Runner

voilà une fic que j'ai écrite, il y a quelques jours, là elle est fini, mais je peux faire une suite à la maniére de ma fic combat interminable, c'est à vous de voir si vous la voulez ou pas! je vous met la fic pour juger!



L’équipe du colonel Sheppard c’était rendu sur une planète celle-ci était composée à 20% d’une forêt très dense et 80% de terre aride, ce que McKay n’aimait pas. Ils avançaient difficilement depuis maintenant une heure, McKay comme à son habitude ne faisait que râler.

Rodney : on en a encore pour longtemps ?
John : ça dépends, y’a combien de temps que vous avez demander ?
Rodney : pourquoi on est là ?
John : c’est une connaissance de Teyla qui nous à donner ce tuyau.
Rodney : ah oui le genre de tuyau, qui à chaque fois qu’on y vas on rencontre une personne que l’on connais plus ou moins et qui ne veux pas nous aider c’est bien ça ?
John : arrêtez de râler !

Ronon lui souriait, Rodney lui tapait sur les nerfs parfois, souvent même, mais quelque part, malgré ces complaintes incessantes il détendait l’atmosphère et donnait à l’équipe des raisons de rire. Ce que généralement il n’appréciait pas, il n’appréciait pas qu’on puisse rire d’un géni, comme il se qualifiait lui-même.

Teyla : Docteur McKay, arrêtez de vous plaindre et avancez !
Rodney : bien sur ! Et je fais quoi là ? Du sur place ?
Teyla : non mais ça n’en est pas loin !

Rodney vexé accéléra la cadence mais ne s’arrêta pas de se plaindre pour autant. John voulant revenir au sujet principal de cette mission questionna Teyla sur ce peuple.

John : vous connaissez ce peuple ?
Teyla : non, je sais qu’ils sont un groupe de mercenaires.
Rodney : voilà mieux des mercenaires, et pourquoi pas des genii aussi tant qu’on y est !
John : McKay !
Rodney : quoi c’est vrai, vous pensez que des mercenaires vont vouloir bien gentiement nous aider et nous donner leur E2PZ si toute fois ils en possèdent un ? Vous rêvez ma parole !
Ronon : je les ferais coopérer !
Rodney toujours aussi agréable : ça y est monsieur muscle à parler mais je vous signale que s’ils sont 20, vous ne ferez pas le poids c’est mathématiquement impossible !
Teyla : c’est vrai, mais ils ne sont pas dangereux d’après mon contacte.
Rodney : et qu’est ce qu’il en sais votre contacte ?
John : Rodney !
Rodney : non mais c’est vrai, si ça se trouve son contacte il n’est jamais venu sur cette planète, il ne connais même pas ce peuple alors pourquoi lui faire confiance ?
John : parce que Teyla lui fait confiance et que nous faisons confiance à Teyla !
Ronon : je sens une présence !
Rodney : et voilà qu’il recommence celui-ci !

Teyla, Ronon et John se mirent en position de combat alors que Rodney comme à son habitude continuait à parler pour cacher la peur qui commençait à monter en lui, une personne sauta alors par-dessus un buisson Rodney poussa un hurlement, le combat s’enclencha, Ronon et Teyla blessaient le maximum de personne tout en veillant à ne pas les tuer, John lui avait du mal à suivre la cadence des deux jeunes gens, Rodney lui se jeta sous un buisson et posa son regard sur les pieds il ravala sa salive avant d’hurler « sauve qui peu ! » il se leva aussi rapidement qui le pu et commença à courir quand une personne lui fit un croche pied, il tomba alors à terre inconscient. Le combat continuait, ils savaient que McKay était à terre, ils se rapprochèrent les uns des autres, pour se protéger, Ronon qui avait sortit son épée ne se souciait plus du sors des pauvres gens qu’il tuait. John en faisait de même ainsi que Teyla avec leur propres moyens jusqu’au moment, ou Ronon s’éloigna, il tua un des hommes se retourna pour faire de même avec la personne qui se trouvait derrière lui mais son épée se heurta à celle de la personne, il fut alors désarmé avec une facilité déconcertante. La personne pivota sur elle-même et arrêta son geste à deux minimètres de la gorge de Ronon qui ravala sa salive, John et Teyla qui regardaient la scène en étaient pétrifiés, jusque là, dans un combat à la loyale, personne n’avait pu désarmer Ronon aussi simplement. La personne mit un coup de pied dans le ventre de Ronon puis ordonna à ses hommes de les emmener.
Ronon tournait comme un lion en cage, il faisait les cents pas sous les regards de Teyla et John.

