Les fées ne meurent jamais...
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Les fées ne meurent jamais...
John avait été éblouit par la beauté d'Elisabeth. Tous les jours déjà, il trouvait qu'elle était plutôt jolie et pleine de charme ; mais là, lorsqu'il l'avait vu dans ce costume de cérémonie, prêté par le peuple de la planète sur laquelle ils avaient débarqués, il n'avait pu s'empêcher de faire un commentaire.
- Vous êtes ravissante Elisabeth...
Elle lui sourit.
- Merci.
Elle avait rougi légèrement lorsqu'elle avait entendu le compliment du colonel, mais cela ne c'était pas remarqué ; il faisait sombre et seul le grand feu au milieu du village éclairait cette douce nuit.
Elisabeth vînt s'asseoir entre John et le chef du village. Le peuple que dirigeait ce dernier était assez primitif, mais prés du village se trouvait des ruines sur lesquelles ont pouvait distinguer différentes sortes d'écritures, plus ou moins anciennes. Après le signalement de cette découverte, le Dr Weir était venu sur cette planète rejoindre l'équipe du colonel en temps que linguiste.
Le chef du village avait profondément insisté pour qu'elle et ses hommes assistent à la cérémonie en l'honneur d'une étoile qu'ils avaient nommés Isméria. Ce peuple la vénérait, car selon d'anciennes croyances héritées de leurs ancêtres, Isméria a le pouvoir bonheur et amour a quiconque se montrait noble et généreux.
John ne voyait pas l'intérêt d'assister à cette cérémonie qui, selon lui, ne leur apporterait rien de plus. Mais Mc Kay avait vivement protesté à cette remarque, prétendant qu'il était impoli de refuser et que cela serait sûrement pris comme une offense.
Finalement, le Dr Weir céda lorsque Teila lui dit que cette cérémonie servirait grandement à améliorer les futures relations entre Atlantis et ce peuple.
Elisabeth fut presque contrainte a porté la tenue de cérémonie, en tant que chef de son peuple. Rodney lui fit signe dans le dos du chef de ne surtout pas refuser.
A présent, elle se sentait un peu mal à l'aise dans ces vêtements qu'elle jugeait trop serrés et surtout trop courts. Ils étaient fabriqués en peau tannée et colorés en rouge terre. C'était une jupe moulante des hanches jusqu'à mi-cuisses et s'élargissant pour finir flottante au dessus des genoux. Le haut était un bustier qui laissé voir son ventre plat et la femme qui l'avait aidé à s'habiller lui avait également donné un long collier de perles blanches nacrées.
Elle n'avait pas était autorisée à remettre ses rangers de mission. « Cela ne va pas avec votre tenue » lui avait-on déclaré.
- Vous êtes ravissante Elisabeth...
Elle lui sourit.
- Merci.
Elle avait rougi légèrement lorsqu'elle avait entendu le compliment du colonel, mais cela ne c'était pas remarqué ; il faisait sombre et seul le grand feu au milieu du village éclairait cette douce nuit.
Elisabeth vînt s'asseoir entre John et le chef du village. Le peuple que dirigeait ce dernier était assez primitif, mais prés du village se trouvait des ruines sur lesquelles ont pouvait distinguer différentes sortes d'écritures, plus ou moins anciennes. Après le signalement de cette découverte, le Dr Weir était venu sur cette planète rejoindre l'équipe du colonel en temps que linguiste.
Le chef du village avait profondément insisté pour qu'elle et ses hommes assistent à la cérémonie en l'honneur d'une étoile qu'ils avaient nommés Isméria. Ce peuple la vénérait, car selon d'anciennes croyances héritées de leurs ancêtres, Isméria a le pouvoir bonheur et amour a quiconque se montrait noble et généreux.
John ne voyait pas l'intérêt d'assister à cette cérémonie qui, selon lui, ne leur apporterait rien de plus. Mais Mc Kay avait vivement protesté à cette remarque, prétendant qu'il était impoli de refuser et que cela serait sûrement pris comme une offense.
Finalement, le Dr Weir céda lorsque Teila lui dit que cette cérémonie servirait grandement à améliorer les futures relations entre Atlantis et ce peuple.
Elisabeth fut presque contrainte a porté la tenue de cérémonie, en tant que chef de son peuple. Rodney lui fit signe dans le dos du chef de ne surtout pas refuser.
A présent, elle se sentait un peu mal à l'aise dans ces vêtements qu'elle jugeait trop serrés et surtout trop courts. Ils étaient fabriqués en peau tannée et colorés en rouge terre. C'était une jupe moulante des hanches jusqu'à mi-cuisses et s'élargissant pour finir flottante au dessus des genoux. Le haut était un bustier qui laissé voir son ventre plat et la femme qui l'avait aidé à s'habiller lui avait également donné un long collier de perles blanches nacrées.
Elle n'avait pas était autorisée à remettre ses rangers de mission. « Cela ne va pas avec votre tenue » lui avait-on déclaré.
Re: Les fées ne meurent jamais...
Elle était donc pieds nus, assise en tailleur entre son colonel et le chef du village. Ce dernier se leva et prononça une sorte d'incantation en regardant le ciel brillant d'étoiles. Mc Kay prenait des notes, Teyla écoutait et le colonel Sheppard ne cessait de lui jeter des regards en coin.
Il la trouvait d'autant plus magnifique que la lumière du feu illuminait son visage, créant des reflets dans ses yeux qui l'hypnotisaient. Il se contenait pourtant de la regarder sans cesse, il ne voulait pas que l'on croie des choses...
La cérémonie terminée, le chef les conduisit dans leurs abris respectifs, monté pour l'occasion par les habitants. Ils étaient simples, constitués principalement de bois, il y avait malgré tout quelques tôles de fer pour faire le toit.
Alors que tout le monde dormait, le Dr Weir était encore éveillée. Elle n'arrivait pas a trouver le sommeil.
Soudain, elle entendit du bruit, comme un craquement : quelqu'un approchait. Un instant plus tard, elle vît le pan de tissu servant de porte se soulever. Elle attrapa le poignet de l'inconnu, l'attira vivement à elle puis le plaqua au sol, sur le ventre, et s'asseyant à califourchon sur lui, elle lui tînt fermement le bras dans le dos, afin qu'il ne puisse plus bouger. Elle avait beau être une civile, à force de fréquenter des militaires, elle avait appris à se défendre.
- Elisabeth...c'est moi...
- Sheppard ? s'exclama t-elle en le libérant.
John se releva et massa son poignet meurtri.
- Je suis désolé colonel, je ne pensais pas que c'était vous.
- Ca ne fait rien...Vous avez des sacrés réflexes, lui dit-il en lui souriant.
Elisabeth lui rendit son sourire.
- Que faîtes-vous ici ? , lui demanda t-elle
- Je n'arrivais pas à dormir, je suis sorti faire un tour, puis j'ai entendu du bruit dans votre tente, alors j'ai pensé que vous ne dormiez pas...
- J'ai du mal à trouver le sommeil ces temps-ci...
- Quelque chose vous préoccupe ? lui demanda t-il doucement
Elisabeth baissa les yeux, troublée par ceux du colonel dans lesquels elle voyait brillé une lueur d'inquiétude. Elle refusait de l'ennuyer avec ses problèmes personnels qui, de toute les façons, ne concernait qu'elle. Simon l'avait quitté mais elle s'en remettrait toute seule... Elle n'avait pas besoin d'aide pour ça...
