A en devenir fou ...
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Fanfictions Stargate Atlantis :: Fanfictions Stargate Atlantis :: Sur les Ship :: Sur John/Elizabeth
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A en devenir fou ...
A en devenir fou…
Auteur : elisabeth-sheppard
e-mail : vesuvio1988@hotmail.com
catégorie : romance schweir, un peu d’aventure et une pointe de drame.
Disclaimers : pas à moi, pas de sous,… vous connaissez la chanson !
P5X-347, au milieu de la matinée
J : Très bien, cette planète à l’air plutôt calme, on va faire un tour aux alentours. Mackay vous partez faire vos relevés et Teyla vous l’accompagnez et le surveillez bien pour qu’il ne fasse pas de bêtises.
R (vexé) : ca veut dire quoi ça ?
J : rien de plus que ce que j’ai dit, dès que vous êtes tout seul vous vous mettez dans le pétrin alors j’envoie Teyla avec vous pour nous éviter des ennuis.
R : je ne me met jamais dans le pétrin pour votre gouverne je suis juste curieux.
J : non
R : si
J : non , Mackay la ferme.
Ro : messieurs on pourrait peut être y aller.
Et l’équipe partit explorer la planète, Teyla surveillait Rodney, John et Ronon inspectaient les alentours. John se rafraîchissait à la rivière quand il entendit le bruit de croiseurs wraiths qui se rapprochaient.
J (par radio) : les wraiths débarquent on se tire et vite.
Toute l’équipe se replia vers la porte mais Mackay était resté à la traîne.
J : Mackay dépêchez-vous !
Rodney se retourna pour regarder derrière lui et trébucha.
Sur Atlantis
Grodin : Docteur Weir c’est le code d’urgence de Teyla, ils sont attaqués !
E (inquiète) : ouvrez l’iris ! ( en pensées : mon Dieu faites qu’il ne leur soit rien arrivé).
En fait, elle était surtout inquiète pour John, elle serait effondrée si elle perdait un des membres de SGA-1 mais John c’était différent, elle ne pouvait pas vivre sans lui, elle venait de le comprendre.
A ce moment là Teyla et Ronon traversèrent l’iris en courant et se tournèrent pour voir passer Rodney et le colonel. Elisabeth commençait a paniquer, les minutes passaient et John ne revenait pas, quand soudain deux formes entremêlées traversèrent l’iris en même temps.
E : une équipe médicale, vite !!
Elle n’osait pas s’approcher, elle voyait du sang sur le sol mais ne savait pas si c’était celui de John ou de Rodney. Carson arriva et vérifia l’état de ses blessés. Elisabeth eut juste le temps d’entendre qui Carson qui disait « il fait un arrêt cardiaque ». A ces mots tout son sang se glaça et elle se précipita à l’infirmerie.
Elle arriva quelques minutes plus tard et retrouva Teyla et Ronon devant la porte. Ils attendaient comme elle des nouvelles des deux blessés.
3 heures plus tard
ils étaient tous les trois en train d’attendre : Ronon tournait comme un lion en cage, Teyla tentait de se calmer en méditant et Elizabeth était assise par terre les genoux repliés contre sa poitrine la tête posée dessus, elle était terriblement inquiète. Elle ne supporterait pas de perdre John. Carson arriva à ce moment la, le visage épuisé,e ne tenue de chirurgien. Son air n’annonçait pas de bonnes nouvelles.
E : Ca… Carson… comment vont-ils ?
A ces mots, le visage du docteur se ferma un peu plus.
C : je n’ai pas de bonnes nouvelles. ( il prit une grande inspiration). John était gravement blessé il est dans le coma et Rodney…. Rodney est mort.
Les 3 amis n’en revenaient pas, cela n’était pas possible il avaient perdu l’un de leurs meilleurs amis, et l’autre risquait de mourir lui aussi.
C (désolé) : je suis navré, j’ai fait tout ce qui était humainement possible pour les sauver, j’ai échoué, tout est de ma faute.
A ces mots, Elisabeth releva la tête qu’elle avait baissé en entendant l’horrible nouvelle et dit à Carson avec un regard douloureux : « ce n’est pas votre faute, vous avez tout fait pour les sauver. Je… je peux voir John ? »
C : oui allez y mais il est dans le coma.
Elisabeth entra dans l’infirmerie et s’approcha du lit de John. Ce qu’elle vit l’horrifia, il était très pale et de grandes cernes bordaient ses yeux. Elle s’approche et lui pris la main : il était froid. Si elle n’entendait pas le bip régulier du moniteur elle croirait qu’il était mort. Elle prit une chaise et s’installa près de lui.
E ( murmurant) : allez John, il faut vous réveiller, on a besoin de vous ici ! ( après une pause). J’ai besoin de toi, ne me laisse pas seule, je ne peux pas vivre sans toi.
Une larme roula sur sa joue, elle l’essuya rageusement, elle ne pouvait pas se permettre de craquer, elle devait être forte pour la cité et surtout pour lui. Teyla entra et posa une main sur son épaule. La jeune femme se retourna et vit que l’athosienne avait pleuré.
T ( a voix basse) : Elizabeth, je sais ce que vous traversez en ce moment, j’ai aussi perdu l’homme que j’aimais…
Elizabeth n’eut même pas la force de contredire son amie.
E : il n’est pas encore mort…
T : je sais et il faut garder espoir. Je voudrais vous permettre de vous consacrez à lui, si vous le désirez je peux m’occuper d’organiser les funérailles du Docteur Mackay et je peux demander à Caldwell de commander la cité provisoirement.
E ( reconnaissante) : merci Teyla, je vous suis très reconnaissante de vous occuper des funérailles de Rodney mais je vais garder mon poste cela me changera les idées.
T : pensez quand même à vous reposez Elizabeth.
Elle sortit en silence de l’infirmerie laissant Elisabeth seule au chevet de John.
Cela dura une semaine, une semaine pendant laquelle, la jeune femme n’avait quasiment pas quitté le chevet de John, une semaine qu’elle repoussait les propositions de ses amis pour le remplacer auprès de lui. Elle lui parlait, le suppliait de revenir.
John de la où il était pouvait entendre une voix familière, une voix qui l’incitait à revenir et il se battait pour elle, pour revoir ses yeux, son sourire, Elle.
Un matin, alors qu’Elizabeth s’était une fois de plus endormie sur l’épaule de John, celui-ci se réveilla et sentit tout de suite un poids sur lui, il reconnut immédiatement le parfum du docteur et lui caressa tendrement les cheveux pour qu’elle se réveille. Elle se réveilla doucement releva la tête et tomba sur le regard bienveillant de John sur elle, trop surprise elle ne put retenir une larme de soulagement.
J : hey, faut pas pleurer, surtout pas pour moi ! je préfère largement voir votre sourire.
E ( soulagée) : ne me refaites plus jamais une peur pareille vous entendez, si vous mourrez je vous tue !
J ( riant doucement) : a vos ordres chef !
Il caressa doucement le visage et essuya une larme qui avait coulé, soudain, les souvenirs affluèrent : « Rodney ? » demanda-t-il anxieux.
Elizabeth s’assombrit et murmura : je suis désolée John, il est… vous avez fait tout ce que vous pouviez.
En entendant cela, John eut un choc, il repoussa la jeune femme et se retourna face au mur de l’infirmerie. Teyla arriva à ce moment là.
T : comment va-t-il ?
E : mal, de qu’il a su pour Rodney il s’est renfermé et m’a repoussé ( elle soupira).
T : ne vous en faite pas, il lui faut le temps pour faire son deuil. Il reviendra vers vous, parce qu’il a besoin de vous pour continuer à vivre. Je peux le sentir, quand ça sera le moment, il se raccrochera a vous et il vous faudra le soutenir.
E : je serai là
Elizabeth sortit de l’infirmerie mais marqua une pause et se retourna : Teyla ? ( la jeune femme releva la tête). Merci pour tout.
T (souriant) ; de rien Elizabeth, les amies c’est fait pour ça, si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous n’hésitez pas.
Puis a John : je sais que vous avez mal John mais il faut que vous exprimiez cette tristesse et cette colère ou vous ne vivrez jamais en paix. Et vous le méritez et elle aussi.
Le lendemain eurent lieu les funérailles du scientifique, tout le monde était là non seulement ses amis mais aussi tout le reste de la base car malgré ses sautes d’humeur Rodney était très apprécié.
Chaque ami proche fit un discours très émouvant : Elizabeth fit l’éloge de son intelligence et Teyla apporta du baume au cœur à tout le monde en parlant des disputes des deux meilleures amis : John et Rodney. Zelencka était très affecté par la perte de son ami, malgré leur concurrtence scientifique, ces deux là étaient de vrais amis toujours prêt a se soutenir.