John : vous ne voulez pas vous poser un peu ?
Ronon : non !
John : bon, ok vous avez été battu, mais ça arrive à tout le monde !
Ronon : non pas à moi !
John : Ronon ce n’est pas en ruminant que vous aller comprendre pourquoi c’est arriver.
Ronon frappant contre la grille : je veux parler à votre chef !

Un homme entra et s’approcha de lui.

L’homme : que lui veux tu à mon chef ?
John : nous aimerions savoir d’où votre chef tiens cette fabuleuse technique de combat, car pour battre Ronon faut le faire !
L’homme regardant Ronon : lui, il est facile à battre !

Ronon avait le regard noir, il se promettait à lui-même qu’une fois qu’il sortirait de cet endroit il lui ferait la peau.

John : où est votre chef ?
L’homme : pas ici !
John : où ?
L’homme : sur une autre planète.
Rodney : ah ah ah ! Très drôle, je suis mort de rire vous voyez !
John : combien de temps allez-vous nous garder ?
L’homme : jusqu'à que nous nous en allions.
John regardant Ronon : nous n’avons pas ce temps.
L’homme : vous le prendrez !
John : non, vous ne comprenez pas ! Cet homme est un Runner !
L’homme : lui aussi ?
John surpris : vous en connaissez d’autres ?
L’homme se rattrapant : non !
Ronon : votre chef en est un !
L’homme : non non non !
John : y’a un peu trop de non pour que se soit vrai ça !
Ronon : je dois lui parler, nous pouvons l’aider !
John : il n’a pas tord.
L’homme : je vous ai dit que mon chef n’était pas là
John s’asseyant : bien, alors on vas l’attendre !

Une jeune femme entra alors dans la salle, elle ordonna à l’homme de s’en aller, ce qu’il fit.

La femme : vous devez partir !
John : je viens de dire à cet homme que nous restions ici !
La femme acquiescent : l’homme n’a rien à dire ni à faire, il suis nos ordre c’est tout.
John : quoi ?
La femme à Teyla : sais tu combattre ?
Teyla s’approchant des barreaux : oui.
La femme : bien, nous aurons besoin de toi !

Elle ouvrit la porte de la cellule, et invita Teyla à sortir, bien entendu, Ronon qui ne l’entendait pas de ce point de vu voulu sortir également, la femme referma la porte juste après Teyla.

La femme : vous vous restez ici, nous verrons plus tard si vous nous êtes d’une quelconque utilité !
John : je connais une utilité moi !
Rodney : je me demandais quand vous lui feriez des avances !
La femme : tais toi !
Ronon : faites nous sortir de là !
La femme : ce n’est pas à moi de décider !

Puis elle s’en alla avec Teyla. Deux heures plus tard Teyla entra dans la salle, elle semblait aller bien, elle était seule, elle s’approcha de la grille, John s’approcha d’elle.

John : alors ?
Teyla : il semblerait que sur cette planète se soient les femmes qui commandent, je n’ai vu que deux ou trois hommes.
Rodney : Génial, on est tomber sur des amazones !
Teyla : des amazones ?
Rodney : en fait c’est une colonie de femme qui vivent entre elles, sans hommes, elle se battent très bien, et utilisent les hommes qui pour la reproduction.
John : vous savez, si je peux rendre service !
Rodney : je ne doute pas de votre dévouement Colonel, mais nous ferions mieux de nous en aller !
Teyla : vous ne pouvez pas partir.
Rodney : quoi ? Attendez, nous sommes dans la prison, vous dehors, alors ça doit pas être sorcier de nous faire sortir de là !
Teyla : leur chef, est un Runner.
Rodney : Manquait plus que ça, les Wraiths vont nous tomber dessus.
John : ne soyez pas aussi pessimiste !
Ronon : dites leur qu’on peu les aider en échange de notre liberté.
Teyla : le problème est là, leur chef veut vous garder.
Rodney : je vous l’ai dit, elles veulent se servir de nous.
John le taquinant : je pensez pas que ça vous déplairais pourtant !
Rodney : je ne veux pas que l’on abuse de mon corps !
John : comme si c’était vrai !
Rodney : colonel, je suis sérieux !
John : moi aussi, quand aurez vous l’occasion d’avoir une amazone dans votre lit si ce n’est en ce moment ?
Rodney : vous semblez douter de mon pouvoir de séduction Colonel.
John : en effet, je doute !
Rodney : sachez que beaucoup de femme dans la cité son folles amoureuses de moi.
John : citez m’en une !
Rodney réfléchissant : euh, … par exemple …. Euh ….. le Dr. Weir !
Ronon : vous vous trompez, elle à pitié de vous c’est tout, maintenant Teyla faites nous sortir de là !
Teyla : je ne peux pas je suis désolée ! Ce soir elles viendront vous chercher.