-Non, répondit-elle un peu brusquement, Tout va bien...merci... Vous devriez quand même essayer de dormir un peu, repris t-elle en tentant de cacher son trouble.
Elle aurait tellement voulu lui dire de rester. Elle avait besoin de parler. Mais son cerveau (sans doute la partie raisonnable) lui dictait le contraire. Si il restait, Elisabeth allait faire une bêtise, elle le savait pertinemment.
Il la trouvait d'autant plus magnifique que la lumière du feu illuminait son visage, créant des reflets dans ses yeux qui l'hypnotisaient. Il se contenait pourtant de la regarder sans cesse, il ne voulait pas que l'on croie des choses...
La cérémonie terminée, le chef les conduisit dans leurs abris respectifs, monté pour l'occasion par les habitants. Ils étaient simples, constitués principalement de bois, il y avait malgré tout quelques tôles de fer pour faire le toit.
Alors que tout le monde dormait, le Dr Weir était encore éveillée. Elle n'arrivait pas a trouver le sommeil.
Soudain, elle entendit du bruit, comme un craquement : quelqu'un approchait. Un instant plus tard, elle vît le pan de tissu servant de porte se soulever. Elle attrapa le poignet de l'inconnu, l'attira vivement à elle puis le plaqua au sol, sur le ventre, et s'asseyant à califourchon sur lui, elle lui tînt fermement le bras dans le dos, afin qu'il ne puisse plus bouger. Elle avait beau être une civile, à force de fréquenter des militaires, elle avait appris à se défendre.
- Elisabeth...c'est moi...
- Sheppard ? s'exclama t-elle en le libérant.
John se releva et massa son poignet meurtri.
- Je suis désolé colonel, je ne pensais pas que c'était vous.
- Ca ne fait rien...Vous avez des sacrés réflexes, lui dit-il en lui souriant.
Elisabeth lui rendit son sourire.
- Que faîtes-vous ici ? , lui demanda t-elle
- Je n'arrivais pas à dormir, je suis sorti faire un tour, puis j'ai entendu du bruit dans votre tente, alors j'ai pensé que vous ne dormiez pas...
- J'ai du mal à trouver le sommeil ces temps-ci...
- Quelque chose vous préoccupe ? lui demanda t-il doucement
Elisabeth baissa les yeux, troublée par ceux du colonel dans lesquels elle voyait brillé une lueur d'inquiétude. Elle refusait de l'ennuyer avec ses problèmes personnels qui, de toute les façons, ne concernait qu'elle. Simon l'avait quitté mais elle s'en remettrait toute seule... Elle n'avait pas besoin d'aide pour ça...
-Non, répondit-elle un peu brusquement, Tout va bien...merci... Vous devriez quand même essayer de dormir un peu, repris t-elle en tentant de cacher son trouble.
Elle aurait tellement voulu lui dire de rester. Elle avait besoin de parler. Mais son cerveau (sans doute la partie raisonnable) lui dictait le contraire. Si il restait, Elisabeth allait faire une bêtise, elle le savait pertinemment.
Re: Les fées ne meurent jamais...
Il la fixa intensément, essayant de deviner ce qu'elle lui cachait, mais elle ne pu soutenir longtemps son regard et baissa les yeux, ne voulant pas laisser paraître sa détresse...John quitta alors l'abri d'Elisabeth lui souhaitant une bonne nuit.
Elisabeth fut réveillée par un rayon de soleil qui vînt lui chatouiller la joue. Elle se leva et se rendit compte qu'elle avait dormi avec sa tenue de cérémonie. Elle se changea donc rapidement, puis sortit. Le colonel Sheppard et Teyla étaient assit autour des braises du feu de camps en compagnie de 3 personnes, et semblaient manger quelque chose.
John la vît en premier. Il se leva pour l'accueillir.
- Bien dormit ? lui demanda t-il.
- Si on veut...et vous ?
- Oui, pas longtemps mais bien !
Elle lui sourit puis s'assit à côté de lui. Mc Kay arriva alors qu'ils avaient finit de manger. Il refusa poliment de s'asseoir, prétextant qu'il n'avait pas faim (ce qui était faut bien entendu : Rodney Mc Kay a toujours faim !) et l'équipe du colonel ainsi que le Dr Weir prirent congé de leurs hôtes.
La routine avait repris ses droits sur la cité d'Atlantis. Les missions s'enchaînaient, toutes plus monotones les unes que les autres. Seul Mc Kay semblait encore s'amuser avec tous les objets anciens qu'il restait à étudier.
Elisabeth était dans son bureau et finissait de lire les derniers rapports de missions qui lui avaient été confiés. Soudain, on frappa doucement à la porte.
- Entrez, fit Elisabeth.
La porte s'ouvrit doucement et une jeune femme s'annonça timidement à Elisabeth.
- Bonjour...
- Bonjour. Vous êtes ? demanda Elisabeth en se levant pour accueillir l'inconnue.
- Linda Parkson, mon arrivée était prévue pour aujourd'hui...
Devant l'air surpris d'Elisabeth, Linda se demanda si elle ne s'était pas trompée de jour.
Le Dr Weir alla consulter le dossier des arrivées sur son ordinateur et s'aperçut effectivement qu'une certaine Mlle Parkson, 27 ans, docteur en langues et cultures anciennes était attendue pour aujourd'hui. Elisabeth se redressa et sourie à la nouvelle arrivante.
- Oui, c'est exact. Je vous souhaite la bienvenue sur Atlantis, dit-elle en lui serrant la main. Je suis le Dr Elisabeth Weir, c'est moi qui dirige cette base.
Linda, soulagée, lui sourie à son tour.
- Enchantée Dr Weir.
Elisabeth n'eut pas le temps de prononcer un mot de plus car on frappa à nouveau à la porte.
- Oui entrez !
La porte s'ouvrit sur le colonel Sheppard. Il s'apprêtait à dire quelque chose mais stoppa son geste lorsqu'il aperçut Linda. Il interrogea Elisabeth du regard.
- Colonel, je vous présente Linda Parkson, elle vient d'arriver sur Atlantis. Elle est ici pour aider le docteur Mc Kay dans ses recherches.
John s'avança vers la nouvelle arrivante et entreprit de lui serrer la main tout en lui offrant son plus beau sourire.
Elisabeth fut réveillée par un rayon de soleil qui vînt lui chatouiller la joue. Elle se leva et se rendit compte qu'elle avait dormi avec sa tenue de cérémonie. Elle se changea donc rapidement, puis sortit. Le colonel Sheppard et Teyla étaient assit autour des braises du feu de camps en compagnie de 3 personnes, et semblaient manger quelque chose.
John la vît en premier. Il se leva pour l'accueillir.
- Bien dormit ? lui demanda t-il.
- Si on veut...et vous ?
- Oui, pas longtemps mais bien !
Elle lui sourit puis s'assit à côté de lui. Mc Kay arriva alors qu'ils avaient finit de manger. Il refusa poliment de s'asseoir, prétextant qu'il n'avait pas faim (ce qui était faut bien entendu : Rodney Mc Kay a toujours faim !) et l'équipe du colonel ainsi que le Dr Weir prirent congé de leurs hôtes.