Pendant toute la durée de la cérémonie devant la porte, John resta en retrait, il n’avait pas pleuré c’est ce qui inquiétait Elizabeth car elle savait que d’une façon ou d’une autre, John allait craqué, elle avait bien essayé de lui prendre la main pendant le discours de Teyla mais encore une fois il l’avait repoussé et était parti s’enfermé dans la salle d’entraînement.
Auteur : elisabeth-sheppard
e-mail : vesuvio1988@hotmail.com
catégorie : romance schweir, un peu d’aventure et une pointe de drame.
Disclaimers : pas à moi, pas de sous,… vous connaissez la chanson !
P5X-347, au milieu de la matinée
J : Très bien, cette planète à l’air plutôt calme, on va faire un tour aux alentours. Mackay vous partez faire vos relevés et Teyla vous l’accompagnez et le surveillez bien pour qu’il ne fasse pas de bêtises.
R (vexé) : ca veut dire quoi ça ?
J : rien de plus que ce que j’ai dit, dès que vous êtes tout seul vous vous mettez dans le pétrin alors j’envoie Teyla avec vous pour nous éviter des ennuis.
R : je ne me met jamais dans le pétrin pour votre gouverne je suis juste curieux.
J : non
R : si
J : non , Mackay la ferme.
Ro : messieurs on pourrait peut être y aller.
Et l’équipe partit explorer la planète, Teyla surveillait Rodney, John et Ronon inspectaient les alentours. John se rafraîchissait à la rivière quand il entendit le bruit de croiseurs wraiths qui se rapprochaient.
J (par radio) : les wraiths débarquent on se tire et vite.
Toute l’équipe se replia vers la porte mais Mackay était resté à la traîne.
J : Mackay dépêchez-vous !
Rodney se retourna pour regarder derrière lui et trébucha.
Sur Atlantis
Grodin : Docteur Weir c’est le code d’urgence de Teyla, ils sont attaqués !
E (inquiète) : ouvrez l’iris ! ( en pensées : mon Dieu faites qu’il ne leur soit rien arrivé).
En fait, elle était surtout inquiète pour John, elle serait effondrée si elle perdait un des membres de SGA-1 mais John c’était différent, elle ne pouvait pas vivre sans lui, elle venait de le comprendre.
A ce moment là Teyla et Ronon traversèrent l’iris en courant et se tournèrent pour voir passer Rodney et le colonel. Elisabeth commençait a paniquer, les minutes passaient et John ne revenait pas, quand soudain deux formes entremêlées traversèrent l’iris en même temps.
E : une équipe médicale, vite !!
Elle n’osait pas s’approcher, elle voyait du sang sur le sol mais ne savait pas si c’était celui de John ou de Rodney. Carson arriva et vérifia l’état de ses blessés. Elisabeth eut juste le temps d’entendre qui Carson qui disait « il fait un arrêt cardiaque ». A ces mots tout son sang se glaça et elle se précipita à l’infirmerie.
Elle arriva quelques minutes plus tard et retrouva Teyla et Ronon devant la porte. Ils attendaient comme elle des nouvelles des deux blessés.
3 heures plus tard
ils étaient tous les trois en train d’attendre : Ronon tournait comme un lion en cage, Teyla tentait de se calmer en méditant et Elizabeth était assise par terre les genoux repliés contre sa poitrine la tête posée dessus, elle était terriblement inquiète. Elle ne supporterait pas de perdre John. Carson arriva à ce moment la, le visage épuisé,e ne tenue de chirurgien. Son air n’annonçait pas de bonnes nouvelles.
E : Ca… Carson… comment vont-ils ?
A ces mots, le visage du docteur se ferma un peu plus.
C : je n’ai pas de bonnes nouvelles. ( il prit une grande inspiration). John était gravement blessé il est dans le coma et Rodney…. Rodney est mort.
Les 3 amis n’en revenaient pas, cela n’était pas possible il avaient perdu l’un de leurs meilleurs amis, et l’autre risquait de mourir lui aussi.
C (désolé) : je suis navré, j’ai fait tout ce qui était humainement possible pour les sauver, j’ai échoué, tout est de ma faute.
A ces mots, Elisabeth releva la tête qu’elle avait baissé en entendant l’horrible nouvelle et dit à Carson avec un regard douloureux : « ce n’est pas votre faute, vous avez tout fait pour les sauver. Je… je peux voir John ? »
C : oui allez y mais il est dans le coma.
Elisabeth entra dans l’infirmerie et s’approcha du lit de John. Ce qu’elle vit l’horrifia, il était très pale et de grandes cernes bordaient ses yeux. Elle s’approche et lui pris la main : il était froid. Si elle n’entendait pas le bip régulier du moniteur elle croirait qu’il était mort. Elle prit une chaise et s’installa près de lui.
E ( murmurant) : allez John, il faut vous réveiller, on a besoin de vous ici ! ( après une pause). J’ai besoin de toi, ne me laisse pas seule, je ne peux pas vivre sans toi.
Une larme roula sur sa joue, elle l’essuya rageusement, elle ne pouvait pas se permettre de craquer, elle devait être forte pour la cité et surtout pour lui. Teyla entra et posa une main sur son épaule. La jeune femme se retourna et vit que l’athosienne avait pleuré.
T ( a voix basse) : Elizabeth, je sais ce que vous traversez en ce moment, j’ai aussi perdu l’homme que j’aimais…
Elizabeth n’eut même pas la force de contredire son amie.
E : il n’est pas encore mort…
T : je sais et il faut garder espoir. Je voudrais vous permettre de vous consacrez à lui, si vous le désirez je peux m’occuper d’organiser les funérailles du Docteur Mackay et je peux demander à Caldwell de commander la cité provisoirement.
E ( reconnaissante) : merci Teyla, je vous suis très reconnaissante de vous occuper des funérailles de Rodney mais je vais garder mon poste cela me changera les idées.
T : pensez quand même à vous reposez Elizabeth.
Elle sortit en silence de l’infirmerie laissant Elisabeth seule au chevet de John.
Cela dura une semaine, une semaine pendant laquelle, la jeune femme n’avait quasiment pas quitté le chevet de John, une semaine qu’elle repoussait les propositions de ses amis pour le remplacer auprès de lui. Elle lui parlait, le suppliait de revenir.
John de la où il était pouvait entendre une voix familière, une voix qui l’incitait à revenir et il se battait pour elle, pour revoir ses yeux, son sourire, Elle.
Un matin, alors qu’Elizabeth s’était une fois de plus endormie sur l’épaule de John, celui-ci se réveilla et sentit tout de suite un poids sur lui, il reconnut immédiatement le parfum du docteur et lui caressa tendrement les cheveux pour qu’elle se réveille. Elle se réveilla doucement releva la tête et tomba sur le regard bienveillant de John sur elle, trop surprise elle ne put retenir une larme de soulagement.
J : hey, faut pas pleurer, surtout pas pour moi ! je préfère largement voir votre sourire.
E ( soulagée) : ne me refaites plus jamais une peur pareille vous entendez, si vous mourrez je vous tue !
J ( riant doucement) : a vos ordres chef !
Il caressa doucement le visage et essuya une larme qui avait coulé, soudain, les souvenirs affluèrent : « Rodney ? » demanda-t-il anxieux.
Elizabeth s’assombrit et murmura : je suis désolée John, il est… vous avez fait tout ce que vous pouviez.
En entendant cela, John eut un choc, il repoussa la jeune femme et se retourna face au mur de l’infirmerie. Teyla arriva à ce moment là.
T : comment va-t-il ?
E : mal, de qu’il a su pour Rodney il s’est renfermé et m’a repoussé ( elle soupira).
T : ne vous en faite pas, il lui faut le temps pour faire son deuil. Il reviendra vers vous, parce qu’il a besoin de vous pour continuer à vivre. Je peux le sentir, quand ça sera le moment, il se raccrochera a vous et il vous faudra le soutenir.
E : je serai là
Elizabeth sortit de l’infirmerie mais marqua une pause et se retourna : Teyla ? ( la jeune femme releva la tête). Merci pour tout.
T (souriant) ; de rien Elizabeth, les amies c’est fait pour ça, si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous n’hésitez pas.
Puis a John : je sais que vous avez mal John mais il faut que vous exprimiez cette tristesse et cette colère ou vous ne vivrez jamais en paix. Et vous le méritez et elle aussi.
Le lendemain eurent lieu les funérailles du scientifique, tout le monde était là non seulement ses amis mais aussi tout le reste de la base car malgré ses sautes d’humeur Rodney était très apprécié.
Chaque ami proche fit un discours très émouvant : Elizabeth fit l’éloge de son intelligence et Teyla apporta du baume au cœur à tout le monde en parlant des disputes des deux meilleures amis : John et Rodney. Zelencka était très affecté par la perte de son ami, malgré leur concurrtence scientifique, ces deux là étaient de vrais amis toujours prêt a se soutenir.
