortit du bureau, un sourire affichée sur son visage.

Le docteur Weir fit ce qu'elle avait prévu de faire pendant la journée. Les cuisiniers du mess allaient préparer un bon repas, toute la base avait été tenue au courant de la soirée. Et alors qu'elle marchait tranquillement dans les couloirs de la base, pianotant sur son ordinateur, une personne l'interpella.

- Docteur Weir ?!
- Docteur Keller ! Comment va mon médecin en chef ? Sourit-elle en arrêtant de toucher son ordinateur.
Keller ne pu s'empêcher de répondre au sourire de cette femme. Toutes les deux marchèrent ensemble.
- J'essaie de naitre, et c'est exactement de ça que je voulais vous parler !
Elizabeth monta en premier dans le transporteur, se demandant ce dont la jeune femme voulait lui parler. Alors que celle ci montait à son tour.
- Que se passe t il ?!
- Euh ... J'ai besoin d'être remplacé.
- Je vous demande pardon ?! Haussa t elle les sourcils, surprise.
- Après le départ de Carson, j'ai prit la tête de l'infirmerie et j'avoue que j'ai accepté avec joie, ne vous méprenez pas ! Mais ... je ne suis pas qualifié pour diriger un service aussi important, il vous faut quelqu'un de plus compétant.

Elizabeth rigola, alors qu'elles avaient quittes le transporteur, elles continuèrent toujours de marcher.

- Tout le monde est content de votre travail !
- Écoutez, je ne suis pas sur que se soit la vérité. Il ne c'est pas passez grands choses ses derniers jours. En faites, j'ai eu beaucoup de chance.
- Le comité de surveillance à une longue liste de postulants, mais ils ne sont pas très rapides pour faire le choix !
- Alors une semaine ?!
Le docteur Keller haussa les sourcils, tandis qu'Elizabeth souriait de nouveau.

- Je ne dors pas depuis que j'ai pris la tête de se service, il y a bien trop de choses à intégrer pour moi. Cela me rend nerveuse.
La leader s'arrêta devant les marches qui la menaient à son bureau. Puis toujours en souriant elle regarda le docteur.
- Carson ressentez la même chose les premiers mois !
Elle commença à monter es escaliers, alors qu'à nouveau le docteur Keller l'interpellait.
- Elizabeth ! Je sais que vous mentez !
La jeune femme redescendit les marches, ce mettant face à elle.
- Docteur Keller, remettre ma vie entre vos mains me satisfait, c'est clair ?! Je suis rassurée, je me sens vraiment en confiance. Je suis certaine qu'avec le temps, vous serez gérez votre stress !
- Bien !

La leader grimpa à nouveau les escaliers.

- Et dans combien de temps exactement ?!
Elizabeth s'arrêta de nouveau, se retournant avec amusement, et une pointe d'agacement.
- Je veux dire, il faut que je tienne deux semaines et ensuite vous me remplacerez, pour que je puisse reprendre mes simples activités de médecin ?!
- Je vous dirais ça plus tard ! Dit Elizabeth, tout en continuant sa marche.
Laissant une docteur un peu perplexe, ne sachant pas trop quoi faire.
- D'accord ... merci ! Lança t elle en se demandant se qu'elle allait faire, le temps qu'Elizabeth lui parle à nouveau.
Elle ne c'était pas vraiment attendu à cette réponse.

Trois heures c'était écoulé, il commençait à se faire tard, 21h30. John venait de manger avec ses amis au mess, et se promenait dans les couloirs. Puis il vit que le docteur Weir, enfin son bureau était encore allumé, la porte encore à moitie ouverte.
Il avait un dossier sur la mission de la journée à rendre, il avait été un peu de retard comme souvent. Il entra dans son bureau, mais Elizabeth ne s'y trouvait pas, alors il s'approcha de la table, et y déposa le rapport. Il fit dos au bureau et s'apprêtait à sortir, quand une voix se fit entendre.

- Vous me rendez enfin votre rapport colonel ?!
- Elizabeth ! Dit il surprit. Mais ... où êtes vous ?! Lança t il en faisant le tour de la pièce avec son regard.
- Je suis sous le bureau.

John s'approcha de la table, en la contournant, et ce qu'il vit le surprit. Mais surtout l'émoustilla. Elizabeth, sa supérieure, son amie, la femme avec qui il avait partagé une nuit torride et magique avec elle, se tenait à quatre pattes sous on bureau. Le postérieur en arrière, bien en évidence. La vue y était magnifique, mais après ce qui c'était passer avec la jeune femme, il ne pouvait rester de marbre, devant se spectacle.