La routine avait repris ses droits sur la cité d'Atlantis. Les missions s'enchaînaient, toutes plus monotones les unes que les autres. Seul Mc Kay semblait encore s'amuser avec tous les objets anciens qu'il restait à étudier.
Elisabeth était dans son bureau et finissait de lire les derniers rapports de missions qui lui avaient été confiés. Soudain, on frappa doucement à la porte.
- Entrez, fit Elisabeth.
La porte s'ouvrit doucement et une jeune femme s'annonça timidement à Elisabeth.
- Bonjour...
- Bonjour. Vous êtes ? demanda Elisabeth en se levant pour accueillir l'inconnue.
- Linda Parkson, mon arrivée était prévue pour aujourd'hui...
Devant l'air surpris d'Elisabeth, Linda se demanda si elle ne s'était pas trompée de jour.
Le Dr Weir alla consulter le dossier des arrivées sur son ordinateur et s'aperçut effectivement qu'une certaine Mlle Parkson, 27 ans, docteur en langues et cultures anciennes était attendue pour aujourd'hui. Elisabeth se redressa et sourie à la nouvelle arrivante.
- Oui, c'est exact. Je vous souhaite la bienvenue sur Atlantis, dit-elle en lui serrant la main. Je suis le Dr Elisabeth Weir, c'est moi qui dirige cette base.
Linda, soulagée, lui sourie à son tour.
- Enchantée Dr Weir.
Elisabeth n'eut pas le temps de prononcer un mot de plus car on frappa à nouveau à la porte.
- Oui entrez !
La porte s'ouvrit sur le colonel Sheppard. Il s'apprêtait à dire quelque chose mais stoppa son geste lorsqu'il aperçut Linda. Il interrogea Elisabeth du regard.
- Colonel, je vous présente Linda Parkson, elle vient d'arriver sur Atlantis. Elle est ici pour aider le docteur Mc Kay dans ses recherches.
John s'avança vers la nouvelle arrivante et entreprit de lui serrer la main tout en lui offrant son plus beau sourire.
Re: Les fées ne meurent jamais...
- Enchanté docteur. Je suis le colonel Sheppard. Mais appelez-moi John.
- Merci...John. Dans ce cas appelez-moi Linda, lui dit-elle en répondant à sa poignée de main.
John lui sourit à nouveau tout en la détaillant discrètement. Il la trouvait d'une beauté époustouflante. Elle était métisse et ses cheveux lisses encadraient son joli visage où brillaient 2 magnifiques yeux bleus vert. Elle faisait une tête de moins que lui et tous ses gestes respiraient la fraîcheur et la vitalité.
Il fut interrompu dans sa contemplation par Elisabeth.
- Colonel, vous vouliez me dire quelque chose ?
Reprenant ses esprits, il répondit :
- Euh...non, je passer juste pour voir...si vous aviez besoin de mon aide...pour vos rapports...
- Non, mais je vous remercie d'avoir pensez à moi colonel, répondit Elisabeth en lui souriant gentiment. Mais maintenant que vous êtes là, voudriez-vous faire visiter les lieux à notre nouveau docteur et lui monter ses quartiers ?
- Avec plaisir, répondit-il en souriant, non pas à Elisabeth, mais à Linda, qui lui rendit son sourire.
Sans plus attendre, John lui ouvrit la porte et en parfait homme galant, se chargea de ses bagages. Ils s'éloignèrent ainsi vers les nouveaux quartiers de Linda ; cette dernière riant déjà aux blagues douteuses du colonel.
Elisabeth les observa jusqu'à ce qu'ils aient disparut de son champ de vision. Elle avait eut un petit pincement au cœur lorsque les yeux baladeurs de John sur la nouvelle arrivante l'avaient détaillé avec une avidité peu commune. Mais elle ne pensait pas que cela irait plus loin entre eux...
Pendant ce temps là, John posa les bagages de Linda sur son lit et, tout en lui racontant différentes anecdotes comiques sur Mc Kay, la pris par la taille pour aller lui faire visité ses quartiers.
Elisabeth se trompait lourdement.
Voilà maintenant 3 mois que Linda était arrivée sur Atlantis. Elle s'était rapidement intégrée, tout le monde l'avait tout de suite apprécié. Elle était gentille, toujours très dévouée, même pour les travaux les plus ingrats.
Mais, étrangement, depuis 1 semaine, Linda se comportait très différemment avec Elisabeth. Plusieurs fois après certains briefings, cette dernière avait parlé à Linda. Mais sans qu'elle compris pourquoi, Linda lui parlait sèchement, la toisait. Mais toujours lorsqu'elles étaient seules car quand elle se trouvait en présence d'une autre personne, elle redevenait douce et souriante.
Malgré ces réactions, Elisabeth ne voulait pas lui attirer d'ennuis. Cela n'était pourtant pas son genre de laisser sans rien dire une affaire comme celle-ci. Mais la principale raison pour laquelle elle ne reprocha rien à Linda ; c'était John. Depuis que la nouvelle doctoresse était arrivée sur Atlantis, le colonel semblait l'avoir pris sous son aile et la défendait contre toutes les critiques. Et Elisabeth ne voulait surtout pas commettre un acte qui la rendrait détestable à ses yeux en réprimandant ou en renvoyant Linda. Depuis qu'elle avait failli le perdre lors de l'attaque des Wraiths contre Atlantis, elle s'était rendue compte des sentiments qu'elle éprouvait pour lui. Elle l'aimait. Oui, elle tenait à lui, de tout son cœur, de toute son âme et s'il venait à la détester, elle accumulerait gaffe sur gaffe ; elle le savait. Elle deviendrait incapable de diriger Atlantis, se heurtant sans cesse à John qui contesterait toutes ses décisions sans états d'âmes. Alors elle préférait lui laisser Linda, et garder les rares sourires qu'il lui adressait parfois.
- Merci...John. Dans ce cas appelez-moi Linda, lui dit-elle en répondant à sa poignée de main.
John lui sourit à nouveau tout en la détaillant discrètement. Il la trouvait d'une beauté époustouflante. Elle était métisse et ses cheveux lisses encadraient son joli visage où brillaient 2 magnifiques yeux bleus vert. Elle faisait une tête de moins que lui et tous ses gestes respiraient la fraîcheur et la vitalité.
Il fut interrompu dans sa contemplation par Elisabeth.
- Colonel, vous vouliez me dire quelque chose ?
Reprenant ses esprits, il répondit :
- Euh...non, je passer juste pour voir...si vous aviez besoin de mon aide...pour vos rapports...
- Non, mais je vous remercie d'avoir pensez à moi colonel, répondit Elisabeth en lui souriant gentiment. Mais maintenant que vous êtes là, voudriez-vous faire visiter les lieux à notre nouveau docteur et lui monter ses quartiers ?
- Avec plaisir, répondit-il en souriant, non pas à Elisabeth, mais à Linda, qui lui rendit son sourire.
Sans plus attendre, John lui ouvrit la porte et en parfait homme galant, se chargea de ses bagages. Ils s'éloignèrent ainsi vers les nouveaux quartiers de Linda ; cette dernière riant déjà aux blagues douteuses du colonel.