Pendant toute la durée de la cérémonie devant la porte, John resta en retrait, il n’avait pas pleuré c’est ce qui inquiétait Elizabeth car elle savait que d’une façon ou d’une autre, John allait craqué, elle avait bien essayé de lui prendre la main pendant le discours de Teyla mais encore une fois il l’avait repoussé et était parti s’enfermé dans la salle d’entraînement.
elisabeth-sheppard- Nombre de messages : 9
Date d'inscription : 16/02/2006
Re: A en devenir fou ...
1 h 30 après la cérémonie
Ronon cherche le colonel Sheppard depuis un bon moment quand il le trouva dans la salle d’entraînement en train de frapper durement contre un sac de sable. Il était en sueur, ses poings étaient en sang mais il ne s’arrêtait pas et frapper de plus en plus fort pour évacuer sa rage.
Ro : ce n’est pas la solution Sheppard.
J (essouflé) : je ne crois pas vous avoir demandé votre avis, sur ce veuillez m’excuser j’ai du travail.
John allait sortir de la salle quand Ronon l’interpella : vous croyez être le seul à souffrir, si c’est le cas vous êtes un égoïste. (voyant qu’il ne réagissait pas). Bon sang Sheppard vous ne voyez pas que tout le monde souffre de l’absence de du docteur Mackay et pourtant tout le monde est autour de vous pour vous aider. A commencer par Teyla et Elisabeth. Teyla est forte et capable de surmonter votre semblant d’indifférence mais ce n’est pas le cas du docteur Weir. Elle vous a veillé jour et nuit pendant votre coma, cela fait une semaine qu’elle ne vit plus, suspendue à la moindre de vos réactions et vous qu’est ce que vous faites : vous la repoussez et elle souffre mais encore une fois ne le montre pas pour être forte, pour vous ! vous n’êtes qu’un égoïste !
A ces mots, John sortit de la salle. Ronon espérait que l’électrochoc était suffisant.
Mais, il ne le fut pas pendant trois mois, le colonel s’enfonçait de plus en plus dans la dépression, il s’en voulait car il pensait que c’était sa faute si son ami avait été tué. Il ne la faisait pas exprès mais repoussait toute personne qui essayait de l’aider à commence par Elisabeth qui ne savait plus comment le prendre. Il avait considérablement maigri et de grandes cernes violettes ne quittaient plus le dessous de ses yeux. En effet, il ne dormait plus, depuis cette fameuse mission, il refaisait sans cesse le même cauchemar revivant sans cesse le même scène.
Ce soir la ne fit pas exception à la règle. Elisabeth allait se coucher quand elle entendit des cris provenant des quartiers de John. Son sang ne fit qu’un tour et elle se précipita dans ses quartiers. Ce qu’elle y découvrit l’horrifia : John était complètement paniqué, il transpirait et s’agitait quand un cri plus fort que les autres la fit réagir. Elle se précipita sur lui pour le réveiller.
E : John… John réveillez vous cela n’est qu’un cauchemar ! John !
Soudain il se réveilla en sursaut, les yeux grands ouverts pleins de stupeur. Quand il vit Elisabeth il se leva précipitamment et se dirigea vers la salle de bain. Résignée, Elizabeth allait partir quand John s’effondra, paniquée elle appela Carson et se précipita sur lui.
J ( faible) : c’est… c’est de ma faute…. Pardonnes moi. Il sombra alors dans l’inconscience.
2h plus tard, infirmerie
E ( inquiète en voyant revenir Carson) : comment va-t-il ?
C : je ne vous le cacherai pas Elisabeth, il va mal. Il souffre de déshydratation, de sous alimentation mais le plus grave c’est la profonde dépression dans laquelle il semble s’être enfermé.
E : qu’est ce que je peux faire ?
C : il faut être patiente, vous l’aidez suffisamment comme cela.
Ils entendirent du bruit dans la salle où se trouvait John, ils se précipitèrent dans la chambre et le trouvèrent en train de saccager l’infirmerie.
C : mon dieu il devient fou !
Elisabeth assistait impuissante à ma scène, deux infirmiers ceinturèrent John et Carson lui injecta un tranquillisant ce qui l’assomma aussitôt.
C : il va falloir que je le mette en isolement pour éviter qu’il se blesse ou ne blesse quelqu’un.
E ( encore sous le choc) : faites le !
A partir de ce moment la situation empira, John perdait totalement la tête et ne laissait personne l’approcher. Caldwell mis au courant de la situation demanda à parler au Docteur Weir.
Caldwell : entrez Elizabeth !
E: merci, vous vouliez me voir?
Cal : oui Elizabeth écoutez, John n’est pas en état de reprendre ses fonctions de chef militaire, je me propose donc de le remplacer…
E( en colère) : vous ne perdez pas de temps vous, cela fait deux jours que vous êtes au courant de la situation et vous vous déjà le remplacer.
Cal : écoutez , je sais que vous tenez énormément à lui ( Elizabeth rougit) mais la cité doit continuer a tourner et cela n’est pour l’instant que provisoire.
E : ok mais comme vous le dites si bien c’est provisoire. Excusez moi colonel je dois me rendre à l’infirmerie.
Elle venait, en effet de recevoir un appel radio du docteur Beckett qui la priait de se rendre rapidement à l’infirmerie. Elle arriva, essoufflée et fut accueillit par un Carson Beckett affolé.
C : Elizabeth, c’est grave John fait une crise de démence.
Le Docteur Weir se précipita vers la vitre où elle aperçut John. Il semblait avoir perdu toute la lucidité qu’il lui restait : il se jetait contre les murs et hurlait des choses incompréhensibles. Ce qui effraya le plus Elizabeth, c’est son regard, ce n’était plus le regard, chaud, tendre et charmeur qu’elle connaissait, ce n’était même plus un regard humain.
E ( les larmes aux yeux) : oh mon Dieu. Elle sursauta lorsque le colonel Sheppard s’écroula et hurla son prénom. Laissez moi rentrer Carson.
C : Elizabeth ce n’est pas une bonne idée, il pourrait vous blesser.
E (avec un regard suppliant) : je vous en prie Carson, il a besoin de moi !
C (cédant) : D’accord mais je tiens à ce que Teyla et Ronon soient là, au cas ou.
Cinq minutes plus tard, Elizabeth entrait dans la salle, les autres l’observaient, au moindre mouvements agressif de la part du colonel ils interviendraient. En la voyant, John eut un mouvement de recul et se recroquevilla dans un coin. La jeune femme s’approcha de lui avec une certaine appréhension, elle s’assit en face de lui et lui parla doucement.
E : John, c’est moi… Elisabeth. Souvenez-vous : Atlantis, la mission d’exploration.
Au son de sa voix, John tiqua, elle lui était familière, il savait qu’il aimait cette voix, il sentait qu’il pouvait lui faire confiance. Malgré tout, il se tordait nerveusement les mains jusqu’à Elisabeth les attrape entre les siennes pour le calmer.
E ( d’une voix douce) : ca va aller, tout va bien John, je ne ferai aucun mal. Vous le savez ça, je ne vous ferai jamais de mal je veux vous aider ….
Elle s’interrompit quand elle s’aperçut que John avait attrapé ses mains et les observait minutieusement. Elle le laissa faire. Il était fasciné par ses mains, il les caressait, les respirait, elles étaient douces, chaudes. Ce qu’il fit ensuite aucune des personnes présentes n’en revenaient, il posa sa joue contre la paume d’Elizabeth et ferma les yeux. Il avait confiance en elle.
Elisabeth émue, profita de cette confiance pour attraper son visage entre ses mains et le força à la regarder. Elle plongea profondément ses yeux dans les siens. Son regard au début apeuré et perdu changea rapidement, sans qu’aucun mot ne soit échangé. Il se leva brusquement et Elisabeth sursauta. Ronon voulut intervenir mais Teyla l’arrêta, John ne lui ferait aucun mal ; elle le savait.
Il passa derrière Elizabeth et celle ci se retourna, il s’arrêta au centre de la pièce tomba à genoux. Il regardait la jeune femme et ses yeux se remplirent de larmes, il pleurait, pour la première fois depuis des mois, John pleurait la mort de son meilleur ami.
Elisabeth s’approcha de lui et s’agenouilla en face de lui, elle le prit contre elle, l’entourant de ses bras, il put enfin se libérer, ses sanglots les secouaient tous les deux et Elizabeth le serrait fort pour le soutenir. Il avait passé ses bras autour d’elle et son visage était enfoui contre sa poitrine, dernière marque de pudeur.
Derrière la vitre, les 3 amis étaient soulagés : John était sauvé. Il irait mieux. C’était le début du chemin de la guérison qui serait long et difficile, mais il s’en sortirait parce que John était un homme fort et qu’il avait Elizabeth pour le soutenir. Il sortirent tous les trois dela pièce pour laisser au couple un peu d’intimité.