Puis elle les laissa, la tristesse se lisait sur son visage, John le vit. Ce dernier se retourna vers Ronon et Rodney.

John : bon, ce soir, ben que voulez vous que je vous dise, éclater vous, si ça se trouve se seras notre dernier soir.
Rodney : vous voulez qu’on se laisse abuser ?
John : Rodney ! Ces femmes doivent êtres magnifiques !
Rodney : ouais, ou avec des poils aux jambes, grosses et sentant fort !
John levant un sourcil : c’est pas la caricature des amazones que je me faisait, vous venez de me casser mon rêve !
Rodney : je ne sais pas si vous le savez mais je suis précieux à l’expédition Atlantis, mon corps est précieux, et personne ne dois en disposer comme bon lui semble.
Ronon : vous n’avez pas le choix !
John : ah vous voyez, même lui il est d’accord !
Ronon : vous entrez dans la chambre de cette.. (Il chercha le mot) Amazone, et vous la tuez au moment ou elle s’y attend le moins, et vous partez !
John : je n’avais pas la même vision des choses.
Ronon : ben c’est la mienne !
John : le principe de prendre du plaisir, vous connaissez ?
Ronon : nous ne sommes pas là pour prendre du bon temps Colonel.
John : oui, mais si on vous le propose, il ne faut pas le refuser  c’est la moindre des politesse.

La nuit était tombée, Rodney faisait les cents pas dans la cellule, Ronon lui aiguisait son énième couteau qu’il avait trouvé cette fois-ci dans sa chaussure.

John : un jour faudra vraiment compter combien vous avez de couteaux sur vous.
Ronon : c’est quand vous voulez !
John : pas pour tout de suite !

Ronon se leva en donna un à Rodney et un autre à John.

Rodney le couteau dans la main : vous voulez que je fasse quoi avec ça ?
Ronon : tuer la femme avec qui vous serez !
Rodney : oh !
John : nous ne devrions pas faire ça, que font les amazones selon la légende ?
Rodney : elles se servent des hommes et les renvoient chez eux après !
John : ben voilà, on les aide à avoir ce qu’elles veulent et on s’en va !
Ronon : non !
Rodney qui était à deux doit d’acquiescer ce qu’avait dit John : je suis d’accord avec Ronon.
John : eh ! Vous n’aviez pas l’air contre mon idée.
Rodney : oui, mais je pensais être le seul contre, comme je ne le suis pas, je vous dit non !

Une porte claqua, puis une dizaine de jeunes femmes descendirent et se placèrent face à la prison.

Une des femme : le grand costaud, suis nous, sans faire d’histoire, notre chef veux te voir !


Rodney et John se tournèrent vers Ronon. Ce dernier s’approcha de la grille, la jeune femme le fit sortir, à la grande surprise de John, il ne tenta rien, puis il partit accompagné des jeunes femmes. John était surpris, très surpris, il se retourna vers Rodney.

John : ah mon avis, il veut vraiment voir leur chef !
Rodney : oui, et nous on reste là !

Ronon fut laisser dans une pièce un lit était au centre, il y avait plein de statuettes, d’arme et autres objet, il s’assit sur le lit.

Une voix : alors toi aussi tu es un Runner.
Ronon prenant son couteau : montrez vous !
La voix : pour me tuer ?
Ronon : non !
La voix : tu sais bien que tu me tueras, dés que tu me verras, j’ai vu cette promesse dans tes yeux !

Deux jeunes femmes entrèrent, elle attachèrent les mains de Ronon aux barreaux du lit puis elles lui mirent un bandeau sur les yeux et sortirent de la pièce.

La voix : là se seras déjà plus équitable.
Ronon : qui êtes vous ?
La voix : une personne très intéressée par toi !
Ronon : une amazone !
La voix : je ne sais pas ce que c’est !
Ronon : est-ce vous la Runner ?
La voix : oui, j’en suis une, tout comme toi.
Ronon : Je ne le suis plus.
La voix : on ne peux pas ne plus être un Runner.
Ronon : si !