Elisabeth les observa jusqu'à ce qu'ils aient disparut de son champ de vision. Elle avait eut un petit pincement au cœur lorsque les yeux baladeurs de John sur la nouvelle arrivante l'avaient détaillé avec une avidité peu commune. Mais elle ne pensait pas que cela irait plus loin entre eux...
Pendant ce temps là, John posa les bagages de Linda sur son lit et, tout en lui racontant différentes anecdotes comiques sur Mc Kay, la pris par la taille pour aller lui faire visité ses quartiers.
Elisabeth se trompait lourdement.
Voilà maintenant 3 mois que Linda était arrivée sur Atlantis. Elle s'était rapidement intégrée, tout le monde l'avait tout de suite apprécié. Elle était gentille, toujours très dévouée, même pour les travaux les plus ingrats.
Mais, étrangement, depuis 1 semaine, Linda se comportait très différemment avec Elisabeth. Plusieurs fois après certains briefings, cette dernière avait parlé à Linda. Mais sans qu'elle compris pourquoi, Linda lui parlait sèchement, la toisait. Mais toujours lorsqu'elles étaient seules car quand elle se trouvait en présence d'une autre personne, elle redevenait douce et souriante.
Malgré ces réactions, Elisabeth ne voulait pas lui attirer d'ennuis. Cela n'était pourtant pas son genre de laisser sans rien dire une affaire comme celle-ci. Mais la principale raison pour laquelle elle ne reprocha rien à Linda ; c'était John. Depuis que la nouvelle doctoresse était arrivée sur Atlantis, le colonel semblait l'avoir pris sous son aile et la défendait contre toutes les critiques. Et Elisabeth ne voulait surtout pas commettre un acte qui la rendrait détestable à ses yeux en réprimandant ou en renvoyant Linda. Depuis qu'elle avait failli le perdre lors de l'attaque des Wraiths contre Atlantis, elle s'était rendue compte des sentiments qu'elle éprouvait pour lui. Elle l'aimait. Oui, elle tenait à lui, de tout son cœur, de toute son âme et s'il venait à la détester, elle accumulerait gaffe sur gaffe ; elle le savait. Elle deviendrait incapable de diriger Atlantis, se heurtant sans cesse à John qui contesterait toutes ses décisions sans états d'âmes. Alors elle préférait lui laisser Linda, et garder les rares sourires qu'il lui adressait parfois.
Re: Les fées ne meurent jamais...
Elisabeth marchait d'un pas rapide dans le couloir qui menait à ses quartiers. Elle avait travaillé une bonne partie de la nuit sur son ordinateur, il était 1h30 et elle ne rêvaitque d'une chose : aller rejoindre son lit.
Soudain un bruit étrange attira son attention. Elle ralentit l'allure. Le bruit se répéta. Il semblait provenir de la porte située juste en face d'elle.
« Les quartiers de John », réalisa t-elle avec stupeur.
Elle s'approcha de la porte, inquiète, essayant de faire le moins de bruit possible. Elisabeth écouta plus attentivement, s'efforçant de comprendre les chuchotements qui se faisaient entendre. Mais elle ne perçut aucun bruit.
« Peut-être l'avait-on entendu... ? », pensa t-elle avec inquiétude.
Mais un second chuchotement se fit entendre.
- Qu’est-ce qu’il y a ? demanda une voix.
- Rien...j’ai cru entendre quelque chose... répondit une autre voix.
Elisabeth s’accroupit derrière la plante verte à côté de la porte, mais personne ne vînt. Les chuchotements reprirent.
- Tu veux vraiment ?...
Elisabeth, interdite, reconnu la vois du colonel. Mais à qui parlait t-il ? Et qu’allait t-il faire ?
John repris :
- Toute la base sera rapidement au courant... Tout se sait ici...
- Je m’en fiche... Je t’aime !
Le cœur d’Elisabeth manqua un battement. Elle se figea sur place, n’osant plus respirer. Elle avait reconnu la voix de Linda.
Et comme ci cette phrase n’était pas suffisante, Elisabeth les entendit s’embrasser. Elle entendait leurs respirations, de plus en plus saccadées, et pouvait aisément s’imaginer ce qui se passait de l’ autre côté de cette porte. Pétrifiée par ce qu’elle avait compris, Elisabeth ne pouvait plus bouger. Pourtant elle refusait de rester là plus longtemps, mais son corps ne répondait plus. Son rêve était entrain de se réaliser à quelques mètres d’elle, mais ce n’était pas elle qui en profitait. Elle, elle n’était qu’une malheureuse auditrice de son rêve, de son propre rêve. Linda le lui avait volé.
Alors que des gémissements se faisaient entendre, Elisabeth prit soudain conscience qu’elle l’avait perdu. Elle avait perdu son rêve... elle avait perdu John... Elle n’avait plus aucune raison d’être !
Son cœur se serra, une boule apparue dans sa gorge et des larmes libératrices coulèrent sur ses joues... Son corps avait retrouvé sa mobilité, et tel un robot, elle se leva et se mit à marcher rapidement dans le couloir désert, non pas en direction de ses quartiers, mais vers la plate-forme où atterrissait habituellement le Dédale.
Pendant ce temps là, dans les quartiers de John, Linda s’allongea sur le lit et regarda son amant se déshabiller.
Elisabeth courait presque. Elle n’en voulait pas à John, ni à Linda. Elle s’en voulait à elle-même. Elle s’en voulait de ne pas avoir fait le premier pas. Elle s’en voulait de ne pas lui avoir dit combien elle tenait à lui, combien il était précieux à ses yeux, combien il représentait sa vie...
Soudain un bruit étrange attira son attention. Elle ralentit l'allure. Le bruit se répéta. Il semblait provenir de la porte située juste en face d'elle.
« Les quartiers de John », réalisa t-elle avec stupeur.
Elle s'approcha de la porte, inquiète, essayant de faire le moins de bruit possible. Elisabeth écouta plus attentivement, s'efforçant de comprendre les chuchotements qui se faisaient entendre. Mais elle ne perçut aucun bruit.
« Peut-être l'avait-on entendu... ? », pensa t-elle avec inquiétude.
Mais un second chuchotement se fit entendre.
- Qu’est-ce qu’il y a ? demanda une voix.
- Rien...j’ai cru entendre quelque chose... répondit une autre voix.
Elisabeth s’accroupit derrière la plante verte à côté de la porte, mais personne ne vînt. Les chuchotements reprirent.
- Tu veux vraiment ?...
Elisabeth, interdite, reconnu la vois du colonel. Mais à qui parlait t-il ? Et qu’allait t-il faire ?
John repris :
- Toute la base sera rapidement au courant... Tout se sait ici...
- Je m’en fiche... Je t’aime !
Le cœur d’Elisabeth manqua un battement. Elle se figea sur place, n’osant plus respirer. Elle avait reconnu la voix de Linda.
Et comme ci cette phrase n’était pas suffisante, Elisabeth les entendit s’embrasser. Elle entendait leurs respirations, de plus en plus saccadées, et pouvait aisément s’imaginer ce qui se passait de l’ autre côté de cette porte. Pétrifiée par ce qu’elle avait compris, Elisabeth ne pouvait plus bouger. Pourtant elle refusait de rester là plus longtemps, mais son corps ne répondait plus. Son rêve était entrain de se réaliser à quelques mètres d’elle, mais ce n’était pas elle qui en profitait. Elle, elle n’était qu’une malheureuse auditrice de son rêve, de son propre rêve. Linda le lui avait volé.