Elizabeth quant à elle était soulagée, elle pleurait elle aussi mais de soulagement, l’homme qu’elle aimait s’en sortirait. Elle ne était sûre maintenant.
Une demi-heure plus tard, ils étaient toujours dans les bras l’un de l’autre, John n’avait pas lâché la jeune femme de peur qu’elle ne le quitte, il avait arrêté de pleuré mais la serrait toujours aussi fort. Elle le tenait fermement, et lui caressait le dos et les cheveux pour lui montrer qu’elle était là pour lui, toujours.
Elle activa sa radio : Carson, ici Elizabeth, je voudrais ramener John à ses quartiers, il a besoin de se reposer.
Elle raccompagna, John à ses quartiers et le coucha, comme un enfant qui a peur d’être seul, John lui attrapa la main pour qu’elle reste. Elle n’hésita pas, elle se fichait des rumeurs qui se propageraient rapidement, John avait besoin d’elle et c’est tout ce qui importait. Elle se coucha, alors à coté de lui et le prit dans ses bras, installé confortablement John prit la parole pour la première fois depuis des semaines.
J (enroué) : c’était de ma faute…
E ( surprise) : Non John, vous avez fait tout ce que vous avez pu pour le sauver. Vous l’avez ramené sur Atlantis et je suis sûr que de là où il est Rodney vous est reconnaissant pour cela.
J( plus agité) : Non Elizabeth, vous ne comprenez pas, je n’aurais jamais dû le laisser en arrière, je…
Elizabeth le caressa pour l’apaiser : chut, ce n’est pas votre faute…
J : je n’ai pas fait assez attention, on ne laisse jamais un membre de son équipe en arrière, j’ai manqué de vigilance et à cause de moi Rodney est mort !
***Flash-Back***
J : Rodney, dépêchez vous.
Mais John se rendit compte qu’un wraith se rapprochait dangereusement de son ami et décida d’aller le cherchait. Il courrait tous les 2, John tirant Rodney par la manche quand il entendit un tir ; il se retourna quand Rodney s’écroulait. Il l’attrapa pour lui faire passer la porte quand un deuxième tir le touche, pensant qu’il mourrait sa dernière pensée fut pour Elizabeth, elle ne le saurait jamais. Quand ils passèrent la porte il était inconscient.
******************
en pensant à cela, John se rendit compte qu’il avait tout fait pour sauver son ami, mais il réalisa autre chose…
J ( se soulevant) : Elizabeth…
E ( surprise par ce nouveau comportement tellement lui !) : John, qu’est ce qu’il y a ?
J ( avec un regard plus tendre) : comment pourrai je me faire pardonner ? vous avez été tellement présente pour moi ces derniers temps alors que vous aussi vous souffriez. Et moi, au lieu d’être fort pour vous, je me suis montré faible, je n’ai pas su vous soutenir dans la perte de Rodney. J’ai même été jusqu’à vous repousser.
E ( émue) : John c’est terminé, (elle caressa son visage), on ira mieux tout les deux ensembles, on soignera nos blessures. Le plus important pour moi est que tu va mieux, je ne peux pas vivre sans toi et j’ai eu très peur de devoir le faire. Ne m’abandonne plus c’est tout ce qui m’importe, le reste c’est du passé …
J : après cette mission, j’ai cru que je mourrais, ma dernière pensée fut pour toi, c’était des regrets. Ensuite c’est ta voix qui m’a fait revenir, je voulais me battre pour toi, pour nous ( Elizabeth avait les larmes aux yeux), il fallait que je te le dise…
Elizabeth voulait l’entendre, elle en avait besoin : me dire quoi John.
J ( hésitant) : que… que je … que je t’aime et que je ne peux plus vivre sans toi.
E (en larmes) : je t’aime tellement mon cœur !
John l’enlaça et elle se lova contre lui savourant sa présence, le retour du John qu’elle aimait tant, sa chaleur, sa force, sa tendresse qu’elle retrouvait avec bonheur.
Ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre, heureux pour la première fois depuis des mois.
Ronon cherche le colonel Sheppard depuis un bon moment quand il le trouva dans la salle d’entraînement en train de frapper durement contre un sac de sable. Il était en sueur, ses poings étaient en sang mais il ne s’arrêtait pas et frapper de plus en plus fort pour évacuer sa rage.
Ro : ce n’est pas la solution Sheppard.
J (essouflé) : je ne crois pas vous avoir demandé votre avis, sur ce veuillez m’excuser j’ai du travail.
John allait sortir de la salle quand Ronon l’interpella : vous croyez être le seul à souffrir, si c’est le cas vous êtes un égoïste. (voyant qu’il ne réagissait pas). Bon sang Sheppard vous ne voyez pas que tout le monde souffre de l’absence de du docteur Mackay et pourtant tout le monde est autour de vous pour vous aider. A commencer par Teyla et Elisabeth. Teyla est forte et capable de surmonter votre semblant d’indifférence mais ce n’est pas le cas du docteur Weir. Elle vous a veillé jour et nuit pendant votre coma, cela fait une semaine qu’elle ne vit plus, suspendue à la moindre de vos réactions et vous qu’est ce que vous faites : vous la repoussez et elle souffre mais encore une fois ne le montre pas pour être forte, pour vous ! vous n’êtes qu’un égoïste !
A ces mots, John sortit de la salle. Ronon espérait que l’électrochoc était suffisant.
Mais, il ne le fut pas pendant trois mois, le colonel s’enfonçait de plus en plus dans la dépression, il s’en voulait car il pensait que c’était sa faute si son ami avait été tué. Il ne la faisait pas exprès mais repoussait toute personne qui essayait de l’aider à commence par Elisabeth qui ne savait plus comment le prendre. Il avait considérablement maigri et de grandes cernes violettes ne quittaient plus le dessous de ses yeux. En effet, il ne dormait plus, depuis cette fameuse mission, il refaisait sans cesse le même cauchemar revivant sans cesse le même scène.
Ce soir la ne fit pas exception à la règle. Elisabeth allait se coucher quand elle entendit des cris provenant des quartiers de John. Son sang ne fit qu’un tour et elle se précipita dans ses quartiers. Ce qu’elle y découvrit l’horrifia : John était complètement paniqué, il transpirait et s’agitait quand un cri plus fort que les autres la fit réagir. Elle se précipita sur lui pour le réveiller.
E : John… John réveillez vous cela n’est qu’un cauchemar ! John !
Soudain il se réveilla en sursaut, les yeux grands ouverts pleins de stupeur. Quand il vit Elisabeth il se leva précipitamment et se dirigea vers la salle de bain. Résignée, Elizabeth allait partir quand John s’effondra, paniquée elle appela Carson et se précipita sur lui.
J ( faible) : c’est… c’est de ma faute…. Pardonnes moi. Il sombra alors dans l’inconscience.
2h plus tard, infirmerie
E ( inquiète en voyant revenir Carson) : comment va-t-il ?
C : je ne vous le cacherai pas Elisabeth, il va mal. Il souffre de déshydratation, de sous alimentation mais le plus grave c’est la profonde dépression dans laquelle il semble s’être enfermé.
E : qu’est ce que je peux faire ?
C : il faut être patiente, vous l’aidez suffisamment comme cela.
Ils entendirent du bruit dans la salle où se trouvait John, ils se précipitèrent dans la chambre et le trouvèrent en train de saccager l’infirmerie.
C : mon dieu il devient fou !
Elisabeth assistait impuissante à ma scène, deux infirmiers ceinturèrent John et Carson lui injecta un tranquillisant ce qui l’assomma aussitôt.
C : il va falloir que je le mette en isolement pour éviter qu’il se blesse ou ne blesse quelqu’un.
E ( encore sous le choc) : faites le !
A partir de ce moment la situation empira, John perdait totalement la tête et ne laissait personne l’approcher. Caldwell mis au courant de la situation demanda à parler au Docteur Weir.
Caldwell : entrez Elizabeth !
E: merci, vous vouliez me voir?
Cal : oui Elizabeth écoutez, John n’est pas en état de reprendre ses fonctions de chef militaire, je me propose donc de le remplacer…
E( en colère) : vous ne perdez pas de temps vous, cela fait deux jours que vous êtes au courant de la situation et vous vous déjà le remplacer.
Cal : écoutez , je sais que vous tenez énormément à lui ( Elizabeth rougit) mais la cité doit continuer a tourner et cela n’est pour l’instant que provisoire.
E : ok mais comme vous le dites si bien c’est provisoire. Excusez moi colonel je dois me rendre à l’infirmerie.
Elle venait, en effet de recevoir un appel radio du docteur Beckett qui la priait de se rendre rapidement à l’infirmerie. Elle arriva, essoufflée et fut accueillit par un Carson Beckett affolé.
C : Elizabeth, c’est grave John fait une crise de démence.