Il ne pouvait plus penser à autre chose, que de la nuit qu'il avait partagé avec elle. De son corps mince, de sa peau douce, de ses lèvres voluptueuses et tentatrices, de ses seins durcit, de ses gémissements tout contre son oreille.

- Mais que faites vous à quatre pattes, sous votre bureau ?!
- Je recherche l'une de mes boucles d'oreilles. Je l'ai perdue, et je ne la retrouve pas !
- Je peut, peut être vous aider ?
- Oui je veux bien, une aide de plus serait la bienvenue.
Il se mit à son tour à quatre pattes sous le bureau d'Elizabeth, à ses côtes.

Puisque l'espace y était réduit leurs corps, leurs peaux se touchaient, ce qui les déstabilisèrent. Pour Elizabeth, cette distance la mettait mal à l'aise, par rapport à son comportement enjôleuse avec le militaire, quant à John, cette distance n'était pas pour l'aider, à cause de l'attirance qu'il ressentait à l'égard de sa supérieure.

- Bon ... vous rappelez vous quand pour la dernière fois, vous portiez votre boucle d'oreille ? Demanda t il en essayant de trouver le bijou.
- Ce matin j'avais encore ma boucle d'oreille, ce midi aussi, ainsi qu'en fin de soirée ! Cela fait surement quelques heures que je ne l'ai plus. En plus je passe toujours par les mêmes couloirs. Ceux qui mènent dans mon bureau, le mess et mes quartiers.
- Bien, cela va réduire notre champ de recherches ! Nous allons commencer par les couloirs qui passent par vos quartiers.
- Cela me paraît une bonne idée ! Sourit-elle en tournant son visage vers celui de Sheppard, qui pouvait sentir son souffle chaud.
Puis elle sortit du dessous de son bureau.
- Vous n'êtes pas obliger de m'aider vous savez !
- Je sais, mais cela me fait plaisirs. Dit-il en sortant à son tour du bureau.
Alors qu'ils commencèrent à marcher dans les couloirs, il ne pu s'empêcher de demander.
- Est ce que ma présence vous mets mal à l'aise ?

Elizabeth était un peu gêné face à cette question, car en effet, elle ne savait plus comment elle réagirait, si elle ce retrouvait seule avec lui.

Elle avait aimé cette nuit avec John, oh que oui, elle avait apprécié, mais elle ne pouvait pas entretenir se genre de relation. Surtout en tant que leader, et encore moins avec l'un de ses subordonnés.

- Je ... John, il serait préférable de ne plus évoquer la nuit ... que l'on a passée ensemble !
- Comme vous voudrez !

Ils étaient dans les couloirs des quartiers personnels, pas très loin de la chambre de la jeune femme. Ils cherchaient partout sur le sol, quand enfin ils aperçurent l'objet, scintiller. Évidemment les deux chefs eurent la même réaction au même moment. Ils s'abaissèrent pour récupérer la boucle d'oreille, mais ils se cognèrent tout deux la tête.

Elizabeth, par le choc, s'écroula au sol, et sans le vouloir elle s'agrippa par la même occasion, a la veste du colonel. Qui tomba de tout son corps sur celui de la leader. La situation était très délicate, leurs visages n'étant qu'à quelques centimètres, leurs lèvres si proches, leurs corps coller, leurs intimité ce touchant, se frottant à chaque mouvements.

- Je suis désolé ! Dirent ils en même temps, se qui les fient rires, mais leurs gênes se ressentirent.
Il voulut se redresser, mais une chose l'en empêcha. Se ceinture était accroché au pantalon d'Elizabeth.
Décidément le destin avait décidée de ne pas arranger les choses entre eux, en les poussant dans des situations délicates.
- Ma ceinture c'est accrochée à votre pantalon, il va falloir que vous la retiriez !

Elle inspira profondément, l'idée de défaire cet objet si proche de l'intimité du colonel, n'était vraiment pas pour lui plaire. Mais elle n'avait pas vraiment le choix, à moins que quelqu'un passe dans ce couloir et s'aperçoive la posture des deux chefs.