Alors que des gémissements se faisaient entendre, Elisabeth prit soudain conscience qu’elle l’avait perdu. Elle avait perdu son rêve... elle avait perdu John... Elle n’avait plus aucune raison d’être !
Son cœur se serra, une boule apparue dans sa gorge et des larmes libératrices coulèrent sur ses joues... Son corps avait retrouvé sa mobilité, et tel un robot, elle se leva et se mit à marcher rapidement dans le couloir désert, non pas en direction de ses quartiers, mais vers la plate-forme où atterrissait habituellement le Dédale.
Pendant ce temps là, dans les quartiers de John, Linda s’allongea sur le lit et regarda son amant se déshabiller.
Elisabeth courait presque. Elle n’en voulait pas à John, ni à Linda. Elle s’en voulait à elle-même. Elle s’en voulait de ne pas avoir fait le premier pas. Elle s’en voulait de ne pas lui avoir dit combien elle tenait à lui, combien il était précieux à ses yeux, combien il représentait sa vie...
Re: Les fées ne meurent jamais...
John, c’était son pire problème et sa plus grande source de joie. John, c’était son regard anxieux vers la porte des étoiles à chaque fois que son équipe rentrait d’une mission ; c’était toutes ces nuits blanches à penser à lui ; c’était son cœur qui battait la chamade à chaque fois qu’il lui souriait... John, c’était sa vie...
Maintenant qu’il était avec Linda, l’équation ne fonctionnait plus, elle n’avait plus aucune raison d’exister...
Soudain elle pensa à Mc Kay... Elle s’était beaucoup rapprocher de lui cette semaine grâce aux recherches qu’il effectuait. Et si elle allait le voir ? Bien sur, elle ne lui dirait pas ce qu’elle avait l’intention de faire avant le lever du jour, mais elle pourrait au moins lui dire ce qu’elle ressentait pour John. Ainsi, lorsqu’ils s’apercevraient de sa mort, Rodney lui dira pourquoi elle s’est tuée... Oui, c’était une bonne idée...
Elisabeth fit demi-tour et se dirigea vers les quartiers de Rodney. Elle essaya de se composer un visage a peu prés neutre, mais ce fût apparemment peine perdue puisque lorsque Mc Kay ouvrit sa porte, près à renvoyer l’importun qui osait venir le réveiller à 2h du matin, il la laissa entrer sans poser de questions. Il l’invita à s’asseoir sur son lit défait. Comme elle ne disait toujours rien, il lui demanda doucement :
- Elisabeth,...quelque chose ne va pas ?
Rassurer par le ton de sa voix et par la façon dont il l’avait appelée, elle leva la tête vers lui et lui dit :
- John...est entrain de... de faire l’amour avec Linda.
Elle avait dit ses derniers mots si vite, comme-ci elle avait peur des conséquences. Elle ne réalisait pas bien se qui était entrain de se passer, elle savait juste que son cœur s’était briser en 2 et qu’elle voulait le plus rapidement possible soulager cette terrible souffrance.
- Oh... fit Mc Kay, surpris, mais pas étonné.
Il comprenait très bien ce que cela signifiait pour elle. Il s’assit alors prés d’elle et lui dit d’un ton qui se voulait rassurant :
- Vous savez, il ne faut pas vous inquiéter pour ça. C’est juste une pulsion que tout les mâles normalement constitués ont un jour où l’autre ! Ne vous en faites pas, ça sera terminé au bout de 2 semaines, je connais John !
Elisabeth hocha la tête. Elle les avait observés ; depuis 3 mois, John n’était plus le même. Il l’aimait, cela se voyait.
- Non...vous avez tord Rodney... lui dit-elle en levant vers lui des yeux baignés de larmes.
Comprenant son désespoir, il s’assit à côté d’elle et passa un bras autour de ses épaules. Il ne savait pas trop quoi dire. Il n’avait jamais été doué pour consoler quelqu’un. Elisabeth se leva doucement et sourit à Rodney.
- Merci...
- De rien, répondit-il en se levant à son tour.
- Je crois que je ferais mieux d’aller me coucher...
- Oui, vous avez raison. Reposez-vous, ça ira mieux demain vous verrez !
Les larmes se remirent à couler le long des joues d’Elisabeth. Elle esquissa un pas vers Rodney. Il compris le message et la pris dans ses bras. Tout en la berçant doucement, il tenta de la rassurer.
- Ca va aller, vous verrez... Faites-moi confiance, ce n’est pas sérieux avec cette Linda ! Elle est trop superficielle. John vous a toujours aimé Elisabeth... et je ne crois pas que cet amour puisse être brisé par une simple fille de passage... Il vous le montrera ! Soyez patiente...
Elisabeth se dégagea doucement de l’étreinte du scientifique et lui sourit faiblement :
- Merci Rodney... Mais c’est trop tard désormais.... je n’y crois plus...
Et elle sortit rapidement des quartiers de son ami.
Maintenant qu’il était avec Linda, l’équation ne fonctionnait plus, elle n’avait plus aucune raison d’exister...
Soudain elle pensa à Mc Kay... Elle s’était beaucoup rapprocher de lui cette semaine grâce aux recherches qu’il effectuait. Et si elle allait le voir ? Bien sur, elle ne lui dirait pas ce qu’elle avait l’intention de faire avant le lever du jour, mais elle pourrait au moins lui dire ce qu’elle ressentait pour John. Ainsi, lorsqu’ils s’apercevraient de sa mort, Rodney lui dira pourquoi elle s’est tuée... Oui, c’était une bonne idée...
Elisabeth fit demi-tour et se dirigea vers les quartiers de Rodney. Elle essaya de se composer un visage a peu prés neutre, mais ce fût apparemment peine perdue puisque lorsque Mc Kay ouvrit sa porte, près à renvoyer l’importun qui osait venir le réveiller à 2h du matin, il la laissa entrer sans poser de questions. Il l’invita à s’asseoir sur son lit défait. Comme elle ne disait toujours rien, il lui demanda doucement :
- Elisabeth,...quelque chose ne va pas ?
Rassurer par le ton de sa voix et par la façon dont il l’avait appelée, elle leva la tête vers lui et lui dit :
- John...est entrain de... de faire l’amour avec Linda.
Elle avait dit ses derniers mots si vite, comme-ci elle avait peur des conséquences. Elle ne réalisait pas bien se qui était entrain de se passer, elle savait juste que son cœur s’était briser en 2 et qu’elle voulait le plus rapidement possible soulager cette terrible souffrance.
- Oh... fit Mc Kay, surpris, mais pas étonné.
Il comprenait très bien ce que cela signifiait pour elle. Il s’assit alors prés d’elle et lui dit d’un ton qui se voulait rassurant :
- Vous savez, il ne faut pas vous inquiéter pour ça. C’est juste une pulsion que tout les mâles normalement constitués ont un jour où l’autre ! Ne vous en faites pas, ça sera terminé au bout de 2 semaines, je connais John !
Elisabeth hocha la tête. Elle les avait observés ; depuis 3 mois, John n’était plus le même. Il l’aimait, cela se voyait.
- Non...vous avez tord Rodney... lui dit-elle en levant vers lui des yeux baignés de larmes.