Le Docteur Weir se précipita vers la vitre où elle aperçut John. Il semblait avoir perdu toute la lucidité qu’il lui restait : il se jetait contre les murs et hurlait des choses incompréhensibles. Ce qui effraya le plus Elizabeth, c’est son regard, ce n’était plus le regard, chaud, tendre et charmeur qu’elle connaissait, ce n’était même plus un regard humain.
E ( les larmes aux yeux) : oh mon Dieu. Elle sursauta lorsque le colonel Sheppard s’écroula et hurla son prénom. Laissez moi rentrer Carson.
C : Elizabeth ce n’est pas une bonne idée, il pourrait vous blesser.
E (avec un regard suppliant) : je vous en prie Carson, il a besoin de moi !
C (cédant) : D’accord mais je tiens à ce que Teyla et Ronon soient là, au cas ou.
Cinq minutes plus tard, Elizabeth entrait dans la salle, les autres l’observaient, au moindre mouvements agressif de la part du colonel ils interviendraient. En la voyant, John eut un mouvement de recul et se recroquevilla dans un coin. La jeune femme s’approcha de lui avec une certaine appréhension, elle s’assit en face de lui et lui parla doucement.
E : John, c’est moi… Elisabeth. Souvenez-vous : Atlantis, la mission d’exploration.
Au son de sa voix, John tiqua, elle lui était familière, il savait qu’il aimait cette voix, il sentait qu’il pouvait lui faire confiance. Malgré tout, il se tordait nerveusement les mains jusqu’à Elisabeth les attrape entre les siennes pour le calmer.
E ( d’une voix douce) : ca va aller, tout va bien John, je ne ferai aucun mal. Vous le savez ça, je ne vous ferai jamais de mal je veux vous aider ….
Elle s’interrompit quand elle s’aperçut que John avait attrapé ses mains et les observait minutieusement. Elle le laissa faire. Il était fasciné par ses mains, il les caressait, les respirait, elles étaient douces, chaudes. Ce qu’il fit ensuite aucune des personnes présentes n’en revenaient, il posa sa joue contre la paume d’Elizabeth et ferma les yeux. Il avait confiance en elle.
Elisabeth émue, profita de cette confiance pour attraper son visage entre ses mains et le força à la regarder. Elle plongea profondément ses yeux dans les siens. Son regard au début apeuré et perdu changea rapidement, sans qu’aucun mot ne soit échangé. Il se leva brusquement et Elisabeth sursauta. Ronon voulut intervenir mais Teyla l’arrêta, John ne lui ferait aucun mal ; elle le savait.
Il passa derrière Elizabeth et celle ci se retourna, il s’arrêta au centre de la pièce tomba à genoux. Il regardait la jeune femme et ses yeux se remplirent de larmes, il pleurait, pour la première fois depuis des mois, John pleurait la mort de son meilleur ami.
Elisabeth s’approcha de lui et s’agenouilla en face de lui, elle le prit contre elle, l’entourant de ses bras, il put enfin se libérer, ses sanglots les secouaient tous les deux et Elizabeth le serrait fort pour le soutenir. Il avait passé ses bras autour d’elle et son visage était enfoui contre sa poitrine, dernière marque de pudeur.
Derrière la vitre, les 3 amis étaient soulagés : John était sauvé. Il irait mieux. C’était le début du chemin de la guérison qui serait long et difficile, mais il s’en sortirait parce que John était un homme fort et qu’il avait Elizabeth pour le soutenir. Il sortirent tous les trois dela pièce pour laisser au couple un peu d’intimité.
Elizabeth quant à elle était soulagée, elle pleurait elle aussi mais de soulagement, l’homme qu’elle aimait s’en sortirait. Elle ne était sûre maintenant.
Une demi-heure plus tard, ils étaient toujours dans les bras l’un de l’autre, John n’avait pas lâché la jeune femme de peur qu’elle ne le quitte, il avait arrêté de pleuré mais la serrait toujours aussi fort. Elle le tenait fermement, et lui caressait le dos et les cheveux pour lui montrer qu’elle était là pour lui, toujours.
Elle activa sa radio : Carson, ici Elizabeth, je voudrais ramener John à ses quartiers, il a besoin de se reposer.
Elle raccompagna, John à ses quartiers et le coucha, comme un enfant qui a peur d’être seul, John lui attrapa la main pour qu’elle reste. Elle n’hésita pas, elle se fichait des rumeurs qui se propageraient rapidement, John avait besoin d’elle et c’est tout ce qui importait. Elle se coucha, alors à coté de lui et le prit dans ses bras, installé confortablement John prit la parole pour la première fois depuis des semaines.
J (enroué) : c’était de ma faute…
E ( surprise) : Non John, vous avez fait tout ce que vous avez pu pour le sauver. Vous l’avez ramené sur Atlantis et je suis sûr que de là où il est Rodney vous est reconnaissant pour cela.
J( plus agité) : Non Elizabeth, vous ne comprenez pas, je n’aurais jamais dû le laisser en arrière, je…
Elizabeth le caressa pour l’apaiser : chut, ce n’est pas votre faute…
J : je n’ai pas fait assez attention, on ne laisse jamais un membre de son équipe en arrière, j’ai manqué de vigilance et à cause de moi Rodney est mort !
***Flash-Back***
J : Rodney, dépêchez vous.
Mais John se rendit compte qu’un wraith se rapprochait dangereusement de son ami et décida d’aller le cherchait. Il courrait tous les 2, John tirant Rodney par la manche quand il entendit un tir ; il se retourna quand Rodney s’écroulait. Il l’attrapa pour lui faire passer la porte quand un deuxième tir le touche, pensant qu’il mourrait sa dernière pensée fut pour Elizabeth, elle ne le saurait jamais. Quand ils passèrent la porte il était inconscient.
******************
en pensant à cela, John se rendit compte qu’il avait tout fait pour sauver son ami, mais il réalisa autre chose…
J ( se soulevant) : Elizabeth…
E ( surprise par ce nouveau comportement tellement lui !) : John, qu’est ce qu’il y a ?
J ( avec un regard plus tendre) : comment pourrai je me faire pardonner ? vous avez été tellement présente pour moi ces derniers temps alors que vous aussi vous souffriez. Et moi, au lieu d’être fort pour vous, je me suis montré faible, je n’ai pas su vous soutenir dans la perte de Rodney. J’ai même été jusqu’à vous repousser.
E ( émue) : John c’est terminé, (elle caressa son visage), on ira mieux tout les deux ensembles, on soignera nos blessures. Le plus important pour moi est que tu va mieux, je ne peux pas vivre sans toi et j’ai eu très peur de devoir le faire. Ne m’abandonne plus c’est tout ce qui m’importe, le reste c’est du passé …
J : après cette mission, j’ai cru que je mourrais, ma dernière pensée fut pour toi, c’était des regrets. Ensuite c’est ta voix qui m’a fait revenir, je voulais me battre pour toi, pour nous ( Elizabeth avait les larmes aux yeux), il fallait que je te le dise…
Elizabeth voulait l’entendre, elle en avait besoin : me dire quoi John.
J ( hésitant) : que… que je … que je t’aime et que je ne peux plus vivre sans toi.
E (en larmes) : je t’aime tellement mon cœur !
John l’enlaça et elle se lova contre lui savourant sa présence, le retour du John qu’elle aimait tant, sa chaleur, sa force, sa tendresse qu’elle retrouvait avec bonheur.
Ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre, heureux pour la première fois depuis des mois.
elisabeth-sheppard- Nombre de messages : 9
Date d'inscription : 16/02/2006
Re: A en devenir fou ...
Le lendemain matin
Elizabeth se réveilla en sursaut, elle ne savait plus si elle avait rêvé ou pas, elle fut soulagé lorsqu’elle vit John sortir de la douche.
J ( souriant) : Hey ! salut toi.
E ( baillant) : bonjour John, je croyais que tu m’avais déjà abandonnée.
J ( s’approchant, plus sérieux) : jamais ! écoute mon ange, je t’aime et je ne veux plus te perdre tu entends ?
Elle se lova dans ses bras, ce qu’elle pouvait être folle de cet homme.
Plus tard dans la matinée
Elizabeth était dans son bureau quand Teyla entra :
T : bonjour Liz
E : Teyla entre !
Les deux jeunes femmes s’étaient beaucoup rapprochées depuis des mois, elles se soutenaient mutuellement dans cette épreuve.
T : comment va John ?
Le visage d’Elizabeth s’éclaira : beaucoup mieux, il a enfin évacué toute cette peine, il faut qu’il fasse son deuil, mais ça ira.
Teyla sentait qu’il y avait quelque chose d’autre ; « et vous deux ? » demanda-t-elle malicieusement.
E (dont le sourire s’était élargi) : on est ensemble enfin je crois…
T (souriant à son tour) : c’est une bonne nouvelle ça !
La radio d’Elizabeth grésilla : « Docteur Weir, ici Ronon ? »
E : oui Ronon qu’y a-t-il ?