- Je vais essayer !
Doucement et de ses mains tremblantes, elle les descendit vers la ceinture du militaire, et commença à défaire, avec peu d'assurance, la boucle de celle ci. John quant à lui, trouvait cette position et ses gestes, excitant. La dernière fois qu'elle avait prit l'initiative de le déshabiller ils avaient fait l'amour.

Les mouvements que la jeune femme faisait, avec ses mains, tentant désespérant de déboucler la ceinture, n'était pas vraiment précis, et avait tendance, à effleurer la partie si sensible de l'homme. Ses effleurements, ses dérivés de caresses, qui n'était pas totalement déplaisant, n'était pas vraiment les bienvenue.
Elle sentit la respiration du colonel Sheppard s'accentuer, et elle était assez intelligente, pour savoir qu'elle était la cause de la concentration intensive que le militaire essayait d'avoir, pour se contenir. Elle non plus ne restait pas de marbre, devant le corps de muscle du colonel, contre elle.

Et au plus grand soulagement des deux terriens, elle réussit à détacher la ceinture, se qui pu libérer John. Avec rapidité il se redressa avant de ne plus pouvoir se contenir, il fallait qu'il prenne une douche bien froide.
Elle récupéra sa boucle d'oreilles qu'elle remit, tandis que John lui tendit la main, pour l'aider à se relever, ce qu'elle accepta avec un sourire. A présent, face à face, leurs corps étaient coller l'un contre l'autre, leurs lèvres se rapprochèrent. Puis la porte des quartiers, devant lesquelles ils étaient, s'ouvrirent sur Rodney.

Le scientifique s'aperçut du docteur Weir très proche du colonel Sheppard, puis la diplomate finit par lancer.
- Euh ... Bonne nuit colonel ! Rodney !
- Oui bonne nuit docteur !
Chacun des deux chefs, partirent de leurs côtés pour rejoindre leurs quartiers. Mckay ne comprit rien à la scène qui c'était déroulée devant ses yeux.
John était un peu déçut, il aurait tant aimé goûter de nouveau ses lèvres, il aurait écouté son cœur qui l'aurait guidé. Mais d'un côté ce baiser aurait peut être tout brisé entre lui et elle, ce qu'il ne voulait absolument pas.

Une petite suite :


Le matin était déjà levé depuis plusieurs heures. Les missions de reconnaissances avaient déjà débuté, et continuerait toute la journée. Tous le personnel avait hâte d'être à la soirée, organisé pour l'anniversaire du jeune athosien.

Il était 16h38, l'équipe de Sheppard été revenu de mission il y avait 10 minutes. Mais au cours de cette mission il y avait eu un problème. En effet, les wraiths avait attaqués le peuple de cette planète, John avait mit sa vie ainsi que celle de ses amis, en danger pour sauver ses villageois.
Tout d'abord une réunion avait été organisée, avec tous les membres de l'équipe de Sheppard, pour parler de tous ses évènements. Chacun avait donnés son opinion, puis rapidement le colonel, c'était emporté. Ne comprenant pas pourquoi le docteur Weir, lui infligeait une punition. Toute son équipe avait répondu favorablement pour sauver ses personnes.

La réunion avait coupé court rapidement, Rodney se tenait sur l'une des passerelles de la citée, celle qui donnait une vue en hauteur sur les quartiers personnelles, puis le major Lorne arriva à ses côtés.
- Que faites-vous ?! Demanda Evan.
- J'attends qu'il y est un peu d'action !
Tous les deux virent John Sheppard marcher, d'un pas affirmé dans les couloirs des quartiers, la colère inscrit sur son visage. Puis ils virent la leader marcher derrière lui, plutôt courir après lui, en haussant la voix.

- John !
Il continuait de marcher.
- Colonel John Sheppard, je vous ordonne de vous arrêtez !
Il s'arrêta, se tournant face à la jeune femme, elle aussi énervée.
- Que l'action commence ! Sourit le scientifique, suivit du major.
- Nous devons parler ! Lança Elizabeth.
- Ah oui et de quoi ?! Il me semble que l'on c'était déjà tout dit !
- Vous savez très bien ! De votre comportement sur cette planète.
- On en a déjà assez parler, à moins que vous aimiez remuer le couteau dans la plaie ?! Haussa t il les sourcils, en la cherchant.
Elle le savait, elle savait parfaitement bien qu'il était en colère. Elle eu souvent affaire à se genre de caractère.