Comprenant son désespoir, il s’assit à côté d’elle et passa un bras autour de ses épaules. Il ne savait pas trop quoi dire. Il n’avait jamais été doué pour consoler quelqu’un. Elisabeth se leva doucement et sourit à Rodney.
- Merci...
- De rien, répondit-il en se levant à son tour.
- Je crois que je ferais mieux d’aller me coucher...
- Oui, vous avez raison. Reposez-vous, ça ira mieux demain vous verrez !
Les larmes se remirent à couler le long des joues d’Elisabeth. Elle esquissa un pas vers Rodney. Il compris le message et la pris dans ses bras. Tout en la berçant doucement, il tenta de la rassurer.
- Ca va aller, vous verrez... Faites-moi confiance, ce n’est pas sérieux avec cette Linda ! Elle est trop superficielle. John vous a toujours aimé Elisabeth... et je ne crois pas que cet amour puisse être brisé par une simple fille de passage... Il vous le montrera ! Soyez patiente...
Elisabeth se dégagea doucement de l’étreinte du scientifique et lui sourit faiblement :
- Merci Rodney... Mais c’est trop tard désormais.... je n’y crois plus...
Et elle sortit rapidement des quartiers de son ami.
Re: Les fées ne meurent jamais...
Elle courait dans les couloirs, en direction de la plate-forme d’atterrissage... Elle courait très vite. Le plus rapidement possible. Pour que tous ses efforts l’empêchent de penser. Mais les douleurs musculaires étaient beaucoup moins vives que celle qui lui transperçait le cœur...
Pendant qu’Elisabeth courait à perdre haleine, Rodney, lui, avait eut l’impression qu’elle allait faire une bêtise. Il faisait les 100 pas dans sa chambre, se demandant qu’est-ce qu’elle allait faire, est-ce qu’elle allait vraiment le faire, et surtout qu’est-ce qu’il devait faire lui... Finalement, il décida d’aller voir le colonel Sheppard. Lui saurait quoi faire. Après tout, c’était quand même à cause de lui qu’elle était dans cet état là ! Il sortit de ses quartiers sans prendre le temps de s’habiller, et c’est en caleçon qu’il alla frapper à la porte de John. Lorsque le colonel lui ouvrit il été lui aussi en caleçon, et très étonné de voir Mc Kay débarqué à 2h30 du matin.
- Vous êtes très matinale Rodney ! dit-il en étouffant un bâillement.
Le scientifique jeta un coup d’œil dans la chambre. Il aperçut une masse sombre dans le lit et fut rassurer. Linda dormait. Mais John commença à s’énerver.
- Mc Kay, si vous êtes venu me réveillez à cette heure là pour voir avec qui je passe mes nuits, ça va mal se passer !
- Non non, chuchota Rodney en lui faisant signe de parler plus bas. Ce n’est pas du tout ça !
- Alors qu’est-ce que vous voulez ? chuchota à son tour John.
- ...Je crois qu’Elisabeth va faire une bêtise... il faut que vous m’aidiez à l’en empêcher !
Voyant le colonel dubitatif, il répliqua :
- Je n’y arriverai pas tout seul ! Elle vous écoutera, vous !
Mais John n’avait pas l’air d’avoir compris.
- Quand vous parlez de « faire une bêtise », vous voulez dire qu’elle est partie manger tous les croissants de la cafétéria ?
- John, je vous en prie... ce n’est pas une blague !
Devant l’air désespéré de Rodney, le colonel commença à s’inquiéter et dit :
- Allez passer une tenue correcte et retrouvez moi dans la salle de contrôle.
Mc Kay fila s’habiller et 5 minutes plus tard, John et lui se trouvaient devant l’appareil qui détectait les signes de vie dans la cité.
- Enclenchez-moi ce machin Mc Kay !
- Ce n’est pas si simple ! s’insurgea Rodney. Il ne suffit pas de claquer des doigts ! Il faut d’abord allumer l’ordinateur central, puis enclenchez...
- Mc Kay je me fiche de la procédure qu’il faut faire pour allumer ce truc ! Faites au plus vite, c’est tout ce que je vous demande !
John avait visiblement du mal à croire Rodney, mais dans le doute, il préférait s’assurer du lieu où se trouvait Elisabeth.
Enfin l’appareil s’alluma. Sur l’écran apparu d’abord un plan détaillé de la cité. Puis des points rouges s’allumèrent, ça et là. La plupart se trouvaient dans la zone des quartiers et étaient immobiles. Sauf un. Un point rouge se trouvait dans le bureau de Mc Kay. Ni une ni deux, ils foncèrent jusqu’à là-bas.
Pendant qu’Elisabeth courait à perdre haleine, Rodney, lui, avait eut l’impression qu’elle allait faire une bêtise. Il faisait les 100 pas dans sa chambre, se demandant qu’est-ce qu’elle allait faire, est-ce qu’elle allait vraiment le faire, et surtout qu’est-ce qu’il devait faire lui... Finalement, il décida d’aller voir le colonel Sheppard. Lui saurait quoi faire. Après tout, c’était quand même à cause de lui qu’elle était dans cet état là ! Il sortit de ses quartiers sans prendre le temps de s’habiller, et c’est en caleçon qu’il alla frapper à la porte de John. Lorsque le colonel lui ouvrit il été lui aussi en caleçon, et très étonné de voir Mc Kay débarqué à 2h30 du matin.
- Vous êtes très matinale Rodney ! dit-il en étouffant un bâillement.
Le scientifique jeta un coup d’œil dans la chambre. Il aperçut une masse sombre dans le lit et fut rassurer. Linda dormait. Mais John commença à s’énerver.
- Mc Kay, si vous êtes venu me réveillez à cette heure là pour voir avec qui je passe mes nuits, ça va mal se passer !
- Non non, chuchota Rodney en lui faisant signe de parler plus bas. Ce n’est pas du tout ça !
- Alors qu’est-ce que vous voulez ? chuchota à son tour John.
- ...Je crois qu’Elisabeth va faire une bêtise... il faut que vous m’aidiez à l’en empêcher !
Voyant le colonel dubitatif, il répliqua :
- Je n’y arriverai pas tout seul ! Elle vous écoutera, vous !
Mais John n’avait pas l’air d’avoir compris.
- Quand vous parlez de « faire une bêtise », vous voulez dire qu’elle est partie manger tous les croissants de la cafétéria ?
- John, je vous en prie... ce n’est pas une blague !
Devant l’air désespéré de Rodney, le colonel commença à s’inquiéter et dit :
- Allez passer une tenue correcte et retrouvez moi dans la salle de contrôle.
Mc Kay fila s’habiller et 5 minutes plus tard, John et lui se trouvaient devant l’appareil qui détectait les signes de vie dans la cité.
- Enclenchez-moi ce machin Mc Kay !
- Ce n’est pas si simple ! s’insurgea Rodney. Il ne suffit pas de claquer des doigts ! Il faut d’abord allumer l’ordinateur central, puis enclenchez...
- Mc Kay je me fiche de la procédure qu’il faut faire pour allumer ce truc ! Faites au plus vite, c’est tout ce que je vous demande !
John avait visiblement du mal à croire Rodney, mais dans le doute, il préférait s’assurer du lieu où se trouvait Elisabeth.