Ronon sentit qu’elle s’approchait de lui, il sentait qu’elle le frôlait. Il sentit à présent son souffle sur son visage, ses mains parcouraient le torse de Ronon, qui essayait tant bien que mal de se défaire de ses liens.

La voix : penses tu que je t’aurais amener ici, sans prendre des précautions ?
Ronon : je l’avais espéré !
La voix : c’est mal me connaître.
Ronon : que veux tu ?
La voix : mais toi bien sur !

Elle commença alors à embrasser le visage de Ronon, qui ne se laissait pas faire ce que la jeune femme remarqua rapidement.

La jeune femme : bon, tu ne veux pas jouer ?
Ronon interpeller par cette expression : jouer ?
La jeune femme : ok tu veux être stimuler, c’est tout à ton honneur ! On passe à un niveau supérieur !

La jeune femme se tenait droite devant Ronon, elle s’arrangea un peu, coiffant ses cheveux bruns, rajustant ses vêtements, qui n’étaient pas très couvrant, puis elle s’approcha de lui, elle prit une grande inspiration et lui enleva le bandeau. Ronon la regardait, il ne se débattait plus, il ne pouvait décrocher son regard des yeux bleus de la jeune femme. Elle l’embrassa à nouveau, il n’émis pas de résistance bien au contraire. Elle lui délia les mains, il serra la jeune femme dans ses bras la fit pivoter se retrouvant au dessus d’elle, puis il plongea son regard dans le sien caressant son visage du revers de la main.

Dans la cellule John et Rodney faisaient les cents pas, cela faisait deux heures que Ronon était parti et ils commençaient à vraiment beaucoup s’inquiéter.

John : mais qu’est ce qu’il fou ?
Rodney songeur : pourquoi je ne suis pas comme lui ?
John : c’est inquiétant !
Rodney toujours dans ses pensée : je m’amuserais bien si j’étais comme lui, combien de femme je pourrais séduire ? Beaucoup cela va de soit, rien qu’avec mon humour parfait, et mon géni.

Teyla elle était prés d’un feu, elle guettait l’entrée de la pièce dans laquelle Ronon était entré. Une jeune femme vint prendre place à ses cotés, puis la regarda.

La jeune femme : tu te demande ce qu’il font ?
Teyla : en effet, cela fait un moment qu’ils sont à l’intérieur.
La jeune femme : oui je dois avouer qu’il est endurant.
Teyla : endurant ??
La jeune femme : je ne sais pas si tu l’a remarquer, mais nous sommes que des femmes ici, nous avons besoin d’homme pour notre propre plaisir, mais aussi pour perpétuer notre race.
Teyla : vous voulez dire qu’elle utilise Ronon ?
La jeune femme : oui, tout comme nous allons utiliser les autres qui sont enfermés, Kara est notre chef, elle à l’honneur de choisir, en premier l’homme qu’elle veux, et de passer la première nuit avec lui.

Ronon se coucha à coté de Kara, celle-ci glissa sa main dans la sienne.

Kara : qui aurais pu croire que je te retrouverais ici, dans ces conditions.
Ronon : personne, je te croyais morte.
Kara : comme tu peux le voir je suis bien en vie !
Ronon souriant : et en forme !
Kara souriant également : oui, mais ça je l’ai toujours été !
Ronon : en effet.

Il se leva et commença à rechercher ses vêtements qui étaient disséminés, un peu partout dans la pièce et s’habilla. Kara s’assis dans le lit et le regarda faire.

Kara : qu’est ce que tu fais ? C’est nouveau tu t’en vas au petit matin ?
Ronon : tu comprendras, me connaissant aussi bien que toi, que je ne peux pas rester !
Kara : mais on à besoin d’homme !
Ronon : non, vous avez besoin de vivre, de trouver une personne qui vous corresponde, mais pas de vivre ainsi, je suis sur que les jeunes femmes qui sont ici, rêve de trouver un homme qu’elles puissent aimer, c’est comme ça sur toutes les planètes que j’ai visiter, et les femmes de ce clan ne doivent pas échapper à la règle.
Kara : trop d’entre nous on souffert de la perte de leur amour, ou de la trahison.
Ronon : même après 8 ans, je n’ai pas rencontrer d’autres femme, ni voulu en rencontrer d’autres, maintenant à toi de voir, si tu préfère vivre comme ça, et te servir des hommes, ou venir avec moi, et prendre de le risque de souffrir un jour.
Kara se levant tout en s’enroulant dans le drap : je ne te laisserais pas partir !
Ronon : tu as beau savoir me désarmer aisément, jamais tu ne m’obligeras à faire ce que je ne veux pas faire.
Kara : tu es tout comme moi un Runner, nous n’avons pas de vie, nous devons fuir, sans se soucier du reste.
Ronon : je ne suis plus un Runner j’ai été libéré.
Kara : ce n’est pas possible !
Ronon : là ou je suis, il y a un docteur, qui peu te libéré si tu le souhaite.
Kara : personne ne peut me libéré.
Ronon : comment crois tu que je fasse pour échapper aux Wraiths ?
Kara : tu fuis, comme tu as toujours fait !
Ronon faisant non de la tête : plus maintenant !