- Vous vous rendez compte de ce que le vous dîtes ! D'abord, vous me ridiculisez devant votre équipe, en désobéissant directement à l'un de mes ordres. Puis ensuite, je suis obliger de vous courir après, pour pouvoir enfin vous parlez !
- Je ne comprends pas pourquoi, vous me punissez pour avoir sauvé la vie de ce peuple !
- Vous avez mit votre vie, ainsi que celle de votre équipe en danger. Je sais que c'est votre métier, mais je vous avez donné un ordre. Alors pour votre entêtement, je dois vous donner une punition !
- J'ai l'impression en faites, que ce qui sais passer entre nous, vous avez du mal à le gérer ! Et vous rejetez toute la faute sur moi !
- C'est faux ! J'assume ce que je fais, et c'était un accident. Maintenant cela appartient au passé, et vous le savez très bien !
- Je ne suis plus sur de rien ! Vous vous comportez comme si j'avais été le seul à être en faute ! Mais à se que je sache, c'est vous qui a comm...
- Un seul mot en plus sur cette histoire, et je vous restreins un mois entier de mission ! Dit-elle en haussant la voix.
- Qu'est ce que vous regardez ?! S'interrogea Ronon, qui rejoignait Lorne et Mckay sur la passerelle.
- On regarde Sheppard et Weir se disputer !
- On va voir comment John réagira, face à sa punition. Sourit le scientifique, qui pensa, qu'il aurait du apporter du pop-corn, cela aurait rendu le spectacle plus intéressant.
- Quoi ?! Grogna Sheppard. Vous n'allez pas me punir juste pour avoir sauvé ses villageois !
- Le faites, n'est pas de savoir si vous avez sauvé des vies, mais la façon dont vous l'avez faits. Vous avez risqué la vie de vos équipiers, votre propre vie. Vous êtes tous des membres importants sur atlantis !
- Oui, ça on le savait déjà, tout comme on savait qu'on allait mener cette mission de sauvetage à terme !
- Et si vous étiez faits tous tuez ! Votre mission n'aurait servit a absolument à rien !
- On est vivant Elizabeth ! Aucune égratignure, rien, les gens de ce peuple sont tous vivants et libres. Vous n'avez pas le droit de me punir pour cela !
- Vous croyez ! Pourtant je vais le faire ! Une fois de plus vous m'avez désobéi et cette fois, je serais intransigeante ! Pendant une semaine, vous n'aurez plus aucune mission de reconnaissance !

Elle ne voulait pas ce laisser marcher sur les pieds, ne pas paraître faible. Elle avait l'habitude du comportement enfantin et désobéissant du colonel, pourtant jamais, ils ne c'étaient autant disputés. Il la narguait, il la cherchait, et elle était en colère.

- Une semaine ?! Dit-il énerver.
- Je peux en rajoutez deux si vous voulez ! Le chercha t elle à son tour.
Puis sans qu'elle s'y attende, il l'embrassa fougueusement, se qui ébahit les 3 collègues sur la passerelle.
- Mais qu'est ce qui vous prend ?! Lança t elle, se dégageant rapidement des lèvres de Sheppard.
- Puisque vous me punissez, autant mieux que se soit pour une bonne raison !
Ronon, Evan et Rodney ne s'en remettait toujours pas de la vision, qu'ils avaient vu. Mais le scientifique lança.
- Je vous parie 15 dollars qu'elle va le gifler !
- Moi, je vous parie 20 dollars, qu'elle va prolonger sa punition !sourit le major.
- Moi, je vous parie 30 dollars, qu'aucun des deux paries que vous avez dit, ne va se produire ! Sourit à son tour le satédien.
Tous attentèrent le dénouement des trois paries, penchés sur la passerelle.

Au lieu qu'elle le gifle, ou ne prolonge davantage sa punition. Elizabeth attrapa le col de la veste du militaire et l'embrassa passionnément. Il y prit goût et répondu immédiatement. Il l'a fit reculer contre le mur tout en continuant de l'embrasser, puis ils commencèrent à se caresser infiltrant leurs mains sous le t-shirt, de l'un comme de l'autre. Ils débouclèrent leurs ceintures, tout en ouvrant les quartiers de la jeune femme. Et tout deux y rentraient.