Enfin l’appareil s’alluma. Sur l’écran apparu d’abord un plan détaillé de la cité. Puis des points rouges s’allumèrent, ça et là. La plupart se trouvaient dans la zone des quartiers et étaient immobiles. Sauf un. Un point rouge se trouvait dans le bureau de Mc Kay. Ni une ni deux, ils foncèrent jusqu’à là-bas.
Re: Les fées ne meurent jamais...
- Qu’est-ce qui se passe, fit une vois endormie.
Mc Kay soupira de dépit. C’était Zélenka qui c’était endormit sur ses travaux.
- Vous voyez Rodney, il ne faut pas vous en faire. Je suis sur qu’à l’heure qu’il est, Elisabeth est entrain de dormir bien sagement, dit John tendit qu’ils se dirigeaient tous deux vers la salle de contrôle afin d’éteindre l’appareil.
- Je ne pense pas... Quand elle est sortie de ma chambre, elle est partit en courant dans la direction opposée à ses quartiers.
John s’arrêta net, les sourcils froncés, prêt à frapper Rodney.
- Qu’est-ce qu’Elisabeth faisait dans VOTRE chambre à 2h30 du matin ?
- Eh bien en faite, il était 2h00.
- Je me fiche de l’heure qu’il était Mc Kay.
- Bien ! Si vous voulez tout savoir, elle est venu me voir car, sans doute en passant devant vos quartiers, elle vous as entendu, vous et Linda, entrain de vous... bécoter !
Rodney avait dit cela avec colère. Il se sentait mal à l‘aise depuis qu’il avait vu Elisabeth dans cet état, et en voulait à John de s’être jeté dans les bras de cette fille sans en mesurer les conséquences.
John regarda Rodney comme s’il le voyait pour la première fois. Et sans un mot, il repris son chemin d’un pas pressé, presque en trottinant, le scientifique sur ses talons.
Ils s’arrêtèrent devant l’appareil, toujours en marche. Ils l’observèrent attentivement, mais pas le moindre point rouge en dehors de ses quartiers à présent.
Soudain, John demanda :
- Et dehors ?
- Quoi dehors ?
- Mc Kay, elle est peut-être sortit de la cité !
- Ne dites pas n’importe quoi ! Elle ne peut pas utiliser de jumper, elle n’a pas le gène des anciens...
- Mc Kay je m’en fous ! Regardez quand même !
- Très bien...
L’extérieur de la cité comprenait seulement la plate-forme d’atterrissage et un morceau de mer qui entourait la cité.
Rodney mit donc l’appareil en mode externe. Ils ne virent d’abord rien, puis un point rouge apparu, au milieu de la plate-forme. Il avançait doucement vers le bord.
- Oh mon Dieu... fit Rodney, stupéfait.
- Elisabeth...
John partit en courant en direction de la plate-forme, suivit de prés par Rodney.
Le colonel arriva le premier. Il composa fébrilement le code d’ouverture de la porte blindée et s’engouffra dehors. C’était une belle nuit étoilée. Une légère brise rafraîchissait l’atmosphère. Il la vit immédiatement. Elle se tenait sur le bord, à l’autre bout de la plate-forme, prête à sauter.
- ELISABETH ! cria t-il, sans oser s’approcher.
Elisabeth avait entendue, mais refusait de se retourner. Elle savait qu’elle n’aurait pas le courage de lui apporter des explications. Lui qui la croyait si forte ; comment pouvait-elle commettre un tel geste... Elle en avait vu d’autre ! Oui mais là, c’était différent...tellement différent...
Elle l’entendit s’approcher. Doucement d’abord, puis voyant qu’elle ne réagissait pas, ses pas se firent plus pressés. Lorsqu’il fut arrivé à 2 mètres d’elle, il s’arrêta.
- Elisabeth... fit-il doucement. Ne faîtes pas ça, je vous en prie...
Elle se retourna lentement et le fixa. Les yeux de John reflétaient l’angoisse qu’il éprouvait à l’idée qu’elle n’avait qu’à faire un pas, un seul, pour disparaître à jamais.
La douleur qu’Elisabeth ressentit s’accentua. « Tu n’es même pas fichu de faire ça discrètement ! Maintenant il est là devant toi et il souffre...à cause de toi ! » songea t-elle.
Il s’avança vers elle. Elisabeth eu un mouvement de recul. Il se précipita et la retint par le bras. Dans les yeux de John, l’angoisse fit place à l’effroi.
Mc Kay soupira de dépit. C’était Zélenka qui c’était endormit sur ses travaux.
- Vous voyez Rodney, il ne faut pas vous en faire. Je suis sur qu’à l’heure qu’il est, Elisabeth est entrain de dormir bien sagement, dit John tendit qu’ils se dirigeaient tous deux vers la salle de contrôle afin d’éteindre l’appareil.
- Je ne pense pas... Quand elle est sortie de ma chambre, elle est partit en courant dans la direction opposée à ses quartiers.
John s’arrêta net, les sourcils froncés, prêt à frapper Rodney.
- Qu’est-ce qu’Elisabeth faisait dans VOTRE chambre à 2h30 du matin ?
- Eh bien en faite, il était 2h00.
- Je me fiche de l’heure qu’il était Mc Kay.
- Bien ! Si vous voulez tout savoir, elle est venu me voir car, sans doute en passant devant vos quartiers, elle vous as entendu, vous et Linda, entrain de vous... bécoter !
Rodney avait dit cela avec colère. Il se sentait mal à l‘aise depuis qu’il avait vu Elisabeth dans cet état, et en voulait à John de s’être jeté dans les bras de cette fille sans en mesurer les conséquences.
John regarda Rodney comme s’il le voyait pour la première fois. Et sans un mot, il repris son chemin d’un pas pressé, presque en trottinant, le scientifique sur ses talons.
Ils s’arrêtèrent devant l’appareil, toujours en marche. Ils l’observèrent attentivement, mais pas le moindre point rouge en dehors de ses quartiers à présent.
Soudain, John demanda :
- Et dehors ?
- Quoi dehors ?
- Mc Kay, elle est peut-être sortit de la cité !
- Ne dites pas n’importe quoi ! Elle ne peut pas utiliser de jumper, elle n’a pas le gène des anciens...
- Mc Kay je m’en fous ! Regardez quand même !
- Très bien...
L’extérieur de la cité comprenait seulement la plate-forme d’atterrissage et un morceau de mer qui entourait la cité.
Rodney mit donc l’appareil en mode externe. Ils ne virent d’abord rien, puis un point rouge apparu, au milieu de la plate-forme. Il avançait doucement vers le bord.
- Oh mon Dieu... fit Rodney, stupéfait.
- Elisabeth...
John partit en courant en direction de la plate-forme, suivit de prés par Rodney.
Le colonel arriva le premier. Il composa fébrilement le code d’ouverture de la porte blindée et s’engouffra dehors. C’était une belle nuit étoilée. Une légère brise rafraîchissait l’atmosphère. Il la vit immédiatement. Elle se tenait sur le bord, à l’autre bout de la plate-forme, prête à sauter.
- ELISABETH ! cria t-il, sans oser s’approcher.
Elisabeth avait entendue, mais refusait de se retourner. Elle savait qu’elle n’aurait pas le courage de lui apporter des explications. Lui qui la croyait si forte ; comment pouvait-elle commettre un tel geste... Elle en avait vu d’autre ! Oui mais là, c’était différent...tellement différent...