Ro : c’est le colonel Sheppard ( à ces mots Elizabeth palit), il est dans les anciens quartiers du Docteur Mackay. »
E : j’arrive tout de suite.
Elizabeth arriva devant les quartiers de Rodney et vit que John était entré. Elle entra à son tour et lui prit la main.
J ( doucement) : il me manque.
E : a moi aussi John.
Il se dirigea alors vers une photo de l’équipe SGA-1 avec Elizabeth. John observa la photo, tous semblaient heureux, même Ronon souriait. Et sur la photo, John et Elizabeth étaient côte à côte, serrés l’un contre l’autre.
J ( malicieux) : c’est Rodney qui nous avait mis à côté, il savait que j’étais déjà amoureux de toi à l’époque !
E ( amusée) : Teyla m’avait aussi poussée à côté de toi, elle avait aussi remarqué que je te dévorais des yeux dès que je te voyais.
Ils se sourirent nostalgiques à l’évocation de leur ami disparu, puis John prit la jeune femme par la main et l’entraîna à l’extérieur des quartiers, intriguée elle se laissa faire, il l’amena jusqu’à ses quartiers à elle et ils entrèrent. John commença alors à l’embrasser, l’étreinte était de plus en plus passionné, les mains s’égaraient quand John s’arrêta brusquement.
E ( surprise et un peu confuse) : qu’est ce qu’il y a John ?
J ( la regardant dans les yeux) : je ne veux pas que tu crois que ce que je m’apprête à faire c’est seulement parce que je suis désespéré et que tout va s’arrêter après. Je t’aime et c’est pour cette raison que j’ai très envie de toi.
Elizabeth le regarda dans les yeux, elle y vit cette flamme qu ‘elle aimait tant et qui lui avait tant manqué, ses prunelles étaient assombries par le désir. Il se pencha vers elle et l’embrassa, elle gémit sous l’assaut et répondit ardemment à son baiser. Ils s’aimèrent alors avec passion, répondant aux désirs l’un de l’autre, jusqu’à s’endormir épuisés enlacés sur le lit de John.
Quelques mois plus tard, infirmerie
C : c’est fille !
J ; oh mon dieu mon ange, tu entends on va avoir une petite fille, une petite princesse qui sera aussi belle et intelligente que toi !
Je t’aime Madame Sheppard.
E (heureuse) : j’adore quand tu m’appelles comme ça !
Ils continuèrent à se murmurer des mots doux sous le regard attendri de Beckett, ils étaient enfin heureux et le méritaient amplement.
Epilogue
Quelques mois plus tard, Elizabeth mit au monde la petite Caroline, le premier bébé atlante, les deux parents étaient comblés, enfin…
De là où il était, Rodney veillait sur eux.
Elizabeth se réveilla en sursaut, elle ne savait plus si elle avait rêvé ou pas, elle fut soulagé lorsqu’elle vit John sortir de la douche.
J ( souriant) : Hey ! salut toi.
E ( baillant) : bonjour John, je croyais que tu m’avais déjà abandonnée.
J ( s’approchant, plus sérieux) : jamais ! écoute mon ange, je t’aime et je ne veux plus te perdre tu entends ?
Elle se lova dans ses bras, ce qu’elle pouvait être folle de cet homme.
Plus tard dans la matinée
Elizabeth était dans son bureau quand Teyla entra :
T : bonjour Liz
E : Teyla entre !
Les deux jeunes femmes s’étaient beaucoup rapprochées depuis des mois, elles se soutenaient mutuellement dans cette épreuve.
T : comment va John ?
Le visage d’Elizabeth s’éclaira : beaucoup mieux, il a enfin évacué toute cette peine, il faut qu’il fasse son deuil, mais ça ira.
Teyla sentait qu’il y avait quelque chose d’autre ; « et vous deux ? » demanda-t-elle malicieusement.
E (dont le sourire s’était élargi) : on est ensemble enfin je crois…
T (souriant à son tour) : c’est une bonne nouvelle ça !
La radio d’Elizabeth grésilla : « Docteur Weir, ici Ronon ? »
E : oui Ronon qu’y a-t-il ?
Ro : c’est le colonel Sheppard ( à ces mots Elizabeth palit), il est dans les anciens quartiers du Docteur Mackay. »
E : j’arrive tout de suite.
Elizabeth arriva devant les quartiers de Rodney et vit que John était entré. Elle entra à son tour et lui prit la main.
J ( doucement) : il me manque.
E : a moi aussi John.
Il se dirigea alors vers une photo de l’équipe SGA-1 avec Elizabeth. John observa la photo, tous semblaient heureux, même Ronon souriait. Et sur la photo, John et Elizabeth étaient côte à côte, serrés l’un contre l’autre.
J ( malicieux) : c’est Rodney qui nous avait mis à côté, il savait que j’étais déjà amoureux de toi à l’époque !
E ( amusée) : Teyla m’avait aussi poussée à côté de toi, elle avait aussi remarqué que je te dévorais des yeux dès que je te voyais.
Ils se sourirent nostalgiques à l’évocation de leur ami disparu, puis John prit la jeune femme par la main et l’entraîna à l’extérieur des quartiers, intriguée elle se laissa faire, il l’amena jusqu’à ses quartiers à elle et ils entrèrent. John commença alors à l’embrasser, l’étreinte était de plus en plus passionné, les mains s’égaraient quand John s’arrêta brusquement.
E ( surprise et un peu confuse) : qu’est ce qu’il y a John ?
J ( la regardant dans les yeux) : je ne veux pas que tu crois que ce que je m’apprête à faire c’est seulement parce que je suis désespéré et que tout va s’arrêter après. Je t’aime et c’est pour cette raison que j’ai très envie de toi.
Elizabeth le regarda dans les yeux, elle y vit cette flamme qu ‘elle aimait tant et qui lui avait tant manqué, ses prunelles étaient assombries par le désir. Il se pencha vers elle et l’embrassa, elle gémit sous l’assaut et répondit ardemment à son baiser. Ils s’aimèrent alors avec passion, répondant aux désirs l’un de l’autre, jusqu’à s’endormir épuisés enlacés sur le lit de John.
Quelques mois plus tard, infirmerie
C : c’est fille !
J ; oh mon dieu mon ange, tu entends on va avoir une petite fille, une petite princesse qui sera aussi belle et intelligente que toi !
Je t’aime Madame Sheppard.
E (heureuse) : j’adore quand tu m’appelles comme ça !
Ils continuèrent à se murmurer des mots doux sous le regard attendri de Beckett, ils étaient enfin heureux et le méritaient amplement.
Epilogue
Quelques mois plus tard, Elizabeth mit au monde la petite Caroline, le premier bébé atlante, les deux parents étaient comblés, enfin…
De là où il était, Rodney veillait sur eux.
elisabeth-sheppard- Nombre de messages : 9
Date d'inscription : 16/02/2006
Re: A en devenir fou ...
très jolie fic et triste aussi !!bouhou pauvre Rodney(en plus c'est mon perso préféré,alors snif,là!)
lagentillefan- Nombre de messages : 348
Age : 42
Localisation : Angers
SIP : McWeir principalement,mais ces temps-ci,j'ai des envies de Teyla/McKay...Bizarre,non? lol
Date d'inscription : 19/12/2005
Re: A en devenir fou ...
désolée pour les fan de Rodney, ça n'est pas du tout parce que je ne l'aime pas mais parce qu'il fallait que je crée un choc pour Sheppard et j'allais pas faire mourir Elizabeth!!!
encore désolée mais merci pour les compliments!
encore désolée mais merci pour les compliments!
elisabeth-sheppard- Nombre de messages : 9
Date d'inscription : 16/02/2006
Re: A en devenir fou ...
voilà mon long commentaire lol
« J : Très bien, cette planète à l’air plutôt calme, on va faire un tour aux alentours. Mackay vous partez faire vos relevés et Teyla vous l’accompagnez et le surveillez bien pour qu’il ne fasse pas de bêtises. »
mdr ! ça c’est du John à l’état brute ! lol
« J : non , Mackay la ferme.
Ro : messieurs on pourrait peut être y aller. »
lol ! il est marrant John, pour avoir raison il empêche Rodney de répondre lol : Sinon Ronon, le seul à rester sérieux !! c’est normal, c’est mon homme lol !
« Toute l’équipe se replia vers la porte mais Mackay était resté à la traîne. »
Rodney, toujours à la traine ! qu’est ce qu’on vas faire de lui ?
« Rodney se retourna pour regarder derrière lui et trébucha. »
ah ben ça c’est malin, faut jamais regarder derrière soit, sinon voilà ce qui arrive !
« tournait comme un lion en cage, Teyla tentait de se calmer en méditant et Elizabeth était assise par terre les genoux repliés contre sa poitrine la tête posée dessus, elle était terriblement inquiète. »
je suis inquiète pour eux !! J’espère qu’ils vont bien !