- Vous voyez je vous l'avez dit ! Maintenant à moi les 35 dollars ! Sourit l'ex runner.
- Alors que le militaire et le scientifique n'en revenait toujours pas.
Teyla passa sur la passerelle, et vit le petit trafic qu'il y avait entre les trois hommes, elle s'approcha en lançant.
- Que faites-vous ?
- Vous êtes bien curieuse Teyla.
- Ce que veux insinuer notre cher Rodney, c'est que lui et le major Lorne, viennent de perdre leurs paries.
- Et quels étaient ses parie ?!
- Alors que John et Elizabeth était entrain de se disputer, par rapport à la mission d'aujourd'hui, John à embrasser le docteur Weir. Puis Lorne à parié qu'elle lui rallongerait sa punition, et Rodney qu'elle le giflerait. Mais il n'y eu aucun des deux puisqu'en se moment même, ils sont entrain de ...
- De coucher ensembles ! Lança le scientifique, qui vit les yeux ronds de la jeune athosienne.
Il fut sur qu'il y eu les mêmes.

- C'est ... c'est vrai ?
- La pure vérité madame ! Excusez-moi, j'ai mes hommes qui m'attendent.
Le major partit.
- Et vous êtes resté là, à les regarder se disputer en pariant qui des deux chefs de cette citée, coucherait en premier avec l'autre ! Dit elle un peu déçut, du comportement de ses deux amis.
- ...
- Maintenant leurs relations risquent de changer, surtout si ce qu'ils sont entrain de faire à été prit sur un coup de tête. Je connais assez bien Elizabeth, pour savoir qu'elle va s'en vouloir énormément !
Puis elle partit, laissant les deux hommes un peu surprit du comportement de la jeune femme. Ils savaient qu'elle avait un fort caractère, mais jamais elle n'avait réagit de la sorte devant ce genre de situation.

La suite :

Le jour J de l'anniversaire du petit Malo était enfin arrivé. La tension entre Elizabeth et John, était toujours aussi palpable. Toute la journée, la plupart des membres de l'expédition d'atlantis avait passé leur temps, à décorer le mess, ainsi que la passerelle ou se trouvait la porte des étoiles.
Il était 19h18 et aux alentours de 19h30, le petit Malo franchirait le vortex, et pour la première fois de sa vie, il poserait les pieds sur atlantis.
Tout le monde était habillé sur son 31, et l'équipe de Sheppard était déjà près de la porte des étoiles. Ronon portait une chemise d'un bleu foncé et un joli pantalon noir, avec une ceinture en tête de mort. Il avait toujours ses colliers autour de son cou, puis ses bracelets autour de ses poignets, lui donnant un certain charme.

Mckay, quant à lui portait un costume noir avec une chemise marron clair en dessous, et un pantalon noir.

Teyla portait une tenue traditionnelle de son peuple, les cheveux légèrement bouclés, un maquillage léger et naturel, accompagné par quelques bijoux crée par son peuple. Mettant ainsi, son buste et son visage en valeurs. Elle portait une tunique d'un bordeaux en soie et des chaussures à talons.
John avait opter pour une chemise blanche, avec un pantalon noir très classe.

- Vous êtes magnifiques, surtout vous Teyla ! Sourit le satédien.
- Vous aussi Ronon vous êtes très beau !
- Et nous on compte pour du beurre ?! Souligna le scientifique.
- Rodney laissons les amoureux ensembles ! Dit John en se mettant à rire, accompagné de Rodney.
La jeune athosienne sourit à cette remarque, puis cela la soulagea de voir à nouveau, ses amis rigoler, après les évènements qu'ils avaient tous endurés.
Par contre Ronon, le prenait moins bien, il n'aimait pas trop que l'on parle de lui et Teyla ainsi, surtout sur ses sentiments.

- Bon ça suffit ! Sourit Teyla, pour les calmer, alors que le major Lorne s'avançait vers eux.
- Vous êtes magnifique Teyla !
- Merci major, vous n'êtes pas mal non plus.
Rodney regarda autour de lui, quelques membres de l'expédition étaient là, mais il ne trouva pas la personne qu'il recherchait.
- Au faites, où est Elizabeth ?!
- Euh ... apparemment non.
- Je l'ai vu il y a 10 minutes ... elle est vraiment ... vraiment très belle !
- Dîtes moi, vous craquez pour elle ! Dit le scientifique, le sourire aux lèvres.
Teyla s'aperçut de la réaction de John, face à cette remarque, apparemment il n'avait pas aimé.
- Non Dr Mckay, quand vous la verrez vous constaterez bien la même chose que moi.
Alors que le major s'éloignait un peu de la porte des étoiles, le colonel Sheppard activa son oreillette.
- Docteur Weir, ici Sheppard !
- John ! Que puis-je faire pour vous ?
- Ont est tous prêt, et la porte des étoiles ne vas pas tarder à s'activer, alors on se demandait où vous étiez !
- Mais ... je suis là John !
A ses mots, tous se retournèrent, et le militaire fut le premier à la voir.