Puis il quitta la pièce devant les regards des jeunes femmes, Teyla s’approcha de lui.

Teyla : ça va ?
Kara sortant : jamais tu ne me quitteras Ronon !
Ronon : ce n’est pas à toi de décider, je suis libre maintenant, et ce n’est pas toi qui vas me dicter ma conduite !

Toutes les jeunes femmes étaient étonnées qu’il parle sur ce ton à leur chef. Une jeune femme s’approcha de lui et lui mit un coup derrière les genoux, le faisant tomber.

La jeune femme : demande pardon pour ton arrogance et ton impertinence !
Teyla : laissez le !

Kara s’approcha de lui, toujours enroulée dans le drap.

Kara les larmes aux yeux : je ne veux pas servir les hommes !
Teyla : sur Atlantis les femmes ne servent pas les hommes, nous sommes tous égaux.
Kara : aucun peuple n’agit comme ça !
Teyla : si ! j’ai tout autant que vous était étonné de leur manière de vivre, bien que moi, dans mon peuple, j’ai une place assez haute, mais leur peuple fonctionne ainsi, les hommes respectent les femmes, tout autant que les femmes respectent les hommes.
Une des femmes : nous devrions y aller, si cela peu nous sauver, nous n’aimons pas la manière dont les hommes nous traitent, mais nous ne sommes pas mieux.
Kara : c’est ce que vous voulez ? Vraiment ?
Toutes les femmes : oui !

Ronon se releva, Kara partit dans la pièce d’où elle sortait, Teyla elle regarda Ronon, puis alla libérer John et Rodney.

John lui était allongé, il dormait, Rodney aussi, Teyla ouvrit la cellule, le bruit du fer rouillé ne les avait même pas réveillés. Teyla s’approcha de John, puis doucement l’appela, ce dernier se réveilla, en voyant le visage de Teyla un sourire se dessina sur son visage.

John : Ronon les as tuées ?
Teyla souriant : non, elles viennent sur Atlantis.
John : c’est Caldwell qui va être heureux de voir les amazones sur Atlantis.
Teyla : nous ne pouvions pas faire autrement.
John se levant : où est Ronon ?
Teyla : sûrement avec Kara.
John : ah ! Et qui est Kara ?
Teyla : leur chef !

Une fois à la porte des étoiles Rodney composa le code, il passa en premier suivit par Teyla puis toutes les amazones excepté Kara, John ferma la marche, Ronon lui attendait tout comme Kara. La porte se referma, elle se mit face à lui.

Kara : j’ai tout de suite reconnu ta manière de combattre, ce n’est pas pour rien que je t’ai choisi toi, et pas un autre.
Ronon : je ne t’ai rien demandé !
Kara : je sais, mais je veux te le dire. Au fond de moi j’ai toujours espéré que tu viendrais par la porte des étoiles, pour me sauver. Je ne pensais pas qu’un jour ça pouvait se réaliser.
Ronon : comment en est tu venu à les commander ?
Kara s’asseyant sur un rocher : je fuyais les Wraiths, de plus j’avait entendu dire, que tu étais mort ; j’était anéantie, quand je les aient rencontrées, leur chef avait été tuée, par un homme. Je les aie sauvées d’un Wraith, depuis je suis devenue leur chef, et leur vie, sans mes hommes ne m’a parue pas si mauvaise, au moins elles ne souffraient pas, comme moi je souffrais de t’avoir perdue.