« Son air n’annonçait pas de bonnes nouvelles. »
J’hésite à lire la suite là !! je suis pas rassurée ! bon, Ok Ronon est en vie et dieu merci, mais j’adore John et Rodney donc …
« E : Ca… Carson… comment vont-ils ?
A ces mots, le visage du docteur se ferma un peu plus. »
panique à bord le titanic coule !
« C : je n’ai pas de bonnes nouvelles. ( il prit une grande inspiration). John était gravement blessé il est dans le coma et Rodney…. Rodney est mort. »
le titanic à couler ! snif ! pauvre Rodney, et John, dans le comas snif, c’est triste tout ça ! Ronon il peu me prendre dans ses bras ?, ok imagine il me serre très fort pour essayer de soulager ma peine !
« C (désolé) : je suis navré, j’ai fait tout ce qui était humainement possible pour les sauver, j’ai échoué, tout est de ma faute. »
oh ben non Carson, ne te met pas à culpabiliser, c’est pas ta faute !!
« E ( murmurant) : allez John, il faut vous réveiller, on a besoin de vous ici ! ( après une pause). J’ai besoin de toi, ne me laisse pas seule, je ne peux pas vivre sans toi. »
snif ! c’est beau ce qu’elle dit.
« T ( a voix basse) : Elizabeth, je sais ce que vous traversez en ce moment, j’ai aussi perdu l’homme que j’aimais… »
ah ! l’homme qu’elle aimais ??
« E ( reconnaissante) : merci Teyla, je vous suis très reconnaissante de vous occuper des funérailles de Rodney mais je vais garder mon poste cela me changera les idées. »
les funérailles, version canadienne ou Athosienne ?? c’est une question bête, mais bon, je trouve que les funérailles Athosienne sont belles, enfin tu me comprends.
« John de la où il était pouvait entendre une voix familière, une voix qui l’incitait à revenir et il se battait pour elle, pour revoir ses yeux, son sourire, Elle. »
toi tu as décider de me faire pleurer aujourd’hui.
« J : hey, faut pas pleurer, surtout pas pour moi ! je préfère largement voir votre sourire. »
Youpi ! john est réveillé !!!!
« E ( soulagée) : ne me refaites plus jamais une peur pareille vous entendez, si vous mourrez je vous tue ! »
mdr ! d’un coté il seras déjà mort, donc se seras dur de le tuer une nouvelle fois !
« T : comment va-t-il ?
E : mal, de qu’il a su pour Rodney il s’est renfermé et m’a repoussé ( elle soupira). »
ben non, il vas pas lui aussi se sentir coupable de ce qui est arriver à rodney.
« T (souriant) ; de rien Elizabeth, les amies c’est fait pour ça, si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous n’hésitez pas.
Puis a John : je sais que vous avez mal John mais il faut que vous exprimiez cette tristesse et cette colère ou vous ne vivrez jamais en paix. Et vous le méritez et elle aussi. »
teyla toujours de bon conseil, elle dit toujours ce qu’il faut.
« Ro : ce n’est pas la solution Sheppard.
J (essouflé) : je ne crois pas vous avoir demandé votre avis, sur ce veuillez m’excuser j’ai du travail. »
wouah ! sympas ! faudrait qu’il fasse un combat avec Ronon, ça lui permettrait peu être de tout évacuer.
« John allait sortir de la salle quand Ronon l’interpella : vous croyez être le seul à souffrir, si c’est le cas vous êtes un égoïste. (voyant qu’il ne réagissait pas). Bon sang Sheppard vous ne voyez pas que tout le monde souffre de l’absence de du docteur Mackay et pourtant tout le monde est autour de vous pour vous aider. A commencer par Teyla et Elisabeth. Teyla est forte et capable de surmonter votre semblant d’indifférence mais ce n’est pas le cas du docteur Weir. Elle vous a veillé jour et nuit pendant votre coma, cela fait une semaine qu’elle ne vit plus, suspendue à la moindre de vos réactions et vous qu’est ce que vous faites : vous la repoussez et elle souffre mais encore une fois ne le montre pas pour être forte, pour vous ! vous n’êtes qu’un égoïste ! »
wouah Ronon ! ben dit donc ! remarque il à raison, il faut le secouer un peu !
« A ces mots, John sortit de la salle. Ronon espérait que l’électrochoc était suffisant.
Mais, il ne le fut pas »
on peu essayer la manière forte ?? houlà ! Ronon déteins sur moi …
« il s’en voulait car il pensait que c’était sa faute si son ami avait été tué »
ah ouais, c’est bien ce que je disais, il se sens coupable, ce qui est fréquent dans ce genre de cas.
« J ( faible) : c’est… c’est de ma faute…. Pardonnes moi. Il sombra alors dans l’inconscience. »
snif ! c’est triste .
« Ils entendirent du bruit dans la salle où se trouvait John, ils se précipitèrent dans la chambre et le trouvèrent en train de saccager l’infirmerie.
C : mon dieu il devient fou ! »
en effet, il à péter un cable là ! Ronon viens le calmer !
« Cal : oui Elizabeth écoutez, John n’est pas en état de reprendre ses fonctions de chef militaire, je me propose donc de le remplacer…
E( en colère) : vous ne perdez pas de temps vous, cela fait deux jours que vous êtes au courant de la situation et vous vous déjà le remplacer. »
c’est clair on peu le prendre mal, mais il est vrai que tant qu’il ne peu pas assurer ses fonction, il faut une personne qualifiée pour le faire !!
« C (cédant) : D’accord mais je tiens à ce que Teyla et Ronon soient là, au cas ou. »
Ouais surtout Ronon, il faut 2 homme au minimum pour calmer Ronon, donc pas de pro si il doit calmer John ! tu me suis ?? Car des fois je ne suis pas très française ! lol
« J : je n’ai pas fait assez attention, on ne laisse jamais un membre de son équipe en arrière, j’ai manqué de vigilance et à cause de moi Rodney est mort ! »
ok il est vraiment borner, remarque, c’est dure de se dire qu’on est pas responsable, quand son cœur dit le contraire.
« J ( avec un regard plus tendre) : comment pourrai je me faire pardonner ? vous avez été tellement présente pour moi ces derniers temps alors que vous aussi vous souffriez. Et moi, au lieu d’être fort pour vous, je me suis montré faible, je n’ai pas su vous soutenir dans la perte de Rodney. J’ai même été jusqu’à vous repousser. »
ouais ! les mots de Ronon viennent de lui arriver ! 3 mois après ! lol !
« J ( hésitant) : que… que je … que je t’aime et que je ne peux plus vivre sans toi.
E (en larmes) : je t’aime tellement mon cœur !
John l’enlaça et elle se lova contre lui savourant sa présence, le retour du John qu’elle aimait tant, sa chaleur, sa force, sa tendresse qu’elle retrouvait avec bonheur. »
oh que c’est mimi !
« J ( souriant) : Hey ! salut toi. »
wouah ! il s’est vite remit ! remarque il est rester un moment mal, je crois que ça suffisait.
« Les deux jeunes femmes s’étaient beaucoup rapprochées depuis des mois, elles se soutenaient mutuellement dans cette épreuve. »
lol j’ai été surprise par le tutoiement, mais maintenant je comprends, merci pour la précision.
« La radio d’Elizabeth grésilla : « Docteur Weir, ici Ronon ? »
E : oui Ronon qu’y a-t-il ?
Ro : c’est le colonel Sheppard ( à ces mots Elizabeth palit), il est dans les anciens quartiers du Docteur Mackay. » »
ah ! j’ai peu être parler trop vite moi …
« même Ronon souriait »
lol ! je sais que c’est rare !! mais ça me fait rire que tu l’ai préciser ! lol !!
« J ( malicieux) : c’est Rodney qui nous avait mis à côté, il savait que j’étais déjà amoureux de toi à l’époque !
E ( amusée) : Teyla m’avait aussi poussée à côté de toi, elle avait aussi remarqué que je te dévorais des yeux dès que je te voyais. »
comme quoi c’est toujours les deux intéressés, qui ne se rendent compte de rien.
Oh que c’est beau la fin !!! ta fic était magnifique, plein d’émotion et ça j’adore ! BRAVO.
« J : Très bien, cette planète à l’air plutôt calme, on va faire un tour aux alentours. Mackay vous partez faire vos relevés et Teyla vous l’accompagnez et le surveillez bien pour qu’il ne fasse pas de bêtises. »
mdr ! ça c’est du John à l’état brute ! lol
« J : non , Mackay la ferme.
Ro : messieurs on pourrait peut être y aller. »
lol ! il est marrant John, pour avoir raison il empêche Rodney de répondre lol : Sinon Ronon, le seul à rester sérieux !! c’est normal, c’est mon homme lol !