Tous étaient subjuguer par cette beauté, elle se tenait droite, devant l'escalier qu'elle devait emprunter pour rejoindre son équipe. Elle passa son oreillette à Chuck, alors que ses amis n'en revenait toujours pas de se magnifique trésor, qu'elle dissimulait sous son uniforme.
Elle portait une longue robe d'un rose fuchsia crémeux, qui tombait jusqu'au sol, couvrant les jolies chaussures à talons qu'elle devait porter. La robe était légèrement en volume, alors que le haut était maintenu par un bustier, moulant à la perfection sa poitrine. Elle portait un joli collier en forme d'étoile d'un bleu cristallin qui accentuait ses épaules fines et droites.

Ses cheveux bouclés à la perfection étaient retiré en chignon, mais quelques mèches restaient cependant, sur le côté de son visage. Elle avait de très boucles d'oreilles assortit à son collier, ses yeux était entourés d'un peu de noir et de mascara, une petite couche de poudre lui clarifiait le teint, et la petite touche de rose sur ses lèvres, donnait l'envie irrésistible à John, de les embrasser.
Elle descendit avec délicatesse, les marches, et avant de franchir les dernières de celle ci, le militaire s'approche d'elle le sourire des lèvres, lui proposant son bras.

- Madame !
A son tour Elizabeth sourit, puis tous les deux se rapprochèrent des équipiers de Sheppard, qui ne cessait de la regarder des pieds à la tête, peu habitué à la voir ainsi.
- Elizabeth, vous êtes très en beauté. Dit le scientifique.
- Ouais ! Répondit Ronon.
- Vous êtes splendide et votre robe est magnifique !
- Merci Teyla, merci à vous tous. Et je vous retourne à tous le compliment !
- A mes yeux, vous êtes aussi belle qu'un coucher de soleil ! Murmura le militaire à l'oreille de la jeune femme, puis lui fit un baise main.

Ses douces paroles la déstabilisa, mais elle n’eut pas le temps de s'attarder dessus, puisque les chevrons de la porte des anciens, s'activaient un par un par chevrons. La flaque bleutée s'ouvrit et il fallut attendre quelque secondes, avant qu'un groupe de 10 athosiens apparaisse.

Le petit garçon ce tenait au milieu, tenant une de mains d'une athosienne. Il fit tout de suite émerveillé parce qu'il voyait autour de lui, cet endroit était magique pour lui. Puis un couple d'athosiens se rapprochèrent du docteur Weir.

- Elizabeth je vous présente Marvin et Azia, c'est le couple qui à prit sous son aile le petit Malo. Mes amis je vous présente le docteur Elizabeth Weir ! Lança Teyla.
Elizabeth fit une poignée de main aux jeunes couples, sous le regard heureux du colonel, qui était resté à ses côtés, tandis que le reste de son équipe c'était légèrement décalé.
- C'est un honneur de vous rencontrez docteur Weir ! Lança Marvin.
- L'honneur est réciproque. Je suis heureuse que vous ayez accepté cette invitation !
- Et nous nous sommes enchantez que vous ayez organisez cette soirée, pour Malo.
- Vous savez, c'est toujours un honneur, de pouvoir passer des moments comme cela avec vous. Nous avons beaucoup de chose à partager avec votre peuple ! Avoua John en souriant tout en regardant Teyla, qui baissa la tête pour lui remercier.
- Merci beaucoup docteur Weir ...
- Je vous en prie, appelez-moi Elizabeth ! Dit-elle en souriant, tandis que le couple s’inclina.
- Allez viens, je vais te présenter quelqu'un ! Dit Teyla qui se rapprochait des deux chefs de la base.

La leader vit le petit garçon, plutôt timide se rapprocher vers elle, alors à son tour elle s'approcha.
Elle fut surprise de le voir si pâle et si fatiguer, mais elle ravala son effroi.

une petite suite :


- Bonsoir toi ! Dit-elle en s'inclinant légèrement devant le petit athosien, pour mieux être à sa hauteur, et voir son visage.
- Bonsoir.
- Je m'appelle Elizabeth Weir, mais tu peux m'appeler Elizabeth. Je suis la dirigeante de cette très belle citée, que tu peux voir. On ma dit que tu voulais visiter cet endroit, et me rencontrer !