Elle l’entendit s’approcher. Doucement d’abord, puis voyant qu’elle ne réagissait pas, ses pas se firent plus pressés. Lorsqu’il fut arrivé à 2 mètres d’elle, il s’arrêta.
- Elisabeth... fit-il doucement. Ne faîtes pas ça, je vous en prie...
Elle se retourna lentement et le fixa. Les yeux de John reflétaient l’angoisse qu’il éprouvait à l’idée qu’elle n’avait qu’à faire un pas, un seul, pour disparaître à jamais.
La douleur qu’Elisabeth ressentit s’accentua. « Tu n’es même pas fichu de faire ça discrètement ! Maintenant il est là devant toi et il souffre...à cause de toi ! » songea t-elle.
Il s’avança vers elle. Elisabeth eu un mouvement de recul. Il se précipita et la retint par le bras. Dans les yeux de John, l’angoisse fit place à l’effroi.
Re: Les fées ne meurent jamais...
- Liz... dit-il dans un souffle. Je ne peux pas vivre sans vous...
Elisabeth sourit doucement à John. Rassuré, celui-ci lâcha son bras pour la prendre par la main.
- Venez... lui dit-il.
Mais elle n’avança pas. Une lueur de lassitude voila son regard.
- Elisabeth...venez ! insista John. Vous allez attraper froid !
Elle lui sourit une nouvelle fois.
- John... je peux vous demander un service ?...
Sa voix n’était plus qu’un murmure.
- Oui bien sûr ! Mais d’abord on rentre à l’intérieur.
- Je vous en prie... murmura t-elle en le retenant.
John s’approcha d’elle. Elisabeth redressa la tête. Leurs lèvres se frôlèrent.
- Oubliez-moi...
Et sans qu’il eut le temps de comprendre ce qu’elle faisait, il sentit sa main glisser de la sienne ; elle recula de 2 pas et tomba dans le vide. Le cœur de John cessa de battre. Il observa la lente chute de la femme qu’il aimait plus que tout sans vraiment y croire. Aucun cri ne retentit... La douleur était trop forte pour être exprimée par des paroles... Son corps percuta un rocher avant de s’enfoncer dans les eaux sombres qui bordaient la cité. John tomba à genoux. Il ne détachait pas ses yeux de l’océan, espérant la voir remonter, toujours en vie... Mais plus le temps passait, plus il réalisait qu’il allait devoir faire sans elle, qu’elle ne remonterai pas, que c’était fini, qu’elle était morte...
- Elisabeth...murmura t-il.
Une larme coula doucement le long de sa joue.
- JOHN !
Mc Kay accourrait vers lui.
- Où est Elisabeth ? dit-il, essoufflé.
John ne répondit pas, toujours à genoux, son regard fixé sur la chose qui lui avait pris celle qui aimait... Un regard rempli de larmes qu’il tentait de refouler.
- Où est-elle ?!? cria presque Rodney, paniqué.
John leva les yeux vers lui, et Rodney y lut toute la souffrance qu’il était possible de lire dans les yeux d’une personne... Il compris.
Le souffle coupé, il observa à son tour l’océan.
- Ce n’est pas possible... murmura t-il, le regard rempli d’effroi.
- Oh non... qu’est-ce que j’ai fais... fit John, retenant tant bien que mal les larmes qui coulaient maintenant sur ses joues.
Rodney s’agenouilla à côté de lui et posa sa main sur son épaule.
- Ce n’est pas de votre faute John... Vous ne pouviez rien faire... Elle n’aurait pas aimez que vous vous sentiez coupable...
Le colonel ne répondit rien. La souffrance qu’il ressentait était indescriptible. La légère brise continuait de souffler. On n’entendait plus que le doux bruit des remous de l’océan s’écrasant contre la cité. Le temps c’était arrêter... Comme s’il respectait le tourment des 2 hommes ; unis à jamais par la douleur et les souvenirs...
FIN(enfin peut-être...)
Elisabeth sourit doucement à John. Rassuré, celui-ci lâcha son bras pour la prendre par la main.
- Venez... lui dit-il.
Mais elle n’avança pas. Une lueur de lassitude voila son regard.
- Elisabeth...venez ! insista John. Vous allez attraper froid !
Elle lui sourit une nouvelle fois.
- John... je peux vous demander un service ?...
Sa voix n’était plus qu’un murmure.
- Oui bien sûr ! Mais d’abord on rentre à l’intérieur.
- Je vous en prie... murmura t-elle en le retenant.
John s’approcha d’elle. Elisabeth redressa la tête. Leurs lèvres se frôlèrent.
- Oubliez-moi...
Et sans qu’il eut le temps de comprendre ce qu’elle faisait, il sentit sa main glisser de la sienne ; elle recula de 2 pas et tomba dans le vide. Le cœur de John cessa de battre. Il observa la lente chute de la femme qu’il aimait plus que tout sans vraiment y croire. Aucun cri ne retentit... La douleur était trop forte pour être exprimée par des paroles... Son corps percuta un rocher avant de s’enfoncer dans les eaux sombres qui bordaient la cité. John tomba à genoux. Il ne détachait pas ses yeux de l’océan, espérant la voir remonter, toujours en vie... Mais plus le temps passait, plus il réalisait qu’il allait devoir faire sans elle, qu’elle ne remonterai pas, que c’était fini, qu’elle était morte...
- Elisabeth...murmura t-il.
Une larme coula doucement le long de sa joue.
- JOHN !
Mc Kay accourrait vers lui.
- Où est Elisabeth ? dit-il, essoufflé.
John ne répondit pas, toujours à genoux, son regard fixé sur la chose qui lui avait pris celle qui aimait... Un regard rempli de larmes qu’il tentait de refouler.
- Où est-elle ?!? cria presque Rodney, paniqué.
John leva les yeux vers lui, et Rodney y lut toute la souffrance qu’il était possible de lire dans les yeux d’une personne... Il compris.
Le souffle coupé, il observa à son tour l’océan.
- Ce n’est pas possible... murmura t-il, le regard rempli d’effroi.
- Oh non... qu’est-ce que j’ai fais... fit John, retenant tant bien que mal les larmes qui coulaient maintenant sur ses joues.
Rodney s’agenouilla à côté de lui et posa sa main sur son épaule.
- Ce n’est pas de votre faute John... Vous ne pouviez rien faire... Elle n’aurait pas aimez que vous vous sentiez coupable...
Le colonel ne répondit rien. La souffrance qu’il ressentait était indescriptible. La légère brise continuait de souffler. On n’entendait plus que le doux bruit des remous de l’océan s’écrasant contre la cité. Le temps c’était arrêter... Comme s’il respectait le tourment des 2 hommes ; unis à jamais par la douleur et les souvenirs...
FIN(enfin peut-être...)
Re: Les fées ne meurent jamais...
C'est triiiiisteuh !!! Mais c'est bien écrit, et j'espére bien qu'on aura la suite !
Au fait, bienvenue
Au fait, bienvenue
Re: Les fées ne meurent jamais...
Wouah !! C'est trop triste !!! J'ai failli pleurer a la fin mais je me suis retenue !!
SUPERBE !!!!
SUPERBE !!!!
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