« Toute l’équipe se replia vers la porte mais Mackay était resté à la traîne. »
Rodney, toujours à la traine ! qu’est ce qu’on vas faire de lui ?
« Rodney se retourna pour regarder derrière lui et trébucha. »
ah ben ça c’est malin, faut jamais regarder derrière soit, sinon voilà ce qui arrive !
« tournait comme un lion en cage, Teyla tentait de se calmer en méditant et Elizabeth était assise par terre les genoux repliés contre sa poitrine la tête posée dessus, elle était terriblement inquiète. »
je suis inquiète pour eux !! J’espère qu’ils vont bien !
« Son air n’annonçait pas de bonnes nouvelles. »
J’hésite à lire la suite là !! je suis pas rassurée ! bon, Ok Ronon est en vie et dieu merci, mais j’adore John et Rodney donc …
« E : Ca… Carson… comment vont-ils ?
A ces mots, le visage du docteur se ferma un peu plus. »
panique à bord le titanic coule !
« C : je n’ai pas de bonnes nouvelles. ( il prit une grande inspiration). John était gravement blessé il est dans le coma et Rodney…. Rodney est mort. »
le titanic à couler ! snif ! pauvre Rodney, et John, dans le comas snif, c’est triste tout ça ! Ronon il peu me prendre dans ses bras ?, ok imagine il me serre très fort pour essayer de soulager ma peine !
« C (désolé) : je suis navré, j’ai fait tout ce qui était humainement possible pour les sauver, j’ai échoué, tout est de ma faute. »
oh ben non Carson, ne te met pas à culpabiliser, c’est pas ta faute !!
« E ( murmurant) : allez John, il faut vous réveiller, on a besoin de vous ici ! ( après une pause). J’ai besoin de toi, ne me laisse pas seule, je ne peux pas vivre sans toi. »
snif ! c’est beau ce qu’elle dit.
« T ( a voix basse) : Elizabeth, je sais ce que vous traversez en ce moment, j’ai aussi perdu l’homme que j’aimais… »
ah ! l’homme qu’elle aimais ??
« E ( reconnaissante) : merci Teyla, je vous suis très reconnaissante de vous occuper des funérailles de Rodney mais je vais garder mon poste cela me changera les idées. »
les funérailles, version canadienne ou Athosienne ?? c’est une question bête, mais bon, je trouve que les funérailles Athosienne sont belles, enfin tu me comprends.
« John de la où il était pouvait entendre une voix familière, une voix qui l’incitait à revenir et il se battait pour elle, pour revoir ses yeux, son sourire, Elle. »
toi tu as décider de me faire pleurer aujourd’hui.
« J : hey, faut pas pleurer, surtout pas pour moi ! je préfère largement voir votre sourire. »
Youpi ! john est réveillé !!!!
« E ( soulagée) : ne me refaites plus jamais une peur pareille vous entendez, si vous mourrez je vous tue ! »
mdr ! d’un coté il seras déjà mort, donc se seras dur de le tuer une nouvelle fois !
« T : comment va-t-il ?
E : mal, de qu’il a su pour Rodney il s’est renfermé et m’a repoussé ( elle soupira). »
ben non, il vas pas lui aussi se sentir coupable de ce qui est arriver à rodney.
« T (souriant) ; de rien Elizabeth, les amies c’est fait pour ça, si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous n’hésitez pas.
Puis a John : je sais que vous avez mal John mais il faut que vous exprimiez cette tristesse et cette colère ou vous ne vivrez jamais en paix. Et vous le méritez et elle aussi. »
teyla toujours de bon conseil, elle dit toujours ce qu’il faut.
« Ro : ce n’est pas la solution Sheppard.
J (essouflé) : je ne crois pas vous avoir demandé votre avis, sur ce veuillez m’excuser j’ai du travail. »
wouah ! sympas ! faudrait qu’il fasse un combat avec Ronon, ça lui permettrait peu être de tout évacuer.
« John allait sortir de la salle quand Ronon l’interpella : vous croyez être le seul à souffrir, si c’est le cas vous êtes un égoïste. (voyant qu’il ne réagissait pas). Bon sang Sheppard vous ne voyez pas que tout le monde souffre de l’absence de du docteur Mackay et pourtant tout le monde est autour de vous pour vous aider. A commencer par Teyla et Elisabeth. Teyla est forte et capable de surmonter votre semblant d’indifférence mais ce n’est pas le cas du docteur Weir. Elle vous a veillé jour et nuit pendant votre coma, cela fait une semaine qu’elle ne vit plus, suspendue à la moindre de vos réactions et vous qu’est ce que vous faites : vous la repoussez et elle souffre mais encore une fois ne le montre pas pour être forte, pour vous ! vous n’êtes qu’un égoïste ! »
wouah Ronon ! ben dit donc ! remarque il à raison, il faut le secouer un peu !
« A ces mots, John sortit de la salle. Ronon espérait que l’électrochoc était suffisant.
Mais, il ne le fut pas »
on peu essayer la manière forte ?? houlà ! Ronon déteins sur moi …
« il s’en voulait car il pensait que c’était sa faute si son ami avait été tué »
ah ouais, c’est bien ce que je disais, il se sens coupable, ce qui est fréquent dans ce genre de cas.
« J ( faible) : c’est… c’est de ma faute…. Pardonnes moi. Il sombra alors dans l’inconscience. »
snif ! c’est triste .
« Ils entendirent du bruit dans la salle où se trouvait John, ils se précipitèrent dans la chambre et le trouvèrent en train de saccager l’infirmerie.
C : mon dieu il devient fou ! »
en effet, il à péter un cable là ! Ronon viens le calmer !
« Cal : oui Elizabeth écoutez, John n’est pas en état de reprendre ses fonctions de chef militaire, je me propose donc de le remplacer…
E( en colère) : vous ne perdez pas de temps vous, cela fait deux jours que vous êtes au courant de la situation et vous vous déjà le remplacer. »
c’est clair on peu le prendre mal, mais il est vrai que tant qu’il ne peu pas assurer ses fonction, il faut une personne qualifiée pour le faire !!
« C (cédant) : D’accord mais je tiens à ce que Teyla et Ronon soient là, au cas ou. »
Ouais surtout Ronon, il faut 2 homme au minimum pour calmer Ronon, donc pas de pro si il doit calmer John ! tu me suis ?? Car des fois je ne suis pas très française ! lol
« J : je n’ai pas fait assez attention, on ne laisse jamais un membre de son équipe en arrière, j’ai manqué de vigilance et à cause de moi Rodney est mort ! »
ok il est vraiment borner, remarque, c’est dure de se dire qu’on est pas responsable, quand son cœur dit le contraire.
« J ( avec un regard plus tendre) : comment pourrai je me faire pardonner ? vous avez été tellement présente pour moi ces derniers temps alors que vous aussi vous souffriez. Et moi, au lieu d’être fort pour vous, je me suis montré faible, je n’ai pas su vous soutenir dans la perte de Rodney. J’ai même été jusqu’à vous repousser. »
ouais ! les mots de Ronon viennent de lui arriver ! 3 mois après ! lol !
« J ( hésitant) : que… que je … que je t’aime et que je ne peux plus vivre sans toi.
E (en larmes) : je t’aime tellement mon cœur !
John l’enlaça et elle se lova contre lui savourant sa présence, le retour du John qu’elle aimait tant, sa chaleur, sa force, sa tendresse qu’elle retrouvait avec bonheur. »
oh que c’est mimi !
« J ( souriant) : Hey ! salut toi. »
wouah ! il s’est vite remit ! remarque il est rester un moment mal, je crois que ça suffisait.
« Les deux jeunes femmes s’étaient beaucoup rapprochées depuis des mois, elles se soutenaient mutuellement dans cette épreuve. »
lol j’ai été surprise par le tutoiement, mais maintenant je comprends, merci pour la précision.
« La radio d’Elizabeth grésilla : « Docteur Weir, ici Ronon ? »
E : oui Ronon qu’y a-t-il ?
Ro : c’est le colonel Sheppard ( à ces mots Elizabeth palit), il est dans les anciens quartiers du Docteur Mackay. » »
ah ! j’ai peu être parler trop vite moi …
« même Ronon souriait »
lol ! je sais que c’est rare !! mais ça me fait rire que tu l’ai préciser ! lol !!
« J ( malicieux) : c’est Rodney qui nous avait mis à côté, il savait que j’étais déjà amoureux de toi à l’époque !
E ( amusée) : Teyla m’avait aussi poussée à côté de toi, elle avait aussi remarqué que je te dévorais des yeux dès que je te voyais. »
comme quoi c’est toujours les deux intéressés, qui ne se rendent compte de rien.
Oh que c’est beau la fin !!! ta fic était magnifique, plein d’émotion et ça j’adore ! BRAVO.
Re: A en devenir fou ...
C'est une très belle fic, l'histoire est super bien racontée et les sentiments sont très bien retranscris. Bravo !
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