Tous purent constater que le visage de Malo, qui avait semblé plutôt timide au début, rayonna de joie et paraissait plus à l'aise.

- Moi je m'appelle Malo, et je suis très content de venir enfin ici, et de pouvoir te rencontrer !
- Je le suis également. Avant de t'emmener au mess, là ou se déroule la soirée, est c que ça te plairait si je te faisais visiter les parties les plus importantes d'atlantis ?
- Oh oui ! S'exclama le petit garçon.
- Malo, calme-toi s'il te plait ! Dit Marvin.
- Ce n'est qu'un enfant, ne vous inquiétez pas ! ... Sinon, voulez vous nous accompagner pendant cette visite ?! Demanda Elizabeth.
- En faites Teyla, nous avons proposé de nous faire goûter vos cultures culinaires, et présentez à votre peuple mais ...
- Allez-y alors ! Teyla sera parfaitement bien vous guider !
- Oui nous le pensons, mais pour Malo, il ne faut que cela vous dérange !
- Mais pas du tout, je vais bien m'occuper de votre enfant.
- Dans ce cas nous avons confiance !
- Marvin, Azia venez avec moi, je vais vous montrez le mess !

L'athosienne commença à partir avec les 10 personnes de son peuple, suivit de Ronon et de Rodney.
- Je vous accompagne ! Avoua le colonel Sheppard, qui voulait passer du temps avec la leader.
Il ne pouvait s'empêcher de la trouver magnifique, elle incarnait la beauté à l'état brute. Elle était vraiment belle, l'une des plus belles fleurs qu'il rêvait de voir s'épanouir. Il était tout simplement entrain de tomer amoureux.

- Je suis content d'être avec vous ! Lança Malo, en désignant Sheppard et Weir.
- Et moi, je suis très content de te revoir ! Sourit John.
- Viens je vais te présenter la salle des contrôles.

Elle commença à marcher, et Malo se rapprocha de la jeune femme, il était subjugué par la robe de celle ci, et de la beauté que dégager cette jeune diplomate.
John qui lui aussi c'était rapproché de la jeune femme, vit le petit garçon contempler la leader et sourit.
Après avoir visités le bureau de la dirigeante, le laboratoire du scientifique, l'infirmerie ainsi que les quartiers du personnel. Tous les trois s'apprêtèrent à rejoindre le mess.

- John ?!
- Oui Malo !
- Tu fais l'avion ?
- Oh ... mais avec plaisirs.
Comme si il avait été une plume, le colonel attrapa le petit garçon le plus délicatement possible, et le mit sur ses épaules. Une fois bien installé, le militaire imita le bruit de l'avion et commença à courir dans les couloirs, tout en allant au rythme du docteur Weir.

Elle ne pouvait pas s'empêcher de sourire, elle les trouvait si craquant tous les deux, et ses pensées divaguèrent un peu plus loin que prévu. Se demandant se que John pouvait bien penser d'elle sur le plan personnelle, puis elle s'imagina parents avec lui.

- Oh ... attention capitaine Malo, nous avons deux intrus dans notre radar, nous devons les semer !
En effet, dans le couloir qui permettait de rejoindre la passerelle, il y avait deux gardes qui faisaient leurs rondes. Ils avaient un visage un peu surprit devant l'attitude du colonel, Elizabeth leur dit bonsoir et continuèrent leurs tours.
- Capitaine Malo, nous sommes enfin arrivé à destination, veuillez descendre doucement et accompagner la belle demoiselle en rose, en face de vous ! Dit John qui fit rigoler le petit athosien et finit par rejoindre le sol.
Il s'approcha d'Elizabeth, qui avait prit des couleurs légèrement rosies, par la réflexion du colonel, puis doucement il tendit la main, pour enlacer la sienne à celle de la jeune femme. Avec un magnifique sourire, elle lui prit la main en lui disant.
- Tu es prêt ?!
- Oui !
John vint à côté d'elle, en lui proposant comme un vrai gentleman, son bras, qu'elle accepta avec plaisirs.