Sur Atlantis les filles passèrent la porte sous les regards fort intéressés des militaires qui se réjouissaient de voir des femmes arriver, et elles qui se réjouissaient de voir des hommes aussi capturés par elles. D’ailleurs Carson en voyant arriver toutes ces jeunes femmes à l’infirmerie, en perdit son langage de médecin, laissant place à un dialecte bien connu des hommes qui ne savent quoi dire devant un fait qu’il ne pensaient pas réel.

FIN.

personne il aime ma fic?

Je la lis et je te dis ce que j'en pense

ok merci brooke!

J'adore !!!! La suite !!!!!

Troooop délir c'te fic J'adore ^^ Les p'tites pointes d'humour et cette mystérieuse Kara...
Tout ça mérite une suite :D
Bravo

PS : Pauvre Carson !! xD

merci pour vos comms! donc c'est partit pour une suite je l'écrit dés que j'en ai le temps! j'ai qu'une chose a dire ça vas donner sur Atlantis lol!

lool! J'attends ça avec impatience xD Ca va péter sur la cité

lol c'est clair que ça seras comique, je l'écrirais ce soir quand j'enregistrerais SGA et SG-1

Okkkkkkk!!! Bon visionnage

comme demandé voilà une mini suite :

Elizabeth fut rejoins dans son bureau par John, il prit place devant elle, elle attendait ses explications.

John : on n’a pas pu faire autrement ! Et puis faut que le doc s’occupe de la jeune femme qui vas venir avec Ronon, c’est une Runner … on dit bien une ?
Elizabeth : quoi ?
John : on dit un ou une Runner?
Elizabeth : ce n'est pas ma question qu'est ce que Ronon fait?
John : il est sur une planète avec une femme et ils attendent Becket là bas!Elizabeth : attendez …
Caldwell arrivant : qui sont toutes ces femmes dans la cité, elles déconcentrent les hommes !
John tout sourire : c’est des amazones, jolies hein ?
Caldwell : Dr Weir dites moi que c’est une plaisanterie !
Elizabeth : j’ai bien peur que non Colonel. (Radio) Dr Becket vous êtes demandé en salle d’embarquement.
Caldwell : pourquoi appeler Becket ?
Elizabeth : une des amazones est toujours sur la planète c’est une Runner !
Caldwell : comme Ronon ?
John : oui, et quelque chose me dit que ce n’est pas la seule chose qu’ils ont en commun.
Teyla arrivant à son tour : elle sont toutes avec le dr. Becket.
John se levant : comme il pars, je vais aller surveiller ses jeunes femmes ! Histoire qu’elles ne soient pas trop perdues !
Caldwell : faites donc !

John partit alors très content et au pas de course. Caldwell percutât après coup ce qu’il l’avait autoriser à faire, c’est surtout le regard insistant et réprobateur d’Elizabeth qui lui fit comprendre. Il se retourna vers Teyla.

Caldwell : ça ne vous dérange pas d’aller le surveiller, histoire de voir s’il se comporte bien, car je doute que au milieu de toutes ces jeunes femmes il garde la tête froide.
Teyla en partant : ne vous ne faites pas je vais le surveiller.
Caldwell : merci Teyla.

Sur la planète Kara faisait les cents pas devant le regard impassible de Ronon.

Kara : il en met du temps ton …. Ton quoi déjà ?
Ronon : Docteur !
Kara : oui ton docteur !
Ronon : laisse lui le temps de venir, et puis de voir toutes ces filles ça l’a peut être perturber.
Kara : et toi ça t’a perturber ?
Ronon : rien ne me perturbe !
Kara : mais bien sur ! Et tu crois que je vais te croire là !
Ronon : ce n’est pas mon problème !

La porte se mit en action avant que Kara ait pu les répondre quoi que se soit. Becket passa la porte avec son matériel Ronon l’aida à tout porter, puis Carson s’approcha de Kara.

Carson : bonjour mademoiselle, alors vous avez une puce dans le bas du coup c’est ça ?
Kara : en effet !
Carson : bien ! Anesthésie ou non ?
Kara : quoi ?
Ronon : il t’endort ou pas ? Je te préviens de suite si il t’endort après tu es pas bien !
Kara : je ne veux pas de votre truc !
Carson surpris : bien, mais ça vas vous faire mal !
Ronon : ne vous ne faites pas pour elle !
Kara se tournant vers Carson : une petite alors !

A suivre …

Ben la suite elle est où ? Pauvre John, Teyla va le tuer s'il ose touché à une de ces filles !

^^ trop drôle J'attends la suite Lana

j'adore elle est trop bien ta fic