La soirée avait commencée depuis quelques heures, et tout le monde s'amusait, en profitant de ce moment de fête, qui était tellement rare en cette période de guerre.
Le petit Malo n'avait pas cessé de se coller au docteur Weir, qui c'était énormément attaché à lui, d'ailleurs un peu trop.
Car elle savait quelles en serait les conséquences, quand le jeune athosien viendrait à les quitter à jamais. L'équipe de Sheppard c'était réunit autour d'une même table, le petit garçon c'était retrouvé sur les genoux de la diplomate, fasciné par le collier qu'elle portait. John ne pouvait s'empêcher de l'admirer, il la trouvait vraiment belle, et elle avait elle aussi un don pour être avec les enfants.

La musique défilait, puis un slow se fit entendre, au plus grand bonheur de certains.
Elizabeth parlait avec ses amis, jetant de temps en temps des coups d'œil au couples sur la piste de danse, elle les enviait, se demandant se qui se passerait si Mike Brenton, avait été convié à cette soirée. Puis elle vit Sheppard s'approcher d'elle, il avait remarqué son regard, focalisé sur la piste de danse.

- Elizabeth, accepteriez vous cette danse avec moi ?!
Elle hésita un moment, se demandant si cela était une bonne idée, mais devant son regard, elle ne pu se résilier.
- Oui ... avec plaisirs !
- Malo je suis désolé, mais je vais devoir t'emprunterez cette jolie demoiselle !

Elle se leva, après avoir reçut un joli petit bisou sur la joue, de la part du petit garçon. Puis elle accepta le bras du colonel et ce laissa guider par celui ci, sur la piste de danse. Là ou déjà des couples dansaient amoureusement.
Il s'arrêta, se positionna en face d'elle, posant sa main gauche dans le creux de ses reins, et sa main droite enlaça la main de sa partenaire. Alors qu'Élisabeth, avait sa main libre sur l'épaule musclé de John, et doucement il commença à danser.
Ils n'osaient pas trop se rapprocher, de peur de voir réagir l'autre, et de le mettre dans l'embarras une fois de plus.

- Je me répète peut être, mais ce soir vous êtes éblouissante !
- Merci John ! Vous aussi vous êtes très beau.
Il ne savait comment aborder le sujet, la seule chose qu'il savait, c'était qu'ils devaient parler.
- Je ... je ne me suis pas encore excusé, pour ce qui c'est passé il y a deux jours, ... on nous avons ... coucher ensemble.

Il l'a sentit se raidir contre lui, il savait qu'en cette soirée, c'était un sujet qu'elle aurait aimé ne pas évoquer. Mais cela faisait déjà deux jours qui c'étaient écoulés, et depuis elle l'avait évité. Soit prétextant qu'elle n'avait pas le temps, ou soit elle essayait de ne pas le croiser.

- John ... ce n'est pas le moment approprié pour parler de se genre de chose ! Dit-elle, en évitant de croiser son regard.
- Je voulais savoir si vous preniez la ... enfin si il y a avait des chances que vous tombiez enceinte, car si c'était le cas, je voulais vous dire que j'assumerais mon rôle, que je serais là pour vous !
Elle le regarda, un peu surprise qu'il est pensé à se genre d'événement, à croire qu'il tenait vraiment à elle.
- Je prends des contraceptifs, ... vous n'avez pas à vous inquiétez pour cela ! Maintenant on parle d'autre chose si vous voulez bien.

La musique se fit plus calme, plus lente, alors que le militaire tenta une approche pour ne pas la perdre, pour pouvoir se rapprocher d'elle de nouveau. Avec sa main dans le creux de ses reins, elle sentit une pression, qui la colla contre le corps de l'homme, puis il avança délicatement sa tête, de sa partenaire. Puis n'écoutant que son cœur, elle mit sa tête sur son épaule.
Il pouvait sentir son souffle chaud contre son cou, et cela l'électrisa. Il sentait bon et sentir son corps chaud contre elle, la fit tourner la tête.

Alors que la tension montait d'un cran entre les deux chefs de la citée, Malo vint les interrompre en se mettant entre eux.
- Moi aussi je veux danser ! Sourit il, se qui firent le colonel et la diplomate.
Elle le prit tendrement dans ses bras, John ce rapprocha d'elle, l'enlaçant du mieux qu'il pouvait, et tous les trois dansèrent sous le regard joyeux des membres de l'expédition.
Les heures avaient défilé et le petit athosien avait soufflé ses bougies, tout en recevant des cadeaux de certaines personnes.